Capzanine a annoncé l’ouverture d’un bureau en Italie avec une équipe dédiée de 3 personnes. Dirigée par Philippe Minard et basée à Milan, cette équipe composée de Riccardo Dore et Tommaso Galletta sera responsable des investissements de Capzanine dans les PME italiennes. L’équipe a également vocation à accompagner les projets de développement transalpins des sociétés de portefeuille de Capzanine originaires de France, d’Espagne ou d’Allemagne. Cette ouverture intervient après celle opérée en Espagne en 2016 et en Allemagne en 2017. Le marché italien «étant par nature fragmenté, la présence d’équipes locales pouvant établir des relations de proximité est clé», explique la société spécialisée dans les capitalisations moyennes d’entreprises. Capzanine a réalisé 4 opérations en Espagne au cours des deux dernières années, et a réalisé une opération en Italie en janvier 2018 en accompagnant Céréa Partenaire dans la reprise de Monviso, fabricant italien de biscottes. Philippe Minard a débuté son parcours professionnel en 1992 auprès de la Société Générale à Milan. Après une expérience chez Creditanstalt et Arca Merchant, il a rejoint en 1998 le groupe italien Mediobanca. Il y dirigea l’équipe de financements structurés jusqu’à fin 2005. Date à laquelle il créa, avec son associé Andrea Cappuccio et le support de Bi Invest et Intesa Sanpaolo, le fonds Mezzanove Capital dédié au marché italien de la dette mezzanine. En 2013, l’activité de Mezzanove évolua vers Emisys Capital, dont Philippe a été Managing Partner, fonds de capital hybride (dette mezzanine et/ou equity minoritaire) qui a accompagné avec succès la croissance de PME italiennes. Philippe Minard est diplômé de l’Essec Riccardo Dore a débuté son parcours professionnel en 2012 comme Account Manager chez ING Bank et a rejoint Emisys Capital au lancement de son activité d’investissement en Septembre 2013. Riccardo Dore est diplômé d’un M.Sc. en Finance de l’Université Luigi Bocconi à Milan Tommaso Galletta a débuté son parcours professionnel en février 2016 chez Emisys Capital. Tommaso Galletta est diplômé d’un M.Sc. en International Management de l’Université Luigi Bocconi à Milan (Double Degree Program à Fudan University – Shanghai).
La Commission européenne a annoncé mardi avoir commencé à préparer des représailles concernant les subventions accordées à Boeing, une décision qui intervient un jour après que Washington a publié une liste de produits européens pouvant faire l’objet de droite de douane en raison de subventions accordée par l’Union européenne à Airbus.
«Si je regarde le monde des réseaux de distribution dans notre pays (l’Italie), je ne crois pas qu’il reste désormais de nombreuses possibilités d’effectuer des opérations de concentrer à grande échelle. Je continue au contraire à voir beaucoup d’effervescence dans le private banking et une tendance similaire aussi parmi les family office», a déclaré Gian Maria Mossa, le patron de Banca Generali, dans une interview à Il Sole - 24 Ore. Les développements les plus intéressants semblent concerner l’internationalisation. L’entrée sur le marché suisse avec l’acquisition de la société de gestion Valeur en décembre pourrait connaître une suite: «l’étape d’après sera d’obtenir une véritable licence bancaire dans le pays, de manière directe ou par le biais de l’acquisition d’un petit opérateur déjà actif», confirme Gian Maria Mossa, qui estime qu’une telle opération pourrait avoir lieu entre la fin 2019 et le début 2020. La Suisse reste pour le moment la cible principale à l’étranger pour Banca Generali. Mais la société songe aussi au Luxembourg. «Le Luxembourg, où nous sommes déjà présents avec une usine de produits de gestion d’actifs, nous intéresse fortement car il offre un véritable accès à l’Asie (…)», conclut le dirigeant.
Le groupe de transports et de livraison à domicile envisage de lever deux milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) supplémentaires cette année, a annoncé lundi son directeur général, un mois après avoir obtenu 4,5 milliards de dollars via le plus important tour de table de financement privé en Asie du Sud-Est. «Nous prévoyons de lever un total de 6,5 milliards de dollars de capitaux cette année», a déclaré Anthony Tan lors d’une interview. Les fonds récoltés seront notamment investis en Indonésie, a précisé Grab dans un communiqué. Le groupe veut concurrencer dans ce pays son principal rival, l’indonésien Go-Jek.
Alain Zeitouni, directeur de la gestion de Russell Investments France, donne son expérience concernant l'évolution des relations entre les sociétés de gestion et les investisseurs institutionnels. Si la réglementation a eu un important rôle à jouer, c'est aussi le cas de l'appétit des institutionnels pour l'ESG. Cette interview a été réalisée en amont de la Journée Nationale des Investisseurs.
Présenté comme l'un des plus gros fonds de capital-investissement assurantiel français, MAIF Avenir bénéficie encore d'une capacité d'intervention de 100 millions d'euros. Les responsables entendent bien les mettre à profit du plan stratégique 2019-2022 de la MAIF.
Le gouvernement norvégien propose que son fonds souverain puisse doubler la part des infrastructures renouvelables non cotées (à 12Mds€) et divise presque par deux la part des obligations émergentes (à 13Mds€).
Les conditions de l’ouverture au capital de la Française des Jeux (FDJ) restent floues, le gouvernement devant les préciser par ordonnance après le vote de la loi prévu cette semaine.
Le rendement des obligations d’Etat grecques à 10 ans chutaient de 9 points de base (pb) ce matin pour revenir à un niveau de 3,5% qui n’avait pas aussi faible depuis novembre 2005, et qui ne se situe plus qu’à 100 pb du rendement italien. Ce recul intervient après l’approbation par les ministres des Finances de la zone euro du déblocage de près d’un milliard d’euros d’aides à la Grèce dans le cadre du programme de suivi du plan d’aide international qui était suspendu au respect par Athènes de ses engagements en matière de réformes, notamment sur les créances douteuses des banques.
Les minutes de sa dernière réunion publiées hier soulignent que ce décrochage intervient malgré le rebond des prix du pétrole et des anticipations d'inflation aux Etats-Unis.
The Salone del Risparmio in Milan on Thursday opened its doors to young students, for the third annual “Il tuo Capitale Umano” (your human capital) event. The project, launched by Assogestioni, the Italian association of asset management professionals, aims to encourage young peopple to embrace a career in asset management, by bringing the two worlds together. Students were able to participate in a training and orientation day, to meet representatives from Italian and foreign asset management firms, and to attend a conference held especially for them. At the end of the day, they had the opportunity to be selected to participate in internships at asset management firms participating in the programme. On the Il Tuo Capitale Humano website, 22 partner asset management firms are listed, including the French firms Amundi and BNP Paribas AM. “We think that participating in the Il Tuo Capitale Humano project provides a good opportunity for young people to approach the asset management sector in an efficient and structured way: they only need to post their CV on the website, and they automatically become visible to 20 asset management firms, and become candidates for 40 internships,” says Manuela Mazzoleni, director of operations and markets at Assogestioni. Last year, the project arranged 200 interviews and 74 “blind dates,” with the participation of 19 asset management firms offering 31 internships, 1,616 CVs posted on the dedicated website, and 285 students from diverse backgrounds.
AG2R La Mondiale Matmut a présenté ses premiers résultats communs. David Simon, en charge des investissements, des finances et des risques d’AG2R La Mondiale Matmut, fait le point sur les 83,1 milliards d'euros de placements du fonds général.
La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a annoncé ce 2 avril la conclusion d’une entente pour l’acquisition d’une participation de 30 % dans la principale filiale opérationnelle de Vertical Bridge, le plus important propriétaire privé et gestionnaire d’infrastructures de télécommunication aux États-Unis.
L’ancien PDG de Renault et ancien président de Nissan, Carlos Ghosn, a déclaré mercredi sur Twitter qu’il se préparait à « dire la vérité ». « Je me prépare à dire la vérité sur ce qui se passe. Conférence de presse le jeudi 11 avril », annonce le dirigeant dans un message publié sur son compte Twitter. Le compte, qui a été créée au mois de mars, ne comporte que ce message. Il a été déclaré authentique par le réseau social.
L’action Julius Baer va sortir de l’indice SMI des 20 principales valeurs de la place de Zurich pour être remplacée par le titre Alcon, conséquence de la scission d’Alcon de sa maison-mère Novartis, a annoncé ce 2 avril l’opérateur SIX de la Bourse suisse. Alcon entraîne aussi l’expulsion de Dufry de la liste des 30 valeurs du SLI (Swiss Leader Index) et celle d’Aryzta de l’indice des mid-cap SMIM. Les indices seront adaptés les 9 et 10 avril, préciseSIX dans son communiqué. Alcon entrera au SMI le 9 avril et Julius Baer en sortira le 10 avril. Le fait que le changement n’intervient pas le même jour est dû à des raisons techniques.
«Nous voulons rester indépendant pour au moins deux siècles et nous travaillons pour rendre cet objectif réalisable», a déclaré Pietro Giuliani, le président d’Azimut, dans une interview à Il Sole – 24 Ore, alors que la société fait souvent l’objet de rumeurs de rachat. «Notre projet ne prévoit pas la cession d’Azimut, ni la création de l’une de ces prétendues joint-venture qui de fait sont des ventes déguisées», poursuit-il. Concernant la montée au capital de BlackRock à 6,45 %, Pietro Giuliani la qualifie de «tactique et non stratégique». Le géant américain, observe le dirigeant, «est actionnaire depuis toujours, et par le passé sa participation a même atteint 10 %». S’il devait s’allier, le patron d’Azimut privilégierait l’international. «Nous cherchons un acteur indépendant comme nous avec une bonne présence en Asie ou en Amérique latine pour étudier une fusion entre égaux, en conservant l’indépendance, ou bien un groupe d’assurance japonais qui nous garantisse l’ouverture à un marché de grandes masses où nous ne sommes pas présents et auquel nous offririons en échange l’accès à notre pays».