Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
La Banque centrale européenne a racheté 13,029 milliards d’euros d’obligations d’Etat ou d'émetteurs parapublics durant les cinq jours achevés le 20 mars. Il s’agit du montant d’achats le plus élevé depuis octobre 2017, et il ne prend pas encore en compte l'élargissement du programme d’achats de la BCE annoncé en milieu de semaine dernière. La BCE a dévoilé le 18 mars un plan de soutien massif qui passera par 750 milliards d’euros d’achats d’actifs d’ici à la fin de l’année, en plus des 120 milliards annoncés la semaine précédente et des réinvestissements de son portefeuille pour les titres arrivés à échéance.
La Banque centrale européenne a racheté 13,029 milliards d’euros d’obligations d’Etat ou d'émetteurs parapublics durant les cinq jours achevés le 20 mars, selon les statistiques publiées sur son site. Il s’agit du montant d’achats le plus élevé depuis octobre 2017, et il ne prend pas encore en compte l'élargissement du programme d’achats de la BCE annoncé en milieu de semaine dernière.
Les mesures adoptées par la Banque centrale européenne (BCE) en réponse à l’urgence du coronavirus semblent suffisantes, mais elle serait prête à faire plus en cas de besoin, a déclaré lundi le gouverneur de la Banque d’Italie Ignazio Visco à La Stampa : «L’ensemble des mesures adoptées a été efficace pour soulager les tensions. Nous pensons aujourd’hui qu’elles sont suffisantes, mais nous sommes prêts à en faire plus si nécessaire.»
Les rendements des emprunts d’Etat de la zone euro ont plutôt reculé jeudi matin, alors que la Banque centrale européenne (BCE) a dévoilé dans la nuit un nouveau programme d’achat d’obligations d’un montant de 750 milliards d’euros, visant à protéger l'économie de la zone euro contre les répercussions de la pandémie de coronavirus.
Les rendements des emprunts d’Etat de la zone euro reculent jeudi matin, alors que la Banque centrale européenne (BCE) a dévoilé dans la nuit de mercredi à jeudi un nouveau programme d’achat d’obligations d’un montant de 750 milliards d’euros, visant à protéger l'économie de la zone euro contre les répercussions de la pandémie de coronavirus.
Illustrant les difficultés des marchés financiers, la BCE a prêté mercredi aux banques de la zone euro 112 milliards de dollars lors de deux adjudications visant à atténuer le stress sur le financement en dollars américains, du fait des retombées financières de l'épidémie de coronavirus.
Que de couacs de communication à la BCE ! «La politique monétaire est loin, très loin d’avoir atteint ses limites. La boîte à outils de la politique monétaire est encore bien dotée», a dû préciser mercredi matin Robert Holzmann, gouverneur de la banque centrale d’Autriche et membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE). Dans un entretien publié plus tôt par le journal autrichien Der Standard, le banquier central a déclaré que la BCE était à court de munitions pour soutenir l'économie. Ce qui faisait monter le risque d’un krach obligataire sur les dettes souveraines de la zone euro après les premières déclarations maladroites de Christine Lagarde jeudi dernier.
Le suisseUnion Bancaire Privée (UBP) a recruté Jérôme Thuillier comme directeur des opérations («chief operating officer», COO) pour sa filiale à Singapour. Il arrive en provenance du concurrent Bank of Singapor, où il a mis en place une plateforme technologique de gestion de fortune. Il passa auparavant neuf ans au sein de la gestion de fortune de Barclays. Il travailla également neuf ans chez BNP Paribas (1998-2007), et plus particulièrement au sein du département de trading algorithmique, entre 2002 et 2004, puis 2006-2007.
Les marchés actions européens ont accusé jeudi des pertes historiques et les rendements des emprunts d’Etat en zone euro se sont nettement écartés, le plan ciblé dévoilé plus tôt par la Banque centrale européenne contre les effets du coronavirus ayant échoué à rassurer les investisseurs.
La société de gestion française Lutetia Capital a enregistré son fonds Lutetia Absolute Return auprès de l’autorité des marchés financiers en Espagne, a appris NewsManagers. Il s’agit du premier fonds commercialisé sur le territoire espagnol par le gestionnaire d’actifs. La stratégie, lancée en mars 2014, comptait 143 millions d’euros d’encours fin janvier 2020.
Un juge new yorkais a gelé les actifs appartenant au gérant de hedge funds Philip Falcone et son fonds Harbinger Offshore après qu’il a omis de payer des millions de frais juridiques à un cabinet d’avocats de Manhattan qui l’a défendu dans un conflit contre les régulateurs américains, rapporte le Financial Times. Le juge Arthur Engoron a ordonné le gel la semaine dernière suite à de récentes accusations selon lesquelles Philip Falcone, qui avait une fortune nette de 1 milliard de dollars en 2014, a renié ses dettes et vendu certains de ses collatéraux, qui incluaient des œuvres de Picasso et Andy Warhol.