Selon nos informations, à la suite d’un appel d’offres fermé, Apicil finalise la négociation avec Rothschild & Cie Gestion pour gérer un fonds de fonds dédié de 50 millions d’euros sur les actions de la zone d’euro. Le mandat qui porte sur un an minimum s’intègre dans le cadre de la gestion du portefeuille retraite. Russell Investments France devrait hériter du mandat stand by. Apicil devrait également retenir Allianz GI pour gérer un fonds classique (dédié) sur les actions euro, d’une durée d’un an minimum, portant sur 30 millions d’euros.
Le promoteur immobilier italien Risanamento met en vente selon Le Figaro un portefeuille d’immeubles pour l’essentiel situés dans le Triangle d’or parisien et dont la valeur pourrait atteindre un milliard d’euros. La vente, sous la houlette de la banque Leonardo, a de quoi selon le quotidien «intéresser beaucoup d’acheteurs» comme des fonds souverains ou des compagnies d’assurance.
Le consortium mené par Axa Private Equity serait favori pour l’acquisition d’une part du groupe français de restauration collective après avoir relevé son offre de 250 millions d’euros le week-end dernier pour valoriser la cible à 3,7 milliards, selon Les Echos. Les concurrents CVC Capital et BC Partners auraient également relevé leur offre mais seraient distancés dans les pourparlers. Le quotidien croit savoir que les propriétaires actuels du groupe, au premier rang desquels Charterhouse et Chequers, pourraient conserver 51% du capital.
L’Organisation internationale des commissions de valeurs a accordé aux banques des marges de manœuvre dans les méthodes de calcul des benchmarks comme le Libor. L’OICV tente de mettre en œuvre des recommandations à visée internationale afin de prévenir tout conflit entre pays. Après avoir évoqué sa forte préférence pour l’utilisation de données de transactions, l’organisation a indiqué hier que «cela ne veut pas dire que la détermination de tout indice de référence doit être basée uniquement» sur ces données effectives de marché.
L’investisseur revient sous les feux de la rampe par le biais de deux dossiers. Son véhicule d’investissement Trian Fund Management aurait tout d’abord selon CNBC constitué une «très grosse part» au capital du géant américain de la chimie DuPont. Nelson Peltz a refusé de commenter lors d’une conférence financière organisée par la chaîne de télévision. L’actionnaire activiste a tout de même mis en lumière un autre dossier en estimant que PepsiCo serait bien inspiré de mettre la main sur Mondelez. A raison de 35 dollars par titre selon l’investisseur, la transaction atteindrait 62 milliards de dollars. PepsiCo, qui a précédemment indiqué ne pas rechercher d’opérations majeures, ferait face à un «carrefour stratégique» et tout statu quo est «intenable». Faute de se lancer dans l’aventure, le groupe devrait selon l’actionnaire scinder ses activités de confiserie et de boissons.
Les partisans de la poursuite d’une politique d’assouplissement quantitatif ont préféré attendre que la banque centrale clarifie sa communication sur les taux
P { margin-bottom: 0.08in; } In a verdict declared on 5 July and published on 16 July, the high court of Liechtenstein has stipulated that administrative assistance which the United States may lay claim to in the area of taxation may not constitutionally be made retroactive.Requests for administrative assistance submitted by th US government dating back to the end of the 2001 fiscal year are not valid. However, those covering a period subsequent to the bilateral agreement between the United States and Liechtenstein on 4 December 2009 are valid.
ING Investment Management (ING IM) a annoncé hier plusieurs nominations au sein de son équipe de dette émergente ou Emerging Market Debt (EMD). Daniel Eustaquio rejoint la société en tant que gérant senior du fonds ING (L) Renta Fund Emerging Markets Debt (Hard Currency) et sera basé à Atlanta aux États-Unis à partir du 22 juillet 2013.Il travaillait auparavant chez Oppenheimer & Co, où il était directeur des Investissements, EMD FI Sales. De 1998 à 2009, Daniel Eustaquio travaillait dans l’équipe EMD d’ING IM US. Par ailleurs, ING IM a également enrichi son équipe EMD de 3 analystes EMD (senior). Patricia Medina a rejoint l’entité d’Atlanta et Jasmine Li et Shilpa Singhal ont rejoint l’entité de Singapour. L’équipe d’analystes EMD compte désormais 6 membres, indique ING.
Depuis le 1er juillet, Manfred Florie a rejoint le gestionnaire norvégien Skagen (15 milliards d’euros) en tant que client relations managers pour le marché institutionnel aux Pays-Bas, rapporte Fondsnieuws. L’intéressé a passé les quatre dernières années comme responsable des relations avec les fonds de pension chez F&C à Amsterdam.
Blackstone a annoncé le lancement d’un mutual fund, à savoir un fonds ouvert aux particuliers, au sein de sa division Blackstone Alternative Asset Management dédiée aux hedge funds, rapporte L’Agefi. Le fonds Blackstone Alternative Multi-Manager sera conseillé par une dizaine de gestionnaires spécialisés Two Sigma Advisers et Good Hill Partners.
Le gestionnaire du fonds de pension de Telefónica, Fonditel Gestión, a donné un «petit frère» aux fonds de performance absolue Albatros, Velociraptor et Octopus avec le lancement du fonditel Smart Beta dont l’objectif non garanti est de surperformer l’Eonia de 200 points de base avec une volatilité ex ante de 5-8 %, indique Funds People.Ce produit sera investi en obligations au travers de parts de fonds d’investissement, Fonditel n’étant pas autorisé à dépasser les 30 % des encours en fonds non coordonnés.Le fonds est disponible en parts A (à partir de 50 euros) chargées à 1,35 %, en parts B (à partir de 50 euros) chargées à 0,329 % et en parts C (à partir de 500.000 euros ou de 50 euros pour les salariés du groupe) chargées à 1 %.
Mutual Fund Wire cite Christian Charest, editor chez Morningstar, qui avait publié il y a quelque temps une étude selon laquelle les fonds de droit canadien serait beaucoup plus gourmands en frais que les mutual funds américains. L’investisseur canadien serait facturé entre 2 % et 2,5 % de frais de gestion en moyenne, l’investisseur américain moins de 1 %.
Blackstone Alternative Asset Management (49 milliards de dollars d’encours) a annoncé le 16 juillet que Blackstone Alternative Investment Advisors lance son premier mutual fund alternatif à liquidité journalière, un fonds multigérants et multistratégies, le Blackstone Alternative Multi-Manager Fund.L’objectif est d’utiliser le savoir-faire de Blackstone en tant qu’allocateur d’actifs et d’intégrateur pour fournir un produit à faible beta actions et obligations en utilisant des gérants avec lesquels le groupe a déjà l’habitude de travailler en confiance.Les «sub-advisers» sont les suivants:Two Sigma Advisers, LLCCerberus Sub-Advisory I, LLC Credit Suisse Hedging-Griffo Servicios Internacionais S.A.HealthCor Management, L.P.Caspian Capital LPBoussard and Gavaudan Asset Management, LPWellington Management Company, LLP Good Hill Partners LPBTG Pactual Asset Management US, LLCChatham Asset Management, LLC etNephila Capital Ltd.
La société de capital investissement Siparex, accompagné de Cathay Capital, Bpifrance Investissement et BNP Paribas Développement, a annoncé hier avoir signé un protocole d’accord avec le groupe néerlandais Grontmij pour la reprise, aux côtés du management, du Groupe CEBTP (Centre d’Expertise du Bâtiment et des Travaux Publics). La cession, qui reste soumise à l’approbation de l’Autorité de la concurrence, est attendue au troisième trimestre 2013. L’opération doit permettre d’accélérer le déploiement du groupe à l’international et de poursuivre son développement par le biais de croissances externes en vue de renforcer son offre, notamment sur les métiers du diagnostic des pathologies des matériaux, indique un communiqué.Le fonds Siparex MidMarket 3, qui finance en capital développement et capital transmission des ETI indépendantes en croissance, réalisera ainsi son 2ème investissement après la prise de participation dans le groupe Malherbe en début d’année 2013.
Le fonds de pension des fonctionnaires californiens, California Public Employees’ Retirement System (CalPERS, 257,8 milliards d’encours au 30 juin) a annoncé» avoir réalisé pour l’exercice 2012-2013 au 30 juin une performance de 12,5 %, soit un gain supérieur de 1,5 point de pourcentage supérieur à son indice de référence. Le taux d’actualisation se situe à 7,5 % et sur 20 ans CalPERS a obtenu un rendement moyen de 7,6 %, avec un gain moyen de 8,5 % depuis 1988.CalPERS explique que la performance provient notamment des 19 % de gains sur les actions américaines et internationales, soit 1 point de pourcentage de plus que l’indice de référence, et des 11,2 % de gains dans l’immobilier, soit 1,4 point de plus que l’indice.Dans le détail, le fonds de pension affiche les performances suivantes :Actions cotées : 19,0% Private Equity: 13,6% Obligataire : - 1,6% Immobilier : 11,2% Liquidité : - 0.8% Actifs indexés sur l’inflation : 0,2 %Stratégies de performance absolue : 7,4 %
Le gestionnaire bostonien Eaton Vance Corp a annoncé que ses actifs sous gestion au 30 juin sont ressortis à 260,6 milliards de dollars contre 260,3 milliards le 30 avril.L’encours des fonds a baissé à 126,2 milliards de dollars contre 127,1 milliards pendant que celui des mandats institutionnels augmentait à 85,9 milliards contre 84,7 milliards. Les actifs gérés de manière cantonnée pour des particuliers haut de gamme a progressé à 18,3 milliards pendant que les retail managed accounts accusaient un tassement à 30,1 milliards contre 30,4 milliards.Eaton Vance a subi des baisses tant pour les actions, à 87,9 milliards contre 89,5 milliards, que pour les obligations, à 46,9 milliards contre 50,1 milliards. En revanche les encours pour l’obligataire à taux variable ont augmenté à 36,2 milliards contre 33,7 milliards et le volume des «implementation services» est passé à 73,7 milliards contre 71 milliards. L’encours alternatif est demeure inchangé à 16 milliards de dollars.
L’Etablissement de Retraite additionnelle de la Fonction publique (ERAFP) a présenté hier la synthèse des votes de ses mandataires aux quarante assemblées générales (AG) suivies en 2013. L’institution ayant enrichi ses lignes directrices en matière d’engagement actionnarial ainsi que sa politique de vote en mars dernier, les sociétés de gestion agissant pour son compte ont voté en conformité avec ces corps de règles pour chaque action détenue en portefeuille, indique un communiqué. Sur la base des 40 AG - dont trois concernant des entreprises étrangères - les votes des actionnaires ont été marqués par un faible niveau de contestation des résolutions par les actionnaires (4%), en baisse par rapport à 2012 (6%), et par de fortes contestations sur les sujets suivants : - les opérations sur capital avec effet dilutif pour les actionnaires, - les conventions réglementées à travers lesquelles les actionnaires se prononcent notamment sur les avantages postérieurs à l’emploi des dirigeants, - la nomination ou le renouvellement de mandats d’administrateurs, - les autorisations d’attribution de stock-options ou d’actions gratuites. En ce qui concerne l’orientation des votes associés aux actions de l’ERAFP, les sociétés de gestion : - ont voté «contre» la quasi-totalité des conventions réglementées concernant des avantages postérieurs à l’emploi pour les dirigeants et la totalité des plans d’attribution de stocks options ; - se sont opposées à de nombreuses résolutions du fait du cumul excessif de mandats par certains candidats, du manque d’indépendance de certains conseils ou du nombre insuffisant d’administratrices ; - ont voté «contre» l’approbation des comptes des banques françaises en raison de l’absence de reporting financier pays par pays ; - se sont opposées à un nombre significatif de résolutions relatives à l’affectation du résultat pour cause de dividende jugé trop élevé. Enfin, elles ont soutenu six résolutions d’actionnaires à caractère extra-financier déposées lors de deux assemblées générales.
Roger Cozzi, CEO de Gramecy Capital Corp, a été recruté comme head du commercial real estate debt group d’AllianceBernstein. Il est aussi le gérant du premier fonds de dette immobilière commerciale du groupe, qui a drainé 700 millions de dollars et dont le portefeuille sera investi dans des prêts hypothécaires avec nantissement de haute qualité aux Etats-Unis pour des montants unitaires compris entre 15 millions et 75 millions de dollars.
Fundweb rapporte que Janus Capital International a embauché Alan Glendon comme UK financial institutions sales director pour la région Europe/Moyen-Orient/Afrique. L’intéressé, basé à Londres, sera directement subordonné à Nigel Austin, UK & EMEA COO.Jusqu’à présent, Alan Glendon était head of UK discretionary sales chez Premier Asset Management, après avoir été sales director chez F&C Asset Management.
Selon Investment Week, Ed Moisson quitte son poste de head of UK and cross-border research chez Lipper pour rejoindre une autre entreprise du secteur. Il a dirigé pendant 14 ans la division gestion de fonds de Lipper pour le Royaume-Uni et l’Europe continentale. Il était head of communications chez Fitzrovia avant que cette société ne soit achetée par Thomson Reuters en octobre 2004.
Global head of distribution marketing, Claire Fraser a été promue head of marketing and communications de Baring Asset Management, en remplacement d’Ian Pascal, qui va quitter l’entreprise le mois prochain pour rejoindre Hennes Funds Manager comme head of marketing & communications.Elle prendra son nouveau poste à Londres au 1er août et sera directement subordonnée à David Brennan, chairman & CEO. Avant de rejoindre Barings en 2010 comme head of EMEA marketing, Claire Fraser était associate director chez Insight Investment.
L’action de Charles Schwab Corp a perdu 3,3 % mardi à 21 dollars sur l’annonce que le bénéfice du deuxième trimestre a baissé à 256 millions de dollars contre 275 millions un an plus tôt, même si le résultat d’avril-juin 2012 comportait une recette exceptionnelle de 70 millions de dollars liée à l’issue favorable d’un contentieux avec un vendeur. Cela dit, même à 21 dollars, l’action Schwab est encore en hausse de 46 % par rapport au début de l’année, souligne The Wall Street Journal.Hors élément exceptionnel, le bénéfice net a augmenté de 11 %, mais le marché s’est focalisé sur le bénéfice par action (18 cents), qui s’est avéré inférieur d’un cent à la moyenne des attentes. De plus, Charles Schwab n’a pas réalisé d’économies sur ses dépenses, notamment les rémunérations, et les charges demeurent supérieures à l’objectif fixé pour 2013.
Au 30 juin, l’encours géré par Goldman Sachs se situait à 849 milliards de dollars contre 860 milliards fin mars et 839 milliards un an auparavant tandis que le volume des actifs «sous surveillance» (under supervision) ressortait à 955 milliards contre 968 milliards trois mois plus tôt et 916 milliards fin juin 2012.La baisse des actifs sous surveillance de 4 milliards pour les produits de long terme provient essentiellement d’un effet de marché négatif de 11 milliards notamment dans l’obligataire, qui a été partiellement compensé par des souscriptions nettes de 7 milliards de dollars. L’encours sous surveillance dans le domaine monétaire a baissé de 9 milliards de dollars. Entre actifs de long terme et monétaire, la baisse des encours sous surveillance a totalisé 13 milliards.Le bénéfice net du groupe Goldman Sachs est ressorti pour le deuxième trimestre 2013 à 1.931 millions de dollars contre 2.260 millions pour janvier-mars et 962 millions pour la période correspondante de l’an dernier. Sur les six premiers mois de cette année, Goldman Sachs déclare un bénéfice net de 4.191 millions de dollars soit 36 % que les 3.071 millions enregistrés pour janvier-juin 2012.
Les fonds investis en obligations de duration de moyen terme ont subi des demandes de rachat de 24,4 milliards de dollars (18,8 milliards d’euros) en juin, selon les chiffres de Morningstar publiés par Funds Europe. Le fonds Pimco Total Return a été le plus durement touché, il représente à lui seul 9,6 milliards de dollars de rachats.Pour l’ensemble de sa gamme, Pimco a enregistré des sorties de 14,5 milliards de dollars en juin, ce qui fait de lui la société de gestion le plus touchée par les rachats, suivi de Fidelity, qui voit 5,1 milliards sortir de ses fonds en juin. MFS Investment Management a battu tous ses concurrents en publiant des souscriptions nettes de 1,4 milliard de dollars.
Société Générale a dressé hier le bilan de l’augmentation de capital réservée à ses collaborateurs. Réalisée entre le 14 et le 28 mai, la souscription au Plan Mondial d’Actionnariat Salarié 2013 a été proposé à un prix de 21,33 euros par action, soit une décote du cours de référence de 20 %.Le Plan a été ouvert aux salariés et retraités dans 59 implantations géographiques, indique un communiqué qui précise que cette année, près de 40 000 personnes ont souscrit pour un montant total de 184,5 millions d’euros. En France, près d’un bénéficiaire sur deux a participé à l’opération et à l’international près d’un salarié sur sept. Le taux de souscription global à 30,5 % et est en augmentation de 7 points par rapport à 2012.
Global head of business developement de Guggenheim Fund Solutions, Tyler Page a été nommé head of hedge funds solutions pour l’Europe de Guggenheim Partners (180 milliards de dollars) à Londres.Ajay Chitkara, senior managing director de Guggenheim Fund Solutions, a souligné que cette nomination est liée à une demande des investisseurs institutionnels européens qui sont intéressés par le savoir-faire de Guggenheim en matière de pilotage, de suivi et de reporting sur les portefeuilles de hedge funds. Tyler Page a été responsable du marketing et a permis à la plate-forme de comptes gérés de hedge funds de Guggenheim d’engranger plusieurs milliards de dollars d’engagements d’investissements (commitments).