L’actualité du secteur immobilier, l'évolution des prix, de la production de crédits, des taux d’emprunt, les dynamiques de marché en France, en Europe et à l’international.
Cushman & Wakefield vient de signer un purchase agreement en vue d’acquérir Réponse, groupe français du design & build (conception et aménagement d’espaces) pour un montant non dévoilé. L’opération devrait être finalisée en février 2020. Coté à la Bourse de Paris jusqu'à la fin des années 2000, Réponse, concepteur et aménageur d’espaces tertiaires, compte 110 collaborateurs en France. L’entreprise intervient sur tous types de projets d’aménagement : bureaux, commerces, hôtellerie et restauration, immobilier de santé, etc.
BlackRock, pour le compte de son fonds Europe Property Fund V qui réalise son premier investissement en France, s’est porté acquéreur de la Tour Voltaire auprès de fonds d’Axa IM Real Assets. L’opération, dont le montant n’a pas été précisé, est financée par BNP Paribas CIB. Livrée en 1988, la Tour Voltaire (23 étages, 36.000 m²) a fait l’objet d’une importante rénovation en 2016 pour ses étages du bas. BlackRock Real Assets était conseillé par l’étude Lebreton Notaires, les cabinets De Pardieu Brocas Maffei, Lacourte Raquin Tatar, Delpha Conseil, Theop et Aveltys. Axa IM Real Assets était conseillé par l’étude Wargny Katz. La transaction a été réalisée par CBRE dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec JLL.
BlackRock, pour le compte de son fonds Europe Property Fund V qui réalise son premier investissement en France, s’est porté acquéreur de la Tour Voltaire auprès de fonds d’Axa IM Real Assets. L’opération, dont le montant n’a pas été précisé, est financée par BNP Paribas CIB. Livrée en 1988, la Tour Voltaire (23 étages, 36.000 m2) a fait l’objet d’une importante rénovation en 2016 pour ses étages du bas : BlackRock souhaite désormais rénover les plateaux des étages hauts pour les rendre conformes aux meilleurs standards de marché.
Selon Vousfinancer.com, les établissements de crédit étudient particulièrement le reste à vivre des emprunteurs, qui constitue "un garde-fou efficace qui limite les risques de défaut de remboursement".
Quand le monde des hedge funds rencontre celui de l’immobilier de luxe… Steven Schonfeld, fondateur-dirigeant du hedge fund new-yorkais Schonfeld Strategic Advisors, vient de réaliser une transaction immobilière record dans l’état de Floride en acquérant pour 111 millions de dollars une propriété de 2,5 hectares à Palm Beach. Face à l’océan, le domaine au doux nom de « La Rêverie » affiche plus de 6.500 mètres carrés habitables, 22 salles de bain, une piste de bowling, un SPA, un espace dédié aux glaces... Le financier a précisé qu’il n’avait pas prévu, avec son épouse et ses trois filles, de quitter New York pour aller vivre dans sa nouvelle demeure, qui sera leur résidence de vacances. Construit en 2001, le “mégahome” de style français (selon les Américains) est situé sur un tronçon privé appelé le « billionaire’s row ». Steven Schonfeld aura en effet pour riches voisins : Donald Trump, ainsi que Ken Griffin, Paul Tudor Jones et Steve Schwarzman, respectivement patrons des hedge funds Citadel, Tudor Investment Corporation et Blackstone. De sympathiques barbecues en perspective...
La société foncière Gecina a annoncé mardi le lancement de la filialisation de son portefeuille résidentiel, dont elle entend conserver le contrôle. Le patrimoine résidentiel de Gecina est «aujourd’hui constitué de 6.000 logements représentant 409.000 m², valorisé à environ 3 milliards d’euros, dont la majorité est localisée en région parisienne», a précisé Gecina. Gecina entend par ailleurs «maintenir une allocation part du groupe de son patrimoine autour de 80% d’actifs de bureaux et 20% d’actifs résidentiels».
Annulé à Gonesse dans le Val-d’Oise sur décision de l’Elysée, EuropaCity, le projet de mégacomplexe de commerces et de loisirs, pourrait s’installer à Londres, indique France 3 Paris Ile-de-France sur son site, lundi soir. Dès l’annonce de l’abandon de la part d’Emmanuel Macron, Londres a appelé les investisseurs (la filiale immobilière d’Auchan, Ceetrus, et le groupe chinois Wanda) pour proposer de faire naître le projet dans la banlieue autour de la capitale britannique, selon le site, qui cite une personne proche du dossier. D’après la même source, les discussions ont ainsi déjà commencé. Un rassemblement était par ailleurs prévu hier soir par les élus du secteur autour de Gonesse favorables au projet initial.
Covivio exprime sa raison d’être : Construire du bien-être et des liens durables. La foncière exprime ainsi son rôle, « en tant qu’opérateur immobilier responsable, attentif à ses impacts, auprès de l’ensemble de ses parties prenantes : clients, actionnaires et partenaires financiers, équipes internes, collectivités mais aussi les générations futures et la planète », précise le communiqué. Cette raison d’être s’accompagne d’un manifeste l’explicitant.
Gecina vient de signer avec La Française pour le compte de l’Erafp et de SCPI, une promesse synallagmatique de vente portant sur l’immeuble « Park Azur » situé à Montrouge pour un prix de 185 millions d’euros hors droits. Ces bureaux, sur 24.000 m², sont intégralement loués au Centre National pour la Recherche Nucléaire (Groupe EDF) avec un bail ferme de 8 ans. Depuis le début de l’année, Gecina a réalisé 984 millions d’euros de cessions, actées ou sous promesses, avec une prime moyenne sur les expertises de l’ordre de +12%.
RocketSpace, l’un des concurrents de WeWork, se retire du marché britannique. La décision, annoncée aux salariés en novembre, sera effective le 20 décembre, indique Bloomberg qui se réfère à un courriel interne envoyé par le directeur général du groupe, Duncan Logan. RocketSpace s'était installé à Londres en 2017. C'était alors la première incursion du groupe américain sur un marché étranger. Il s'était associé pour l’occasion à RBS. Cette annonce intervient alors de WeWork, en proie à de difficultés financières, réfléchit à sa présence dans la capitale britannique, et a lancé un plan mondial de réductions de ses effectifs.
RocketSpace, l’un des concurrents de WeWork, se retire du marché britannique. La décision, annoncée aux salariés en novembre, sera effective le 20 décembre, indique Bloomberg qui se réfère à un email interne envoyé par le directeur général du groupe, Duncan Logan.