Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Levées de capitaux traditionnelles ou sous forme accélérée, ventes de blocs, introductions en Bourse ont affiché de belles couleurs sur les six premiers mois de 2024. La France présente un bilan contrasté.
Exclusive Networks, coté depuis 2021, fait l'objet d'une offre de CD&R et Permira, tandis que Neoen s'apprête à quitter la Bourse. Les retraits de cote effectués par des fonds de private equity ou d'infrastructures se multiplient, et la tendance va se poursuivre.
Le temps n’est pas encore à la surpondération des actions françaises, dans l’attente de clarification sur la coalition qui sera au gouvernement. Cependant, cette assemblée, qui aura du mal à mettre en place des mesures clivantes, est favorable aux secteurs qui avaient été pénalisés par l’éventualité d’une majorité absolue issue des extrêmes.
Le CAC 40 a ouvert en repli lundi avant de se reprendre puis de clôturer dans le rouge. Le taux de l'obligation souveraine française n'est pas moins volatil.
Les élections en France et en Grande-Bretagne ont eu tendance à faire oublier que, sur les actions américaines, la poursuite du rallye pose question, avec un positionnement très acheteur du marché.
Le syndrome du gardien de but, face au choix cornélien de plonger ou de rester immobile, est le même que celui des investisseurs dans les marchés volatils, dont la meilleure attitude est souvent la patience.
Les places boursières européennes ont marqué le coup en juin tandis que Wall Street poursuit son rebond grâce aux valeurs technologiques. Les taux restent focalisés sur l’inflation et les banques centrales.
Les actifs les plus affectés par le risque politique en France se sont repris lundi, avec la perspective d’une absence de majorité absolue pour le NFP ou le RN. Le spread de la dette souveraine s’est détendu. Mais le doute demeure sur la pérennité de ce rebond technique.
Le Panel Actions de L'Agefi révise à la baisse ses perspectives à six mois et à un an pour le niveau de l'indice phare de la Bourse de Paris au second semestre. Le S&P, qui a déjà bondi de 15% au premier semestre, pourrait encore prendre 1%.
L’ajustement des perspectives de taux aux Etats-Unis et la force du dollar ont pénalisé les dettes émergentes. Les actions sous-performent les marchés développés.
Alors que le post-marché revient au centre des préoccupations, Guillaume Eliet, CEO d’Euroclear ESES (Euroclear France, Euroclear Belgium, Euroclear Nederland) et Caroline Derocle, senior product manager d’Euroclear Group, donnent leur point de vue sur les dossiers CMU et T+1.
Un article de recherche soutenu par des ONG estime que la «taxe Tobin» française devrait être collectée par l’administration publique et l’AMF plutôt que par Euroclear. Elle rapporterait jusqu'à 5 milliards d'euros.
Le spécialiste des puces utilisées par l’intelligence artificielle vient de subir un violent décrochage en Bourse après que son PDG a indiqué avoir cédé des actions.
La corrélation entre les deux classes d’actifs reste aujourd'hui positive. Les actions embarquent aussi beaucoup de duration. Une protection via les options serait plus efficace.
La récente correction des valeurs bancaires en Europe a remis en lumière le parcours boursier exceptionnel du secteur depuis deux ans. Malgré cela, les valorisations restent contenues.