Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Les évolutions réglementaires sur les marchés chinois et le changement à la tête du gendarme boursier ont contribué au rebond. Mais les investisseurs attendent surtout un plan massif de relance.
Entre reprise économique et probable décalage de politique monétaire, les marchés européens pourraient réduire leur décote par rapport à Wall Street, profitant en outre d’un risque politique plus marqué aux Etats-Unis à l’approche des élections américaines alors que celles en Europe seront passées.
L'Europe pourrait cependant être obligée d’y venir si le Royaume-Uni suit rapidement ce mouvement sur le règlement-livraison visant à déboucler en vingt-quatre heures les transactions boursières.
Les gérants de portefeuilles concentrés peuvent provoquer une hausse substantielle des prix des titres détenus par leur simple trading. Les sélectionneurs de fonds participent à cette mécanique, attirés par des rendements qui s’avèrent, au final, être « auto-entretenus ».
Les marchés américains raccourciront à «T+1» le rythme de règlement-livraison des titres à partir de mardi 28 mai. Ils risquent ainsi d’imposer cette nouvelle norme au reste du monde malgré les coûts et contraintes supplémentaires pour les investisseurs.
Après leur bon début d’année, les investisseurs vont devoir trouver de nouveaux relais pour poursuivre le rallye auquel participent de plus en plus de secteurs.
Le directeur de la recherche chez Generali Investments analyse pour L'Agefi les scénarios macroéconomiques et les conséquences à en tirer pour l'allocation d'actifs.
Les versements ont atteint un nouveau record de 339,2 milliards de dollars au niveau mondial au premier trimestre 2024, selon une étude du gestionnaire Janus Henderson.
La banque américaine est sanctionnée de 61,6 millions de livres par les autorités financières britanniques pour une affaire qui avait fait grand bruit en mai 2022 et avait provoqué un "flash crash" boursier.
La bonne tenue des actions, les spreads de crédit historiquement bas et désormais la détente des taux longs ont nettement assoupli les conditions financières aux Etats-Unis.
En avril, les marchés ont été marqués par le risque d’embrasement du conflit au Moyen-Orient, avec un rebond ponctuel de la volatilité. Cependant, ils ont surtout réagi aux données économiques contrastées, entraînant des mouvements sur la courbe des taux aux États-Unis. La combinaison d’un léger essoufflement économique et d’une désinflation plus lente a incité la Fed à indiquer un maintien des taux en territoire restrictif pendant encore un peu de temps. Pour la zone euro à l’inverse, la baisse de taux de la BCE en juin semble déjà bien anticipée alors que l’activité semble se redresser.
Trois ans après, la folie GameStop et AMC, alimentée par les investisseurs particuliers notamment, s’est essoufflée aussi vite qu’elle était réapparue.
Après avoir atteint de nouveaux sommets, la place boursière britannique, à forte composante value et défensive, pourrait encore bénéficier du contexte actuel de marché.
Les résultats des entreprises ont été supérieurs aux attentes aussi bien aux Etats-Unis qu'en Europe. Si les marchés ne progressent pas plus fortement, c'est qu'ils restent focalisés sur la macroéconomie et la géopolitique.