On 1 October, Union Investment introduced the bond fund UniEuroAnleihen, which invests primarily in securities denominated in euros from issuers worldwide, for sale in Germany. The invetment universe includes government bonds, corporate bonds, and Pfandbriefe (covered bonds). The manager, Rüdiger Kerth, may also invest in emerging market bonds and high yield rated securities.As a general rule, UniEuroAnleihen will take positions on bonds with a moderate duration. The product is aimed at investors with a mid-term horizon, whose propensity to risk-taking is moderate.CharacteristicsName: UniEuroAnleihenISIN code: LU0966118209Front-end fee: 35Management commission: 0.6% (maximum 0.9%)Depository banking commission: 0.05%Performance commission: maximum one quarter of performance exceeding the Merrill Lynch EMU Large Cap index
Since 27 September, 16 new German-registered ETFs from HSBC have been admitted to trading on the XTF segment of the Xetra platform (Deutsche Börse). The funds, which charge from 0.35% to 0.60% (see attached list) replicate cap-size-weighted geographical indices (countries and regions) of the MSCI, as well as the FTSE EPRA/NAREIT index.
La Banque centrale européenne (BCE) a laissé inchangé son taux directeur à 0,5% ainsi que le taux de sa facilité de dépôt lors de sa réunion mensuelle qui se tenait exceptionnellement ce mercredi à Paris. Son président Mario Draghi s’exprimera à 14h30 alors que deux sujets préoccupent les investisseurs: l’hypothèse du lancement d’une troisième injection de fonds à long terme (LTRO) et le futur passage en revue des actifs des banques de l’Union européenne dans le cadre de la supervision bancaire unique. Les investisseurs seront aussi attentifs à tout discours qui renforcerait le biais accommodant de la BCE et permettrait de peser sur l’euro, alors que la monnaie unique évolue à des niveaux élevés face au dollar (1,35) depuis le report du tapering de la Fed.
Alors que son parti, le PDL, menaçait de se déchirer sur le soutien au gouvernement Letta, Silvio Berlusconi a annoncé qu’il voterait au Sénat la confiance demandée par le président du conseil. De quoi éloigner la crise politique en Italie. Le vote du Sénat, qui n’avait pas encore eu lieu à 13h45, sera suivi par celui de l’Assemblée, où Enrico Letta n'était pas en mesure d'être en minorité. La volte-face de Silvio Berlusconi, que la crise au sein de son parti menaçait de marginaliser, a eu peu d’effet sur les obligations italiennes, dont les rendements à 10 ans se détendaient encore de 3pb ce matin.
Le gestionnaire d’actifs a annoncé l’arrivée de Sandrine Toulouse en tant que directeur général adjoint en charge du développement du groupe OFI, hors mandats, ainsi que celle de Gilbert Nguyen en tant que directeur de la distribution externe, hors clients CGPI. Le groupe annonce prendre une participation au capital d’Aloha Finance, société de tierce partie marketeur créée par les nouveaux arrivants en 2010.
Par courrier reçu le 1er octobre 2013, la société luxembourgeoise Pilgrim, une émanation du fonds Oaktree, a déclaré avoir franchi en baisse, le 26 septembre 2013, les seuils de 5% du capital et des droits de vote de la société Belvédère, selon un avis publié par l’AMF. Elle ne détient plus aucune action du producteur de boissons alcoolisées.
La Reserve Bank of Australia a comme attendu maintenu son taux d’intérêt directeur à 2,5%, un plus bas historique. Avec ce statu quo, la banque centrale se donne le temps d’analyser l’impact des baisses de taux d’août et de mai, et elle n’a guère fourni d'éléments d’orientation pour la suite.
Worldwide Flight Services a obtenu l’accord unanime de ses prêteurs pour repousser à octobre-novembre 2015 les échéances de sa dette senior, en échange d’une hausse des marges. Deux lignes étaient concernées: une facilité de crédit revolving d’un peu moins de 50 millions d’euros et la tranche B des prêts qui avaient servi à financer, fin 2006, le rachat de l’entreprise pour 315 millions.
Depuis le début de l’année, 1,8 milliard d’euros ont été levés par des collectivités locales à travers le canal du financement non bancaire. Celles-ci couvrent désormais entre 10% et 15% de leurs besoins par ce canal. Environ 200 millions d’appels d’offres seraient en cours cette semaine.
La cour d’appel de Paris considère que la banque aurait dû dévoiler ses marges à son client dans une opération de couverture contre une baisse du prix du nickel.
Eric Béquet, Responsable des gestions d’actifs d’assurance de BNP Paribas Cardif, à la rédaction de www.institinvest.com : Sur les prochains mois, BNP Paribas Cardif a pour projet de continuer à diversifier ses investissements au sein de sa poche actions « dans la mesure du possible ». Rappelons qu’il y a 7 ans, l’assureur ne détenait pas d’actions hors zone euro. Il a également l’intention de poursuivre le rééquilibrage entre emprunts d’Etat et titres corporate au sein de sa poche Taux. « Historiquement, nous avions une répartition 60% de titres d’Etat et 40% de corporate, indique Eric Béquet. Or, nous avons commencé à essayer d’inverser la répartition au début de la crise de 2008, en nous renforçant dans les corporates et les financières. Cependant, compte tenu des conditions de marché actuelles, je crains que nous n’ayons atteint le poids maximal pour les corporates et les financières avec 55% de la poche ». BNP Paribas Cardif s’intéresse aujourd’hui aux loans mais avec prudence, de manière à ne pas trop réduire la liquidité de son portefeuille. « Nous avons relativement bien géré la crise, se félicite Eric Béquet. Par conséquent, nous n’avons pas de pression pour courir après le rendement. Nous sommes relativement mobiles dans nos investissements. Aujourd’hui, un assureur n’est d’ailleurs plus un porteur d’obligations à long terme ! Il se doit aussi d’optimiser son portefeuille en valeur de marché ». Enfin, BNP Paribas Cardif reste un acteur dans le private equity et souhaite continuer à soutenir le développement de PME : « c’est un accès à un rendement supplémentaire mais aussi un devoir », insiste le responsable de la gestion d’actifs qui travaille notamment sur des initiatives de place avec d’autres assureurs. Avec un ticket minimum de 50 millions d’euros et un poids maximum de 10% à 20% dans un fonds, BNP Paribas Cardif investit donc dans des véhicules affichant au minimum 200 millions d’euros d’encours. Néanmoins, l’assureur peut parfois investir de manière encadrée et isolée des montants plus faibles afin de jouer le rôle d’incubateur ou d’accompagnateur de la croissance.
La croissance de l’activité manufacturière aux Etats-Unis a connu en septembre son rythme le plus soutenu depuis avril 2011 et les entreprises ont créé le plus grand nombre d’emplois en 15 mois, montrent les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) publiés mardi. L’indice ISM manufacturier est monté à 56,2 le mois dernier, contre 55,7 en août. Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre de 55,0.
Angelino Alfano, secrétaire et numéro deux du Peuple de la Liberté (PDL), le parti de centre droit de Silvio Berlusconi, a appelé mardi «tout le parti» à voter la confiance mercredi au gouvernement d’Enrico Letta. «Je reste fermement convaincu que notre parti tout entier doit voter demain la confiance à Letta», a indiqué le dirigeant à l’agence italienne Ansa, en démentant les rumeurs de scission. Plus tôt, un autre membre du PDL, le sénateur Carlo Giovanardi, avait déclaré que la formation politique soutenait la bataille engagée par Silvio Berlusconi pour éviter son exclusion du Sénat mais qu’une majorité de députés et de sénateurs du PDL ne souhaitaient pas provoquer la chute du gouvernement d’Enrico Letta. Les obligations italiennes ont accru leurs gains après ces déclarations, avec une baisse de 15 pb des rendements à 10 ans à 4,42% vers 17h30.
Le Chicago Mercantile Exchange a averti mardi ses clients que l’arrêt de services administratifs fédéraux («shutdown») en raison de la bataille sur le budget pourrait perturber le règlement de certains contrats sur matières premières agricoles. Ces marchés sont en effet dépendants de statistiques de prix fournies par l’USDA, l’United States Department of Agriculture.
Quelque 7.000 emplois dans la banque privée en Suisse pourraient être supprimés si la réglementation européenne visant à améliorer les infrastructures de marché entre en vigueur comme prévu, rapporte le Financial Times fund management. L’Association suisse des banquiers a prévenu que d’importantes pertes d’emplois sont inévitables si les propositions contenues dans la directive MIF, qui obligeront les banques suisses à établir des succursales ou filiales dans l’Union européennes pour accéder aux clients onshore, sont approuvées. Nicolas Faller, managing director d’UBP, reconnait que la directive est «clairement un problème pour les petites banques». Pour lui, «cela va pénaliser terriblement leur rentabilité».
Le gestionnaire de fortune canadien CI Financial a annoncé l’acquisition de Marret Asset Management, une société de gestion alternative spécialisée dans l’obligataire canadien et international.CI Financial prend une participation de 65% dans un premier temps, avec l’option d’acquérir la totalité du capital au terme de trois années, selon un communiqué de FI Financial qui ne précise pas le montant de l’opération.Marret continuera de gérer ses fonds fermés, dont Marret High Yield Strategies Fund, Marret Investment Grade Bond Fund, Marret Multi Strategy Income Fund et Marret Resource Corp.Les actifs sous gestion de CI Financial s'élevaient à 108,8 milliards de dollars à fin août 2013.
La banque privée suisse Bank Julius Baer Europe AG a annoncé le 1er octobre l’ouverture d’une huitième agence en Allemagne, à Mannheim, pour offrir ses services de gestion de fortune dans la région Rhin-Neckar.Le réseau de Julius Baer (304 milliards de francs suisses d’encours fin juin) en Allemagne comprenait déjà des succursales à Düsseldorf, Francfort, Hambourg, Kiel, Munich, Stuttgart et Wurtzbourg.
Schelcher Prince Gestion, société de gestion spécialisée dans les taux, le crédit et les convertibles dont Federal Finance détient 85 %, vient d’atteindre les 3,5 milliards d’euros d’encours, grâce à des souscriptions nettes de près de 750 millions d’euros depuis le début de l’année (au 30 septembre).Le gros de la collecte – 500 millions d’euros - s’est dirigé vers les OPCVM de la société, plus rémunérateurs que les mandats et les fonds dédiés, s’est félicité Sébastien Barbe, directeur général de la société de gestion, interrogé par NewsManagers.L’autre fait marquant de l’année est le développement de Schelcher Prince Gestion auprès d’une nouvelle clientèle - la distribution et notamment les conseillers en gestion de patrimoine indépendants - amorcé il y a un an avec le recrutement de Fabrice Neyroumande.Pour séduire cette clientèle, la société de gestion française a remanié son fonds Opportunités Européennes pour le transformer en fonds patrimonial basé sur 11 stratégies du groupe, dont les spécialités de la maison : obligations convertibles, haut rendement, investment grade… Ce produit, géré par Fabien Labrousse et Sébastien Barbe, affiche désormais un encours de 180 millions d’euros, contre 38 millions fin 2012. « Il collecte à un rythme de 15 millions d’euros par mois, alors que nous étions à 5 millions au début », ajoute Fabrice Neyroumande, responsable de la distribution, qui est depuis peu épaulé par Etienne Laluque, venu de Federal Finance.Grâce à ce développement, la clientèle de distribution représente 15 % des encours de Schelcher Prince Gestion, contre 85 % pour une clientèle d’investisseurs institutionnels, dont la moitié se compose de caisses de retraite. A l’international, Schelcher Prince continue à tisser sa toile, notamment en Europe du Sud et en Europe du Nord. Dans cette dernière région, la société bénéficie d’un partenariat avec la banque suédoise SEB. D’autres pistes sont en cours pour se développer dans ces pays et au-delà des frontières européennes, confie Bruno Promonet, directeur général délégué et directeur du développement.En termes de classes d’actifs, la société a consolidé son pôle obligations convertibles, qui représente désormais 1,2 milliard d’euros, dont plus de 800 millions en fonds ouverts. Un mandat et un fonds dédié devraient prochainement tomber pour un montant global de 70 millions d’euros. Et la société mise sur son fonds mondial.Le court terme a aussi bien marché, avec l’arrivée plutôt inattendue d’une clientèle de corporates. Le fonds consacré à cette classe d’actifs pèse ainsi désormais 750 millions d’euros d’encours et devrait très rapidement atteindre le milliard. Mais compte tenu de la volatilité des corporates, Schelcher Prince Gestion ne souhaite pas trop « pousser » le produit.Le pôle high yield représente quant à lui 600 millions d’euros, avec un fonds de 180 millions d’euros.Enfin, à l’avenir, ces expertises pourraient être rejointes par une nouvelle, celle des loans…
Michel Rollier a été élu président de Siparex Associés. L’ancien gérant et actuel président du conseil de surveillance de Michelin remplace Dominique Nouvellet. Ce dernier a proposé son nom pour le remplacer après avoir estimé que la présidence de la holding Siparex Associés (qu’il assurait depuis son retrait opérationnel en 2009) devait, conformément à la tradition du Groupe, revenir à un industriel. Dominique Nouvellet demeure administrateur de la société et en devient vice-président. Pour sa part, Michel Rollier avait été élu vice-président de Siparex Associés en 2012.
BNP Paribas Securities Services vient de nommer Florence Fontan au poste de responsable du segment Gérants d’Actifs. Elle sera responsable de la stratégie, du développement mais aussi des produits et des services proposés par la banque pour répondre aux besoins de ses clients et prospects gérants d’actifs, indique un communiqué. Florence Fontan sera sous la responsabilité de Charley Cock, responsable du développement clients et de Philippe Ricard, responsable de la ligne de métier dédiée aux actifs et aux fonds. Depuis 2007, l’intéressée travaillait aux affaires publiques de BNP Paribas Securities Services. En tant que responsable, elle veillait à la conformité de la banque aux réformes réglementaires et aidait les clients à s’adapter à l'évolution de l’environnement. Elle est remplacée aux affaires publiques par Laurence Caron-Habib, spécialisée sur ces sujets depuis 2007.
Avec Smart World, Turgot Asset Management vient de lancer (le 30 septembre) un FCP d’allocation monde investi en ETF actions et obligataires. Ce produit de droit français entrant dans la catégorie des fonds diversifiés internationaux à dominante actions utilisera comme indice de référence le MSCI World 100 %."Ce fonds patrimonial a pour objectif, de surperformer son indice en visant le 1er tiers de performance de façon régulière et de faire revenir les professionnels de la gestion de patrimoine et leurs clients sur les actions en limitant leur risque ce qui n’est pas toujours possible sur des thématiques limitées où la diversification est par construction plus faible», précise le gestionnaire. La durée de placement recommandée est de 5 ans.Turgot Asset Management a mis en place un comité de gestion composé de l’équipe de gestion et d’un conseil extérieur MyFlow. Myflow fournira à l’équipe de gestion des recommandations d’investissements et d’arbitrage. Tous les mois, la société présentera une analyse à la fois macro-économique et financière des grandes tendances du moment.CaractéristiquesDénomination : Smart WorldCodes Isin : FR0011499599 (part AC)FR0011563527 (part SC)Commission de gestion : 4,50 %Commission de performance 20 % de la surperformance par rapport au MSCI dividendes réinvestis
Le 27 septembre, Vanguard a déposé auprès de la SEC une demande d’agrément pour un fonds d’actions mondial à faible volatilité, le Vanguard Global Minimum Volatility Fund qui devrait être lancé dans le courant du quatrième trimestre.Il s’agit d’un produit à gestion active qui se focalisera sur des titres d’une volatilité inférieure à celle des marchés mondiaux des actions et investira environ la moitié de ses encours en actions de sociétés américaines. Afin de minimiser le risque de change et d’abaisser la volatilité, une partie de l’exposition aux devises sera couverte par des contrats à terme.Vanguard (2.250 milliards de dollars en mutual funds américains, dont plus de 290 milliards en ETF) prévoit deux classes de parts pour ce nouveau fonds : des parts Investor avec un taux de frais sur encours de 0,30 % et une souscription minimale initiale de 3.000 dollars et des parts Admiral avec un TFE de 0,20 % et une souscriptions minimale initiale de 50.000 dollars.Ce nouveau produit sera géré par l’Equity Investment Group de Vanguard, qui est responsable d’un encours de 13 milliards de dollars en stratégies quantitatives actives traditionnelles.
Edouard Carmignac, le fondateur et président de Carmignac Gestion qui déclare qu’il pourrait être le fils de Warren Buffett dans un entretien au Financial Times fund management, reconnaît que la performance de ses fonds a été décevante cette année. Ainsi, Carmignac Investissement, qu’il gère seul, a gagné 4 % depuis le début de l’année, contre une hausse de 9 % de l’indice. Carmignac Patrimoine, qu’il co-gère avec Rose Ouahba, perd 1 %, tandis que l’indice avance de 2 %.Les investisseurs s’impatientent et, en août, ils ont retiré 545 millions d’euros de la gamme de la société de gestion, portant la décollecte nette depuis le début de l’année à 155 millions d’euros d’après Morningstar.Concernant sa succession, Edouard Carmignac indique qu’il y a des raisons politiques pour lesquelles il refuse de nommer un «héritier». «Si vous identifiez votre successeur avant votre départ, un certain nombre de successeurs potentiels quitteront la société pour aller ailleurs».
BNP Paribas Real Estate a acquis l’activité néerlandaise de Property Management de la société Aberdeen Asset Management dont l’équipe gère aux Pays-Bas un portefeuille immobilier de 333 000 m² dont 40% en retail, 38% en bureaux et le reste en logistique, selon un communqiué publié le 30 septembre.« Cette acquisition est une excellente opportunité de développer notre activité aux Pays-Bas en nous appuyant sur l’équipe compétente d’Aberdeen. Notre mission concernera la gestion administrative, commerciale et technique d’actifs en immobilier d’entreprise (bureaux, commerces et logistiques) et d’assistance à la location sur l’ensemble du territoire néerlandais », précise Lauric Leclerc, Président de BNP Paribas Real Estate Property Management.Cette opération, qui s’inscrit dans le cadre du plan de développement de BNP Paribas Real Estate pour renforcer ses positions en Europe, vient compléter l’offre de services de BNP Paribas Real Estate aux Pays-Bas, après l’acquisition de Holland Realty Partners (Transaction, Asset Management, Services Corporate, Expertise & Conseil) en octobre 2012, société devenue depuis BNP Paribas Real Estate Advisory Netherlands.« La stratégie de l’équipe d’Aberdeen Asset Management à Amsterdam est de se recentrer sur la transaction, la gestion de fonds et la gestion d’actifs et ces activités resteront en interne. Externaliser notre activité de Property Management à BNP Paribas Real Estate Property Management signifie que nous allons travailler avec un gestionnaire immobilier expérimenté ayant une connaissance approfondie du marché néerlandais », précise Nico Tates, Responsable Direct Property Europe Continentale pour Aberdeen Asset Management.Sake Pleiter, actuellement Directeur Transactions & Conseil de BNP Paribas Real Estate Advisory Netherlands, supervisera l’activité Property Management.