Les acteurs de la finance mettent en place de nouveaux systèmes d’évaluation visant à favoriser les échanges et retours spontanés entre collaborateurs et managers.
L’Unedic a annoncé aujourd’hui mercredi prévoir une accélération du redressement de sa situation financière, l’amélioration de la conjoncture économique et les retombées de la nouvelle convention d’assurance chômage lui permettant de réduire son déficit plus rapidement que prévu. L’organisme paritaire assurant la gestion de l’assurance chômage, qui présente ses nouvelles prévisions financières, s’attend désormais à se rapprocher de l'équilibre financier dès 2019, alors que cette perspective n'était jusqu’ici évoquée que pour 2020.
Barclays rémunère les femmes en moyenne moitié moins que les hommes dans sa division Barclays International qui héberge sa banque d’investissement (BFI). L'écart est de 48%, a révélé hier la banque britannique. Cela signifie que le salaire horaire des femmes est environ deux fois inférieur à celui des hommes. Cette différence s’explique notamment par le poids des femmes dans les rôles junior, selon Barclays. Dans sa principale division, Barclays UK, l'écart de rémunération est de 26%.
Barclays rémunère les femmes en moyenne moitié moins que les hommes dans sa division Barclays International qui héberge sa banque d’investissement (BFI). L'écart est de 48%, a révélé ce matin la banque britannique. Cela signifie que le salaire horaire des femmes est environ deux fois inférieur à celui des hommes. Cette différence s’explique notamment par le poids des femmes dans les rôles junior, selon Barclays. Dans sa principale division, Barclays UK, l'écart de rémunération est de 26%.
L’initiative est rare. Dans une publicité publiée dans Le Monde, les salariés de Gemalto interpellent Thales et l’Etat actionnaire sur les conséquences du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) engagé par le fabricant de cartes à puce, en passe d'être racheté par Thales. Ce PSE prévoit la suppression de 262 emplois. «L’Etat», actionnaire de Thales a hauteur de 25% et de Gemalto pour 8,5%, «peut-il laisser faire alors que le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré à l’Assemblée nationale» que «le rôle de l’Etat pour Gemalto et toutes les entreprises françaises c’est de veiller (...) à la préservation et au développement de l’emploi industriel en France». «L’Etat actionnaire de Thales et de Gemalto ne peut se contenter d’un rôle d’observateur sur ce dossier d’importance stratégique», poursuivent les salariés de Gemalto.
La parole à… Kami Haeri, associé du cabinet Quinn Emanuel Urquhart & Sullivan, auteur du rapport sur l’avenir de la profession d’avocat remis à la Chancellerie
Les partenaires sociaux sont parvenus vendredi à régler la sensible question du financement de la formation professionnelle, prochaine réforme sociale du quinquennat d’Emmanuel Macron avec celles de l’apprentissage et de l’assurance chômage. Syndicats et patronat tenaient vendredi une réunion décisive au sujet de la formation professionnelle, un secteur pesant 31,6 milliards d’euros que le gouvernement entend refonder en profondeur. Les partenaires sociaux doivent se rencontrer à nouveau mercredi pour balayer le texte final. Ils discuteront notamment de la gouvernance du dispositif, qui créé encore des dissensions.
Le taux de chômage calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT) a chuté de 0,7 point au quatrième trimestre en France métropolitaine, pour s'établir à 8,6% de la population active - le taux le plus bas depuis le premier trimestre 2009, selon l’Insee. En incluant les départements d’Outre-mer (hors Mayotte), il a aussi reculé de 0,7 point, à 8,9%. Par rapport à fin 2016, il se replie de 1,1%, soit sa plus forte baisse sur douze mois depuis début 2008. L’Insee a d’autre part revu en baisse de 0,1 point les taux de chômage pour les deuxième et troisième trimestres 2017. Une telle baisse était inattendue: l’Insee anticipait mi-décembre un taux de chômage national revenant à 9,5% fin 2017, puis 9,4% à la mi-2008. Selon les critères du BIT, le nombre de chômeurs s'élevait à 2,502 millions en France métropolitaine au dernier trimestre, soit 205.000 de moins qu’au trimestre précédent. Sur un an, la baisse est de 298.000.
Le taux de chômage calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT) a chuté de 0,7 point au quatrième trimestre en France métropolitaine pour s'établir à 8,6% de la population active, un plus bas depuis le premier trimestre 2009, selon les données publiées jeudi par l’Insee. En incluant les départements d’Outre-mer (hors Mayotte), il a aussi reculé de 0,7 point, à 8,9%. Par rapport à fin 2016, il se replie de 1,1% sur le territoire métropolitain comme en intégrant les Dom, soit sa plus forte baisse sur douze mois depuis début 2008. L’Insee a d’autre part revu en baisse de 0,1 point les taux de chômage pour le deuxième comme pour le troisième trimestres 2017.
Valérie-Noëlle Kodjo Diop, responsable de l’innovation et des modèles bancaires alternatifs pour la région Afrique, Méditerranée et outre-mer, Société Générale