Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Le panel Actions table sur un léger recul du Nikkei et sur une stabilité du S&P 500 à un horizon de six mois. Les indices européens gagneraient moins de 4% sur la période, loin de rattraper leur retard.
Nvidia, Alphabet, Meta et Microsoft continuent de tirer le secteur tech. Les performances d'Apple, Amazon et surtout Tesla sont plus mitigées. Pour toutes ces valeurs, les niveaux de valorisation inquiètent à nouveau.
Les places boursières ont retrouvé leurs sommets, avec les anticipations de baisses des taux de la Fed. Si des opportunités existent, comme sur les valeurs moyennes, de nouveaux risques incitent les investisseurs à la prudence, sur des marchés bien valorisés.
La société d’investissement de la famille Peugeot a cédé, pour 105 millions d’euros, un bloc de 5,8% de l’équipementier industriel. L’action Lisi en a souffert mais s’offre désormais une liquidité qui la rend éligible à l’indice parisien.
Les fonds spéculatifs ont augmenté en août leurs paris «short vol» à un niveau inédit depuis septembre 2022. De telles positions à découvert, nettes vendeuses, contre le VIX peuvent sembler agressives, mais viennent en fait contrecarrer les importantes attentes de hausse de la volatilité des investisseurs retail.
La perspective d’une Fed plus accommodante a soutenu les places boursières, notamment Wall Street. Mais les interrogations sur l’indépendance de la Fed et l’imbroglio politique en France ont pesé sur les marchés de taux.
Le S&P 500 n’a jamais semblé aussi cher. Certains ratios de valorisation s’approchent de ceux observés avant le krach de mars 2000. Ce risque s’ajoute aux inquiétudes géopolitiques ou macroéconomiques. Cependant, la majorité des investisseurs relativise ce prix élevé des actions au regard des bénéfices réalisés et du potentiel de l’IA.
Gestionnaire pour le compte de l’Etat, la Banque des Territoires (groupe Caisse des Dépôts) intervient dans le cadre du plan d’investissement France 2030.
Contrairement aux entreprises européennes, moins avantagées par l’effet dollar et la technologie, les bénéfices des entreprises américaines ont encore rebondi au deuxième trimestre. Les marges résistent et les tarifs douaniers n’ont eu que peu de conséquences jusqu’à présent.
L'opérateur de la Bourse de Londres va lancer une plateforme d'échanges d'actions d'entreprises privées répondant au cadre du Private Intermittent Securities and Capital Exchange System (PISCES) promu par le régulateur afin de renforcer l'attractivité de la place britannique auprès du private equity.
Les actions et les obligations françaises ont chuté mardi face à un probable renversement du gouvernement Bayrou après sa convocation d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale le 8 septembre.
Les places boursières européennes sont stables après un début d’année en fanfare et ont quasiment effacé leur surperformance face à Wall Street. La dynamique de croissance n’est plus en leur faveur. Le risque est même légèrement baissier.
Le président de la Fed a indiqué dans son dernier discours à Jackson Hole, consacré à l’emploi et à l’inflation, qu’une baisse en septembre était désormais possible. Une déclaration très attendue et vivement saluée par le marché.
L’avertissement du patron d’OpenAI, Sam Altman, sur le spectre d’une bulle autour de l’IA et une étude critique du MIT sur la productivité liée à l'IA générative ont douché l’enthousiasme de Wall Street. Plusieurs mégacapitalisations technologiques, telles Nvidia et Palantir, ont chuté en Bourse cette semaine. Mais ce signal d’alarme pourrait marquer un retour à une certaine rationalité.
Les achats d’option pour se couvrir contre le risque extrême d’une chute de ces valeurs (disaster put) ont fortement augmenté. Même les investisseurs particuliers sont moins enthousiastes.