Le fonds Ardian est entré en négociation exclusive avec le management de Siaci Saint-Honoré, accompagné par Charterhouse, acteur historique du capital investissement en Europe, émetteur d’une offre ferme, en vue de la cession de la société de conseil et de courtage d’assurance.
Pour se conformer à la Loi Sapin II qui a fixé le cadre législatif nécessaire à la transformation de l’organe central du groupe Groupama en société d’assurance mutuelle, Groupama SA se transforme en Groupama Assurances Mutuelles.
Le fonds de capital investissement Ring Capital a annoncé ce matin un deuxième closing portant les encours du fonds Ring Capital I à plus de 165 millions d’euros. Selon un communiqué, ce deuxième et dernier closing du fonds growth Ring Capital I, au-delà de l’objectif maximum initialement fixé à 150 millions d’euros, permet d'élargir la communauté Ring à des investisseurs majeurs comme SWEN, le Crédit Mutuel Maine Anjou Basse Normandie ou Sofiouest et à des personnalités comme Xavier Niel.Ring Capital est un fonds de capital investissement spécialisé dans le financement des entreprises technologiques et numériques, lancé en décembre 2017 par Geoffroy Bragadir et Nicolas Celier. Les principaux investisseurs de Ring Capital sont AG2R La Mondiale, Bpifrance, qui intervient pour compte propre et dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir via le fonds MultiCap Croissance, la Bred, Danone, ProBTP, Swen et Tikehau Capital qui détient 25% de la société de gestion. Suite à ce deuxième closing, Ring Capital a une capacité d’investissement de plus de 165 millions d’euros, pour faire émerger les futurs leaders européens du numérique. Selon Xavier Niel, qui rejoint le fonds à l’occasion de ce second closing, «Ring Capital apporte une réponse à un besoin mal adressé des entreprises technologiques françaises qui sont souvent vendues trop tôt : apporter les compétences et les capitaux pour en faire des ETI, dont la France manque cruellement.» Ring Capital a déjà participé au financement d’Adikteev, spécialiste du marketing digital sur mobile, en pilotant un tour de 10 millions d’euros en février 2018.
More than two months after the initial public offering for DWS, Nicolas Moreau, CEO of the asset management affiliate of Deutsche Bank, has clearly reaffirmed his ambitions, as DWS shares have been trading at a price below its initial offering price of EUR32.50. “We want to demonstrate quarter after quarter that we are able to keep our promises: net inflows of 3% to 5% per year, a margin of over 30 basis points, a cost/income ratio of less than 65%, and a profit distribution rate of 65% to 75%,” the director says in an interview with Agefi Hebdo.To achieve these objectives, “the retail segment in Europe is a target growth area for us,” says Moreau. “We hold fifth place in the European market, which is the most profitable market for DWS,” he says. Meanwhile, the asset management firm has created a working group “to strengthen our activities in quantitative management, which has EUR64bn in assets, which we want to increase considerably,” says Moreau. Lastly, the asset management firm is seeking to develop its structured credit activity further. “We are relaunching our efforts in collateralized loan obligations (CLO) in Europe, and we are looking at growth opportunities in the United States,” the DWS head explains. “We are also planning to launch a fund with Deutsche Bank in September, which will provide sourcing for the assets.”To give substance to these ambitions, Moreau remains open to external growth operations. “Our ambitions in quantitative management and structured credit may include bolt-on acquisitions,” he admitted. “We are currently considering cases with a total value of EUR100m to EUR200m, but we are able to go beyond that.”The director also notes that DWS has set a cost savings objective of EUR125m to EUR150m by 2020. To achieve this transformation, the asset management firm has recently appointed Nikitas Psyllakis as head of transformation. As part of this process, DWS does not rule out discontinuing small activities which are not profitable and generate modest revenue. “For example, we have pulled out of domestic funds in Japan to rely on our partnership with Nippon Life, and we have sold a private equity fund of fund in Germany,” says Moreau.With a strong presence in several major European countries, Moreau has not overlooked the French market, where the firm is not yet “in the place we would like to be in terms of assets under management,” he admits. In a particularly competitive market, “if we are able to ensure growth of our assets under management of about 50% in three years, that will already be a fine performance,” the head says. In a sign of its commitment to the French market, DWS this month appointed Olivier Dubost de Cadalvène as head of its French arm, Moreau says. “We are also studying two partnerships, including one with Tikehau Capital, which entered capital at the time of the IPO, and with whom we may launch co-managed funds to combine the best of our expertise,” the director explains. “A second partnership, which we hope to close in 2018, will let us improve distribution of our products in France.”
HorizonX, la filiale de capital-risque de Boeing, continue sa rapide expansion avec un sixième investissement cette année. HorizonX va participer à une levée de capital de Kittyhawk, un spécialiste du drone dirigé par l’ancien directeur de GoogleX Sebastian Thrun. Les deux sociétés ont déjà un partenariat centré sur la gestion des vols de drones. L’investissement intervient alors que le régulateur américain de l’aéronautique, la FAA, cherche à imposer des réglementations face à la croissance rapide du secteur.
La fintech Broadridge Financial Solutions a annoncé ce jeudi 07 juin l'acquisition de MackayWilliams, société européenne spécialisée dans le marketing et la recherche sur les fonds. La société américaine espère ainsi combiner son expertise en analyse de données et de fonds avec la connaissance de MackayWilliams du marché européen de la sélection de fonds pour créer un outil d'analyse complet sur les OPCVM et les ETF en Europe.
Pascale Baussant, fondatrice du cabinet de gestion de patrimoine Baussant Conseil, infuse ses convictions en matière d'investissement socialement responsable (ISR) dans l'organisation même de sa société. Politique RSE, adhésion au FIR, offre et communication ISR et surtout publication d'un livre blanc sur l'investissement responsable, la présidente de Baussant Conseil détaille tous les éléments de cette politique à l'occasion de sa participation au prix de "l'audace en matière de finance positive" pour la 4e édition des Coupoles Distrib Invest.
Quantalys a annoncé mercredi l’arrivée de Jean-François Bay au poste de directeur général en charge de l’international. Directement rattaché à Vincent Weil et Jean-Paul Raymond, les deux fondateurs de la société, il aura pour mission de renforcer le développement de Quantalys à l’international. Jean-François Bay quittera fin juin 2018 La Financière de l’Echiquier où il est encore directeur de la stratégie, du développement et des opérations internationales. Précédemment, il a été pendant 7 ans directeur général de la filiale française de Morningstar, après avoir créé plusieurs sociétés et plateformes spécialisées dans le conseil en allocation et la sélection de fonds à destination des professionnels, sociétés aujourd’hui absorbées par Morningstar. Jean-François Bay est par ailleurs membre honoraire-fondateur de l’association française des investisseurs institutionnels, a été membre de la commission Organisation et Fonctionnement des marchés de l’AMF, professeur associé à l’Université Paris Dauphine et administrateur-trésorier de la CNCIF.Quantalys se présente comme « le spécialiste français indépendant de l’information financière et des outils à destination des professionnels de la finance ». La société développe depuis de nombreuses années un algorithme de sélection de fonds et travaille sur l’optimisation de portefeuille. L’arrivée de Jean-François Bay intervient alors que Quantalys a avoir ouvert une première filiale en Italie en 2016, et veut aujourd’hui «s’affirmer comme un acteur global à l’échelle européenne à cinq ans».
Le Pôle Finance Innovation a procédé à deux nominations. Jacques Richier, président directeur général d’Allianz France, est ainsi nommé vice-président pour la filière de l’assurance. Il succède à Antoine Lissowski, directeur général Adjoint de CNP Assurances, en charge de la direction financière. Laurent Fléchet, directeur général délégué du groupe Primonial en charge des activités immobilières, est pour sa part nommé vice-président de la filière immobilière. Il succède à Guy Marty, qui devient vice-président pour la recherche et la prospective. Laurent Fléchet, nouveau membre du comité exécutif présidé par Jean-Hervé Lorenzi, veillera à établir un pont entre l’immobilier et les innovations digitales, comme la blockchain et l’intelligence artificielle. Dédié à l’accompagnement et à la croissance des projets innovants soutenant la compétitivité du secteur financier français, «le Pôle Finance Innovation a une ambition forte et quotidienne : permettre à la France et à la place financière de Paris de jouer un rôle majeur en Europe», déclare son président Jean-Hervé Lorenzi. A ce jour, le Pôle Finance Innovation a labellisé plus de 600 startups françaises. Ce label leur permet de bénéficier d’un ensemble de services et de soutien, tels que des journées d’intervention offertes par des acteurs majeurs du conseil, des rencontres avec des investisseurs et des clients, des échanges entre Fintechs, une présence préférentielle sur les réseaux sociaux du Pôle. AB
L’École d’économie de Paris (Paris School of Economics, PSE) et la Fondation Scor pour la Science annoncent la création d’une chaire de recherche sur le risque macroéconomique. Cette chaire est portée par PSE et financée par la Fondation Scor, qui agit "en faveur de la recherche et de la diffusion de la connaissance sur les risques".
D'après le dernier Baromètre mondial du capital-investissement de Coller Capital, la concurrence entre investisseurs (LPs) fait rage. A la clé, des rendements annuels atteignant dans la majorité des cas (87%) plus de 11%.
A l’occasion du lancement du nouveau millésime « BRIDGE IV», Jean-Francis Dusch, Directeur de la Gestion en Dette d’infrastructure chez Edmond de Rothschild Asset Management, nous présente les atouts de la plateforme BRIDGE et la façon dont elle continue de soutenir le développement d’infrastructures emblématiques.
Le producteur d’électricité indépendant Amarenco a levè 5,3 millions d’euros auprès d’Eiffel Investment Group afin de financer la construction de 43 projets solaires en France, dont 14 projets situés en Corse, a annonce Eiffel Investment Group ce 4 juin. Développés par une filiale du groupe Amarenco, ces projets cumuleront une puissance totale de 4,3 MW générée à partir de centrales en toitures de bâtiments agricoles. Eiffel Investment Group a financé les projets d’Amarenco grâce au fonds Eiffel Energy Transition. « Avec cette nouvelle opération, le fonds dépasse les 300 projets solaires financés en France et intervient pour la première fois en Corse », explique Pierre-Antoine Machelon, gérant d’Eiffel Energy Transition, cité dans un communiqué.
Pour formaliser les principes religieux auxquels est soumise la gestion de ses 43 millions d’euros d’encours, la Fondation Notre Dame a choisi début 2018 d’adopter une charte éthique. Soucieuse du sens donné aux placements financiers, elle organise par ailleurs des séminaires sur l’investissement responsable, et a récemment lancé la SICAV Porteurs d’Espérance, solution d’investissement conforme à la pensée de l’Eglise. Plusieurs financiers bien connus et bénévoles l’aident aussi dans ses choix de placements.
Christophe-Charles Rousselot donne le sentiment d'avoir trouvé sa voie au sein de la Fondation Notre Dame et du Diocèse de Paris. Respectivement délégué général et directeur du développement des ressources financière de ces deux institutions, il a pourtant à son actif une quinzaine d'années dans la communication. Si ce grand amateur d'essais devait toutefois imaginer quelle serait sa vie dans quelques années, il nous emmènerait sans nul doute au Pays basque, sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Les assemblées générales des groupes AG2R La Mondiale et Matmut des 31 mai et 2 juin ont voté favorablement pour le rapprochement entre les deux groupes. Une expertise particulière sur le volet social du projet doit cependant encore être menée. Par ailleurs, le 29 mai, l’instance de coordination Agirc Arrco s’est elle aussi penchée sur le projet de rapprochement. Le dossier visait à analyser et valider le projet de rapprochement entre les deux groupes. Il a été validé à l’unanimité. Annoncé en novembre dernier, ce rapprochement témoigne d’un objectif commun des deux acteurs de devenir le 1er groupe de protection sociale en assurance des personnes et de leurs biens. Prévu pour se concrétiser au 1er janvier 2019, ce mariage devrait maintenant aboutir à la création d’une gouvernance commune, avant que les travaux de mise en oeuvre opérationnelle du rapprochement ne commencent. AB
CD Partenaires, a fund distribution platform affiliated to La Française, will this morning announce the official appointment of Christophe Descohand as head of the structure, a few months after the departure of Gilles Grenouilleau. In a rapidly changing sector, the new director explains to NewsManagers and Distrib Invest what the areas for development at CD Partenaires are now, as La Française now clearly states that it desires to accelerate its growth in the retail segment, and that “CD Partenaires represents one of its priority areas for development.”
Valeo mise sur l’innovation et prévoit de recruter environ 1.300 personnes cette année en France, soit à peu près autant que l’an dernier, pour y renforcer sa base industrielle, a déclaré le PDG de l'équipementier automobile dans une interview au Figaro. «L’important pour des sociétés comme les nôtres est de cultiver une présence forte en France tout en partant à la conquête de marchés partout dans le monde», déclare Jacques Aschenbroich dans cet entretien diffusé vendredi soir sur le site internet du quotidien.
Le décret destiné à renforcer les règles de distribution de produits d’assurances, notamment celles concernant l’information des clients, conformément au nouveau droit européen, a été publié dimanche au Journal officiel, indique l’AFP. Ce décret, qui entrera en vigueur le 1er octobre 2018, à l’exception de quelques mesures qui elles entreront en vigueur en février 2019, est publié dans le cadre d’une directive européenne, dite DDA, adoptée en 2016. Le texte avait été présenté en conseil des ministres mi-mai. Selon le compte-rendu du conseil, il était alors expliqué qu’il visait «principalement à renforcer l’information pré-contractuelle, à prévoir de nouvelles règles de gouvernance des produits, à mieux prévenir les conflits d’intérêts et à améliorer la formation continue des distributeurs». Concrètement, le premier point prévoit la remise au client d’un court document synthétisant les caractéristiques du produit proposé et dont le format ne devra pas dépasser trois pages A4. Plus largement, le texte marque un changement de périmètre par rapport à la précédente directive européenne sur la distribution d’assurances : celle-ci, remontant à 2002, ne concernait que les courtiers, alors que le nouveau texte imposera aussi des règles aux assureurs eux-mêmes. Lorsque les compagnies élaborent un nouveau type de contrat, elles devront ainsi déterminer précisément le profil type de client visé par le futur produit.
Le marché suisse de l’investissement durable a de nouveau affiché une croissance significative en 2017. Selon le Rapport sur l’investissement durable en Suisse 2018 publié par Swiss Sustainable Finance (SSF), les capitaux investis de manière durable ont progressé de 82% l’an dernier à 390,6 milliards de francs suisses. C’est du côté des investisseurs institutionnels que la croissance des actifs est la plus marquée (+128%) mais la progression des fonds de placement (+47 %) et des mandats de gestion durables (+25 %) est également très nette. L’investissement durable fait désormais partie du coeur de métier avec une attention croissante de tous les acteurs des marchés financiers. Les actifs durables gérés directement par les caisses de pension, les compagnies d’assurance et les autres investisseurs institutionnels (238,2 milliards de francs suisses) représentent 61 % du marché suisse de l’investissement durable. « Ce chiffre correspond déjà à 16 % du total des capitaux gérés par les caisses de pension et les compagnies d’assurance suisses », commente Sabine Döbeli, directrice générale de SSF, citée dans un communiqué. Les fonds de placement durables ( 94,4 milliards de francs) représentent 24 % du marché total de l’investissement durable en Suisse, et les mandats durables (57,9 milliards de francs), 15 %. Ensemble, les banques et les gérants d’actifs représentent donc près de 40 % des actifs durables gérés en Suisse. « Quant à la part de l’ensemble des fonds durables, elle est passée l’an dernier de 7 % à 9 % de l’ensemble du marché suisse des fonds », explique le professeur Timo Busch, qui a apporté sa contribution scientifique à l’étude. Presque toutes les approches d’investissement affichent une sensible progression en volume. Avec un total de 217,8 milliards de francs, le filtrage fondé sur le respect de normes figure désormais en 1re place, grâce au nombre croissant de caisses de pension qui appliquent cette approche. La plus forte progression concerne la prise en compte de critères ESG lors de l’exercice des droits de vote (+140 %). L’approche consistant à intégrer directement les critères ESG dans l’analyse financière progresse, elle aussi, très nettement par rapport à l’année précédente (+90 %). Le secteur financier se préoccupe de plus en plus des Objectifs de développement durable (ODD) de l’Organisation des Nations Unies et de l’Accord de Paris sur le climat. Quelque 38 % des gérants d’actifs proposent déjà des produits faisant spécifiquement référence aux ODD ; près des deux tiers d’entre eux offrent aussi des produits respectueux du climat. Sur le plan du changement climatique, les investissements dans des solutions respectueuses du climat constituent la principale stratégie retenue, adoptée par 86 % des répondants. La mesure du bilan carbone des portefeuilles arrive en seconde position (81 % des répondants). A noter enfin que selon l'étude, les interviews accordées par les représentants de l’Office fédéral de l’Environnement (OFEV) et du Secrétariat d’État aux questions financières internationales (FSI), montrent que l’autorégulation est un moteur de croissance au moins aussi important que la multiplication des contraintes législatives, comme celles que prépare actuellement l’Union Européenne. « La demande croissante émanant de clients institutionnels, tant en Suisse qu'à l’international, reste le premier moteur de croissance ; c’est ce qu’illustrent encore les deux études de cas du présent rapport (Caisse de pensions Migros et Caisse de prévoyance de l'État de Genève) », comme l’explique Jean Laville, Directeur adjoint de SSF. Sabine Döbeli en conclut que « dans l’ensemble, au vu des évolutions décrites ici, la place financière suisse est sur la bonne voie. Moyennant la poursuite des efforts de sensibilisation, le concept de finance durable va continuer de se développer, positionnant la Suisse parmi les acteurs majeurs de ce thème de plus en plus important. »
Dans une interview à Il Sole 24 Ore, Jean-Yves Hocher, directeur général adjoint de Crédit Agricole S.A., revient sur l’acquisition de Banca Leonardo par Indosuez. « En Italie, avec l’acquisition de Banca Leonardo, nous avons augmenté nos encours sous gestion dans la banque privée de 6 milliards d’euros », rappelle-t-il. « Notre objectif est de fusionner nos activités de gestion de patrimoine en Italie le plus vite possible ». Concernant la marque, « nous n’avons pris aucune décision pour le moment. Pour sûr, elle ne changera pas à court terme », précise-t-il.
À l’issue d’un appel d’offres auquel ont répondu les principaux acteurs du marché, l’offre de La Mutuelle Générale a été retenue pour la couverture santé des 93 000 fonctionnaires du Groupe La Poste, et la couverture santé et prévoyance de ses 120 000 salariés de droit privé, annonce la Mutuelle Générale.. Il s’agit de mettre en œuvre et gérer ce contrat collectif portant sur 213 000 collaborateurs – le plus important d’Europe. Ce nouveau contrat santé et prévoyance du Groupe La Poste entrera en vigueur au 1er janvier 2019. Les deux groupes sont partenaires de longue date et la Mutuelle Générale est le prestataire historique de l’opérateur postal en matière de santé et prévoyance. « Après avoir remporté en octobre dernier le contrat pour la couverture santé des 42.000 fonctionnaires d’Orange, La Mutuelle Générale confirme ainsi son ambition de prendre activement part au marché des contrats collectifs », a déclaré Christophe Harrigan, directeur général de La Mutuelle Générale. « Nous sommes fiers d’avoir remporté cet appel d’offres qui témoigne de la compétitivité de nos offres et services et de notre capacité à gérer des contrats de très grande envergure. Nous avons ainsi pris un engagement très fort : celui d’assurer la protection sociale des collaborateurs du Groupe La Poste et de leur famille, mais aussi leur bien-être personnel et professionnel grâce à des services innovants », a ajouté Patrick Sagon, président de La Mutuelle Générale.
Selon nos informations, Anne de Lanversin aurait quitté Axa au mois de mai. Depuis 2010, elle officiait comme directrice commerciale et solutions financières d’Axa Epargne Retraite Entreprise. Diplômée de Sciences Politiques, Anne de Lanversin a commencé sa carrière à la Banque de financement et de trésorerie (BFT). En 2002, elle rejoint Allianz Global Investors au poste de responsable commerciale, puis entre chez Axa en 2010 comme directrice commerciale et solutions financières d’Axa Epargne Retraite Entreprise. Depuis 2015, elle couple ces fonctions avec celle de directrice commerciale d’EB Partners, structure de consulting interne du groupe dédiée à l’accélération des activités d’assurances collectives (prévoyance, santé, retraite) dans les pays d’implantation d’Axa. Parallèlement à ces diverses fonctions, elle est depuis 2009 exploitante agricole au domaine viticole du Deffends, dans le département du Var. Un domaine qu’elle exploite avec Olivier Samain, une autre ancienne grande figure d’Axa France (chez Axa Thema), parti chez Generali France il y a quelques mois. AB
Robin Dunmall, jusque-là gérant de portefeuille d’obligations convertibles chez J.P. Morgan Asset Management (J.P. Morgan AM), a quitté la société de gestion pour poursuivre d’autres opportunités de carrière, a appris Citywire Selector. L’intéressé était en charge de plusieurs fonds, dont le JPM Global Convertibles. Ce départ intervient quelques semaines après celui d’Anthony Vallee, un spécialiste des obligations convertibles qui a rejoint Alken Asset Management en avril 2018 pour y développer la gestion obligataire.
Après la belle année 2017 des marchés, les actions ne sont plus à des cours spécialement attrayants, même si l’Europe semble avoir un potentiel de rattrapage sur les Etats-Unis. Et pourtant, elles restent un moteur de performance incontournable des portefeuilles. C’est ce double constat qui pousse les investisseurs institutionnels vers des stratégies intégrant des couvertures contre le risque actions. Des stratégies qui conjuguent vertus structurelles et intérêt conjoncturel.
France Invest, l’association des investisseurs pour la croissance, en collaboration avec Deloitte, publie son 5ème Rapport Annuel ESG – Exercice 2017, qui renseigne, chiffre et qualifie l’engagement du capital-investissement français en faveur des enjeux Environnementaux, Sociaux et de bonne Gouvernance (ESG) dans les sociétés d’investissement et dans les entreprises qu’elles accompagnent.
Mois d'un mois après avoir fait face à la démission de son directeur général Ronan le Joubioux, CCMO Mutuelle est cette fois confrontée à un nouveau changement dans sa gouvernance.