Dans le cadre de l’affaire Leyne Strauss-Kahn & Partners (LSK), l’homme d’affaires Jean-François Ott, ancien actionnaire de la société et fondateur et ex-PDG d’Orco Property Group, vient de déposer une plainte auprès du procureur de Paris contre plusieurs administrateurs de l’établissement financiers, dont Dominique Strauss-Kahn, pour des soupçons présumés d’« escroquerie » et d’« abus de biens sociaux », révèle le quotidien Les Echos. Jean-François Ott avait souscrit à une augmentation de capital de 500.000 euros l’été, via sa société chypriote Roxannia. Afin de l’aider à réaliser cet investissement, LSK lui a remis des documents dont un calcul de l’actif net réévalué et un « business plainte ». Or, la plainte déposée évoque des « projections financières fantaisistes et trompeuses ».
Talence Gestion, qui affiche aujourd’hui près de 500 millions d’euros d’encours, a annoncé, ce 1er juillet, la nomination d’Hugues Suchet au poste de directeur du développement. Il vient également renforcer le comité de direction de la société de gestion. Par ailleurs, il aura comme mission spécifique d’optimiser et de promouvoir l’offre de Talence Gestion. Hugues Suchet travaillait précédemment chez Flinvest, déjà au poste de directeur du développement. Mais c’est au sein de Financière de l’Echiquier qu’il a fait l’essentiel de sa carrière, y travaillant pendant 10 ans d’abord comme responsable de la distribution puis comme responsable Institutionnels & Grands Comptes. «La solide expérience d’Hugues Suchet au sein de sociétés de gestion indépendantes de renom et en particulier les 10 années passées au développement de Financière de l’Echiquier nous permettra de développer notre offre de gestion auprès des investisseurs professionnels, CGPI et investisseurs institutionnels», souligne Didier Demeestère, co-fondateur et président de Talence Gestion.
Le fournisseur d’ETP Source veut accélérer son développement sur le marché français. «Dans les douze prochains mois, nous allons probablement nous installer à Paris», a indiqué Lee Kranefuss, président exécutif de Source, le 2 juillet à Paris, à l’occasion d’un point de presse. La société est déjà très présente dans la capitale française, plusieurs jours par semaine, et plusieurs collaborateurs parlent français. Autrement dit, les éléments qui permettraient de constituer une équipe très rapidement sont déjà disponibles. Une équipe probablement assez nombreuse mais Lee Kranefuss n’a pas voulu en dire plus. On peut toutefois observer que le bureau de Zurich, que Source a récemment ouvert, compte d’ores et déjà cinq personnes. Jim Polisson, responsable marketing monde, a expliqué que les principaux marchés où Source comptait se développer étaient le Royaume-Uni bien entendu, et en Europe continentale, l’Allemagne, la Suisse, et la France. La Suisse a déjà son antenne, la France devrait suivre manifestement. Depuis que Warburg Pincus a pris le contrôle de Source et que Lee Kranefuss a rejoint la société à la mi-2014, les effectifs sont passés de 40 à 90 cette année et ils pourraient s'établir autour de 150 d’ici à la fin 2016. Une croissance exponentielle qui marque bien la volonté de croissance de Source. Le groupe Warburg Pincus n’est évidemment pas étranger à cette évolution. La société vise des croissances multipliées par trois ou quatre pour ses participations qu’elle garde pendant cinq à sept ans. «Nous visons une trajectoire de croissance significative», a indiqué Lee Kranefuss. «Nous n’excluons pas la possibilité de procéder à une opération de croissance externe. Warburg Pincus peut déployer des capitaux significatifs dans cette perspective», ajoute-t-il. En attendant, c’est le marché français qui tient la corde en raison de très bonnes perspectives de croissance au cours des prochaines années, de l’ordre de 25% par an d’ici à 2017, selon des estimations. Source, qui figure d’ores et déjà parmi les quatre ou cinq premiers acteurs sur le marché européen des ETF, espère ainsi se hisser dans le trio de tête des fournisseurs d’ETF en Europe. Dans cette perspective, Source va mener campagne pour atteindre une meilleure reconnaissance de la marque qui semble d’ores et déjà non négligeable auprès des institutionnels, la principale clientèle de la société en France et ailleurs en Europe. Au premier semestre, Source a enregistré une collecte nette de 1,5 milliard d’euros, ce qui a porté ses actifs sous gestion à 16,7 milliards d’euros contre 14,2 milliards d’euros à fin décembre 2014 et 11,1 milliards d’euros fin 2013. Les actifs sont investis à 58% dans les actions, 30% dans l’obligataire et 13% dans les matières premières (dont un ETF sur l’or). Selon Ludovic Djebali, co-responsable de la distribution pour l’Europe, l’intérêt pour les ETF obligataires va croissant en Europe depuis environ deux ans et la tendance devrait s’accentuer au cours des prochaines années...
BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP) a annoncé le 2 juillet le lancement du fonds indiciel BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index qui offre un tout nouvel accès aux actions chinoises A, grâce à sa licence RQFII. «BNPP IP a été l’un des tout premiers acteurs à obtenir, en septembre 2014, la licence RQFII d’investisseur étranger qualifié en Renminbi auprès de la Commission chinoise de réglementation des valeurs mobilières. Avec ce nouveau fonds, BNPP IP renforce son offre de solutions d’investissement et capitalise sur plus de 10 ans de présence sur le marché chinois», souligne Danièle Tohme Adet, responsable du développement commercial - distribution externe de BNP Paribas IP. BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index a pour objectif de répliquer la performance de l’indice CSI 300 Price Return. Cet indice, le plus couramment utilisé pour mesurer la performance de ce marché, compte 300 actions dont les plus grandes capitalisations et les valeurs les plus liquides du marché actions chinoises A cotées sur les Bourses de Shanghai et de Shenzhen. Ce nouveau fonds associe l’expertise de THEAM, le spécialiste en gestion indicielle de BNPP IP et l’expérience des équipes de BNPP IP basées en Chine. Caractéristiques du fonds indiciel BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index, un compartiment de BNP Paribas Flexi, la sicav de droit luxembourgeois conforme aux normes UCITS IV Date de lancement 15 juin 2015 Gestionnaire délégué BNP Paribas Investment Partners Asia Ltd Société de gestion BNP Paribas Investment Partners Luxembourg Indice de référence CSI 300 Price Return Index Devise de référence CNH Echelle de risque 7 (sur une échelle de 1 (risque le plus bas) à 7 (risque le plus élevé)) Frais courants estimés Class C 1,35% ; Class P 0,85% Frais de gestion (maximum) 1% Frais de souscription (maximum) 3% Frais de sortie Néant Codes ISIN Part de capitalisation Classic LU1163234195 Part de capitalisation Privilege EUR LU1163234518 Dépositaire BNP Paribas Securities Services (Luxembourg) BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index est enregistré dans les pays suivants : Allemagne, Belgique, France, Italie, Pays-Bas. France, Italie, Pays-Bas.
Au 31 mai 2015, le patrimoine global net des organismes de placement collectif et des fonds d’investissement spécialisés au Luxembourg s’est élevé à 3 601,525 milliards d’euros contre 3 538,586 milliards d’euros un mois plus tôt, soit une augmentation de 1,78%. Sur les douze derniers mois écoulés, le volume des actifs nets est en augmentation de 27,90%. L’industrie des OPC luxembourgeois a donc grossi de 62,939 milliards dont 31,249 milliards (+0,88%) de souscriptions nettes et 31,690 milliards (+0,90%) dus à l’évolution favorable des marchés financiers. Le nombre des organismes de placement collectif (OPC) et des fonds d’investissement spécialisés (FIS) pris en considération est de 3.901 par rapport à 3.894 le mois précédent.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In June, mutual funds in Spain posted modest net inflows of EUR429m, far from the EUR2.75bn in net subscriptions in May, according to provisional data published by Inverco, the Spanish professional organisation. The association points to “a month of significant uncertainty on the financial markets” to explain this steep decline in net inflows in Spain. At the conclusion of the first half of 2015, Spanish funds have accumulated EUR21bn in net inflows, a figure virtually identical to the figure for the first half of 2014. Due to a disappointing month in June, assets under management in the sector are down slightly, by 0.5% (or EUR1.1bn), to a total of EUR220.71bn as of the end of June 2015, compared with EUR221.8bn as of the end of May 2015. “This is the first decline in assets for Spanish common investment funds since 2012, after 29 consecutive months of continual growth,” Inverco observes. Despite this slowdown, in the first six months of 2015, assets in Spanish funds rose by about EUR25.87bn (or 13.3%) compared with 31 December 2014.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } René Kappaun is leaving Axa Investment Managers, where he was senior sales manager IFA. Kappaun has joined Nordea in Cologne. He will serve as director of sales, dedicated to wholesale clients, composed of private banks, network banks, funds of funds and financial advisers.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Allianz Global Investors (AllianzGI) has appointed Iain Cowell as head of solutions for the United Kingdom and Ireland. Cowell will be based in London and will report to Joe Moody, head of the international solutions activity at AllianzGI. Cowell, who has been working in the asset management sector for nearly 20 years, had previously been head of investment affairs at the National Association of Pension Funds. Over his career, he has also served as managing director at BNY Mellon, and as director at Hermes Investment Management.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Talence Gestion, which currently has nearly EUR500m in assets, has announced the appointment of Hugues Suchet as director of development. He has also joined the board of directors at the asset management firm. Suchet has the specific mission of optimising and promoting the product range at Talence Gestion. Suchet previously worked at Flinvest, already in the position of director of development. But he was to spend the bulk of his career at Financière de l’Echiquier, where he spent 10 years, first at head of distribution, and then as head of institutionals and key accounts.
The ETP provider Source is planning to accelerate its development on the French market. “In the next twelve months, we are probably going to set up in Paris, Lee Kranefuss, executive chairman of Source, announced in Paris on 2 July. The company is already highly present in the French capital, a few days a week, and several employees of the firm speak French. In other words, the elements are already available to allow for a team to be constructed very quickly.Jim Polisson, global head of marketing, explains that the main markets in which Source plans to develop are the United Kingdom, naturally, and in continental Europe, Germany, Switzerland, and France. Switzerland already has a branch office, and France is expected to follow soon. Since Warburg Pincus took control of Source and Kranefuss joined the firm in mid-2014, personnel have increased form 40 to 90 this year, and they are expected to reach about 150 by the end of 2016.The Warburg Pincus group is aiming for growth multiplied by a factor of three or four for its stakes which it holds or five to seven years. “We are aiming for a significant growth trajectory,” sasy Kranefuss. “We cannot exclude the possibility of performing an external growth operation. Warburg Pincus can deploy significant capital to this end,” Kranefuss adds.Meanwhile, the French market is a draw due to its very good growth outlooks for the coming years, of about 25% until 2017. Source, which is already one fo the top four or five players in the European ETF market, hopes to make it into the top three ETF providers in Europe.In first half, Source posted net inflows of EUR1.5bn, which brought its assets under management up to EUR16.3bn, compared with EUR14.2bn as of the end of December 2014, and EUR11.1bn as of the end of 2013.
Allocations by sovereign funds to hedge funds are continuing to increase. They have risen from 31% of assets in 2013 to 33% today, according to the most recent statistics released by Preqin in its “Hedge Fund Spotlight” for June. However, sovereign funds remain underinvested in the asset class, and 60% of them do not invest in hedge funds at all.Many more sovereign funds allocate capital to private equity, real estate, or infrastructure. Alhough private debt is beginnign to emerge as a new alternative asset class, about 25% of all sovereign funds are already investing in this type of product.With the objective of reducing volatility, sovereign funds are trying to diversify their portfolios with hedge funds. Sovereign funds based in Asia (28%), North America (24%) and the Middle East (24%) are the most active players in this area. It could be due to the crisis still raging in the euro zone that only 4% of sovereign funds based in Europe invest in this asset class, compared with 8% for sovereign funds based in Africa.
Vanguard has a few good reasons to be glad. The company is this year celebrating 40 years in existence, and 10 years present in France. Most of all, Vanguard, which set out to conquer the European market from Belgium in 1998 before establishing its base in London only four years ago, is now approaching the symbolic USD100bn threshold for assets under management in Europe.“Our assets in Europe, meaning the United Kingdom and continental Europe, as of the end of April totalled USD99.5bn,” said Robyn Laidlaw, on a visit to Paris. Laidlaw has recently moved to London to become head of institutional clients for the United Kingdom and continental Europe at Vanguard, and is even more happy to discuss the Australian market, where she has worked for the past nine years as head of products and markets for the US group.But it will doubtless not take her long to make her mark and to carry on the advance of Vanguard in Europe. Vanguard is selling its funds largely to institutional clients in all countries of Europe. Of about USD99.5bn in assets under management, USD50bn are invested in Irish mutual funds, and nearly USD17bn in ETFs. “We launched our first ETFs in May 2012. Since then, our assets have boomed, to a total of USD16.6bn as of the end of April. Inflows exceeded USD10bn in 2014,” says Laidlaw.Vanguard’s product range in Europe currently includes only 13 ETFs. “In Europe, as elsewhere in the world, we aim for quality associated with low cost. It is the size of the group’s assets, about USD3.300trn under management, of which about USD989bn are in active management, which makes it possible for us to reduce costs and play the top roles,” Laidlaw explains.
Un nouveau sondage sur l’issue du référendum de dimanche en Grèce, par lequel les électeurs sont appelés à dire s’ils acceptent ou rejettent les propositions des créanciers internationaux, conclut vendredi à un léger avantage pour le «oui», avec 44,8%, tandis que le «non» recueillerait 43,4%. L’avance est donc mince et couverte par la marge d’erreur statistique. Ce sondage, réalisé par un institut respecté, Alco, et que publie vendredi le journal Ethnos, fait état de 11,8% d’indécis. Il montre aussi que 74% des Grecs souhaitent le maintien de leur pays dans la zone euro contre 15% qui réclament le rétablissement d’une «monnaie nationale» et 11% qui ne se prononcent pas.
La croissance dans le secteur des services en Chine a été la plus faible en cinq mois en juin, montre une enquête menée par le cabinet Markit auprès des directeurs d’achats, suggérant que de nouvelles mesures de relance de l'économie peuvent s’avérer nécessaires. L’indice PMI HSBC/Markit est ainsi retombé à 51,8 contre 53,5 en mai, au plus bas depuis janvier mais au-dessus de la barre des 50 séparant croissance et contraction pour le onzième mois de suite. La composante nouvelles affaires est revenue à 52,2, un plus bas de 11 mois, contre 54,4 et celle relative à l’emploi suggère que des postes ont été supprimés le mois dernier.
Le conseil du Mécanisme européen de stabilité (MES) a approuvé un remboursement anticipé de 2,5 milliards d’euros de la part de l’Espagne, le troisième du genre. Après cela, le pays aura rendu 5,6 milliards d’euros au fonds européen sur les 41,3 milliards reçus en 2012 pour recapitaliser son secteur bancaire. Le remboursement réduira du même montant de 2,5 milliards le programme d'émissions du MES cette année. Le fonds n’empruntera plus que 2 milliards d’euros sur les marché au troisième trimestre, tandis que les émissions prévues au quatrième trimestre sont maintenues à 5 milliards.
Les Bourses chinoises ont encore lourdement chuté vendredi, portant leurs pertes sur la semaine à plus de 10% et à près de 30% depuis leur pic de la mi-juin, l’ampleur de la correction poussant les autorités à enquêter sur une possible «manipulation illégale» des marchés. L’indice CSI300 des principales valeurs cotées à Shenzhen et à Shanghai a chuté de 5,4% à 3.885,92 points et le principal indice de la Bourse de Shanghai a cédé 5,8% à 3.686,92 points. Sur la semaine, ils reculent respectivement de 10,4% et de 12,1%.
BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP) a présenté jeudi le lancement du fonds indiciel BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index qui offre un accès aux actions chinoises A, grâce à sa licence RQFII. BNP Paribas Flexi 1 CSI 300 Index a pour objectif de répliquer la performance de l’indice CSI 300 Price Return.
A la suite du départ en retraite d’Éric de Bodard, Myriam Durand prend la direction générale de Moody’s France. Elle occupait jusqu’à ce jour le poste de responsable de la notation pour la finance d’entreprise pour la zone Europe, Moyen-Orient, Afrique.
Les fonds obligataires, toutes catégories confondues, ont subi des retraits nets de 6,1 milliards de dollars sur les quatre jours au 1er juillet, une période écourtée d’un jour par rapport aux publications habituelles en raison de la fermeture des marchés américains ce vendredi. Les données proviennent d’une étude hebdomadaire de Bank of America Merrill Lynch Global Research publiée jeudi.
Le projet de la Commission européenne d’une «Union des marchés de capitaux» visant à une plus grande intégration des marchés financiers au sein de l’Union européenne entraînera des risques accrus de contagion financière et les régulateurs auront besoin de pouvoirs accrus pour y faire face, a déclaré jeudi le président de la BCE. «Un renforcement de l’intégration des secteurs financiers peut accroître le risque systémique à travers le continent, ce qui veut dire qu'à terme un organe de supervision unique et un ensemble d’instruments macroprudentiels pour les marchés financiers devront être créés», a estimé Mario Draghi, évoquant un schéma qui n’est pas sans rappeler la supervision bancaire unique. Le président de la BCE a aussi souligné les avantages d’un marché des capitaux unifié : meilleure répartition des risques et diversification des types de financement pour les entreprises.
Alors que la dette publique rapportée au produit intérieur brut (PIB) est la deuxième plus élevée de la zone euro après celle de la Grèce, le gouverneur de la Banque d’Italie, Ignazio Visco, estime qu’il faut la rendre «supportable». «Il y a des turbulences et il y aura des turbulences. Nous devons mettre notre pays sur une voie de croissance plus soutenue pour résister à ces turbulences», a-t-il déclaré jeudi à des journalistes à Milan.
Le Fonds monétaire international (FMI) a indiqué jeudi avoir trouvé un accord au niveau technique avec l’Ukraine concernant les mesures nécessaires pour autoriser le versement de 1,7 milliard de dollars dans le cadre d’un programme d’assistance. Cet accord doit désormais être ratifié par le comité exécutif du FMI.
Le référendum prévu dimanche sur l’accord de sauvetage de la Grèce «réformes contre argent frais» a entraîné les premières fissures dans la coalition qui soutient le gouvernement du Premier ministre grec Alexis Tsipras. Quatre députés du parti des Grecs indépendants (droite souverainiste) dont Syriza, le parti de la gauche radicale du Premier ministre, a besoin des voix pour gouverner, ont fait défection en 24 heures en demandant de voter «oui».
Le président du Conseil italien Matteo Renzi a déclaré jeudi qu’il ne voyait pas la Grèce sortir de la zone euro, ajoutant qu’Athènes et ses créanciers devaient reprendre les négociations quel que soit le résultat du référendum organisé dimanche dans les pays sur les propositions des créanciers.
La banque centrale a ajouté des entreprises à la liste des actifs éligibles à son programme d’achat, comme les sociétés italiennes Enel, Terna et Snam.