La fintech Revolut a annoncé mercredi un partenariat avec Wakam, spécialiste de l’assurance digitale en Europe, et à l’assurtech Qover, pour proposer une nouvelle garantie d’assurance couvrant ses clients détenteurs d’une carte Revolut Metal, Premium ou Plus en cas de dommages, de vol ou de contentieux. Cette assurance est lancée dans 33 pays, indique la fintech britannique dans un communiqué. Revolut revendique 13 millions de clients.
L’entreprise canadienne de e-commerce Shopify a indiqué mardi qu’elle allait étendre son option de paiement, «Shop Pay», à tous les utilisateurs choisissant de vendre sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram - ce dernier appartient à Facebook. Ce sera la première fois que ce service sera disponible hors de la plateforme de Shopify. Cela va permettre à la société de profiter de la montée en puissance de l’achat via les plateformes de médias sociaux, phénomène qui s’est renforcé durant la pandémie de Covid-19. Cette option devrait être disponible aux Etats-Unis sur Instagram dès ce mardi, et sera lancée sur Facebook ces prochaines semaines, a indiqué la société dans un billet de blog.
L’entreprise canadienne de e-commerce Shopify a indiqué mardi qu’elle allait étendre son option de paiement, «Shop Pay», à tous les utilisateurs choisissant de vendre sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram - ce dernier appartient à Facebook.
Le constructeur américain de voitures électriques Tesla a annoncé hier avoir acquis en janvier pour 1,5 milliard de dollars de bitcoins. Il envisage aussi d’accepter la crypto-monnaie comme moyen de paiement pour l’achat de ses véhicules, «sous réserve des lois applicables et initialement de manière limitée», selon un document transmis à la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme boursier américain. Ce communiqué fait flamber les cours du bitcoin lundi. Ceux-ci ont pris jusqu'à 16% en séance, touchant un nouveau record de 44.795 dollars. «En janvier 2021, nous avons modifié notre politique d’investissement afin de disposer d’une plus grande souplesse pour diversifier et optimiser les rendements de [notre] trésorerie», précise Tesla. «Nous pourrons investir une portion de ce cash dans certains actifs alternatifs de réserve tels que les actifs digitaux, l’or, les fonds indiciels cotés sur l’or, et d’autres actifs ainsi que spécifié dans le futur», ajoute le groupe.
Le constructeur américain de voitures électriques Tesla a annoncé lundi avoir acquis en janvier pour 1,5 milliard de dollars de bitcoins. Il envisage également d’accepter la crypto-monnaie comme moyen de paiement pour l’achat de ses véhicules, «sous réserve des lois applicables et initialement de manière limitée», selon un document transmis à la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme boursier américain.
Les investisseurs décidément en mal d’émotions fortes ces derniers temps ont choisi d’interpréter la modification de la biographie d’Elon Musk (#bitcoin, postée le 29 janvier dernier) comme une invitation à investir dans la plus célèbre des cryptomonnaies. En conséquence, le bitcoin s’est apprécié en une seule journée de 17 %, à près de 37.000 dollars, avant de retomber en dessous des 30.000 dollars. Voici quelques semaines, le patron de Tesla avait vanté le site d’e-commerce Etsy, provoquant une envolée du cours de plus de 18 %. Le décryptage des oracles est quant à lui laissé à l’appréciation des près de 45 millions de fidèles « followers » d’Elon Musk.
Les partisans du Brexit ont beau jeu d’agiter le poids des réglementations européennes comme obstacle à la souveraineté britannique. Qu’on se sent léger sans ce carcan ! C’est peut-être pour cela que Mastercard a fait s’envoler ses frais d’interchange, les commissions prélevées sur les achats de ses clients. Dès octobre, une fois la période de transition terminée, Mastercard prélèvera 1,5 % de la valeur de toute transaction en ligne payée par une carte britannique auprès d’un commerçant européen. Cinq fois le taux plafond fixé par les règles européennes.
Le feuilleton Ant se poursuit. La filiale de services financiers d’Alibaba et les régulateurs chinois ont conclu un accord sur un plan de restructuration transformant le groupe de Jack Ma en une holding financière, selon les informations de Bloomberg. La holding serait ainsi soumise à des exigences de fonds propres similaires à celles des banques. Ant pourrait annoncer officiellement ce plan de restructuration la semaine prochaine. «Le plan prévoit de placer toutes les activités d’Ant dans la holding, y compris ses offres technologiques dans des domaines comme la chaîne de magasins et la livraison de nourriture», précise Bloomberg. Ces nouvelles règles visent notamment à «ralentir le rythme d’expansion» de la fintech par le gouvernement chinois, après avoir notamment bloqué son processus d’introduction en Bourse (IPO).
Le feuilleton Ant se poursuit. La filiale de services financiers d’Alibaba et les régulateurs chinois ont conclu un accord sur un plan de restructuration transformant le groupe de Jack Ma en une holding financière, selon les informations de Bloomberg. La holding serait ainsi soumise à des exigences de fonds propres similaires à celles des banques. Ant pourrait annoncer officiellement ce plan de restructuration la semaine prochaine.
A la suite de l'émergence des fintech, «aucun ajustement généralisé n’a été apporté à la réglementation financière afin de tenir compte de leurs activités en tant que fournisseurs de services financiers», estime la Banque des règlements internationaux dans une étude. Si certaines catégories - banques numériques ou plateformes de financement/crédit - sont identifiées par la règlementation, la BRI regrette que le cadre règlementaire actuel ne contrôle pas les risques liés à l’émergence des nouveaux acteurs, mais cherche plutôt à «promouvoir» une concurrence accrue ou l’inclusion financière. Selon l’institution, les nouveaux acteurs bénéficieraient de règles «plus légères» contrairement aux acteurs traditionnels. La BRI recommande d’instaurer des conditions de concurrence «équitables» dans la fourniture de services financiers.
A la suite de l'émergence des fintech, «aucun ajustement généralisé n’a été apporté à la réglementation financière afin de tenir compte de leurs activités en tant que fournisseurs de services financiers», estime la Banque des règlements internationaux dans une étude.
National Australia Bank (NAB) va acquérir la néobanque australienne 86400 pour une valeur de 220 millions de dollars. A ce jour, NAB détient une participation approximative de 18,3% de la néobanque qui revendique 85.000 clients et 375 millions de dollars de dépôts. L’objectif de NAB est de la combiner avec son activité de banque directe UBank, qui compte 60.000 clients.
National Australia Bank (NAB) a annoncé qu’elle allait acquérir la néobanque australienne 86 400 pour une valeur de 220 millions de dollars. A ce jour, NAB détient une participation approximative de 18,3% de la néobanque qui revendique 85.000 clients et 375 millions de dollars de dépôts. L’objectif de NAB est de la combiner avec son activité de banque directe UBank, qui compte 60.000 clients.
Boostée par la crise du Covid, la fintech a publié les chiffres de sa croissance. Outre l'assurance vie, elle veut proposer de nouveaux produits cette année.
Le timing est bien choisi. A l’heure où un rapportaccuse les robo-advisors européens de manquer de transparence, Nalo a décidé de parler. La fintech française annonce avoir atteint 150 millions d’euros d’encours sous gestion fin 2020, contre 30 millions en 2019. Elle prévoit 170 millions d’encours sous gestion en janvier 2020.
La néobanque brésilienne Nubank a annoncé avoir levé 400 millions de dollars dans le cadre d’une série G, portant son financement total à 1,2 milliard de dollars. L’opération a été menée par GIC, le fonds de Singapour, Whale Rock et Invesco. Ses investisseurs historiques Tencent, Dragoneer, Ribbit Capital et Sequoia ont également participé à l’opération. La fintech est désormais valorisée 25 milliards de dollars. A ce jour, elle revendique 34 millions d’utilisateurs. «Nous sommes passés de 12 millions de clients en 2019 à 34 millions sur la seule base du bouche-à-oreille», se targue David Velez, co-fondateur et PDG de la société.
La néobanque brésilienne Nubank a annoncé avoir levé 400 millions de dollars dans le cadre d’une série G, portant son financement total à 1,2 milliard de dollars. L’opération a été menée par GIC, le fonds de Singapour, Whale Rock et Invesco. Ses investisseurs historiques Tencent, Dragoneer, Ribbit Capital et Sequoia ont également participé à l’opération.
La néobanque allemande N26 revendique aujourd’hui 7 millions de clients, dont 2 millions de clients arrivés au cours de l’année 2020. En France, N26 a convaincu 1,7 million de Français, soit une hausse de +60 % de clients sur l’année 2020. La banque mobile revendique un volume de transactions de 5,5 milliards d’euros par mois en 2020, précise la banque dans un communiqué. Cette année, la banque mobile se prépare à lancer de nouveaux services, notamment sur le trading. La banque pense également faire évoluer son offre produits, sur des cartes virtuelles, des statistiques plus avancées et de nouvelles fonctionnalités pour les sous-comptes. Lancée en 2015, la néobanque qui compte 1.500 salariés répartis dans huit villes, prévoit d’embaucher 200 personnes supplémentaires cette année.
Open banking. La Banque Postale Financement change de nom et devient La Banque Postale Consumer Finance. Elle lance également une plate-forme d’API appelée LBPCF Business Solution afin de proposer son offre de crédit à la consommation à ses partenaires qui pourront ainsi offrir du crédit à leurs propres clients. Cette interface offre un parcours complètement digital multiproduit capable de gérer la fraude, l’entrée en relation et d’utiliser l’accès aux comptes bancaires du candidat au crédit (grâce à la deuxième directive sur les services de paiement) pour affiner son score d’octroi. La solution a été mise en place pour les clients de La Banque Postale dans un premier temps, elle est désormais disponible pour des partenaires hors du groupe et devrait permettre à LBP Consumer Finance de développer son activité et d’acquérir de nouveaux clients.
Accélération. Spécialiste du paiement fractionné ou différé, la fintech Alma a levé 49 millions d’euros lors d’un tour de table de série B mené par le fonds d’investissement Cathay Innovation et réunissant Idinvest, le fonds large venture de Bpifrance, ainsi que Seaya Ventures et Picus Capital. La start-up a également obtenu un prêt de 21 millions d’euros de la part d’investisseurs institutionnels et de particuliers à hauts revenus. Fondée en 2017, Alma s’est constituée une clientèle de marchands grâce à son offre de paiement fractionné qui leur permet d’augmenter leurs ventes. Elle vient de lancer Pay Later, un service de paiement différé de quinze jours à un mois, qui correspond également aux attentes des commerçants et de leurs clients pour faciliter certains achats coûteux tout en gardant la maîtrise de leur budget.