La néobanque britannique Revolut annonce le lancement le lancement d’une solution d’encaissement avec des QR codes pour sa clientèle professionnelle. Générée par son application Revolut Business, cette solution sera disponible dans tous les marchés européens où Revolut opère.
Le néo-broker américain concurrent de Robinhood, Public.com, annonce avoir levé 220 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série D, auprès notamment du fonds de capital-risque Dreamers de Will Smith, d’Accel ou encore de Phil DeFranco de YouTube. La société est désormais valorisée 1,2 milliard de dollars, quadruplant sa valorisation de décembre suite à une levée de fonds de 65 millions d’euros. Le courtier en ligne, qui a décidé de changer de modèle économique suite à l’affaire GameStop, compte un million de clients. La société compte utiliser ces fonds pour développer son infrastructure et lancer de nouveaux produits, notamment en lien avec les crypto-monnaies. Depuis sa création en 2018, la société a levé 310 millions de dollars.
Le néo-broker américain concurrent de Robinhood, Public.com, annonce avoir levé 220 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série D, auprès notamment du fonds de capital-risque Dreamers de Will Smith, d’Accel ou encore de Phil DeFranco de YouTube. La société est désormais valorisée 1,2 milliard de dollars, quadruplant sa valorisation de décembre suite à une levée de fonds de 65 millions d’euros.
ANTI-CRISE Le milliard d’euros de collecte a été dépassé en 2020 pour le financement participatif en France, c’est 62 % de plus qu’en 2019 et six fois plus qu’en 2015. C’est donc une étape importante six ans après l’instauration d’une réglementation spécifique pour ces nouveaux métiers du financement. Les trois types de crowdfunding ont beaucoup progressé. La collecte de dons a été quasiment multipliée par trois, notamment le don sans récompense, vers lequel se sont tournés les Français qui souhaitaient faire preuve de solidarité face à la crise sanitaire. La collecte de dons avec récompense a aussi bien fonctionné avec une évolution de +35 %. La collecte de prêts et obligations a crû de 46 % pour chatouiller les 742 millions d’euros dont 118 millions issus de fonds de prêt. Les obligations représentent la quasi-totalité de la somme. Et le crowdinvesting, après deux années de stabilité autour de 40 millions d’euros collectés, fait un joli retour à plus de 59 millions d’euros, soit une hausse de 43 %.
Mais à quoi sert la blockchain ? C’est pour répondre (ou non) à cette question qu’a été lancé CryptoFlowers, un jeu en ligne destiné à en expliquer aux jeunes le fonctionnement. Le Financial Times, qui relève l’information, explique le principe : les joueurs peuvent acheter des graines numériques pour faire pousser des fleurs, qu’ils peuvent ensuite croiser pour obtenir des versions plus rares. La blockchain permet d’assurer la non-fongibilité, c’est-à-dire le caractère unique, de chaque plante. Les plus beaux spécimens peuvent être donnés en cadeau car, assure le concepteur du jeu, recevoir l’une de ces fleurs est aussi touchant que recevoir une rose. Sachant que les plantes peuvent aussi être vendues aux autres joueurs et que les plus rares, comme cette évocatrice « première fleur ethereum », peuvent dépasser les 90.000 dollars, CryptoFlowers pourrait faire naître des vocations d’horticulteurs...
La fintech française Smile&Pay, spécialisée dans l’encaissement par carte bancaire, vient de lever 5 millions d’euros auprès de son actionnaire historique Truffle Capital, d’Evolem Start et de Business Angels. Ses principaux concurrents, iZettle et Sum Up, dominent le marché de l’encaissement. La fintech britannique Sump Up compte par exemple 2 millions de clients au total. Smile&Pay compte 13.000 clients depuis sa création en 2016. Selon la fintech, 55% des professionnels français n’acceptent pas la carte bancaire et 80% ne sont pas visibles sur le web. Avec cette levée de fonds, elle veut renforcer ses fonctionnalités, comme le paiement par lien ou le paiement de mobile à mobile. La fintech, qui compte 25 salariés, prévoit de recruter 20 personnes sur le premier semestre 2021. Ces derniers mois, elle a déjà noué trois partenariats avec des banques françaises (dont Anytime et Monabanq) et elle devrait annoncer d’ici 15 jours la signature d’un partenariat avec un assureur français.
Coinbase, la plateforme d’échanges de cryptomonnaies pourrait dépasser les 77 milliards de dollars de capitalisation lors de son introduction en bourse à Wall Street. A l’heure actuelle, la plateforme est évaluée 8 milliards de dollars. L’estimation a été réalisée sur la base de négociations constatées sur les actions privées de la société sur un marché secondaire. «Ces actions dans la plus grande bourse de crypto-monnaies aux États-Unis changent de mains sur le marché privé du Nasdaq à 303 dollars la pièce, selon deux personnes ayant connaissance du dossier. Cela implique une valeur totale de l’entreprise d’environ 77 milliards de dollars», souligne CoinDesk. Environ 250 millions d’actions de Coinbase seront en circulation et pourront être négociées lors de sa cotation en bourse. Il s’agirait de la première plateforme d’échange de cryptomonnaies à entrer à Wall Street.
Coinbase, la plateforme d’échanges de cryptomonnaies pourrait dépasser 77 milliards de dollars de capitalisation lors de son introduction en bourse à Wall Street. A l’heure actuelle, la plateforme est évaluée 8 milliards de dollars.
Malgré l’acquisition par Teslaen janvier de 1,5 milliard de dollars de bitcoins, les sociétés restent frileuses à l’idée d’investir une partie de leur trésorerie dans la cryptomonnaie. Selon une étude du cabinet Gartner réalisée auprès de 77 cadres financiers (dont 50 directeurs financiers) dans le monde, seulement 5 % des directeurs financiers aimeraient investir une partie de leur trésorerie dans le bitcoin en 2021.
La fintech française Smile&Pay, spécialisée dans l’encaissement par carte bancaire, vient de lever 5 millions d’euros auprès de son actionnaire historique Truffle Capital, d’Evolem Start et de Business Angels. «Nous voulons devenir le leader français de l’encaissement à horizon 3 ans en France», explique à L’Agefi Nicolas de Labarre, directeur général de Smile&Pay. Ses principaux concurrents, iZettle et Sum Up, dominent le marché de l’encaissement. La fintech britannique Sump Up compte par exemple 2 millions de clients, même si elle ne dévoile pas son nombre de clients en France. A titre de comparaison, Smile&Pay compte 13.000 clients depuis sa création en 2016.
Goldman Sachs poursuit son déploiement vers les particuliers. La banque américaine a annoncé mardi le lancement de Marcus Invest, une plateforme automatisée de gestion de patrimoine qui permettra d’investir en actions et en obligations via des ETF. Elle proposera aussi des plans de retraite. Ce robo advisor sera accessible pour les clients de Marcus, la banque privée digitale de Goldman Sachs. Des rumeurs avaient circulé fin 2020 sur ce projet.
Amazon a esquissé un projet de création de monnaie digitale en publiant une offre d’emploi. «Nous recherchons un leader pour nous aider à lancer un nouveau produit de paiement, avec le Mexique comme premier pays de lancement. Ce produit permettra aux clients de convertir leurs espèces en monnaie numérique, ce qui leur permettra de profiter de services en ligne, notamment pour acheter des biens et/ou des services comme Prime Video», souligne le géant américain de l’e-commerce. Amazon n’est pas novice en matière de monnaie numérique: en 2013, la société a lancé des ‘Amazon Coins’, des jetons uniquement utilisables sur sa plateforme pour acheter des objets ou des applications à des tarifs plus attractifs.
La plateforme de paiement néerlandaise Adyen a annoncé un revenu net de 684,2 millions d’euros en 2020, en hausse de 28% par rapport à 2019. Son bénéfice avant impôts (Ebitda) s’élève à 402,5 millions d’euros, contre 317 millions en 2019, dépassant les 386 millions attendus par le consensus Refinitiv. La société a traité 303,6 milliards d’euros de transactions en 2020, en hausse de 27% par rapport à 2019, en particulier sur le marché américain (+70%). Pendant la crise, elle a diversifié son portefeuille en ciblant notamment des entreprises de taille intermédiaire, lui permettant ainsi de compenser la baisse des volumes de l’industrie touristique.
Amazon a esquissé un projet de création de monnaie digitale en publiant une offre d’emploi. «Nous recherchons un leader pour nous aider à lancer un nouveau produit de paiement, avec le Mexique comme premier pays de lancement. Ce produit permettra aux clients de convertir leurs espèces en monnaie numérique, ce qui leur permettra de profiter de services en ligne, notamment pour acheter des biens et/ou des services comme Prime Video», souligne le géant américain.
La plateforme de paiement néerlandaise Adyen a annoncé un revenu net de 684,2 millions d’euros en 2020, en hausse de 28% par rapport à 2019. Son bénéfice avant impôts (Ebitda) s’élève à 402,5 millions d’euros, contre 317 millions en 2019, dépassant les 386 millions attendus par les analystes dans un sondage Refinitiv. Adyen s’attend à une amélioration de sa marge opérationnelle sur Ebitda à long terme à plus de 65%, contre 59% en 2020.
Meilleur qu’attendu, le chiffre d’affaires d’Ant Group a progressé de 37 % à 221 milliards de yuans (28,4 milliards d’euros) sur la période octobre-décembre 2020. Le géant chinois vient de dévoiler son chiffre d’affaires du dernier trimestre de l’année dernière, alors qu’un accord vient d’être trouvé il y a quelques jours avec Pékin, en vue de la cotation d’Alibaba. Il y a deux mois, l’entrée en Bourse de sa filiale de paiement avait été retoquée par le gouvernement chinois. Fort de ces bonnes nouvelles, le géant de la distribution en ligne en a profité pour émettre 5 milliards de dollars sur les marchés obligataires.
Usine. Transactis, le processeur de paiements filiale de la Société Générale et de La Banque Postale, a gagné l’appel d’offres lancé en juillet 2020 par la Banque de France et par la Caisse des dépôts pour opérer leurs paiements instantanés. Les deux institutions souhaitent ainsi offrir à leurs propres clients une solution de processing pour les paiements instantanés et les échanges interbancaires, incluant le filtrage des flux et la lutte contre la fraude. Grâce à ce nouveau contrat, Transactis détient désormais 30 % du marché français de l’instant payment, contre 25 % du marché français des paiements. L’entreprise a traité 30 millions de transactions instantanées depuis le lancement de son offre, elle gère près de 17 millions de cartes bancaires, soit 10.000 milliards d’autorisations de paiement et de retrait par an, et 1,7 milliard de virements et prélèvements annuels.
Evolution. La néo-banque Revolut prend goût au télétravail, mais plus à 100 %. Alors que l’ensemble de ses employés travaillent exclusivement à domicile depuis mars 2020, la fintech s’est décidée début février à leur donner plus de latitude. Place à l’hybride pour « la majorité de ses plus de 2.000 employés » qui pourront « choisir quand et à quelle fréquence ils souhaitent travailler à domicile ou se rendre sur leur lieu de travail », selon un communiqué. Pour l’occasion, les bureaux de la société dans les différents pays où elle est implantée vont se transformer en « Rev Labs ». Ils offriront environ 70 % d’espaces consacrés à la collaboration et au travail en équipe, une proportion déterminée en réponse aux commentaires des salariés. Réputée pour son exigence vis-à-vis de ses collaborateurs, la fintech ouvrira en 2021 de nouveaux Rev Labs là où elle n’est pas présente, et réaménagera ses bureaux existants.
La fintech française annonce avoir traité un volume d’affaires de 3,1 milliards d’euros de flux de paiement en 2020, en croissance de 62 % par rapport à 2019.
La fintech Libeo a bouclé un tour de table de 20 millions d’euros, indique-t-elle dans un communiqué ce jeudi matin, dont L’Agefi a eu connaissance. Cette levée de fonds de 20 millions d’euros a été réalisée auprès des partners de DST Global, Serena, LocalGlobe et Breega, ainsi que de business angels de renom (fondateurs et dirigeants de Transferwise, iZettle, Klarna, Farfetch, Criteo). C’est la troisième levée annoncée par Libeo en un peu plus d’un an. Spécialisée dans le paiement entre entreprises en Europe, elle précise sécuriser les transactions des TPE-PME en les connectant directement, leur permettant ainsi de se régler sans avoir à saisir d’IBAN ou se connecter à leur banque. En 2020, le volume de paiement traité par la fintech a atteint 100 millions d’euros, étant «multiplié par trente».