Tundra Fonder, société de gestion suédoise spécialisée dans les marchés émergents, lance un fonds sur les marchés frontières, Tundra Frontier Opportunities Fund, rapporte Realtid. Ce fonds sera investi au Bangladesh, au Vietnam, au Nigeria et au Pakistan.
Le francfortois SEB Asset Management a indiqué être parvenu à céder les hôtels Grand Hyatt et Maritim de Berlin à une filiale de Al Faisal Holding ainsi qu’un immeuble de bureaux berlinois de 10.300 mètres carrés à une société de gestion de fonds immobiliers. Ces cessions pour un montant total de 300 millions d’euros concernent des actifs appartenant au fonds immobilier offert au public SEB ImmoInvest dont la liquidation d’ici au 30 avril 2017 et été décidée il y a onze mois (lire Newsmanagers du 9 mai 2012)Depuis le 8 mai 2012, le fonds a revendu 35 actifs au total. En 2012, le SEB ImmoInvest a redistribué environ 1,3 milliard d’euros à ses porteurs, soit plus de 20 % de l’encours total. La prochaine distribution doit avoir lieu cet été.
Caceis a annoncé le 3 avril que le groupe MACSF lui avait confié la tenue de compte–conservation de ses portefeuilles, représentant 20 milliards d’euros d’encours, la fourniture des données pour le reporting financier (mesure de performances, attribution obligataire, VaR, etc.) et l’enrichissement du reporting réglementaire en lien avec la directive Solvabilité II. «Caceis a proposé au groupe MACSF un modèle «front-to-back» pour récupérer et alimenter les systèmes référentiels et comptables avec des données homogènes et enrichies», indique un communiqué. Les actifs ont été transférés en février 2013.
Les actifs sous gestion de d’Avenir Finance Investment Managers (AFIM), le pôle de gestion d’actifs du groupe Avenir Finance, s’inscrivaient fin décembre 2012 à environ 700 millions d’euros, a indiqué le 4 avril à l’occasion d’un point de presse Cyril Lureau, directeur général délégué d’Avenir Finance.L’encours affiche une progression de l’ordre de 200 millions d’euros par rapport à fin décembre 2011 due pour l’essentiel à l’effet marché. A fin mars 2013, la collecte nette est positive, mais dans des proportions très modestes.Le pôle gestion d’actifs, qui emploie une trentaine de personnes sur un effectif total de quelque 140 personnes, comprend OFP, filiale à 33,3% depuis juillet 2012, et qui gère quelque 400 millions d’euros, ainsi que deux équipes salariées encore en phase d’incubation.L’offre, composée d’une douzaine de fonds, se décline autour de stratégies de performance absolue et d’allocation d’actifs.
Lyxor Asset Management s’est associé au gestionnaire de hedge fund californien Canyon Capital Advisors pour le lancement d’un fonds Ucits crédit basé sur la stratégie event driven. Disponible sur la plateforme Alternative UCITS de Lyxor, il aura une exposition diversifié aux marchés de la dette d’entreprise high yield ou distressed, des actions, des obligations convertibles et les residential mortgage-backed securities, précise Citywire. Le nouveau fonds sera libellé en euros, dollars américain et livres sterling.Récemment, Lyxor AM a annoncé le lancement d’un fonds UCITS qui vise à répliquer le «Diversified Program» de Winton Capital Management dont la stratégie est axée sur la recherche scientifique appliquée aux marchés financiers (lire NewsManagers du 19/03/2013).
Moins d’un an après le lancement de son seul ETF, BNP Paribas Quantitative Strategies LLP va liquider ce produit matières premières, le Stream S&P Dynamic Roll Global Commodities Fund, dont l’acronyme sur la plate-forme NYSE Arca est BNPC. Le dernier jour de cotation sera le 12 avril.Sur son site, Stream ETFs estime que compte tenu des conditions actuelles de marché, il convient de retirer volontairement les actions de ce produit de la cote.D’après Index Universe, ce fonds qui réplique le S&P GSCI Dynamic Roll Excess Return Index, lequel couvre des contrats à terme sur 24 matières premières, avait drainé environ 20 millions de dollars en 10 mois et affiché une performance de presque 7 %.
Nationwide Financial vient d’annoncer l’acquisition auprès de HighMark Capital Management (filiale de Union Bank) de 17 mutual funds obligataires et actions. L’opération devrait représenter pour Nationwide un encours supplémentaire de quelque 3,6 milliards de dollars. Les actifs sous gestion de Nationwide devraient ainsi s'établir autour de 51 milliards de dollars.Les fonds qui vont succéder à neuf de ces 17 fonds continueront d'être conseillés par HighMark Capital Management qui poursuit par ailleurs ses activités de gestion institutionnelle et auprès d’une clientèle haut de gamme, soit quelque 15 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Les modalités de la transaction n’ont pas été dévoilées.
Les 10 principales sociétés de gestion en matière d’encours «investissement socialement responsable» représentent 80 % du marché français de l’ISR en 2012 à 149 milliards d’euros, selon le classement publié pour la première fois par Novethic.Signe supplémentaire de la concentration du marché, le premier acteur, Amundi, avec 65 milliards d’euros, capte près de la moitié des actifs gérés pour le compte de particuliers ou d’investisseurs institutionnels. Le deuxième, Allianz GI France, arrive loin derrière avec environ 15 milliards d’euros. La troisième marche du podium est occupée par BNP Paribas IP avec un peu plus de 10 milliards d’euros.Tous les autres acteurs qui suivent se placent sous la barre des 10 milliards d’euros. Il s’agit dans l’ordre décroissant de Mirova, OFI, Generali Investments Europe, Axa IM, Groupama IM, Edmond de Rothschild AM et Neuflize OBC Investissements.Au total, Novethic recense 40 sociétés de gestion ayant des clients français. En termes de ressources allouées à l’ISR, l’agence estime qu’environ 90 analystes extra-financiers (en équivalent temps plein) travaillent sur la Place de Paris.
Les rendements des emprunts d’Etat de plusieurs pays de la zone euro bien notés en dehors de l’Allemagne ont atteint vendredi leur plus bas niveau historique, des intervenants évoquant la possibilité que des investisseurs japonais se détournent de leur marché domestique pour s’intéresser à la zone euro. Le rendement à dix ans français est ainsi passé pour la première fois sous la barre symbolique de 1,8%, pour revenir à 1,799%. Parallèlement, le rendement autrichien a inscrit un plus bas à 1,52% et l'équivalent belge a fait de même à 2,005%. Les obligations espagnoles et italiennes, profitent elles aussi du mouvement favorable à la zone euro : le rendement à dix ans espagnol reculait de 6,3 points de base à 4,89% vendredi matin et l’italien de neuf points à 4,49%. Les titres allemands, eux, variaient peu dans l’attente de la publication des statistiques mensuelles de l’emploi aux Etats-Unis, en début d’après-midi.
«L’Eurogroupe peut fonctionner mieux. Doit fonctionner mieux», a estimé le ministre de l’Economie et des Finances lors d’un débat organisé à l’ENA. Les ministres des finances de la zone euro qui se sont rencontrés deux fois en neuf jours en mars pour traiter de la crise à Chypre ont, selon lui, donné «l’image de quelques hommes qui, nuitamment, ont semblé régler son compte à un peuple». «Je ne veux plus de ça», a-t-il martelé.
Les inscriptions au chômage aux Etats-Unis ont augmenté plus que prévu lors de la semaine au 30 mars, à 385.000 après 357.000 la semaine précédente, selon le département du Travail. Il s’agit de la troisième semaine consécutive de hausse et de l’augmentation la plus forte en quatre mois. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 354.250 contre 343.000 la semaine précédente.
Le ministre des Finances, Pierre Moscovici, a dit craindre que la croissance économique en France cette année soit proche de la prévision de la Commission européenne (+0,1%). Le gouvernement présentera d’ici la mi-avril son programme de stabilité dans lequel figureront notamment ses nouvelles prévisions de déficit public et de croissance.
La politique ultra-accommodante de la Réserve fédérale crée un risque d’instabilité financière et d’inflation à terme, a déclaré jeudi Esther George, présidente de la Fed de Kansas City, pour expliquer son vote dissident lors des deux réunions de l’institut d'émission cette année. Elle a ainsi mis en avant ses inquiétudes face aux mesures «d’urgence» toujours en vigueur quatre ans après la fin de la récession.
Le courtier interbancaire américain a déposé auprès de la CFTC (Commodity Futures Trading Commission) une demande d’ouverture d’un marché de produits dérivés, le GFI Futures Exchange. GFI est en quête de relais de croissance et de diversification alors que les régulations envisagées pourraient mettre à mal son activité.
La décollecte sur les produits indiciels cotés a atteint 300 millions de dollars sur le marché européen au mois de mars, une première depuis avril 2012, en raison des sorties de capitaux sur les produits indexés sur l’or. Le marché mondial des ETP continue cependant à croître.
L’Agence internationale de l’énergie aurait entamé des négociations afin d’établir un partenariat avec sept nations émergentes, dont la Chine, selon le journal qui cite Maria van der Hoeven, la directrice opérationnelle de l’IEA. Il s’agirait d’une première depuis la création de l’Agence il y a près de 40 ans comme un groupement de pays industrialisés.
Le spécialiste des restructurations pourrait bien permettre le sauvetage du distributeur culturel britannique dans le cadre d’une opération de 50 millions de livres qui correspondrait au maintien de quelque 2.500 emplois. Hilco avait fait un pas décisif en achetant en janvier la dette de HMV et en acceptant d’aider l’administrateur Deloitte pendant la période de sauvegarde.
Les «grandes manœuvres» sont engagées pour l’IPO d’Euronext, selon le quotidien, qui indique qu’«ICE a tranché». Le prédateur de Nyse Euronext aurait confirmé son projet «à tous les régulateurs». Une fois séparé du Nyse, Euronext devrait faire son entrée en Bourse «dans les premiers mois de 2014». Les autorités françaises se mobilisent pour «fédérer un noyau dur d’actionnaires capable de sécuriser le capital du nouvel Euronext». Mais «cela ne se fait pas sans difficulté, les grandes banques françaises rechignant à investir dans l’opérateur». Un banquier confie concernant un éventuel pacte d’actionnaires: «si on arrive à 15-20% (du capital), cela sera déjà bien».
A travers son fonds à échéance, Fédéris Core Euro Crédit 2018, de 288 millions d’euros, la filiale de gestion du groupe de protection sociale Malakoff-Médéric a déjà participé à 15 placements privés. Le fonds contractuel ouvert est alimenté à hauteur de 200 millions par Malakoff-Médéric qui a choisi d’investir via ce fonds plutôt qu’en direct (comme d’autres assureurs) pour regrouper les maturités (à 6 ans) et gérer globalement les participations. «Cette initiative est née après que nous avons mis en place une première ligne obligataire non notée pour un client qui nous avait été apporté par Kepler Capital Markets, explique Anne Courrier, présidente du directoire de Fédéris Gestion. Dans un contexte où les entreprises moyennes peinaient à trouver des financements, et où les investisseurs étaient à la recherche de rendement, il nous a alors paru intéressant de généraliser ce type d’opération dans le cadre d’un fonds à échéance.» Les sociétés émettrices dont la qualité de crédit s’apparente à un niveau investment grade ou au haut de la catégorie high yield versent un coupon évoluant généralement entre 3,5 et 5,5 %, ce qui permet au fonds de proposer une rémunération de 4,1 %. Succès du premier fonds oblige, Fédéris devrait annoncer prochainement le lancement d’un deuxième fonds sur le même modèle à échéance 2019. Son encours pourrait dépasser les 300 millions d’euros avec une répartition sensiblement égale entre Malakoff-Médéric et les investisseurs extérieurs.
Pour répondre à une contrainte de rendement dans un environnement de taux bas, le Fonds de compensation suisse AVS / AI / APG a entamé en 2012 une diversification sur le high yield et la dette émergente. Au cours d’une table-ronde organisée par Swiss Life Asset Managers le 28 mars dernier, Frank Juliano, responsable de l’allocation d’actifs du fonds public, a affirmé que la gestion de ce dernier n’a « pas été perturbé par l’environnement de taux bas car nous avons en Suisse une tradition de recherche de rendement différencié. « Nous avons développé depuis longtemps une approche multigestion et misé sur la diversification internationale » a expliqué Frank Juliano. Avec des actifs sous gestion s'élevant à 25 milliards d’euros, soit une année de versement de rentes, le Fonds de compensation suisse a l’obligation de maintenir des encours de trésorerie élevée. Ce qui le contraint à faire face à « un enjeu double : extraire du rendement tout en étant positionné si les taux venaient à remonter ». Pour répondre à la première contrainte, le Fonds de compensation AVS / AI / APG a entamé une diversification sur le high yield et la dette émergente. « Les senior loans non investment grade sont très intéressants » a notamment affirmé Frank Juliano. Si le résultat de cette diversification a été bon en 2012 en termes de rendement, « la volatilité a été supérieure à celle attendue » d’après le responsable de l’allocation d’actifs du fonds public. Qui conclut sur le thème du risque : « les fonds de compensation AVS, AI et APG ont chacun leur propre congruence actif-passif, et donc un objectif risque-rendement différent. Nous avons construit pour l’assurance-vieillesse et survivants, l’assurance-invalidité et le régime des allocations pour perte de gain (service militaire, congé maternité...), trois diversifications adéquates qui permettent de réduire les risques ».
«L’Eurogroupe peut fonctionner mieux. Doit fonctionner mieux», a estimé le ministre français de l’Economie et des Finances lors d’un débat organisé à l’Ena sur l’Union européenne et le couple franco-allemand. Les ministres des finances de la zone euro qui se sont rencontrés deux fois en neuf jours au mois de mars pour traiter de la crise à Chypre ont, selon lui, donné «l’image de quelques hommes qui, nuitamment, ont semblé régler son compte à un peuple». «Je ne veux plus de ça», a-t-il martelé.
La Banque centrale européenne anticipe une reprise économique progressive dans la zone euro dans le courant de l’année, mais elle continuera de suivre «de très près» tous les indicateurs et se tient prête à baisser les taux si cela s’avère nécessaire, a déclaré son président Mario Draghi. Il ajouté que l’institut d’émission se tenait prêt à agir si nécessaire.
Les inscriptions au chômage aux Etats-Unis ont augmenté plus que prévu lors de la semaine au 30 mars, à 385.000 après 357.000 la semaine précédente, selon le département du Travail. Il s’agit de la troisième semaine consécutive de hausse et de l’augmentation la plus forte en quatre mois. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 354.250 contre 343.000 la semaine précédente.
P { margin-bottom: 0.08in; } On the same day, 3 April, Axa Investment Managers and Credit Suisse announced that they have received licenses to release the Equity Volatility sub-fund of the Luxembourg Sicav Axa WF (see Newsmanagers of 5 March), and the Liquid Alternative Beta Fund, a sub-fund of the Luxembourg-based Credit Suisse One Sicav (see Newsmanagers of 19 March), in Germany.
P { margin-bottom: 0.08in; } The Frankfurt-based asset management firm Source for Alpha (S4A) has retained KAS Investment Servicing GmbH to manage the German-registered quantitative fund S4A Pure Equity, launched on 2 April, which uses an exclusive quantitative model to invest in equities of all cap sizes denominated in euros. The product is similar to the US equity fund S4A US Long UI.The portfolio includes about 150 equally weighted euro zone equities. The model takes into account valuation, the profit situation and risk of bankruptcy, acquisitions and capital increases. Computerised selection and analysis is subject on an ongoing basis to critical examination for plausibility by portfolio managers, who select equities that have the best chances of gains.CharacteristicsName: S4A EU Pure Equity (R)ISIN code: DE000A1JUW44Front-end fee: 5%Management commission: 1.10%Performance commission: 205 of performance exceeding the Euro Stoxx EUR Net Return; maximum 5% of assets in the fund.