Natixis Global Asset Management is raising its stake in Ossiam. In a press release published this morning, the French asset management firm announces that it now holds 58% of its unit specialised in smart beta and ETFs. With this move, Natixis GAM wants to assist the development of its unit which has assets under management of more than EUR2.2bn as of June 2015. Natixis GAM has been the majority shareholder of Ossiam since October 2010.
In terms of communication, asset management companies show little originality. Regardless of their size, they tend to communicate the same anodyne messages and interchangeable attributes, according to a white paper from the New York-based branding and marketing firm DeSantis Breindel («Do all investment managers tell the same story?: How brand differentiation drives growth”).According to a survey of the top 30 institutional asset managers carried out by the company, 57% of respondents describe themselves as “client-focused.” “There is certainly nothing wrong with being focused on the client, but this doesn’t buy a firm much in the way of differentiation,” the study remarks. “After all, if a plan sponsor believed that a firm wasn’t focused on their needs (including the need for higher returns), would they even consider hiring that firm in the first place? Doubtful,” it concludes.In the same vein, 47% of asset management firms call themselves “global,” 43% say they have “strong risk management,” 27% highlight their “disciplined approach,” 27% point to their “experience,” and 23% speak of “trust” and “transparency.”Without going into the long and complex process of building a brand, DeSants Breindel indicates that in order to create a brand which is able to stand out, it is necessary to start with in-depth research to uncover the attributes which genuinely differentiate a company, which matter the most to its main audiences, including clients, prospective clients, investors, and employees.
Open-ended funds on sale in Italy in May, as in April, posted net inflows of EUR11.6bn, the most recent statistics from Assogestioni, the Italian association of asset managers, reveal. This brings inflows since the beginning of the year to nearly EUR62bn and assets under management to EUR787bn.With the exception of hedge funds, all categories of funds recorded net sales. But Italian investors preferred flexible funds, which have attracted more than EUR6bn (and EUR27bn on five months).With the addition of closed-ended funds and mandated management, the Italian asset management industry in May raised a net EUR16.5bn, bringing assets to EUR1.742trn.Athough the order is different, the rankings of asset management firms which posted the strongest inflows in May include the same players as in April. These are Intesa Sanpolo (with more than EUR6bn in net inflows), Pioneer (+EUR2.5bn) and Generali (+EUR1.4bn). These three also lead for assets, with over EUR100bn each, and a combined market share of 54.3%.Among foreign companies, Amundi stands out, with inflows of EUR740m. It is folllowed by the German Deutsche Asset and Wealth Management, with nearly EUR670m.Lastly, the few players to have seen net outflows include Franklin Templeton Investments, which has seen outflows of EUR272m, M&G Investments, which has seen outflows of EUR34m, and Ersel, with -EUR19.5m.
L’objectif de réduction du déficit public de la France pour 2015 est limité sans pour autant être acquis, prévient la Cour des comptes, qui pointe par ailleurs le moindre effort structurel de Paris dans l’assainissement de ses comptes publics par rapport à celui consenti par nombre de ses partenaires européens. Le gouvernement prévoit de ramener le déficit public à 3,8% du PIB à la fin de l’année. Les risques pesant sur les recettes sont limités, écrit la Cour qui estime en revanche que les objectifs d'évolution des dépenses publiques seront difficiles à atteindre, en particulier s’agissant de l’Etat et des collectivités locales. Elle impute ces risques aux «tensions concernant le budget de la Défense» et aux dépenses liés à l’emploi.
La Chine va investir 500 milliards de yuans (près de 72 milliards d’euros) dans 193 grands projets du secteur aérien pour développer les liaisons intérieures, a annoncé la direction de l’aviation civile. Ces investissements visent non seulement à faire face à l’augmentation de la demande liée au développement des classes moyennes mais aussi à soutenir la croissance, alors que la deuxième économie mondiale ralentit. Ce programme devait être présenté mercredi par Li Jiaxiang, directeur de l’Aviation civile lors d’un congrès à Pékin. L’organisme chargé de la planification en Chine estime que le nombre d’aéroports devrait passer d’environ 200 actuellement à 240 d’ici 2020.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a indiqué que les propositions de son gouvernement pour dégager un excédent budgétaire avaient été rejetées par les créanciers du pays, a rapporté mercredi un responsable gouvernemental grec. «Il n’est jamais arrivé auparavant que des mesures de compensation ne soient pas acceptées. Ni en Irlande ni au Portugal. Nulle part, a déclaré Alexis Tsipras selon ce responsable. Cette attitude étrange ne peut signifier qu’une chose: soit ils ne veulent pas d’un accord soit ils servent des intérêts particuliers en Grèce».
Franck Dixmier a été nommé mercredi directeur mondial des gestions obligataires (global head of fixed income) d’Allianz Global Investors et rejoint le comité exécutif mondial du gestionnaire d’actifs. Basé à Paris, il conserve ses fonctions de directeur des investissements obligataires Europe et de responsable de la succursale française.
Le Financial Reporting Council, l’autorité comptable britannique, a indiqué hier avoir ouvert une enquête sur le rôle de KPMG auprès de la branche britannique BNY Mellon. Le Financial Conduct Authority avait en avril 2015 condamné BNY Mellon a une amende de 126 millions de livres pour avoir enfreint, entre novembre 2007 et août 2013, les règles en matière de conservation de titres. Le cabinet a fait savoir qu’il collaborait à l’enquête.
La lutte contre la fraude fiscale a rapporté 19,3 milliards d’euros à l’Etat français en 2014, selon un rapport du Comité national de lutte contre la fraude rendu public hier. «Les opérations de contrôle fiscal (...) ont permis de rectifier 15,3 milliards d’euros de droits et d’appliquer près de quatre milliards d’euros de pénalités», indique la synthèse de ce rapport. Ce résultat est supérieur à celui de 2013 (18 milliards d’euros) et des années antérieures. De leur côté, les organismes de sécurité sociale ont récupéré 852,6 millions d’euros, soit 34% de plus qu’en 2013.
Jerome Powell, l’un des gouverneurs de la Réserve fédérale américaine, s’est déclaré hier prêt à relever à deux reprises les taux d’intérêt avant la fin de l’année si la situation économique reste conforme aux prévisions. Il a expliqué s’attendre pour le second semestre à une accélération de la croissance, à une poursuite de l’amélioration du marché du travail et à une résurgence des tensions inflationnistes. «Ma prévision personnelle plaide pour une hausse en septembre et pour une autre en décembre», a-t-il dit lors d’un événement organisé par le Wall Street Journal. Ces propos font de Jerome Powell le cinquième responsable de la Fed à avoir récemment évoqué la possibilité de deux relèvements des taux avant fin 2015, hausses qui devraient être d’un quart de point chacune. Les dernières prévisions de la banque centrale tablent sur un taux des «fed funds» à 0,625% en fin d’année.
La collecte du Livret A et du Livret de Développement Durable (LDD) en mai a été négative de 630 millions d’euros pour tous les réseaux, avec une décollecte de 440 millions sur le Livret A et de 190 millions sur le LDD, a indiqué hier la Caisse des dépôts. Sur les cinq premiers mois de l’année, le montant cumulé de cette décollecte atteint 2,62 milliards d’euros. L’encours total sur les deux produits atteint ainsi 362,5 milliards au 31 mai 2015.
L’Autorité de régulation prudentielle française a expliqué lors d’une conférence hier que les inquiétudes suscitées par le projet de refonte de la mesure du risque de taux dans le portefeuille bancaire avaient en partie été prises en compte par le Comité de Bâle.
Natixis Global AM a augmenté de 51% à 58% sa participation dans sa boutique d’ETF, en manque de fonds propres malgré son retour à l’équilibre fin 2014.
La Caisse de pension du CERN a diminué la part de ses actions en portefeuille. Au 31 mars 2015, la poche actions représentait 25,30% de l’allocation d’actifs de la Caisse, contre près de 33% au 31/12/2013. Par ailleurs, à la même date, le rendement des actifs nets de la Caisse était de 2,07 %. Elle a maintenu un niveau de risque prudent, conformément à la limite de risque fixée par le Conseil d’administration. Les placements directs de la Caisse de pensions du CERN comprennent des placements dans des titres cotés ou non cotés (y compris des titres de fonds), des sociétés en commandite et des contrats dérivés. La décision de placement est prise par la Caisse de pensions. Les placements réalisés dans le cadre de mandats externes comprennent des placements dans des titres cotés ou non cotés (y compris des titres de fonds), des sociétés en commandite et des contrats dérivés. La décision de placement est déléguée à un prestataire externe en vertu d’un accord de gestion de portefeuille. Actuellement, les placements directs représentent 92,67 % du portefeuille de la Caisse, les placements réalisés dans le cadre de mandats externes, environ 7,33 %.
Les commandes de biens durables aux Etats-Unis ont baissé de 1,8% en mai en raison notamment d’une chute de 6,4% des commandes d'équipements pour les transports, montrent les statistiques du département du Commerce publiées mardi. Ce chiffre fait suite à une contraction révisée à -1,5% pour le mois d’avril. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un repli de 0,6% pour le mois dernier. Cet indicateur souligne les difficultés traversées par le secteur industriel américain, en raison de la vigueur du dollar et de la réduction des investissements dans le secteur pétrolier suite à la chute des cours de l’or noir.
Des députés grecs de la coalition au pouvoir à Athènes ont vivement critiqué mardi les concessions proposées par le gouvernement d’Alexis Tsipras aux créanciers du pays, qu’ils jugent contraires aux engagements pris il y a cinq mois devant les électeurs. Prévoyant entre autres un recul de l'âge du départ à la retraite et une augmentation de certaines cotisations sociales, ce programme cadre mal avec les promesses du chef de file de la gauche radicale Syriza. «Je crois qu’il sera difficile de nous faire adopter ce programme tel qu’il est», a réagi mardi Alexis Mitropoulos, député Syriza et vice-président de la Vouli, le Parlement monocaméral grec, sur la chaîne Mega TV.
Le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel, a déclaré mardi qu’une décote sur la dette publique de la Grèce ne servirait à rien si Athènes se contentait ensuite d’accumuler de nouvelles dettes, ajoutant que l’Allemagne et l’Europe ne devaient céder à aucun chantage. Sigmar Gabriel, un social-démocrate qui détient aussi le portefeuille de ministre de l’Economie dans le gouvernement d’Angela Merkel, a ajouté qu’un accord avec la Grèce était possible maintenant qu’Athènes avait avancé de nouvelles propositions. Les discussions en cours entre le gouvernement grec et les créanciers internationaux du pays ne portent pas sur une éventuelle réduction de la dette grecque, mais Athènes espère que le sujet sera abordé ultérieurement.
p { margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; color: rgb(0, 0, 0); line-height: 120%; }p.western { font-family: «Times New Roman»,serif; font-size: 12pt; }p.cjk { font-family: «Droid Sans Fallback"; font-size: 12pt; }p.ctl { font-family: «Droid Sans Devanagari"; font-size: 12pt; } The Italian asset management firm Symphonia SGR is launching a new sub-fund of the Luxembourg Sicav Symphonia Lux Sicav, for the cars of the future, entitled Electric Vehicles Revolution. The asset management firm is convinced that social, political, environmental and technological forces will cause a profound evolution in the automotive sector, and that the inflection point of its transformation approach.
L’actuel chef stratégiste de la banque privée Berenberg Bank, Stefan Keitel, va quitter le groupe en 2016 pour rejoindre DekaBank, la société de gestion des caisses d'épargne allemandes, rapporte Investment Europe. Stefan Keitel va rejoindre le board de DekaBank et il aura en charge la division Securities and trading, remplaçant ainsi Oliver Behrens, qui a quitté le groupe il y a six mois pour rejoindre Morgan Stanley. Stefan Keitel devrait travailler en étroite collaboration avec le directeur général de Deka, Michael Rüdiger qui continuera de piloter la distribution auprès de la clientèle institutionnelle.
amLeague n’en a pas fini avec les mandats. Au cours de l’une de ses deux réunions annuelles qui s’est tenue dans les locaux de Schroders France devant un parterre de sociétés de gestion et d’investisseurs institutionnels, Antoine Briant, son CEO, a fait part de ses derniers projets pour la plateforme. Et notamment, de sa volonté de créer prochainement un mandat Europe large. Pour justifier ce lancement, le responsable a rappelé que les investisseurs membres du Club amLeague avaient initialement insisté pour que l’univers d’investissement des gérants soit contraint (les 600 plus grandes valeurs européennes), de façon à ce qu’ils puissent juger des capacités « plainvanilla » des gérants. «Les faits ont montré que le risque d’obtenir des performances « dans un mouchoir » était non avéré», a expliqué Antoine Briant. Au contraire. De fait, les gérants dont certains souhaitaient disposer d’un univers d’investissement plus large, auront bientôt la possibilité de gérer au travers d’un mandat actions Europe « non bridé ». «Ce nouveau mandat pourrait démarrer au 30 septembre 2015, et son indice de référence devrait être le Stoxx Europe TMI (Total Market Index), actuellement composé de 1063 valeurs», a confié à Newsmanagers, Vincent Zeller, responsable des partenariats. Dans un autre genre, toujours dans le cadre proposé par amLeague, Antroine Briant a annoncé qu’il souhaitait donner aux sociétés de gestion concourant dans le mandat Multi Asset Class, la possibilité d’opter pour une gestion via des ETFs. Cette «ouverture» aux ETF présenterait un avantage de taille : il rendrait les portefeuilles en question «réplicables».Par ailleurs, Antoine Briant est revenu sur la gamme des indices publics amLeague. Outre l’indice Low Beta Europe qui a son clone sous la forme d’un produit « real money » grâce à une réplication indicielle assurée par Federal Finance, outre également l’indice amLeague_HERO Europe, qui privilégie la récurrence des surperformances des gérants par rapport au Stoxx Europe 600, les investisseurs vont pouvoir accéder à une nouvelle offre : l’indice amLeague_Smooth Alpha Euro. Cet indice de gestion active est basé sur les meilleurs producteurs d’alpha. A charge pour ces derniers de réaliser une marge aussi régulière que possible au delà de l’indice Euro Stoxx large. Dans sa construction, la fréquence d’entrée/sortie des gérants retenus est trimestrielle - comme le Low Beta Europe par exemple. Actuellement, Candriam, Ecofi Investissements et La Française AM figurent dans l’indice. Et en matière de résultats, ce dernier répond présent. «Depuis le début de l’année, il bat l’EuroStoxx de 4%», a relevé Antoine Briant qui a précisé que sur l’historique total disponible, l’alpha observé était de 2% par an, la tracking error de 2,7 et la fréquence de surperformance à 1 an de 80%...Au cours de la manifestation, Antoine Briant a rappelé que tous les moyens et prestations développés par amLeague dans un cadre public et ouvert pouvaient être également «customisés » en fixant des règles et univers d’investissement propres à chacun. «Cette capacité profite aussi bien à l’asset-manager qui souhaite faire reconnaître des talents de gestion, qu'à l’investisseur institutionnel qui peut ainsi observer un panel de gérants qu’il a sélectionnés», a-t-il détaillé.Enfin, pour faire bonne mesure, la réunion-club se devait de procéder à une remise des prix. En l’occurrence il s’agissait de récompenser la meilleure performance récurrente des gérants dans les mandats actions Euro, actions Europe, actions Global et Multi Asset Class. Dans la pratique, cette distinction a permis de nominer les gérants qui ont régulièrement surperformé leur benchmark sur 3 ans à fin mai 2015. Les gérants nominés ont été : Mandat zone Euro : Invesco (*)Mandat Europe : AB/Invesco (**)/Roche-Brune AM Mandat Global : AB/Allianz GIMandat Multi Asset Class : Allianz GI/Ecofi Investissements/La Française AM/SwissLife AMEt les gérants vainqueurs ont été : Mandat zone Euro : Invesco (*) (124,5%) vs Euro Stoxx (86,48 %)Mandat Europe : Invesco (**) (100,50 %) vs Stoxx Europe (81,36 %) Mandat Global : AB (100,41 %) vs Stoxx 1800 (81,41 %) Mandat Multi Asset Class : La Française AM (36,67 %) (*) portefeuille géré par Jeffrey Taylor et Matthew Perowne(**) portefeuille géré par Martin Kolrep et Manuela von Ditfürth
Les parts émises par les fonds d’investissement non monétaires de la zone euro ont vu leur encours progresser à 9 439 milliards d’euros en avril 2015, contre 9 421 milliards en mars 2015 (+18 milliards) . Sur la même période, l’encours de parts émises par les fonds d’investissement monétaires de la zone euro a augmenté de 2 milliards, passant de 1 014 milliards d’euros à 1 016 milliards. Par rapport au début de l’année, la progression est de +6,5 % et +4,52 % respectivement. Les souscriptions nettes de parts de fonds d’investissement non monétaires de la zone euro se sont inscrites à 65 milliards d’euros en avril 2015, tandis que les souscriptions nettes de parts de fonds d’investissement monétaires sont ressorties à 14 milliards d’euros, selon un communiqué de la Banque centrale européenne.Le taux de croissance annuel des émissions de parts de fonds d’investissement non monétaires de la zone euro, calculé sur la base des souscriptions nettes, s’est établi à 8,8 % en avril 2015, tandis qu’il est ressorti à 3,2 % s’agissant des fonds d’investissement monétaires."La progression annuelle des émissions de parts de fonds « obligations » est ressortie à 7,7 % en avril 2015 et les souscriptions nettes se sont élevées à 29 milliards d’euros. Pour les fonds « actions », la progression est de 3 % et le montant des rachats nets à 6 milliards d’euros. Pour les fonds « mixtes », le rythme de croissance annuel est ressorti à 15,8 % et les souscriptions nettes se sont élevées à 33 milliards d’euros», indique un communiqué.
BNY Mellon vient de promouvoir Kim Mustin et Matt Oomen en tant que co-responsables de la distribution mondiale chez BNY Mellon Investment Management. Basés respectivement à New York et Londres, ils seront tous deux responsables de la stratégie de distribution dans le monde, ainsi que de la gestion de l'équipe et des infrastructures de distribution. Kim Mustin et Matt Oomen sont rattachés à Mitchell Harris, président de BNY Mellon Investment Management. Kim Mustin était précédemment responsable de la distribution pour l’Amérique du Nord chez BNY Mellon IM tandis que Matt Oomen pilotait la distribution européenne tout en étant responsable du comité directeur pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique de BNY Mellon IM.
David Mercurio, jusque-là responsable des actions asiatiques chez GLG Partners, a quitté la société de gestion, révèle Citywire Global. L’intéressé avait rejoint le bureau de Hong Kong de GLG Partners en septembre 2011 en provenance du fonds souverain de Singapour, le Government of Singapore Investment Corp. A l’époque, il avait été recruté par GLG Partners pour superviser les activités asiatiques de GLG Partners et développer le fonds GLG Asian Equity Alternatives. Contacté par le site d’information britannique, un porte-parole de Man GLG, maison-mère de GLG Partners, a confirmé le départ de David Mercurio, effectif depuis fin mars. Ses responsabilités en tant que gérant de fonds ont été transférées à son co-gérant David Walsh, qui travaille notamment sur le fonds actions asiatiques long/short depuis son lancement en novembre 2013.