Cass Business School has announced that it has become the first British academic establishment to become an academic partner of the Chartered Alternative Investment Analyst (CAIA) Association. The partnership means that students at Cass will receive a training precisely in line with the professional criteria and practices of the alternative management sector (hedge funds, private equity, real estate, commodities, and structured products). This means a competitive advantage for Cass students aiming to make a career in this sector. Cass Business School, already a partner of the CFA (Chartered Financial Analyst) Institute, has added another key to its chain with the partnership. The school awards an MSc (Master of Science) in Investment Management, including training in professional investment practices. “As an internationally recognised independent qualification, the CAIA designation is a safe bet in the area of alternative investments,” says Susan Roth, director of MSc programs at Cass.
The new IAS 19 standards published last month, which seek to clarify the financial conditions of companies with regards to their overall costs and risks related to pension regimes, may lead companies to revise their asset allocation strategies covering social engagements, and investors may be led to revise their estimates of the impact of risks related to pension regimes for the companies in question, according to Mercer. Mercer is pleased to observe that the emphasis is on questions of risk management, and points out that the new rules, which will come into force from 2013, may encourage companies to adjust the way in which they invest billions of dollars in coverage assets in their social engagements. Eric Morin, a senior consultant in the international activity at Mercer, says that “investments of coverage assets from pension schemes in equities will not mechanically lead to a rise in profits for companies, although the equities will generate higher returns over the long term, according to the consensus of analysts.” Mercer estimates that the phenomenon will accelerate a trend at many companies which are asking if taking risks with pension schemes creates value for shareholders. An asset allocation which depends less on equities and more on bonds tends to increase the stability of key performance indicators. “Overall, the accounting changes may encourage companies to adopt better risk management for their pension liabilities,” Morin continues.
Cette année, la CPEV, Caisse de Pensions de l’Etat du Vaud (7,4 milliards de Francs Suisses d’actifs) étudie la possibilité d’investir dans l’infrastructure en Suisse et investira pour la première fois dans l’immobilier international. L’allocation en matières premières avait déjà augmenté en Mars 2010, suivi d’une hausse de l’exposition aux obligations convertibles deux mois plus tard puis un premier investissement en microfinance au mois de Novembre. En 2011, le régime prévoit, pour l’investissement en microfinance, d’accroitre le nombre de gérants pour obtenir une diversification du portefeuille plus optimale. Les placements alternatifs, en 2010, ont atteint des performances et des apports en capitaux nets positifs. Les placements alternatifs ont ainsi retrouvé une place plus importante dans les portefeuilles des investisseurs par rapport aux années précédentes. La CPEV maintiendra parmi ses priorités une politique d’investissements socialement responsables, restant ainsi dans la continuité de ces dernières années. Concernant les classes d’actifs traditionnelles, la Caisse de Pensions débat des problèmes de devises affectant les obligations en devises étrangères face au Franc Suisse. Dans le sillage de l’année 2009, la Caisse a continué à privilégier les obligations d’entreprises ainsi que la dette des pays émergents en monnaies locales. L’exercice 2010, pour les obligations en Francs Suisses, a été marqué d’une part par la mise en place d’investissements visant à protéger le portefeuille contre l’inflation et les hausses de taux. Fin Mars 2011, l’allocation d’actifs se structurait ainsi : 2,63% de liquidités, 0,06 % de créances diverses à court et moyen terme, 12,08% d’obligations en Francs Suisses, 15,51% en obligations étrangères, 12,44% en actions de sociétés Suisses, 11,79% en actions internationales, 10,47% en titres de gages immobiliers, 24.77% en immobilier Suisse, 6.63% en alternatifs, 2.65% en private equity et 0.97% en actifs diversifiés.
Ce fonds d’incubation rassemblera les principaux investisseurs de la Place pour apporter des capitaux à gérer aux jeunes sociétés de gestion basées en France, ou souhaitant s’y implanter, et accélérer leur développement dans leurs premières années d’existence. Emergence fournira entre 25 millions et 50 millions à chaque gestionnaire retenu pour trois ans, le partenariat devant durer entre 7 et 10 ans. L’objectif d’Emergence est d’offrir aux investisseurs la performance des fonds incubés et une participation aux revenus futurs des sociétés de gestion. Le fonds leur permettra d’identifier les équipes de gestion les plus prometteuses et de contribuer à leur croissance en leur confiant des capitaux à gérer. La priorité a en outre été donnée à l’attrait du fonds pour les investisseurs, en les plaçant au c??ur de la gouvernance (participation au conseil d’administration, définition des objectifs, désignation d’un comité d’investissement), en choisissant le partage de revenus (sans prise de participation au capital), et en optimisant les contraintes de Solvabilité II (« transparisation » du portefeuille). Emergence prendra la forme d’une SICAV contractuelle à compartiments, permettant d’envisager différentes thématiques (performance absolue, actions long-only, ISR, obligations d’entreprises, etc.), avec des gérants délégataires appropriés, un par compartiment, a indiqué Alain Leclair, membre du comité de direction de Finance Innovation et président d’honneur de l’AFG. Le fonds mettra en oeuvre de nombreuses innovations réglementaires (gouvernance partagée avec les investisseurs, partage de revenu des sociétés de gestion incubées, statuts de SAS pour constituer la SICAV), qui sont soumises à l’approbation de l’AMF et de la Direction Générale du Trésor.
Le premier compartiment d’Emergence sera un produit de performance absolue lancé en septembre (le deuxième devrait être lancé début 2012), avec NewAlpha AM (filiale d’OFI) comme gérant délégataire pressenti, compte tenu de son expérience reconnue dans ce domaine (incubation pour le compte de tiers, profit sharing acquis au fonds, produits OPCVM). Quelque 30 premières cibles d’incubation ont été identifiées. A ce stade la levée de capitaux estimée pour ce premier compartiment se situe entre 150 et 250 millions d’euros. Selon nos informations, les engagements portent d’ores et déjà sur 150 millions d’euros.
Depuis le début de l’année 2011, le FRR a décidé d’augmenter ses investissements sur les actions émergentes au sein de sa poche de performance, en passant de 2.4% à 5.1% des actifs. Une part significative de l’exposition économique aux marchés émergents est recherchée en utilisant comme supports d’investissement des entreprises des pays développés exposées à la croissance de ces marchés. A ce titre, de même que pour les obligations émergentes, le FRR préfère investir dans des fonds ouverts gérés par des sociétés de gestion, sans conditionner son choix au respect de critères ISR dans la gestion. En effet, il est apparu au FRR que l’univers de ces fonds émergents ISR était trop réduit pour permettre une mise en concurrence des gérants. Après une phase de due diligence s’accompagnant de la rencontre systématique avec les gérants des fonds pré sélectionnés, le FRR s’attache seulement à ce que les sociétés de gestion respectent la philosophie de l’investissement responsable de manière globale.
Faute d’un accord entre Etats membres de l’UE et eurodéputés, les nouvelles règles européennes d’encadrement des produits dérivés et des ventes à découvert n’entreront pas en vigueur avant l’automne. Le Parlement européen a campé hier sur ses positions en votant en première lecture en session plénière des versions de ces deux textes qui s’inscrivent en porte-à -faux avec les positions défendues par les Vingt-Sept. Sur les ventes à découvert, les eurodéputés se sont prononcés pour interdire les CDS à nu sur dette souveraine. Sur les dérivés, le dossier est plus complexe encore car les Etats membres ne parviennent pas à se mettre d’accord entre eux et la version votée par le Parlement se rapproche de celle défendue par une minorité de pays, dont l’Allemagne. Les eurodéputés se sont prononcés pour que seuls les échanges de dérivés de gré à gré soient concernés par une obligation d’enregistrement dans des registres centralisés.
La société de gestion a clôturé le premier semestre avec plus de 600 millions d’euros d’actifs sous gestion, grâce à plus de 300 millions d’euros de collecte. Sur le seul segment des FCP, Tikehau IM a plus que doublé ses actifs, en collectant plus de 130 millions d’euros.
Le groupe «infrastructure de Place» a officialisé hier la mise en place d’un service de gestion tripartite des pensions livrées en euro où les transactions, exécutées sur des paniers de titres standardisés, sont dénouées de façon totalement automatisée par un agent tripartite. Ce service développé et opéré par Euroclear France sera ouvert à la compensation par LCH.Clearnet et aux opérations de refinancement de l’Eurosystème via la Banque de France.
Dominique Cerutti, directeur général adjoint de Nyse Euronext, a confirmé que la compensation des produits dérivés de la future Bourse issue de la fusion avec Deutsche Börse se ferait sur Eurex, filiale de la Bourse allemande. Il a également confirmé que si les discussions en cours entre le fournisseur de données Markit et la chambre de compensation LCH.Clearnet aboutissaient, Nyse Euronext accroîtrait sa participation minoritaire dans LCH.Clearnet qui assurerait alors la compensation des marchés au comptant du nouveau marché.
Afin de lutter contre une volatilité excessive sur les marchés de matières premières, notamment agricoles, «la priorité devrait être donnée à la collecte et à la dissémination des informations», a plaidé hier l’ancien président de l’AMF, Michel Prada, lors d’une table ronde organisée par Paris Europlace. «Les participants devraient être identifiés et supervisés de manière proportionnée», a-t-il ajouté. Le dernier G20 Agriculture a fait un pas dans cette direction en confiant à la FAO le soin d’exploiter un système d’information sur les marchés agricoles (AMIS).
Le plan stratégique à 2014 de la filiale française prévoit de ramener son coefficient d’exploitation à la moyenne du secteur en France, soit 63 % à cette échéance. Cela passera par 672 suppressions nettes de postes sur la période, gérées grâce aux départs naturels et aux préretraites.
Selon nos informations, Lazard Frères Gestion a confié la gestion d’un deuxième fonds actions émergentes à Lazard Asset Management, société de gestion cousine basée à New York. Baptisé Objectif Croissance Emergente, ce FCP de droit français a été agréé le 18 mars. Son prospectus simplifié est disponible depuis peu sur le site de l’Autorité des Marchés Financiers.
Les ventes au détail ont diminué de 1,1% au mois de mai dans les 17 pays de la zone euro. Sur un an, le recul ressort à 1,9%. Le marchait anticipait une baisse mensuelle de 1,0% et un repli annuel de 0,5%. Ces baisses s’expliquent principalement par le recul observé en Allemagne, première économie de la zone euro, alors que la Banque centrale européenne s’apprête à relever ses taux.
La croissance dans les services a ralenti pour le troisième mois d’affilée en juin dans la zone euro et ce recul de l’indice Markit est supérieur à celui qui avait été donné lors de l’estimation flash. L’indice s’est inscrit à 53,7 contre 54,2 en flash. En mai, il était ressorti à 56. La croissance est une fois de plus imputable aux performances honorables de l’Allemagne (56,7 après 56,1 en mai) et la France (56,1, son plus bas niveau depuis décembre, contre 62,5 en mai) qui confirment leur statut de locomotives de la zone euro contrairement à d’autres pays qui s’affaiblissent comme l’Italie qui pourrait retomber en récession.
La banque centrale de Suède a relevé mardi son principal taux directeur de 25 points de base pour le porter à 2% comme prévu. Il s’agit de son septième tour de vis monétaire consécutif, alors que des signes font pourtant entrevoir un ralentissement économique après une croissance record l’an dernier.
La banque centrale australienne a annoncé le maintien de son principal taux directeur à 4,75%, une décision attendue compte tenu de la mollesse de la conjoncture et des incertitudes sur les perspectives économiques. La Reserve Bank of Australia (RBA) a annoncé sa décision à l’issue de sa réunion mensuelle de politique monétaire.
Selon Investment Europe, la filiale helvétique du multi-family office international Fleming Family & Partners (FF&P, 4 milliards de livres d’actifs sous gestion) vient d’acquérir pour un montant non communiqué le gestionnaire de fortune Gebhard, Corrodi & Partners (GCP, 1 milliard de francs d’encours). Urs Gebhard et Christoph Corrodi, deux des directeurs de GCP, rejoignent le board fr FF&P (Suisse) . Les sept salariés de GCP sont regroupés dans les locaux de FF&P, les deux sociétés étant basées à Zurich. Cette transaction permet à FF&P de plus que doubler son encours en Suisse.
Comme Newsmanagers l’annonçait la semaine dernière, Ossiam, la société de gestion adossée à Natixis GAM et spécialiste des ETF sur indices de stratégies, a donné le coup d’envoi, lundi 4 juillet, à la commercialisation de ses six premiers ETF Actions sur Nyse Euronext à Paris. Intégrés au sein de sa sicav à compartiments de droit luxembourgeois, cinq d’entre eux ont déjà été admis depuis le 27 juin, à la négociation sur le segment XTF de la plate-forme électronique Xetra de la Deutsche Börse, le marché français gardant néanmoins une «exclusivité» avec Ossiam ETF CAC 40 Equal Weight NR. Ce dernier OPCVM appartient à la gamme des indices de stratégie équi-pondérés dividendes nets réinvestis qui attribue à chacune des valeurs le même poids à chaque date de rebalancement et ce quelle que soit la taille des sociétés – contrairement à ce qu’il se passe dans l’indice classique où la capitalisation boursière au flottant détermine la taille des sociétés. Dans la pratique donc, à chaque date de rebalancement, chaque trimestre, toutes les sociétés «pèsent» 2,5 %. Avec les autres fonds de la famille des indices de stratégies équipondérés, le principe est identique. Pour Ossiam ETF EURO STOXX 50® Equal weight NR, chaque titre représente 2 % lors des rebalancements. Pour Ossiam ETF STOXX® EUROPE 600 Equal weight NR, les titres représentent 0,1667 % à chaque rebalancement - chaque trimestre dans les deux cas. L’autre famille regroupe les ETF suivant la stratégie Minimum Variance. L’objectif est d’offrir aux investisseurs une volatilité en moyenne inférieure de plus de 30 % à celle de l’univers de référence limitant de facto les «drawdowns» (pertes maximales). L’approche quantitative non discrétionnaire de la société de gestion a conduit celle-ci à élaborer, à partir de l’indice STOXX Europe 600, un indice de stratégie iStoxx Europe Minimum variance (dividendes réinvestis) constitué d’un «échantillon dynamique des 300 actions les plus liquides», pondéré de façon à minimiser la volatilité du portefeuille. Pour Ossiam ETF US Minimum Variance NR, l’indice de stratégie est bâti à partir d’un échantillon dynamique des 250 actions les plus liquides du S&P 500. A noter que l’indice de stratégie est ajusté chaque mois à date fixe – le troisième vendredi du mois. Lors de la présentation des fonds qui s’est tenue dans les locaux de Nyse Euronext, les responsables de la société de gestion sont longuement revenus sur les critiques portant sur les ETF qui ont émané, notamment, du FSB (Financial Stability Board) - cf. Newsmanagers du 13/04/2011. Pour les gérants, il est important de ne pas faire naître la confusion chez les investisseurs. «Les ETF ne sont pas des CDO» a insisté Bruno Poulain, président associé fondateur d’Ossiam, qui s’est dit très attaché à la transparence de ses produits. Aussi, la maison, qui aura recours aux méthodes de gestion les plus adaptées pour ses ETF et leur univers d’investissement, qu’il s’agisse de réplication physique ou synthétique fera figurer sur son site la composition de l’indice en question et, le cas échéant, le nom des contreparties de swap. Et ce, de façon quotidienne. Pour commencer, pour les ETF présentés, tous de réplication synthétique, Natixis est le seul établissement retenu mais, sans que Ossiam se fixe d’étapes précises, cette situation doit évoluer en fonction de l’évolution des encours et conformément à la règle de « best execution ». En outre, le swap ne pourra excéder 7 % du montant des encours. Enfin, Bruno Poulain a insisté sur le fait que le collatéral apporté par les contreparties pour ses ETF européens est composé de valeurs européennes, soit des actifs très proches de l’univers répliqué, afin de gagner en transparence.Caractéristiques des fonds : Ossiam ETF CAC 40 Equal Weight (LU0599612768 , TER : 0,30 %)Ossiam ETF STOXX® EUROPE 600 Equal weight NR (LU0599613147, TER (*) : 0,35 %) Ossiam ETF EURO STOXX 50® Equal weight NR (LU0599613063, TER : 0,30 %)Ossiam ETF Europe Minimum Variance NR (LU0599612842, TER : 0,65 %)Ossiam ETF US Minimum Variance NR (parts en euros : LU0599612685, TER : 0,65 %) Ossiam ETF US Minimum Variance NR (parts en dollars : LU0599612412, TER : 0,65 %).Tous les OPCVM sont éligibles à l’assurance vie et au PEA à l’exception de Ossiam ETF US Minimum Variance NR, exclus du plan d'épargne en actions. (*) TER : Total Expense Ratio – Total des frais sur encours
BNP Paribas Securities Services (BNP Paribas) a annoncé le 4 juillet le lancement de la première solution de fonds maîtres-nourriciers conforme à la directive UCITS IV. Conçue pour aider les gérants d’actifs à atteindre plus d’investisseurs finaux et à gagner en efficacité, cette solution introduit également le concept de nourricier sans frais, une révolution en matière de distribution de fonds.À propos de ce lancement, Margaret Harwood-Jones, responsable du segment de clientèle gérants d’actifs chez BNP Paribas Securities Services, indique dans un communiqué : « Avec l’entrée en vigueur imminente de la directive UCITS IV, nous sommes ravis d'être les premiers à proposer cette solution pour fonds maîtres-nourriciers. Notre service intégral prend en charge toutes les combinaisons de fonds maîtres et nourriciers, et il est accessible depuis la plupart des pays européens. »L’offre de BNP Paribas est unique dans la mesure où elle comprend des services d’administration des fonds, de conservation globale, de dépôt et de reporting, le tout pouvant être fourni gratuitement à certains fonds nourriciers. Les gérants bénéficient d’une vue globale dans le fonds maître avec un aperçu consolidé de chaque fonds, tandis que l’automatisation de la négociation permet de limiter les opérations manuelles. «La synchronisation des opérations, la plate-forme unique et le modèle opérationnel global de BNP Paribas contribuent à maximiser les opportunités d’investissement des gérants, et à optimiser l’alignement des performances des structures maître-nourricier. De cette manière, les investisseurs finaux profitent d’un accès facilité à leurs placements», souligne un communiqué.
State Street Global Advisors a annoncé le 4 juillet que les nouveaux fonds indiciels de sa plate-forme SPDR ETF spécialisés en actions et produits de taux s’échangeant à la Deutsche Börse sont désormais disponibles aux investisseurs français.Ce lancement illustre la volonté de SSgA de développer ses activités de produits ETF en Europe, et ces nouveaux produits viennent compléter la gamme existante de fonds SPDR admis à la cote d’Euronext Paris. Les nouveaux fonds SPDR ETF comprennent des produits spécialisés en actions des pays émergents et actions mondiales. Ce sont les premiers fonds ETF européens reproduisant les indices MSCI All Country World Index (ACWI) et MSCI ACWI Investable Market Index (ACWI IMI), ainsi que le premier fonds spécialisé en produits de taux permettant aux investisseurs d’accéder au marché de la dette des pays émergents en devise locale. Le nouveau fonds SPDR Barclays Capital US Aggregate Bond ETF est une première sur le marché européen, et le fonds SPDR Barclays Capital Sterling Aggregate Bond ETF est le premier fonds ETF dans le mondeà fournir l’accès au marché des obligations de qualité investment-grade libellées en livre sterling en reproduisant l’indice Barclays Capital Sterling Aggregate Index. Les nouveaux fonds SPDR ETF sont les suivants: Produits de taux Symbole Xetra SPDR Barclays Capital Emerging Markets Local Bond ETF SYBM SPDR Barclays Capital Euro Aggregate Bond ETF SYBA SPDR Barclays Capital Euro Government Bond ETF SYBC SPDR Barclays Capital Euro Corporate Bond ETF SYBB SPDR Barclays Capital US Aggregate Bond ETF SYBU SPDR Barclays Capital US Treasury Bond ETF SYBT SPDR Barclays Capital Sterling Aggregate Bond ETF SYBP Actions mondiales Symbole Xetra SPDR MSCI ACWI ETF SPYY SPDR MSCI ACWI IMI ETF SPYI Actions marchés émergents SPDR MSCI Emerging MarketsSM ETF SPYM SPDR MSCI Emerging MarketsSM Small Cap ETF SPYX SPDR MSCI EMSM Asia ETF SPYA SPDR MSCI EMSM Latin America ETF SPYL SPDR MSCI EMSM Europe ETF SPYB