Aletti-Gestielle, the asset mangement firm owned by the Italian Banco Popolare group, is reportedly up for sale, according to reports from Il Sole – 24 Ore. The firm, led by Mario Valletta, has assets under management of EUR24.8bn, and places second in the rankings of Italian asset management firms. Among the potential buyers is Azimut. A potential merger would create a group with EUR67bn in asstes. But other firms, both Italian and foreign, are also reportedly interested.
Israel has summoned the ambassador of the Netherlands to oppose a decision by the pension fund PGGM to sell its stakes in five Israeli banks on the grounds that they finance Jewish settlements, IPE.com reports. The Dutch minister of foreign affairs, Frans Timmermans, has responded that the decision belongs to PGGM. The Israeli newspaper Jerusalem Post accuses PGGM of double standards, as the asset management firm does not exclude Chinese banks which invest in Tibet.
The pan-European governance specialist ECGS has announced that it has selected Manifest Information Services to provide it with custom research and voting recommendations concerning British and Irish publicly-traded firms. From this year, Manifest, which covers about 6,000 companies, will supply ECGS with custom analysis of the governance and remuneration policies for companies according to ECGS requirements.
Société Générale Securities Services (SGSS) en Roumanie, au sein de BRD, filiale de Société Générale, a été mandaté par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) pour agir en tant que conservateur. SGSS fournira également d’autres services de conservation à valeur ajoutée tels que le règlement sur le marché roumain pour la négociation boursière et la négociation de gré à gré, l’accompagnement pour les principales introductions en bourse locales et pour la dette souveraine sur le marché primaire, les services d’opération sur titres et la gestion de trésorerie liée à la conservation.
Les postes vacants ont augmenté de 17% en 2013 dans le secteur de la finance en Suisse. Fin décembre, la branche affichait 3.602 postes vacants, contre 3.077 fin 2012. Le retournement de tendance enregistré au début de l’année dernière s’est ainsi confirmé, mais on note les premiers signes de refroidissement, selon le dernier indice Finews-JobDirectory publié le 13 janvier.Les banques disposaient de 1.207 places, les assureurs de 1.152 places et les autres entreprises actives dans le secteur financier de 1.242 places.Au dernier trimestre, le recul des postes vacants a été très perceptible dans le secteur des banques et assurances. Cette situation reflète la «nouvelle réalité» du secteur bancaire, souligne Finews-JobDirector, avec des avoirs sous gestion stables, mais des marges et des revenus inférieurs, ce qui a un impact direct sur les effectifs.Chez les grandes banques UBS et Credit Suisse, l'évolution est toutefois restée positive. Fin 2013, UBS affichait 403 postes vacants, ce qui correspond à une hausse de 67% sur un an, et Credit Suisse 261 postes, soit une augmentation de 20%.
La société de gestion norvégienne Skagen vient de recruter Johan Swahn en tant que gérant de portefeuilles pour l’équipe du fonds Skagen Global. L’intéressé, qui arrive le 10 mars, vient de Stena AB à Gothenburg où il travaillait depuis 2008 comme gérant du Stena Long Term Equity.Skagen Global, un fonds d’actions mondiales, est géré par Kristian Falnes, gérant principal, Søren Milo Christensen et Chris Tommy Simonsen.
The Norwegian oil fund NBIM, which manages the assets of the government pension fund, and the US firm MetLife, on 13 January announced that they have made two additional investments in Washington and San Francisco, as part of their recently-signed partnership. Investments by the Norwegian fund total USD480m, within the announced key distribution under the partnership, by which NBIM will own 47.5% of new engagements, compared with 52.5% of MetLife. With these new stakes, NBIM is resolutely continuing its policy of investing in real estate, with a declared goal of increasing its stake of 5% of assets in the portfolio, compared with about 1% currently.
The number of new jobs in the financial services sector in London in December increased for the first time in 22 months, according to a survey published on 13 January by the financial services recruitment firm Astbury Marsden. 1,340 new City jobs were created in December, up 67% compared with December 2012, but down 46% on a busier than normal November. Astbury Marsden says that City firms continue to support growth in equities and derivatives trading as trading volumes hold up. While a recent jump in IPO activity has led investment banks to put increased resources into those teams supporting deal-making and execution teams. However, 27,915 new jobs were created during 2013, a decline of 21% on the 35,115 new roles created during 2012, and the sector has continued to suffer from the effects of the 2007-2009 financial crisis, which led many banks to lay off employees and pull out of certain activities. “What we are seeing is very far from a return to aggressive hiring, but it is a good sign that banks are thinking again about growth,” says Mark Cameron, CEO of Astbury Marsden.
Le bureau de l’Unédic a adopté le 14 janvier une prévision de déficit de 4,3 milliards d’euros en 2014, contre un déficit confirmé à 4 milliards pour 2013. La nouvelle prévision est fondée sur l’hypothèse d’une croissance de + 0,8% et sur une poursuite modérée du nombre de demandeurs d’emploi indemnisés (+13.900 sur l’année). L’Unédic table au passage sur 200 millions d’euros de cessions immobilières. La dette, qui atteignait 17,8 milliards d’euros fin décembre, passerait à 22,1 milliards d’euros fin 2014. Les charges financières de la dette grimperaient de 274 à 318 millions d’euros, sur la base d’un taux de financement moyen de 2%, contre 1,75% à l'émission en 2013.
Les perspectives de croissance continuent de s’améliorer dans la plupart des économies avancées, a indiqué hier l’OCDE. L’indicateur composite avancé mensuel de l’organisation, conçu pour anticiper les points de retournement de l’activité, ressort en global à 100,9, en hausse de 0,2 point d’un mois sur l’autre. Celui des pays du G7, en hausse de 0,1 point à 101,0, indique une consolidation de la croissance. Pour la France il progresse de 0,1 point, à 100,3, signalant une inflexion positive.
La croissance de l'économie espagnole devrait avoir atteint 0,3% au dernier trimestre de l’année 2013, a indiqué hier le ministre de l'économie Luis de Guindos. Celui-ci s’exprimait devant les parlementaires espagnols et a dit s’attendre à une accélération de la croissance en 2014.
En novembre 2013, l’encours total de crédits mobilisés aux entreprises s’élevait à 806,9 milliards d’euros, en hausse de 0,2% sur un an, selon les chiffres de la Banque de France. La progression se monte à 1% si l’on tient compte des lignes de crédit mobilisables mais non tirées. Si les encours de crédits à l’industrie plongent de 5,6% en rythme annuel, ceux aux activités immobilières des entreprises augmentent en revanche de 3,1%.
Le système de recrutement en ligne du personnel des armées au Royaume-Uni, confié à la société privée Capita, ne sera pas opérationnel avant avril 2015, soit avec deux ans de retard sur la date initiale, rapporte le journal qui se fonde sur un document du ministère de la Défense britannique. Plus de 16 millions de livres (19 millions d’euros) ont été dépensés pour ce projet qui souffre de nombreuses défaillances informatiques.
La candidate allemande au remplacement de son compatriote Jörg Asmussen au directoire de la BCE, a vanté hier les mérites d’une politique monétaire orthodoxe, prévenant par exemple que des taux bas n'étaient pas dénués de risques. Ses propos, des réponses écrites aux questions posées par des parlementaires européens en amont de son audition par le Parlement, laissent deviner une proximité plus étroite avec les opinions défendues par la Bundesbank, dont Sabine Lautenschläger est actuellement vice-présidente, qu’avec celles de Jörg Asmussen. Le départ de ce dernier pour le gouvernement de coalition conduit par Angela Merkel prive ainsi Mario Draghi d’un allié précieux au sein d’un directoire chargé de mettre en œuvre la politique monétaire de la banque centrale. Le Parlement européen se prononcera jeudi sur la candidature de Sabine Lautenschläger et la décision définitive sera prise par le Conseil européen.
Dans un entretien accordé au quotidien, le commissaire européen aux Services financiers estime que «la dette excessive» de la France et «une compétitivité qui s’érode» sont les deux principales faiblesses du pays. Il indique que les sujets que devra traiter le prochain président de la Commission européenne porteront notamment sur la stratégie industrielle, les infrastructures, le marché unique, la sécurité et l’immigration.
Londres s’est engagé à honorer l’ensemble de la dette émise par le pays jusqu'à une éventuelle indépendance de l’Ecosse qui résulterait du référendum prévu en septembre. «Dans le cas où l’Ecosse déciderait de devenir indépendante du Royaume-Uni, le gouvernement britannique honorera en toute circonstance les termes contractuels de la dette émise par le gouvernement britannique», a indiqué le Trésor britannique. Des négociations entre les deux Etats devront alors s’entamer pour déterminer précisément la part de dette à assumer par chacun, ainsi que les conditions de remboursement.
En novembre 2013, l’encours total de crédits mobilisés aux entreprises s’élevait à 806,9 milliards d’euros, en hausse de 0,2% sur un an, selon les chiffres de la Banque de France. La progression se monte à 1% si l’on tient compte aussi des lignes de crédit mobilisables mais non tirées. En revanche, le détail des encours par secteur fait apparaître de fortes disparités. Les encours de crédits à l’industrie plongent ainsi de 5,6% en un an, alors que ceux aux activités immobilières des entreprises, principal poste, augmentent de 3,1%.
La croissance de l'économie espagnole devrait avoir atteint 0,3% au dernier trimestre de l’année 2013, a indiqué lundi le ministre de l'économie Luis de Guindos. Celui-ci s’exprimait devant les parlementaires espagnols et a dit s’attendre à une accélération de la croissance en 2014.
Les représentants de la Place de Paris veulent que les utilisateurs de la Bourse et les acteurs financiers s’intéressent à l’avenir d’Euronext, rapporte L’Agefi. De sources proches, ils commencent à démarcher des entreprises pour les convaincre de l’intérêt de prendre, le moment venu, une participation dans le capital de l’opérateur qui devrait être mis en Bourse cette année. 30% du capital d’Euronext seraient concernés, selon Bloomberg. La valeur de la Bourse a été estimée (de manière rudimentaire) entre 800 millions et 1,3 milliard d’euros par le groupe d’acteurs de la Place. Ce bloc d’actionnaires devrait avoir au minimum une minorité de blocage et dans l’idéal une majorité. Beaucoup d’acteurs aimeraient avoir des garanties sur l’attractivité réglementaire et fiscale de la Place avant de s’engager, note le quotidien.
Le gestionnaire d’actifs canadien BMO Global Asset Management (GAM), qui affiche plus de 132 milliards de dollars d’actifs sous gestion, vient de procéder à quatre nouveaux recrutements afin de renforcer ses équipes commerciales et de distribution aux Etats-Unis. Larry Myrold rejoint ainsi la firme canadienne au poste de responsable du développement au sein de l’équipe dédiée aux offres et services «retraite», tandis que Don McConnell intègre l’équipe «cash management» en tant que gérant de portefeuille pour le BMO Short-Term Income Fund. En parallèle, Bruce McCutcheon et Diane Jones sont nommés directeur des «national accounts» au sein de l’équipe de la distribution intermédiaire. Les deux impétrants sont responsables de la gestion et du développement des fonds communs de placements et des relations avec les partenaires pour la distribution pour compte de tiers.
BNP Paribas aurait pu être la société de gestion la moins populaire d’Europe pour la deuxième année consécutive en 2013, si Scottish Widows Investment Partnership ne lui ait avait pas ravi le titre l’an dernier, rapporte le Financial Times fund management. Mais si les 6,8 milliards d’euros de rachats de Swip peuvent largement être excusés en raison des incertitudes issues de sa mise en vente en avril dernier, l’aversion des investisseurs pour la banque française est plus difficile à expliquer, remarque le journal. BNP Paribas a souffert de rachats d’au moins 5,9 milliards de dollars en Europe, après 4,8 milliards d’euros en 2012. La banque invoque les transferts des clients retails vers les dépôts en cash. Mais le FTfm note que les autres banques européennes n’ont pas souffert d’un tel phénomène... Manuel Arrive, analyste chez Fitch, estime que BNP Paribas a un besoin urgent de réorganiser sa gamme et doit améliorer ses relations avec les consultants. BNP Paribas, pendant ce temps, espère que sa réorganisation, mise en place en octobre, va lui permettre de renverser la vapeur.
Prudential Investments vient de lancer le Prudential Short Duration Multi-Sector Bond Fund, une stratégie obligataire susceptible de dégager de la performance dans un environnement de remontée des taux d’intérêt.Les fonds investit dans un portefeuille diversifié de titres obligataires, dont les ABS (asset-backed securities), les prêts bancaires, les titres de dette corporate, les titres adossés à des hypothèques commerciales (CMBS), les obligations collatéralisées et les obligations souveraines américaines et étrangères. La duration moyenne devrait être comprise entre un et trois ans. L’indice de référence est l’indice Barclays US Governement/Credit 1-3 Year.
Fédéris Gestion d’Actifs lance, en partenariat avec la société de conseil en investissements Koris International, le fonds Fédéris Pro Rendement Global qui investit dans tous les segments du marché du crédit avec un objectif de maîtrise du risque de perte maximale. Ce fonds répond à une attente forte des investisseurs institutionnels qui souhaitent diversifier leur allocation en obligations de dettes d’entreprises de la zone euro. «Ce fonds est la solution qui manquait aux institutionnels et qu’ils nous réclament depuis longtemps pour mettre en oeuvre de manière prudente une diversification internationale de leur portefeuille d’obligations d’entreprises de la zone Euro, explique à NewsManagers Philippe Aurain, directeur général délégué de Fédéris. L’idée de départ est simple. Il s’agit, dans un environnement de taux bas, et qui va le rester encore quelque temps, de trouver du rendement sans s’exposer en permanence à des stratégies trop risquées comme le haut rendement ou les marchés émergents». Le fonds Fédéris Pro Rendement Global vise un rendement supérieur à celui de l’indice IBOXX Euro Corporates sur un horizon de 3 ans, grâce à une allocation dynamique d’actifs obligataires mondiaux. Dans l’hypothèse d’une baisse de l’indice, l’objectif est de limiter la perte maximum (maximum drawdown) à un niveau inférieur ou égal à celle de cet indice. «Dans cette perspective, nous avons mis en place, avec l’aide de Koris, une méthodologie du coussin qui permet d’ajuster en permanence les allocations en fonction des risques. Sur les douze dernières années, qui ont été les pires de l’histoire financière moderne, la perte maximale sur le crédit en catégorie d’investissement s’inscrit à 7,5%», précise Philippe Aurain. Pour atteindre ces objectifs, Fédéris Gestion d’Actifs mettra en oeuvre une gestion dynamique de l’allocation entre les différents segments du crédit : meilleure qualité et haut rendement euro et US, dettes émergentes, dettes internationales OCDE. Les experts de Fédéris sur ces différents segments mutualisent leurs compétences au sein d’un comité d’investissement mensuel dédié. En outre, la sélection de fonds externes obéit à un processus structuré via une méthodologie propriétaire ayant fait ses preuves sur de nombreuses classes d’actifs. Last but not least, Fédéris a introduit des règles de gestion du risque reposant sur le modèle d’allocation dynamique mis au point par la société Koris International, partenaire de Fédéris pour cette gestion suite à un appel d’offres compétitif. Cette méthodologie, fondée sur les concepts de gestion coeur-satellite, permet de fixer des budgets de risque que les gérants peuvent ensuite allouer dans le cadre de leur gestion. Jean-René Giraud, directeur général de Koris International se réjouit qu’ «un gérant d’actifs comme Fédéris intègre les dernières avancées en matière de contrôle dynamique de budgets de risque dans ses processus d’investissement à long terme» et estime que «l’expérience et le savoir-faire de l’équipe de Koris International dans la mise en oeuvre pratique de ces modèles complètent parfaitement l’expertise en allocation et multigestion de Fédéris». La société de conseil Koris compte déjà dix ans d’existence durant lesquels elle a éprouvé ses techniques de gestion en opérant pour le compte de sociétés de gestion, banques privées ou family-offices en Europe. Elle compte désormais quelques grands clients, Rothschild & Cie Gestion, Lyxor et désormais Fédéris pour le compte de nombreux investisseurs institutionnels et privés. «Ces dix années nous permettent aussi de disposer d’un très bon track record pour notre processus de gestion et notre gestion dynamique du risque», souligne Jean-René Giraud. «Le fonds démarre avec des engagements fermes pour une cinquantaine de millions d’euros qui seront mis en œuvre dans les prochaines semaines», précise Philippe Aurain. Avec cette nouvelle offre, Fédéris entend aussi poursuivre sa stratégie de développement de sa clientèle externe, initiée depuis deux ou trois ans, et qui s’est notamment traduite par l’offre, dès 2012, de deux fonds de prêts à l'économie qui représentent un encours cumulé de 600 millions d’euros. «L’an dernier, nous avons enregistré une collecte nette de 200 millions auprès de notre clientèle externe, ce qui porte nos actifs sous gestion émanant de cette clientèle à environ 2 milliards d’euros pour un encours total de l’ordre de 27 milliards d’euros», précise Philippe Aurain. Principales caractéristiques :Code ISIN Part I : FR0011527951Fonds ouvert UCITS (fonds de fonds)Liquidité quotidienneSCR : calcul en transparisationHorizon de placement : supérieur à 3 ansPolitique de revenu : CapitalisationContraintes d’investissement internesDans le respect des contraintes fixées dans le prospectus, le fonds aura pour cible les expositions maximales suivantes :Risque de change maximum : 25%Poids maximum des fonds investis en dette émergente : 50%Poids maximum des fonds investis en obligations d’entreprises OCDE HY : 50%Droits d’entrée maximum : 1%Frais de gestion directs part institutionnel : 50 bpFrais de gestion indirects maximum (inclus dans le calcul de la performance) : 2%