Nos articles d’actualités et d’analyse sur l’allocation des investisseurs par grandes classes d’actifs - actions, obligations, crédit, actifs réels, immobilier.
Aujourd’hui, beaucoup de bonnes nouvelles sont déjà intégrées dans le prix des actifs financiers, Même si le niveau bas des taux favorise la prise de risque, les allocataires restent parfois méfiants
De grands intervenants de la Place révèlent leur politique d'investissement par classes d'actifs et zones géographiques. Aujourd'hui, l'allocation de La Française.
En cette fin de premier semestre 2017, la croissance mondiale se maintient sur le sentier encourageant qu’elle a emprunté depuis mi-2016, à un rythme légèrement supérieur à la tendance long terme.
S’il est encore bien trop tôt pour prévoir un retour à l’apogée de la gestion active de l'exposition aux devises, des approches plus actives et tactiques de la gestion du risque de change du portefeuille semblent regagner de la popularité selon une étude menée par le cabinet bfinance.
Dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest 2017, Emmanuelle Calès, responsable des investissements du groupe Klesia, nous expose les différentes actions de l'institution en matière de financement de l'économie locale et de création d'emplois durables. Une politique qui passe par des investissements en private equity de longue date, ainsi que la création de trois fonds.
La victoire d’Emmanuel Macron, libéral et européen convaincu, au second tour de l’élection présidentielle française a soulagé les marchés et poussé les actions européennes à la hausse en avril. Les investisseurs, qui ont un temps redouté une finale opposant deux candidats eurosceptiques, ont retrouvé de l’appétit pour le risque dans la perspective d’une victoire du leader du mouvement En Marche ! et malgré les incertitudes relatives aux élections législatives de juin. Sur le marché obligataire européen, les résultats du premier tour de l’élection présidentielle française se sont traduits par une baisse de l’aversion pour le risque, avec un resserrement des spreads français et périphériques. Le soulagement s’est également manifesté sur le marché du crédit.
La reprise modérée de la croissance mondiale est toujours sur les rails en ce mois de mai 2017. L’activité économique en Zone Euro et au
Japon, deux zones qui semblent mettre les bouchées doubles pour rattraper leur retard, se révèle suffisamment vivace pour permettre
de relativiser les quelques signes de fatigue du cycle d’expansion américain et une impulsion chinoise qui a tendance à se tasser au 2ème trimestre. La Banque Mondiale a confirmé lors de sa publication de printemps sa prévision d’une croissance mondiale plus forte en 2017, par rapport au nadir de 2016.
Ten years ago public debt levels were already very high in many developed countries and the matter became much worse with the great recession. Since then public debt to GDP ratios have increased by some 30 points and are on average close to 100% among the OECD countries. These levels have very seldom been seen in history and such debt super- cycles have ended with public defaults or a dilution of debt through a combination of growth and high inflation. And even today debt ratios are showing few signs of stabilisation so far in many countries.
Dans le cadre de son dossier de candidature aux Couronnes Instit Invest 2017, Philippe Taffin, chief investment officer d’Aviva France, nous détaille la stratégie de l’assureur en matière de financement de l’économie locale. Pour accompagner sa mise en œuvre, les équipes de la direction des investissements sur les actifs dits « illiquides » aussi bien coté dettes qu’actions ont été renforcées. Un spécialiste en private equity a notamment été recruté.
Le cabinet de conseil en services financiers bfinance a publié sa nouvelle étude sur les frais de gestion, intitulée "Frais de gestion des placements : nouvelles économies, nouveaux défis". Il en résulte que la baisse des frais de gestion est une problématique de plus en plus prise en compte par les investisseurs institutionnels. Pourtant, ces derniers doivent faire face à des coûts d'investissement plus élevés qu’il y a dix ans, et ce malgré la baisse des frais de gestion sur de nombreuses classes d’actifs.
Chaque trimestre, l’étude Pulse of Fintech de KPMG décrypte les tendances du financement des Fintech à travers le monde. Cette nouvelle édition fait état d'un fort développement du financement de la Fintech en France, qui connait son nombre le plus important de deals closés dans ce domaine ce trimestre.
Dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest 2017, Romain Durand, directeur des investissements de SHAM met en lumière les récentes initiatives de l’institution lyonnaise en matière de financement de l’économie, de gouvernance ou encore en faveur du financement de la transition énergétique.
Stéphanie Villers, chef économiste du groupe Humanis, démontre l'importance du financement des PME, notamment en vue de la création d'emplois. Pour répondre à ce défi de long terme, il est selon elle nécessaire de développer l’offre de produits d’épargne et améliorer la demande par une meilleure formation économique et financière pour en maîtriser les enjeux.
La victoire d’Emmanuel Macron a fait baisser le risque politique sur les actions , Les allocataires mettent aujourd’hui en avant le potentiel retrouvé de la classe d’actifs
Dans le cadre du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2017, Philippe Goubeault, directeur financier de l'Agirc-Arrco nous explique la politique de l'institution en matière de gestion des risques, notamment appuyée par une diversification internationale du portefeuille actions. Il évoque par ailleurs son action en financement de l'économie locale, appuyée par la création d'un fonds de dette de 200 millions d'euros.
L’économie mondiale connait son rythme de croissance le plus élevé depuis plusieurs années en ce printemps 2017, au point que certains estiment qu’elle s’est enfin libérée du lourd héritage de la crise financière de 2008. En dépit de politiques budgétaires médiocres, des politiques monétaires avisées ont permis finalement à l’économie mondiale de se remettre des chocs successifs infligés par la crise financière de 2007-2009, la crise systémique européenne de 2009-2013, puis par la chute du pétrole et des matières premières en 2014-2015. L’investissement public et privé, qui a stagné ces dernières années, est sur le point de se redéployer à la faveur d’un système bancaire assaini, désormais en meilleure posture pour prendre des risques, d’autant plus que se profile un nouveau cycle d’innovation dans l’intelligence artificielle.
Laurent Martin, trésorier de l'Union des caisses de France CI-BTP, revient sur l'année 1994, qu'il met en parallèle avec la période actuelle. L'année 1994 était en effet marquée par des taux demeurant très bas depuis très longtemps, une croissance solide avec des risques d'inflation révisés à la hausse, ainsi qu'un sentiment d'absence de risque majeur.