P { margin-bottom: 0.08in; } As of 30 June, assets in funds in Denmark totalled SEK1.26trn (about ERU169bn), compared with SEK1.221trn as of the end of December 2012, according to the InvesteringsForeningsRådet association of asset management firms. Net subscriptions in first half totalled SEK46bn, of which SEK19bn were for retail funds (with SEK10.7bn for foreign bond funds and SEK7.3bn for Danish bond funds). In this period, funds distributed dividents totalling approximately SEK22bn.
P { margin-bottom: 0.08in; } Mike Gould, who had been director of compliance at Russell Investments, has been recruited as director of retail strategy for the Investment Management Association (IMA), Fundweb reports. Gould will be responsible for strategy concerning fund distribution and the retail market, including pensions.
P { margin-bottom: 0.08in; } RBC Wealth Management, an affiliate of the Royal Bank of Canada, has appointed Daniel Ellis as chief investment officer for the British isles, Investment Week reports. He will begin in his new role from 1 October. He will be based in London, and will oversee management teams for the British isles, while making additions to the wealth management product range.
P { margin-bottom: 0.08in; } According to a survey carried out in March and April by NMG Consulting of about 400 British financial advisers, the percentage who are diassatisfied with RDR regulations has declined slightly, to 43% from 51%, ahead of the introduction of the system which will put an end to kickbacks and require that advising be paid for. Meanwhile, 48% of respondents are of the opinion that they were correct to predict that the introduction of the RDR would be difficult, and 38% say that it proved more onerous than they had predicted. Despite the challenge which compliance with the RDR may have presented, the reaction from clients is reassuring so far, NMG Consulting claims. Although the real impact of RDR on clients will take more time to become clear, 26% of advisers already report that the reaction from their clients has been positive, while 20% report a negative reaction. And 67% say that they have not lost clients following the introduction of the RDR, while only 7% say they lost more than 10 clients.Lastly, NMG Consullting notes that among advisers and paraplanners, 10% have changed their activities due to the introduction of RDR. In this segment, 58% of professionals are now providing mortgage advising, general insurance or protection contracts, but they have ceased to offer advising in wealth management, in order to avoid adopting the adviser charging system, and bringing themselves into compliance with the other requirements of RDR.
P { margin-bottom: 0.08in; } Russell Investments has appointed Mike Clark as director of socially responsible investment, Citywire reports. The London-based asset management firm has selected its current head of Systanability Council to serve in this new role. He will initially aim to develop the Russell product range in socially repsonsible investment, and to ensure that the United Nations Principles for Responsible Investment (UN-PRI), signed by Russell, are adhered to.
P { margin-bottom: 0.08in; } Jorg Sunderman, who had until recently been director of market research at the Netherlands-based Robeco, in early July joined Canara Robeco Asset Mangement as COO, Fondsnieuws reports. Canara Robeco AM is a joint venture of Robeco and the Indian firm Canara Bank on the Indian market. The firm manages equity and bond funds. At Robeco, Sunderman is replaced by Margret Smits.
P { margin-bottom: 0.08in; } On 18 July, Liechtensteinische Landesbank AG (LLB), whose assets as of 30 June totalled CHF50.5bn, provided preliminary indications regarding its semiannual accounts, which will officially be published on 29 August, indicating that several one-time factors reduced its profits in Janary-June 2013 to CHF14bn (compared with CHF61.6m in the corresponding period of 2012). Excluding these one-time charges, net profits are estimated to have been CHF72m.LLB, which has reported net subscriptions of CHF210m in first half, says tat it has made a provision of CHF31m to cover its ongoing legal action with the US tax authorities. The conflict has also driven LLB to defer the sale of swisspartners Investment Network AG until further notice, which has resulted in a one-time charge of CHF14m. The closure of LLB Switzerland has led to a charge of CHF10m, and provisions for restructuring total CHF4m.
P { margin-bottom: 0.08in; } From 1 October, Christoph Mauchle will become a member of the executive managaement group at VP Bank, where he will be responsible for the newly-created “client business” unit. The Liechtenstein-based bank is reorganising the client business unit, following the merger of the Banking Liechtenstein & Regional Markets division with the Private Banking International division on 1 July. Mauchte joins from Credit Suisse, where he had been head of private banking for German, Luxembourg and Austrian markets. In the new organisation which will be in place at the beginning of fourth quarter, the group executive management will be composed of four people: Alfred W. Moeckli (CEO), Mauchle (client business), Juerg W. Sturzenegger (COO), and Siegbert Näscher (CFO). Fredy Vogt remains chairman of the board of directors.
La performance globale du portefeuille de titres de la Caisse de Prévoyance du Personnel Enseignant de l’Instruction Publique et des Fonctionnaires de l’Administration du Canton de Genève, calculée selon la méthode du taux de rendement interne, s’est inscrite à 11,87 %, soit légèrement au-dessus du résultat du benchmark stratégique (11,40 %). Cette performance est essentiellement due au résultat des portefeuilles investis en actions qui enregistrent une progression de 15,7 %. Profitant notamment de la baisse généralisée des taux d’intérêt, les placements obligataires ont dégagé une performance de 7,9 %. Finalement, seule la valeur des fonds en matières premières, dont la Caisse a décidé de se séparer, a reculé durant l’exercice (-0,2 %). Gestion des portefeuilles obligations Une gestion prudente du risque monétaire a conduit la Caisse à se désinvestir complètement des obligations Monde au profit des obligations Monde entièrement couvertes contre le risque de change. Le portefeuille géré par l’UBS en obligations gouvernementales a ainsi bénéficié d’un apport de CHF 52,6 millions et celui géré par Dynagest en obligations d’entreprises de CHF 10 millions. Les obligations d’entreprises en euros ont également été augmentées. Le mandat conféré à Standard Life s’est vu doté d’un montant supplémentaire de CHF 10 millions. A noter que la CIA a parallèlement augmenté d’un montant équivalent le mandat de currency overlay sur l’euro confié à Dynagest. Les rendements peu attractifs offerts par les obligations en francs suisses ont à nouveau conduit la Caisse à réduire progressivement ses investissements dans cette classe d’actifs. Au total, CHF 26 millions ont été retirés du portefeuille géré en interne pour être affectés à la trésorerie générale. Actions En 2012, après une longue période de surperformance, l’indice des actions suisses des petites et moyennes entreprises a dégagé une performance inférieure à l’ensemble du marché. Rappelons que la Caisse avait vendu en 2011 une partie de ses investissements dans les petites et moyennes capitalisations. Le comité de la Caisse a examiné de manière détaillée les résultats du portefeuille investi en actions Europe ex-Suisse par Amundi et demandé qu’il soit à l’avenir géré de manière indicielle. Les parts que la Caisse détenait dans un fonds géré de manière active par Lombard Odier en actions Monde ex-Europe ont été vendues en raison de la sous-performance du portefeuille par rapport à son indice de référence. Le produit de la vente a été réinvesti dans un portefeuille géré de manière indicielle par Pictet. En ce qui concerne les marchés émergents, la Caisse a mené une réflexion en vue d’un éventuel investissement dans des portefeuilles dédiés aux pays « seuils », à savoir qui n’appartiennent pas à l’indice MSCI des pays émergents. En raison notamment de la taille limitée de ces marchés et de la concentration géographique et sectorielle de leur indice de référence, la Caisse a renoncé à créer des portefeuilles spécialisés tout en continuant à autoriser les gérants des actions des pays émergents, FSI et Pictet, à investir une part limitée de leur portefeuille dans les pays « seuils ». Actions non cotées La Caisse a continué d’investir dans les actions non cotées, participant à la deuxième clôture du fonds Eclosion 2 pour environ CHF 2,3 millions et souscrivant pour la première fois à un fonds des pays émergents, Baring Vostock Equity V, pour CHF 5 millions. Par ailleurs, le concept d’investissement déterminé par le Comité a été élargi afin d’autoriser la commission financière à investir également en Amérique du Nord. Désormais, l’allocation géographique visée est la suivante : 40 à 60 % en Europe, 20 à 40 % en Amérique du Nord, 20 à 40 % dans les pays émergents. Matières premières Depuis 2012, la CIA a mandaté Ethos pour assurer une veille des controverses susceptibles d’engendrer une initiative d’investisseurs à laquelle la Caisse pourrait s’associer. Ce contrat a conduit la CIA à signer trois premières initiatives sur des thèmes fort différents : l’exploitation des phosphates au Sahara occidental, l’extraction de pétrole à partir de sables bitumineux en Alberta et la réforme du marché de l’audit dans l’Union européenne. Gestion immobilière La performance globale du parc immobilier de la Caisse en 2012 s’est élevée à 6,22 %, par rapport à 6,35 % en 2011. Ce résultat est composé d’un rendement net direct de 5,17 % (5,33 % en 2011) et de l'évolution de la valeur des immeubles de 1,05 % (1,02 % en 2011).
Pierre Michel, Directeur général adjoint chargé des finances de la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) à l’occasion d’une conférence organisée par Aberdeen : Les actifs illiquides représentent 12-13% de nos encours totaux, et correspondent à des ressources peu exigibles dont la duration est comprise entre 5 et 7 ans. Comptablement, leur valorisation est plutôt stable et et présente donc une stabilité pour nos passifs. A l’intérieur de ce budget d’investissement, nous n’avons pas de risque d’illiquidité qui obligerait à vendre tous les actifs car nous n’avons pas de scénario adverse. Il s’agit en effet d’immobilier détenu en direct, des obligations cotées ou encore du private equity, des fonds de créances. En revanche, nous restons à l'écart des infrastructures car nos passifs ne sont pas assez longs. Enfin, en ce qui nous concerne, le critère de ratio d’emprise s’applique sur des actifs supposés être liquides.
Le graphique ci-contre montre l'évolution de l’appétit pour le risque, mesuré par la corrélation de rang entre les rendements des facteurs de risque et la volatilité qui leur est associée. Si la corrélation est positive, l’appétit pour le risque a augmenté ; si la corrélation est négative, l’appétit pour le risque s’est réduit.
La banque centrale apporte sa pierre à la revitalisation des marchés de titrisation de prêts aux PME en zone euro en assouplissant les règles d’éligibilité des ABS titrisations dans le cadre des opérations de refinancement des banques
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur le marché des fonds actions américaines et le marché des fonds actions françaises au cours du mois de juin 2013. Ces performances sont mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
Les régulateurs internationaux viennent de publier une liste provisoire des assureurs systémiques. Ils ont aussi dévoilé la méthodologie qui a permis de les sélectionner. Celle-ci met l’accent sur les activités qui n’ont pas de lien avec l’assurance. Les établissements devront respecter des exigences en capital renforcées à partir du premier janvier 2019.
Le gestionnaire alternatif américain, géant des hedge funds et du private equity, a annoncé un bénéfice net économique plus que triplé au titre du deuxième trimestre, passant de 212 à 703 millions de dollars, sous l’impulsion notamment des performances engrangées au sein de son portefeuille immobilier.
La filiale de la Caisse des dépôts a annoncé son entrée au capital du spécialiste très haut de gamme de la peinture décorative aux côtés du fondateur de ce dernier, Antoine Courtois, du management et de l’IDI. Président de Qualium Investissement, Jean Eichenlaub s’est félicité de ce soutien à «une très belle maison française».
L’opérateur de la Bourse de Francfort a choisi Liquidnet comme agent pour un nouveau service destiné à rendre à partir du 29 juillet «plus efficiente» la négociation de blocs d’actions allemandes par les investisseurs institutionnels, avec particulièrement une amélioration du prix et un moindre impact sur le marché.
Le numéro un mondial de la gestion d’actifs a publié un résultat net en hausse de 32% à 729 millions de dollars au deuxième trimestre. Si la collecte nette s’est élevée à 11,9 milliards sur la période, elle a été, fait rare, négative à hauteur de 963 millions du côté de la filiale iShares, le mastodonte des fonds indiciels cotés (ETF). Le lancement de nouveau ETF devrait permettre à BlackRock selon son directeur général Laurence Fink d’augmenter ses actifs (de 3.860 milliards à fin juin) de 5% par an.
Delta Alternative Management, spécialiste des «situations spéciales» sur les marchés obligataires corporates, a dévoilé le lancement du fonds Delta Bond Plus. L’objectif de ce dernier est selon la société de gestion de proposer aux entreprises une «source de financement alternative et complémentaire aux canaux de crédit traditionnels, notamment bancaires» sans omettre de promettre «un rendement élevé aux investisseurs».
Anil Dala, qui était depuis six ans responsable du développement de solution pour les divisions gestion de fortune et conseillers financiers de Pershing (une des boutiques du groupe BNY Mellon), a été nommé market manager du pôle treasury services pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMOA) de BNY Mellon. Il sera basé à Londres et subordonné à Peter Hazou, head of EMEA Market Management, Treasury Services.Il sera chargé de développer avec les équipes de vente et de lignes produit des solutions destinés aux institutions financières non-banques, ce qui comporte notamment la commercialisation des diverses solutions de compensation multidevises de BNY Mellion ainsi que l’internationalisation d’un certain nombre de produits de la chaîne d’approvisionnement exclusifs de BNY Mellon.
Au premier semestre les actifs gérés par les fonds de dette émergente d’ING IM sont tombés de 13 milliards à 5,5 milliards d’euros, et les institutionnels américains ont été les premiers à sortir, a indiqué Istvan Fritsche, client portfolio manager, à Fondsnieuws. [ING IM précise à Newsmanagers que les chiffres corrects sont respectivement 11 milliards et 6,5 milliards d’euros]Tous les fonds n’ont pas été touchés de la même façon par ce phénomène qui est imputable en partie au départ de 19 gérants sur 35 (qui ont rejoint Neuberger Berman) : l’ING Patrimonial EMD Opportunities et l’ING Renta EM Corporate Debt Fund n’ont pratiquement pas été touchés, mais les deux plus gros, ING Renta Fd EM Debt Hard Currency et ING Renta Fd EM Debt Local Currency, ont subi des sorties d’environ 40 %.
BNP Paribas Investment Partners vient de lancer le compartiment Parvest Diversified Dynamic de sa sicav Parvest sur le marché italien, rapporte Investment Europe. Le fonds multi classes d’actifs est géré par Andrea Mossetto. Il est investi en actions européennes, américaines, japonaises et émergentes. La poche obligataire se concentrera sur les titres européens, américains et émergents.
A Gênes, Banca Carige SpA a annoncé qu’après examen des offres fermes qui lui sont parvenues pour la totalité de sa participation dans Carige Asset Management SGR SpA (4,32 milliards d’euros d’encours fin mai), elle a décidé d’ouvrir une période de négociation exclusive jusqu’au 9 août 2013 avec Arca SGR SpA (19,98 milliards).Selon la presse italienne, les autres candidats repreneurs auraient été Natixis, Anima et Amundi. Arca aurait offert 80 millions d’euros, soit 1,85 % de l’encours.
Pour muscler sa gamme, Legal & General Investment Management (LGIM) prépare le lancement du plusieurs fonds, le premier devant être un produit indiciel indexé sur l’inflation, le Global Inflation Linked Bond Index fund, répliquant le Barclays World Government Ex UK Inflation Linked Bonds TR Hedged GBP Index, rapporte Investment Week.Cependant, un porte-parole de LGIM a souligné que le lancement effectif des nouveaux fonds dépendra de la demande. Les dates de mise sur le marché n’ont pas encore été arrêtées.
James Clunie a été nommé, à partir du premier septembre 2013, gérant du fonds Jupiter Absolute Return (482 millions de livres d’encours). Il remplace à ce poste Philip Gibbs, qui partira à la retraite en octobre 2014. Le nouvel arrivant était auparavant gérant du fonds long/short SWIP UK Flexible Strategy Fund. Avant 2007, il était head of global equities chez Aberdeen Asset Management.
Aviva Investors a scindé en deux son équipe multi classes d’actifs, selon Investment Europe. Il existe désormais une équipe retail et une équipe institutionnelle. L’objectif est de répondre plus facilement aux différents besoin de chaque clientèle. Le multi asset retail est dirigé par Peter Fitzgerald, auparavant co-directeur de la sélection de gérants. La réorganisation intervient suite au départ de Justin Onuekwusi, précédemment gérant principal des fonds multi asset, qui a quitté Aviva Investors au début de l'été pour Legal & General. La partie institutionnelle sera pilotée par Mirko Cardinale.
Marc Thatcher a été recruté au poste de directeur principal investments ans advisory business chez Kleinwort Benson. Selon Fundweb, l’intéressé était auparavant managing director chez Macquarie.
Pour un montant non divulgué, DekaBank, le gestionnaire central des caisses d'épargne allemandes achètera à la Landesbank Berlin (LBB) à la fois la société de gestion LBB Invest (environ 10 milliards d’euros d’encours) et les activités de marché pour le compte des clients.Deka s’engage à conserver la LBB Invest en tant qu’entité indépendante et à préserver le site de Berlin. Les personnels du pôle activité de marché (traders et commerciaux) seront transférés de la LBB à Deka.La LBB et Deka appartiennent toutes deux au groupement financier des caisses d'épargne allemandes, qui a déterminé avec les directoires des deux entités l’adoption des axes stratégiques et leur mise en œuvre.
Roman Loebsch a été recruté par le pôle immobilier d’Henderson Global Investors (qui pèse 15 milliards d’euros) comme gérant de portefeuille senior à Vienne. Il sera subordonné à Clemens Rumpler, head of property investment Austria et sera notamment chargé de l’investissement du reliquat de capital levé par le fonds immobilier Warburg-Henderson Austria Fund Nr. 2.Le nouvel arrivant était responsable des transactions pour l’immobilier commercial chez Conwert Immobilien Invest SE. Il avait auparavant travaillé pendant six ans à Hambourg pour HIH Global Invest, filiale immobilière de MM Warburg.