La société de gestion britannique poursuit ses développements internationaux après le rachat de Cazenove. Schroders «veut grossir et le fait savoir», selon le quotidien. «Nous disposons de 580 millions de livres sterling de trésorerie», clame ainsi son vice-président exécutif Massimo Tosato. Pour grandir, Schroders se tourne vers l’Asie et les Etats-Unis du fait d’un marché timide en Europe.
En Europe, un gestionnaire de fortune sur six était déficitaire l’an dernier, selon l'étude annuelle de McKinsey. Certains acteurs vont logiquement disparaître ou se consolider, même si l’attrait pour le métier rend les pertes supportables pour certains groupes pluridisciplinaires.
Les placements (immobilier, valeurs mobilières, titres mis en équivalence) représentent 75,7 Mds€ à fin 2012 contre 72,6 Mds€ en 2011. Le contexte de baisse des taux obligataires, de hausse du CAC 40 et de résistance du marché immobilier a permis un accroissement significatif de 5 milliards d’euros des plus-values latentes du groupe. Ces dernières s'élèvent au 31 décembre 2012 à 9,3 Mds€ (4,3 Mds€ pour 2011). Le portefeuille de placements se compose pour l’essentiel d’obligations (77%) et d’actions à hauteur de 15% « depuis le retour de Covéa sur le marché actions début 2009 », rappelle Sophie Beuvaden, directrice générale chargée des finances. Le groupe a cédé les 300 millions d’euros qu’il possédait en emprunts d’Etat espagnol et a par ailleurs réduit son exposition à l’Irlande et au Portugal. Sophie Beuvaden indique en revanche que Covéa s’est positionné sur l’Italie au regard de son amélioration macroéconomique, notamment par rapport à la France. Covéa ne s’intéresse pas aux prêts aux entreprises et aux infrastructures. La directrice générale chargée des finances précise que le groupe a pour habitude d’investir seulement dans les actifs qu’il est en capacité d’analyser lui-même, ce qui n’est pas le cas avec ce type de portefeuilles, ajoute-t-elle. Si Covéa souhaite faire passer la part d’immobilier dans ses actifs de 6% à 9 ou 10%, la prudence reste cependant de mise. La Sgam a notamment refusé l’offre d’une banque portant sur un portefeuille d’environ 200 millions d’euros. Les banques hésitent à accompagner un financement immobilier au-delà de 5 ans, explique Sophie Beuvaden.
Les rendements des emprunts d’Etat américains à 10 ans ont dépassé vendredi le seuil symbolique des 2,50%, dans le sillage des tensions qui ont suivi l’annonce d’un probable ralentissement des rachats d’actifs de la Fed. L’obligataire européen suit aussi le mouvement, mais dans de bien plus faibles proportions qu’hier, avec des hausses de 4 à 6 pb pour les taux italiens, allemands ou français. Seul le rendement des Gilts se tend nettement, de 12 pb à 2,41%. Les indices actions européens, eux, ont poursuivi leur correction, tandis que les Bourses américaines ouvraient en baisse, mais sans atteindre l’ampleur du plongeon du 20 juin.
Le Livret A et le Livret de développement durable (LDD) ont drainé 430 millions d’euros en mai, une collecte en net retrait par rapport aux mois précédents, a fait savoir vendredi la Caisse des dépôts (CDC). Au total, les sommes déposées sur ces deux produits d'épargne défiscalisés atteignent depuis le début de l’année 21,09 milliards d’euros. L’encours total sur les deux livrets est ainsi de 363,7 milliards d’euros à fin mai 2013. La collecte nette du Livret A et du LDD avait été de 4,6 milliards d’euros en avril. Dans la matinée, dans sa revue des banques françaises, Standard & Poor’s indique avoir identifié le Livret A comme un sujet pénalisant mais encore gérable pour les banques françaises. Désormais, dans un contexte durable de taux bas et de croissance quasi-nulle, l’agence accorde en effet plus de poids aux contraintes de l'épargne réglementée.
BNP Paribas REIM France a acquis depuis le début de l’année pour 50 millions d’euros de commerces et 32 millions d’euros sous promesse. Ces opérations s’inscrivent notamment dans le cadre de l’OPCI RFA EL dédié au commerce SPF1 (Shopping Property Fund 1) qui a finalisé son programmed’investissement en mars 2013 avec un encours de 530 millions d’euros, et de Shopping Property Fund 2 lancé en janvier 2013; dont l’objectif est d’investir dans toutes les classes d’actifs relatives au commerce.Les premières acquisitions pour SPF2 concernent des unités commerciales d’entrée de ville récentes situées au sein d’une zone commerciale en plein développement (programme de logements, commerces) ainsi qu’une galerie commerciale adossée à un hypermarché.D’ici le mois d’octobre 2013, 110 millions d’euros devraient désormais être investis sur des actifs avec des locataires aux enseignes solides en phase avec les attentes des consommateurs, précise un communiqué.
Apax Partners (associé à Altamir) LBO France et Nixen ont signé un accord d’exclusivité avec Bain Capital en vue de céder Maisons du Monde, enseigne de distribution spécialisée dans la décoration de la maison et l’ameublement, selon un communiqué publié le 19 juin. La transaction pourrait être finalisée dans les prochaines semaines. Apax Partners et LBO France avaient acquis la majorité du capital de Maisons du Monde en avril 2008 en partenariat avec son Président fondateur, Xavier Marie, son équipe dirigeante et Nixen. Au cours des cinq dernières années, Apax Partners, LBO France et Nixen ont accompagné la stratégie de croissance en France et à l’international mise en oeuvre par Xavier Marie, et ses équipes. Durant cette période (2007-2012), le chiffre d’affaires est passé de 230 millions d’euros à 500 millions d’euros grâce à l’ouverture de 51 nouveaux points de vente en Europe et à une croissance organique dynamique, tirée par le lancement de nouvelles collections et le fort développement du site e-commerce.Xavier Marie, le Président fondateur de Maisons du Monde et son équipe dirigeants resteront des actionnaires significatifs de la société aux cotés de Bain Capital.
Avec une participation de 70% aux AG comparable à celle de 2012 et 92% des résolutions votées avec une large majorité en progression de 4 points par rapport à 2012, la saison des assemblées générales 2013 confirme le soutien massif des investisseurs, selon l’agence Havas Paris qui a assisté, comme chaque année, à l’ensemble des AG du SBF 120. Contrairement à l’impression donnée par quelques assemblées générales, le calme des débats, le soutien des actionnaires et le recentrage sur les questions de financement et de croissance des activités marquent cette saison 2013.Seul bémol, les actionnaires individuels ont été moins présents. Venus moins nombreux que l’an passé (les assemblées du CAC 40 ont perdu en moyenne 16% de leurs petits actionnaires tandis que celles du Next 80 en ont perdu 6%), ils ont également posé moins de questions (la séance de Q&A passe en moyenne de 51 minutes à 46 minutes toutes sociétés confondues).«Le désenchantement des actionnaires individuels par rapport à la bourse, le calendrier très dense cette année qui imposait de choisir entre certaines AG et des assemblées moins festives expliquent cette moindre affluence. Le vote par internet, qui progresse mais encore trop lentement, n’a eu que peu d’influence sur la fréquentation.» analyse Bénédicte Hautefort, Partner de l’agence Havas Paris.Cette année, les entreprises ont obtenu des marges de manœuvre financières trois fois plus élevées qu’en 2012. Les sociétés du CAC 40 ont demandé et obtenu un total de 95 milliards d’euros d’autorisations financières contre 31 milliards d’euros en 2012. De même, les sociétés du Next 80 ont obtenu 20 milliards d’euros contre 6 milliards d’euros en 2012.Dans 21% des sociétés du Next 80, les actionnaires ont approuvé à une large majorité la suppression des dividendes(contre 19% en 2012). A l’inverse, la proportion passe de 6% à 3% dans le CAC 40.Fait nouveau, lorsque les entreprises versent un dividende, les actionnaires demandent un versement en actions, plutôt qu’en numéraire comme les années précédentes. La fiscalité est certes plus attractive, mais cela n’explique pas tout, car les investisseurs étrangers, eux, ne sont pas impactés par notre fiscalité.Seules 10% des assemblées du SBF 120 ont été chahutées, alors qu’elles sont bien plus nombreuses à mettre en place des restructurations sociales. Les sujets relatifs à la «RSE» n’ont représenté que 11% des questions des actionnaires et parmi celles-ci, une sur deux seulement a porté sur l’emploi.Les conseils d’administration français se sont moins renouvelés cette année (378 fauteuils d’administrateurs soumis au vote des actionnaires, contre 432 en 2012). La taille des conseils diminue également, passant de 15 à 14 personnes en moyenne dans le CAC 40 et de 12 à 11 personnes dans le Next 80. Plusieurs administrateurs sortants n’ont pas été remplacésA noter enfin que le Next 80 rejoint les standards de gouvernance du CAC 40. Les niveaux de quorum des entreprises du CAC 40 et du Next 80 sont comparables (66% à 72%) tout comme les résultats des votes : 92% des résolutions recueillent plus de 80% d’approbation.La proportion de sujets sensibles portés à l’ordre du jour (stock-options, actions de performance, autorisations financières dilutives …) est désormais très comparable, alors que les sociétés du Next 80, jusqu’ici, avaient des ordres du jour dans l’ensemble plus éloignés des standards internationaux. La gouvernance et la physionomie des conseils d’administration se rejoignent elles aussi: 20% à 23% de femmes, 15 à 20% d'étrangers, 85 à 90% d’administrateurs avec un seul mandat, âge moyen 58 à 60 ans.
Les sociétés KLS Partners, GlaxoSmithKline (GSK), bpifrance (CDC Entreprises), Idinvest Partners et New Enterprise Associates (NEA) se sont associées pour lancer le fonds Kurma Biofund II et ont annoncé le 20 juin un premier closing de 44 millions d’euros. Kurma Biofund II est le premier fonds de capital-risque dédié au financement de l’innovation offrant une stratégie d’investissement diversifié avec une exposition significative dans les maladies rares, s’appuyant sur un réseau d’éminents centres de recherches européens. Ce nouveau fonds dont l’objectif final est de 75 millions d’euros, déploie une stratégie d’investissement diversifiée, mais orientée de manière significative vers les maladies rares pour répondre aux attentes des patients et de l’industrie.
Pour un montant non divulgué, le japonais Mitsubishi UFJ Trus and Banking Corporation (MUTB) acquiert l’administrateur de fonds alternatifs Butterfield Fulcrum. La société américaine deviendra la plate-forme mondiale d’administration d’actifs alternatifs de MUTB. Tout l’état-major et le personnel de Butterfield Fulcrum resteront dans l’entreprise.Actuellement, Butterfield Fulcrum, qui emploie 325 personnes, administre 830 fonds pour un encours total de plus de 100 milliards de dollars.
Bank of America (BofA) pourrait être écartée de la gestion du fonds de retraite «401(k)» du géant de la distribution Wal-Mart, rapporte Reuters. Wells Fargo est bien placé pour la remplacer. Le fonds pèse 15,6 milliards de dollars d’actifs. Il est le plus important fonds du secteur privé outre-Atlantique.
BlackRock a annoncé le 20 juin le lancement du the iShares MSCI Colombia Capped ETF, qui vient compléter sa gamme d’ETF sur l’Amérique latine et l’Amérique du Sud. Ce fonds réplique le MSCI All Colombia Capped Index et il est chargé à 0,61 %.
Covéa qui présentait ses résultats financiers pour l’année 2012 a fait état d’un résultat net part du groupe de 628 millions d’euros en hausse de 23,9 % par rapport à l’exercice précédent (507 millions d’euros). Son chiffre d’affaires est en hausse de 2,8 %, à 14,676 milliards d’euros, dont 4,349 milliards d’euros pour les activités Vie. Comparé à 2011, ce chiffre marque un recul de 3,6 %. La collecte brute Vie individuelle de Covéa a été de 3,4 milliards d’euros, en recul de 19,2 % par rapport à 2011. Toutefois, la collecte nette du Groupe reste positive.
Nettement désireux d’évoluer professionnellement, les cadres du secteur bancaire sont néanmoins méfiants quant à l’évolution du marché de l’emploi du secteur... En conséquence, selon le dernier baromètre RH Michael Page – L’Agefi présenté hier, les intéressés sont nettement moins nombreux à se déclarer en veille active en vue de changer de poste. Ils ne sont que 40 % contre 59 % en février 2013. Quant aux motivations qui les conduiraient à bouger, l’amélioration de leur rémunération reste prépondérante. Cette raison est évoquée dans 84% des cas contre 80% au début de l’année. Loin devant «les responsabilités liées au poste» (69%).« 58% des cadres interrogés n’ont eu aucune augmentation en 2013 contre 30 % en septembre 2012 qui prévoyaient ce gel total de leur rémunération. On comprend facilement, dans ce contexte de stagnation des salaires et des bonus, qu’ils soient plus nombreux à placer la rémunération en tête de leurs critères pour le choix d’un nouveau poste », a indiqué Anne-Sophie Luçon, Manager Executif Senior de Michael Page Banque&Assurance. Le pourcentage est encore plus élevé pour les cadres des sociétés de gestion d’actif (71%) et de la banque privée (62%). En outre, 16% des cadres ayant droit à des bonus n’en ont pas eu de bonus cette année. Cette absence d’augmentation et de bonus est d’autant plus mal vécue que 40% des cadres du secteur estiment que leur rémunération n’est pas à la hauteur de leurs compétences, indique un communiqué. En pratique, la précédente édition du baromètre RH Michael Page – Agefi avait aussi mis en évidence une forte dégradation de l’image du secteur bancaire auprès des cadres qui y travaillent. Les choses semblent se stabiliser mais, avec seulement 68% de répondants ayant une image positive, les scores sont très inférieurs à ceux de novembre 2011 (78%) et, plus encore, de ceux du secteur de l’assurance (89% d’image positive en janvier 2013).Enfin, l'étude a mis en évidence un plus grand nombre de cadres en poste qui se disent motivés – ils sont désormais 75 % contre 72% entre les deux dernières enquêtes. Mais ils sont aussi plus nombreux a déclarer vivre des situations stressantes, dues à la pression et à la charge de travail. Ils sont désormais 83 % contre 79% précédement.
Inocap annonce avoir obtenu l’agrément pour un nouveau fonds. Quadrige investira principalement dans des sociétés de petites et moyennes capitalisations françaises et innovantes, jusqu’à 500 millions d’euros de capitalisation boursière. Le fonds s’adresse principalement aux conseillers en gestion de patrimoine. Elligible au PEA, il aura entre 20 et 30 positions. Caractéristiques Code ISIN : FR0011466093Frais de gestion : 2,40 % TTCDroits d’entrée : 4 % maximum
Investment Week rapporte que F&C a confirmé jeudi le départ à fin juillet de Tracy Fennell, qui quittera ses fonctions de head of marketing ainsi que le groupe à fin juillet. Son remplaçant sera Martin Smith, actuellement head of product management.
Le responsable du marketing chez F&C, Tracy Fennell va quitter la société à compter de la fin juillet suite à une restructuration au sein du groupe, rapporte Investment Week.Tracy Fennell, qui avait rejoint le groupe en octobre 2011 en provenance de SWIP, sera remplacé par Martin Smith, actuellement responsable de la gestion produits au sein du groupe.
L’action Aberdeen Asset Management a chuté de 7,9 % jeudi à 370,8 pence dans un marché en forte baisse alors que l’on apprenait que les fonds marchés émergents ont subi des rachats record sur une semaine, rapporte le Financial Times. Or, environ deux tiers des fonds de la société de gestion britannique sont investis dans les marchés émergents mondiaux ou en Asie-Pacifique. Dans une note, Goldman Sachs recommande de vendre Aberdeen, s’inquiétant du fait que la société de gestion n’a pas suffisamment réduit sa dépendance aux fonds émergents et asiatiques.
John Soler, qui suivait les grands comptes britanniques et internationaux chez Merrill Lynch Portfolio Managers, rejoint Sarasin & Partners comme senior associate partner pour suivre le même type de clientèle.D’autre part, Natasha Landell-Mills va remplacer Adam Frost comme head of ESG research. Elle vient d’USS Investment Management.
Aberdeen Asset Management a perdu jeudi 7,9 % en Bourse sur le FTSE 100 à 370,8p suite aux chiffres décevants concernant les fonds marchés émergents, qui ont enregistré la semaine dernière des demandes de rachat record. Le Financial Times rappelle que la gamme d’Aberdeen AM est composé à plus de deux-tiers de fonds émergents ou de fonds Asie Pacifique. Dans une récente note, Goldman Sachs s’inquiète de la dépendance d’Aberdeen AM à ces marchés.
Selon le cabinet Preqin, «116 milliards de dollars (88 milliards d’euros) d’actifs du private equity sont coincés dans des fonds au-delà de leur période de détention normale», rapporte L’Agefi. Dans ces derniers, surnommés «fonds zombies», le gestionnaire est assis sur ses actifs au-delà de la période de détention attendue et n’a pas l’intention de faire d’autres investissements et de lever un nouveau fonds, tout en continuant à collecter les commissions de gestion de ses investisseurs. Ces véhicules se caractérisent aussi par des performances médiocres.Preqin indique que le marché secondaire pourrait offrir une porte de sortie, à condition d’accepter des prix bradés. Il permet aux gestionnaires de se débarrasser de leurs fonds et apporte de la liquidité aux investisseurs. La partie investie des fonds zombies recèle 1.732 participations dans des entreprises.
En 2012, les banques établies en Suisse ont dégagé en 2012 des bénéfices pour un total de 7,1 milliards de francs, contre 13,5 milliards l’année précédente. Le total des pertes de l’exercice écoulé a quant à elle augmenté à 6,9 milliards, contre 0,5 milliard en 2011.Le repli des bénéfices et l’accroissement des pertes annuelles s’expliquent par l’augmentation des amortissements, des provisions et des charges extraordinaires dans les grandes banques, a souligné la Banque nationale suisse (BNS). L’enquête sur les banques suisses 2012 a porté sur 297 établissements, contre 312 un an plus tôt.Sur 297 instituts entrant dans la statistique, 254 ont dégagé un bénéfice (260 en 2011), alors que 43 (52) ont subi une perte. Les amortissements ont augmenté de 6,4 milliards pour s'établir à 9,9 milliards de francs, en raison notamment des amortissements sur les participations.
Au 1er juillet 2013, Markus Leibundgut investira la fonction de Chief Operating Officer de Swiss Life Allemagne, intégrant de ce fait le comité de direction, selon un communiqué publié le 21 juin. Martin Suter, également responsable Projets stratégiques au sein du comité de direction Suisse depuis le 1er mai 2013, reprendra son poste de directeur financier de Swiss Life Suisse. Falko Knabe prendra dans le même temps les rênes de Swiss Life Select en Allemagne, succédant à Götz Wenker. Il continuera d’assumer la responsabilité de Chief Market Officer au sein du comité de direction de Swiss Life Allemagne.Klaus G. Leyh, jusqu'à présent Chief Operating Officer en Allemagne et membre du directoire du groupe Swiss Life, a décidé de quitter l’entreprise. La fonction de Chief Risk Officer chez Swiss Life Allemagne donnera également lieu à un règlement de succession: Frank Schiller, jusqu’à présent actuaire en chef de Swiss Life Suisse, remplacera Wilhelm Schneemeier au 1er septembre 2013.Doté d’une grande expérience du monde de l’assurance européen, Markus Leibundgut (44 ans) occupe le poste de CFO de Swiss Life Suisse depuis mars 2012. En tant que tel, son rôle dans l’orientation stratégique, mais également dans la nouvelle stratégie produit et les initiatives de croissance dans les affaires suisses a été déterminant. Martin Suter (52 ans) – en charge des projets stratégiques au sein du comité de direction Suisse depuis le 1er mai – lui succèdera. Il retrouvera ainsi un poste qu’il a occupé entre 2006 et 2012.Le 1er juillet 2013 verra également Falko Knabe (42 ans) prendre les rênes de Swiss Life Select en Allemagne, tâche qu’il assumera parallèlement à sa fonction de Chief Market Officer au sein du comité de direction de Swiss Life en Allemagne. Götz Wenker lui lègue ainsi cette responsabilité et contribuera dorénavant à déterminer la nouvelle orientation des organisations de distribution en tant que conseiller du groupe Swiss Life. Autre règlement de la succession au niveau du secteur opérationnel de la gestion des risques: Frank Schiller (41 ans), actuellement actuaire en chef de Swiss Life Suisse, deviendra le nouveau Chief Risk Officer au 1er septembre 2013. Wilhelm Schneemeier, jusqu'à présent Chief Risk Officer de Swiss Life Allemagne, concentrera désormais ses activités au sein de l’entreprise sur son rôle de membre de la direction de la succursale à Munich, sur celui de responsable des produits pour les affaires d’assurance ainsi que sur son rôle de conseiller du groupe Swiss Life.