Fireblocks, fournisseur d’infrastructure cryptographique basé à New York, a annoncé vendredi avoir bouclé un tour de table de 133 millions de dollars (111 millions d’euros) de série C. Le tour de table a été mené par Coatue, Ribbit et Stripe avec un investissement stratégique de la Banque de New York Mellon et SVB et la participation d’investisseurs précédents, notamment Paradigm, Galaxy Digital, Swisscom Ventures, Tenaya Capital et Cyberstarts Ventures. La société, qui a levé au total 179 millions de dollars, a l’intention d’utiliser les fonds pour continuer à étendre ses ressources mondiales au service des banques et des fintechs et de les connecter à l’ensemble des marchés de crypto-capitaux. Dirigé par Michael Shaulov, Fireblocks fournit une plate-forme d’infrastructure cryptographique pour déplacer, stocker et émettre des actifs numériques.
Le néo-broker américain Robinhood a engagé l’ancienne vice-présidente en charge des produits de chez Google, Aparna Chennapragada, au poste de directeur des produits. Aparna Channapragada supervisera l’ensemble des produits chez Rohinhood. Aparna Chennapragada a passé 12 ans chez Google. Le néo-broker américain Robinhood a gagné 6 millions de nouveaux utilisateurs au cours des deux premiers mois de l’année, contre 200.000 nouveaux utilisateurs par mois en 2020.
Le néo-broker américain Robinhood a engagé l’ancienne vice-présidente en charge des produits de chez Google, Aparna Chennapragada, au poste de directeur des produits. Aparna Channapragada supervisera l’ensemble des produits chez Rohinhood. « Son leadership nous aidera à continuer à construire des produits qui rendent la finance plus accessible et répondent aux besoins d’une nouvelle génération d’investisseurs », explique Robinhood sur son blog.
La plateforme américaine de cryptomonnaie Coinbase a atteint une valorisation d’environ 68 milliards de dollars avant son introduction en bourse prévue sous la forme d’une cotation directe, selon Reuters. Selon son dernier dépôt règlementaire, ses actions sur le marché privé se sont échangées à un prix moyen pondéré de 343,58 dollars au cours du premier trimestre de 2021 jusqu’au 15 mars, contre un prix moyen de 28,83 dollars en septembre dernier pour une valorisation de 5,3 milliards de dollars. Coinbase a déposé son dossier auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC), le régulateur boursier américain, le 25 février dernier. La plateforme revendique 43 millions d’utilisateurs et a généré environ 1,3 milliard de dollars de revenus en 2020, le double de l’an dernier.
Début mars, Orange a annoncé qu’il cherchait un partenaire « bancaire » pour remplacer ou s’ajouter à Groupama, actionnaire d’Orange Bank à hauteur de 22%. Plusieurs banques avaient fait part de leur intérêt, comme la Société Générale ou le Crédit Agricole, mais BNP Paribas apparaît comme le candidat « favori » selon des informations de BFM Business. Contactés par L’Agefi, ni Orange Bank ni BNP Paribas n’ont souhaité commenter cette information. De son côté, Groupama ne fait aucun commentaire, renvoyant aux déclarations du patron de l’assureur lors des résultats annuels. Il avait déclaré que la stratégie suivie par l’opérateur télécom pour sa banque, à savoir le développement à l’international, ne correspond pas à celle du groupe qui a cessé de suivre les augmentations de capital depuis fin janvier 2019. Actionnaire à 35% d’Orange Bank à son lancement en 2017, Groupama a ensuite dilué sa participation à 22%, contre 78% pour Orange. Les premières offres de partenariats seraient attendues d’ici fin mars.
La plateforme américaine de crypto-monnaies Coinbase atteint une valorisation d’environ 68 milliards de dollars avant son introduction en bourse prévue sous la forme d’une cotation directe, révèle Reuters.
Début mars, Orange a annoncé qu’il cherchait un partenaire « bancaire » pour remplacer ou s’ajouter à Groupama, actionnaire d’Orange Bank à hauteur de 22%. Plusieurs banques avaient fait part de leur intérêt, comme la Société Générale ou le Crédit Agricole, mais BNP Paribas apparaît comme le candidat « favori » selon des informations de BFM Business. « Ils cochent toutes les cases », explique un proche du dossier cité par le média français. Orange serait « prêt à lâcher le contrôle de sa banque si le partenaire vaut le coup ».
... de dollars, c’est la valorisation de Stripe, l’entreprise de technologies et d’infrastructures pour les paiements digitaux, après sa levée de 600 millions de dollars réalisée auprès de grands investisseurs comme Allianz, Axa, Fidelity ou Baillie Gifford et Sequoia Capital. Stripe compte ainsi accélérer son développement en Europe où la société est présente dans 31 pays, cibler davantage les grandes entreprises qui sont déjà nombreuses à l’utiliser comme Deliveroo, Doctolib, N26 ou Vinted, et élargir sa gamme de logiciels et de services facilitant les paiements électroniques.
Délai. La transition vers une authentification forte systématique des paiements en ligne reste difficile. L’Europe avait fixé pour date ultime le 31 décembre 2020, la France s’était octroyé un délai jusqu’au 31 mars 2021 avec un calendrier indiquant les volumes de transactions devant être authentifiées et en instaurant un soft decline par paliers de montants des transactions : un rejet des paiements non authentifiés avec possibilité de représenter le paiement après authentification. Mais constatant un retard sur le calendrier, l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP) a décidé que le soft decline s’appliquerait à partir du 15 mars sur les transactions de plus de 250 euros, à partir du 15 avril sur celles de plus de 100 euros et à partir du 15 mai pour toutes les transactions quel que soit leur montant. Parallèlement, la Banque de France établira des lignes directrices sur l’authentification forte des cas d’usages spécifiques : paiement en one click, par portefeuille électronique, réservation de VTC…
Difficile de manquer la mode des jetons non fongibles (NFT), ces actifs numériques uniques car adossés à la blockchain. Le marché est d’autant plus dynamique que tout, et surtout n’importe quoi, peut se « tokeniser » : tweet, portions de vidéo, œuvres d’art, voire… morceau de bras. La tenniswoman Oleksandra Oliynykova a ainsi mis aux enchères une zone de 12 cm² de peau, en haut du bras gauche. Le prix plancher est de 5.300 dollars, ce qui fait cher du mètre carré ; mais l’heureux propriétaire pourra la tatouer ou l’illustrer comme bon lui semblera. Espérons que la carrière de la sportive sera assez brillante pour exposer longtemps devant les caméras l’illustration choisie…
Cinq fois le cours du jour ! La France a organisé mercredi sa première vente aux enchèresde bitcoins à Paris et sur le site Interenchères. La maison de ventes Kapandji Morhange a proposé aux enchères 611 bitcoins, saisis dans le cadre d’une affaire de cybercriminalité. Deux vacations ont eu lieu : la première à 9h00, avec 437 lots de 0,11 à 2 bitcoins et une vacation l’après-midi portant sur 44 lots de 5 à 20 bitcoins pour des investisseurs considérés comme plus avertis. Pour cette première, 1.500 personnes étaient inscrites. La plupart des lots de la vente aux enchères sont partis plus chers qu’au cours actuel, après avoir rajouté les frais de vente de 14,28 %. Le premier lot de bitcoins mis aux enchères, de 0,11 bitcoin, a par exemple été vendu à... 26.800 euros, soit cinq fois le prix du marché. La première vente aux enchères de bitcoins a eu lieu aux Etats-Unis en 2014.
La néobanque britannique Revolut cesse ses activités au Canada un an et demi après avoir lancé une version bêta de son offre, a appris le média spécialisé BetaKit. «Cela a été une décision difficile, mais nous ferons tout notre possible pour rendre ce processus aussi fluide que possible pour vous», indique la néobanque dans un courriel. «Nous espérons qu’à l’avenir, nous serons en mesure de revenir au Canada lorsque nous pourrons offrir la gamme complète de services Revolut», a indiqué un porte-parole de Revolut, cité par BetaKit. Pour les fintechs, il semble difficile de percer sur le marché canadien où les licences bancaires sont difficiles à obtenir et où les banques traditionnelles continuent de s’imposer.
La fintech française PayFit, à l’origine d’une solution RH, a annoncé mercredi une levée de 90 millions d’euros, réalisée auprès d’Eurazeo et Bbpifrance via son fonds Large Venture. Ses investisseurs historiques Accel, Frst et Xavier Niel continuent aussi de la soutenir. PayFit a levé un total de 179 millions d’euros depuis sa création en 2016. Elle s’est spécialisée dans la numérisation des processus paie et RH. Son logiciel centralise notamment la paie. PayFit assure avoir plus de 5.000 PME clientes à travers la France, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni. Elle compte 550 employés, et veut atteindre 1.000 employés fin 2022.
Cinq fois le cours du jour ! Comme prévu, la France a organisé aujourd’hui sa première vente aux enchèresde bitcoins à Paris et sur le site Interenchères. La maison de ventes Kapandji Morhange a proposé aux enchères 611 bitcoins, saisis dans le cadre d’une affaire de cybercriminalité. Deux vacations ont eu lieu : la première à 9h00, avec 437 lots de 0,11 à 2 bitcoins et une vacation l’après-midi portant sur 44 lots de 5 à 20 bitcoins pour des investisseurs considérés comme plus avertis. Pour cette première, 1.500 personnes étaient inscrites.
La fintech française PayFit, à l’origine d’une solution RH, a annoncé mercredi une levée de 90 millions d’euros, réalisée auprès d’Eurazeo et Bbpifrance via son fonds Large Venture. Ses investisseurs historiques Accel, Frst et Xavier Niel continuent aussi de la soutenir. PayFit a levé un total de 179 millions d’euros depuis sa création en 2016.
La néobanque britannique Revolut cesse ses activités au Canada un an et demi après avoir lancé une version bêta de son offre, a appris le média spécialisé BetaKit.
La fintech française Pledg, spécialisée dans le paiement en différé (Buy Now Pay Later) a annoncé mardi une levée de fonds de 80 millions d’euros pour accélérer sa croissance en France et en Europe. Ce nouveau tour de table a été réalisé avec les fonds Portag3 Ventures et Aquiline Capital Partners (Etats-Unis), ainsi que Smart Lenders Asset Management, Financière Arbevel et Oddo BHF, investisseur historique de la société. En outre, elle annonce l’arrivée de Jacques-Olivier Schatz - ancien directeur général de la néo-banque Nickel et ancien directeur des opérations de l’insurtech Wakam - au poste de directeur des opérations (COO).
La fintech française Pledg, spécialisée dans le paiement en différé (Buy Now Pay Later) a annoncé mardi une levée de fonds de 80 millions d’euros pour accélérer sa croissance en France et en Europe. Ce nouveau tour de table a été réalisé avec les fonds Portag3 Ventures et Aquiline Capital Partners (Etats-Unis), ainsi que Smart Lenders Asset Management, Financière Arbevel et ODDO BHF, investisseur historique de la société.
Le néo-broker Bitpanda, qui permet notamment d'échanger du bitcoin, annonce avoir levé 170 millions de dollars dans le cadre d’une série B qui valorise la société 1,2 milliard de dollars. Basé à Vienne, en Autriche, Bitpanda devient la première licorne du pays, c’est à dire à franchir la barre du milliard de dollars de valorisation.
Nouveau coup dur pour Ant Group. « Le conseil d’administration d’Ant Group a accepté la demande de démission de M. Simon Hu, pour des raisons personnelles », a indiqué le groupe dans un communiqué. Le président exécutif et ancien directeur général, Eric Jing reprendra le poste de PDG de l’entreprise, contrôlée par Jack Ma. Cette annonce intervient quelques mois après que le géant chinois a été contraint de renoncer à son projet d’introduction en Bourse, d’un montant de 37 milliards de dollars, par le gouvernement chinois. Fin décembre, la banque centrale chinoise a demandé à la firme de Jack Ma de «réviser» ses activités lucratives, notamment le crédit, afin de se recentrer sur les paiements.
Après une levée de fonds, la fintech est devenue la mieux valorisée de la Silicon Valley, à 95 milliards de dollars. Mieux que des groupes cotés en Bourse.
Stripe, le spécialiste américain du paiement en ligne, a annoncé avoir réalisé une levée de fonds de 600 millions de dollars auprès d’Allianz X, Axa, Baillie Gifford, Fidelity Management & Research Company, NTMA (Ireland National Treasury Management Agency) et Sequoia Capital. La société, qui était valorisée 36 milliards de dollars après à un tour de table de 600 millions d’euros en avril dernier, se valorise désormais 95 milliards de dollars, devenant la fintech mieux valorisée de la Silicon Valley.
La société de gestion Fidelity International a annoncé jeudi prendre une participation minoritaire dans Moonfare, une fintech allemande de sélection de fonds de private equity et autres actifs non cotés. Elle devient aussi son intermédiaire exclusif auprès des distributeurs européens de produits d'épargne souhaitant accéder à une offre clés en main. Cette start-up propose sur son site internet des parts de fonds non cotés aux investisseurs particuliers européens et asiatiques. Moonfare et Fidelity International visent principalement l’Allemagne, la Suisse, l’Italie, le Royaume-Uni et la France, pays où la start-up prévoit d’ouvrir un bureau cette année.
La plus ancienne plateforme de crowdfunding en France structure son activité liée aux nouvelles énergies et compte atteindre les 100 millions d’euros collectés en 2024.