La stratégie de développement-rentable mise en ??uvre depuis 2 ans permet à MMA d’enregistrer une croissance de 4,9% de son chiffre d’affaires en 2010 et de dépasser le cap des 6 milliards d’euros. L’exercice 2010 est marqué par un fort développement de l’activité en Vie (+ 12,9%). La forte dynamique commerciale permet de gagner plus de 114 500 contrats sur le marché des particuliers (Automobile, Santé, Epargne) pour un chiffre d’affaires en progression de 8%. Toutes activités confondues, MMA gère 7,5 millions de contrats (+ 1,2%) pour le compte de 3,3 millions de sociétaires et clients. Sur le plan financier, tous les indicateurs 2010 viennent confirmer la validité du modèle MMA: - le résultat net atteint 144 millions d’euros, après exit tax, - les fonds propres augmentent de 5,8%, à 2 869 millions d’euros, - le ratio de solvabilité s'établit à 312,1% (+ 5,4 points). Le chiffre d’affaires en 2010 est de 6 212 millions d’euros, contre 5 920 millions d’euros en 2009. Dont 4 316 millions d’euros en IARD et 1 896 en Vie. Pour Thierry Derez, Président de MMA, déclare « L’exercice 2010 vient valider les choix stratégiques opérés par MMA. Le Groupe s’est engagé dans une politique de développement rentable qui porte ses fruits et permet non seulement de gagner des parts de marché sur ses axes stratégiques mais également d’afficher une bonne solidité financière dont il peut faire bénéficier ses assurés. MMA mène avec détermination une relation de proximité avec ses sociétaires et clients, relation dont les agents généraux restent plus que jamais au c??ur du dispositif.»
L’assureur doit faire aujourd’hui une importante annonce. Hubert Chemla, son actuel président, ne sera pas reconduit mais dément toute difficulté financière. L’Européenne d’Assurances est-elle à vendre ? La rumeur, qui courre depuis des mois, n’a cessé d’enfler hier. « Ca se pourrait », a fini par lâcher du bout des lèvres Hubert Chemla, son actuel président du directoire, tout en prévenant qu’une importante annonce serait faite ce mercredi matin. Seule certitude, confirmée par plusieurs sources proches du dossier : Hubert Chemla ne sera pas reconduit à la présidence à l’issue de son contrat, qui prend fin le 30 juin. Il dément en revanche que la compagnie, filiale du réassureur allemand Munich Re, soit en difficulté financière. « Nos résultats 2010 n’ont pas été bons à cause de nos contrats avec Go Voyages et Voyage Privé, qui n'étaient pas rentables, explique-t-il. Mais on les a résiliés tous les deux, le premier en août 2010, le second en novembre, et on se sent beaucoup mieux aujourd’hui. La conséquence, c’est qu’on a effectivement perdu du chiffre d’affaires, mais c’est volontaire. Ce qui m’intéresse n’est pas de faire du CA mais du résultat. Et on continue à répondre à des appels d’offre tous les jours. » Interrogé, Go Voyages se montre pourtant plus nuancé sur les circonstances de résiliation du contrat : « ça s’est fait d’un commun accord », explique l’agence en ligne. De même, certains acteurs du secteur de l’assurance voyage pointent du doigt une structure surdimensionnée par rapport au portefeuille de la compagnie. « Ils vont être obligés de réduire leurs coûts, confie l’un d’eux, et sans doute réduire leur personnel. » Mais l’ombrelle de Munich Re, qui a déjà recapitalisé sa filiale récemment, met a priori l’Européenne à l’abri d’une défaillance.
«Dans le cadre de l'évolution de la gouvernance et de la direction de Michelin, les associés commandités du groupe ont décidé, avec l’accord du conseil de surveillance, de mettre un terme au mandat de gérant non-commandité de Didier Miraton», a annoncé Michelin dans un communiqué, confirmant ainsi des informations publiées la veille par le quotidien Le Monde. Didier Miraton percevra 1,8 million d’euros brut d’indemnités, soit, après prélèvements fiscaux et sociaux, 820.000 euros environ, un montant égal aux rémunérations (fixe et variable) perçues au titre des exercices 2009 et 2010. Le départ du directeur général du centre de technologie du fabricant de pneumatiques, dont le mandait courait jusqu’en mai 2012, intervient quelques semaines après l’intronisation de Jean-Dominique Sénard, autre cogérant non commandité, comme futur patron de Michelin.
Dans une interview à la Börsen-Zeitung, Georg Schuh, CIO de Deutsche Asset Management (DeAM, groupe Deutsche Bank), estime que le point bas de la crise actuelle ne sera atteint que dans cinq ans. «Actuellement, nous n’avons que les deux tiers des abaissements de notes derrière nous», ajoute-t-il.La note moyenne des Etats de la zone euro se situe encore à «AA». Les membres actuels ne retrouveront un AAA qu’au bout d’un à deux cycles conjoncturels, ce qui peut durer dix ans ou davantage.Le statut de valeur refuge des obligations allemandes est compromis, d’après Georg Schuh. En termes absolus, l’Allemagne n’est plus un havre de sécurité, même si, en termes relatifs, le pays est encore l’un des plus sûrs.
Sur proposition conjointe de MM. Jean Azéma, président de la Fédération française des sociétés d’assurance mutuelle (FFSAM) et Gilles Benoist, président de la Fédération française des sociétés anonymes d’assurance (FFSAA), M. Bernard Spitz a été réélu à l’unanimité président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA) par l’Assemblée générale de ce jour pour un mandat de trois ans. M. Bernard Spitz est président de la FFSA depuis le 1er octobre 2008. Il est membre du bureau du MEDEF. Maître des requêtes au Conseil d’Etat, il a été conseiller au cabinet du premier ministre Michel Rocard. Ancien journaliste au quotidien Le Monde, il s’est vu confier par le Président de la République Nicolas Sarkozy l’organisation des Etats Généraux de la Presse en 2008. Il est également l’auteur de nombreux ouvrages dont Notre Etat (avec Roger Fauroux, Robert Laffont, 2001), Le Papy Krach (Grasset, 2006), C’est possible, Voici Comment (avec Michel Pébereau, Robert Laffont, 2007).
Didier Miraton, un des trois cogérants de Michelin, s’apprête à quitter ses fonctions, rapporte Le Monde sur son site internet. Le départ du directeur général du centre de technologie du fabricant de pneumatiques, dont le mandait courait jusqu’en mai 2012, devrait être annoncé mardi 21 juin, ajoute le journal. Ce départ intervient quelques semaines après l’intronisation de Jean-Dominique Sénard comme futur patron de Michelin.
Alors qu’elle fête cette année son vingtième anniversaire, la société de gestion Tocqueville Finance annonce vouloir doubler ses encours, à environ 4 milliards d’euros, à un horizon de trois ou quatre ans, et ainsi renouer avec les niveaux atteints avant la crise, en juillet 2007. Aujourd’hui, la boutique de gestion, désormais détenue à 75 % par la Banque Postale, gère quelque 2 milliards d’euros, après avoir touché un plancher à 1,3 milliard d’euros en mars 2009. Sa clientèle principale, et historique, est celle des conseillers en gestion de patrimoine indépendants. Mais la société cherche aussi à développer une autre clientèle historique, celle de la gestion privée, et se renforcer à l’étranger, un segment qui représente aujourd’hui moins de 20 % de ses encours. «Nous avons trois moteurs de développement», indique Bruno Julien, son directeur général, au cours d’une interview à Newsmanagers : la France, l’Europe et la gestion privée. Le doublement de nos encours doit se faire au sein de ces trois pôles», précise-t-il.Pour piloter cette croissance, Tocqueville Finance va accueillir prochainement un directeur du développement, qui chapeautera la distribution française, européenne et le marketing, soit 12 personnes. Ce «spécialiste du développement», dont le nom n’est pas encore connu, doit arriver «le plus rapidement possible», détaille Bruno Julien. La feuille de route du nouveau venu fera la part belle à l’international. Tocqueville Finance a déjà des clients en Europe, notamment en Suisse, au Luxembourg, en Belgique et en Italie. La société y a enregistré la plupart de ses fonds, ainsi qu’en Espagne et en Allemagne. Elle dispose même d’une équipe commerciale à Genève. Mais elle veut désormais aller plus loin. Un «plan de développement européen» sera soumis au conseil de Tocqueville Finance. L’idée est de définir les pays qu’il faut cibler, et, pour chacun, la clientèle qu’il convient d’aborder. En termes de produits, des fonds reposant sur des expertises géographiques ou thématiques de la maison seront commercialisées, aux cotés de certains de ses fonds phares. «Nous avons des fonds à thématique comme Tocqueville Gold ou des fonds d’actions européennes comme Tocqueville Value Europe et Ithaque qui se prêtent parfaitement à une clientèle européenne plus large», confirme Bruno Julien. Enfin, concernant les institutionnels français, qui représentent, eux aussi, moins de 20 % des encours, des efforts sont également menés à leur endroit. " Cette clientèle nous pousse à l’excellence et nous avons conçu pour eux des reportings spécifiques», détaille Bruno Julien. Ce dernier souligne que l’adossement à la Banque Postale constitue une aide auprès de cette clientèle d’institutionnels.
L’association d'épargnants aurait décidé de poursuivre Gérard Athias et André Le Saux pour préjudice moral, selon Les Echos qui reprend une information divulguée par le site News Assurances Pro. Cette action intervient une semaine avant l’assemblée générale de l’Afer le 29 juin. Gérard Athias et André Le Saux avaient été définitivement condamnés pour avoir détourné une partie des droits d’entrée entre décembre1986 et juillet1997. Entre l’impact estimé de cette affaire sur le nombre d’adhésions et les frais de justice qu’elle a engagés, l’Afer leur réclamerait entre 3 et 5 millions d’euros.
Single family offices are seeking to increase their investments in alternative management, according to a study by the Rothstein Kass Family Office Group, the unit dedicated to family offices at the Rothstein Kass services group (“Raising Capital from Single-Family Offices: Considerations for Financial Firms.”) Nearly 90% of executive directors of single-family offices (SFO) interviewed for the study say that they will very likely allocate additional funds to single hedge funds this year. With this in mind, the preferred strategies of investors are long/short equity (53%), arbitrage (33%), managed futures (25%), and global macro (25%). Nearly 70% of heads surveyed are also planning to increase their allocation to the private equity sector, with a preference for the established players for 59% of respondents, followed by mezzanine debt (39%) and secondary financing (32%). The study finds that the investible means of SFO are about USD416m on average in 2011, compared with USD236m in 2010. In the vast majority of cases, SFOs rely on external investment professionals, while only 22% say that they also have internal management capacities.
Dans une interview accordée au journal, le directeur général d’Aegis Jerry Buhlmann a déclaré que le groupe de médias britannique resterait indépendant, à moins qu’une offre de rachat soit faite «à un prix très, très élevé». Le dirigeant ajoute qu’aucune décision n’a encore été prise concernant le rachat potentiel de la filiale d’Aegis Synovate par Ipsos.
La société d’investissement Eurazeo a annoncé vendredi qu’elle allait déposer dans la journée son projet d’offre publique d'échange simplifiée sur le solde du capital de son petit concurrent OFI Private Equity, dont elle détient déjà 75% des actions rachetées en partie à la Macif. La société d’investissement Eurazeo avait annoncé le 26 avril le rachat des participations de l’assureur mutualiste Macif, du président d’OFI Private Equity Olivier Millet et des autres grands actionnaires, représentant 75% du capital et 79% des bons de souscription d’action de cette société française cotée spécialisée dans les prises de participations majoritaires dans les PME. L’appel d’offre quoi finalisera l’acquisition durera quinze jours et sera ouverte dès l’obtention de la déclaration de conformité de l’Autorité des marchés financiers, a précisé Eurazeo dans un communiqué. La parité de l’offre publique d'échange simplifiée sera identique à celle de l’accord passé avec les grands actionnaires : Eurazeo propose 10 de ses propres actions pour 54 actions de sa cible ou 1 de ses actions pour 110 de ses bons de souscription d’actions. Si le seuil des 95% du capital et des droits de vote (qui permet un retrait obligatoire de la cote) n’est pas franchi, « une fusion avec Eurazeo pourrait être proposée aux actionnaires d’OFI Private Equity », a souligné la société d’investissement.
Aviva vient d’annoncer la nomination de Philipe Maso y Guell Rivet en tant que directeur Général d’Aviva France. Il remplace Nicolas Schimel qui assurait l’ « interim » à ce poste après la démission de Jean-Pierre Menanteau en novembre 2010. Philippe Maso y Guell Rivet devient donc le nouveau directeur général d’Aviva France et prendra ses fonctions le 1er juillet prochain. Sa nomination a été soumise à l’approbation des autorités de contrôle tout comme celle de directeur Souscription, Tarification et Produits d’Aviva Europe. Ce dernier sera également membre du comité exécutif d’Aviva Europe et président du conseil d’administration d’Aviva France. Précédemment, Philippe Maso y Guell Rivet occupait le poste de CEO d’Axa Insurance au Royaume-Uni (de 2008 à 2010), après y avoir été directeur financier du Groupe. Il a également occupé de hautes fonctions à la division finance d’entreprise (corporate finance) et gestion des risques du groupe Axa. L’homme a débuté sa carrière chez Mazars avant de travailler au sein du Groupe UAP. Philippe Maso y Guell Rivet remplace donc Nicolas Schimel qui assurait de manière transitoire la fonction de directeur général après le départ de Jean-Pierre Menanteau. Nicolas Schimel occupera désormais le poste de président directeur général de l’Union Financière de France, banque conseil en gestion de patrimoine cotée à Paris et détenue majoritairement par Aviva France.
La MCDef, mutuelle civile de la Défense, qui compte 146.000 adhérents, a voté mercredi à l’unanimité son affiliation au groupement de mutuelle Istya. « Nous nous félicitons de la décision de la MCDef de rejoindre notre union mutualiste de groupe », a déclaré par communiqué le président du groupe Istya. Selon Thierry Beaudet, le groupe a en effet « la vocation de s’ouvrir à toutes les mutuelles ». En septembre prochain, l’Assemblée générale du nouveau groupe de protection sociale complémentaire (voir notre article), né du regroupement de cinq mutuelles (MGEN, MNT, MNH, MGET et MAEE), se réunira pour approuver cette entrée, effective début 2012. Les comptes de la MCDef seront consolidés avec ceux des cinq autres mutuelles dès la clôture du premier exercice du groupe Istya, fin 2012. Issue de la fonction publique comme ses futurs partenaires, la MCDef est référencée par le ministère de la Défense pour la protection de ses agents civils. Elle est également active auprès de certaines des plus grandes entreprises privées de la défense (Giat Industries/Nexter, SNECMA, MBD.A). La MCDef, qui dispose d’une offre de protection sociale complémentaire complète en santé et prévoyance, en individuel et collectif, pour les agents publics et les entreprises, la MCDef a fait le choix de rejoindre le groupe Istya pour favoriser son développement. En parallèle, elle fera bénéficier l’union mutualiste de groupe de son expérience en matière de contrats collectifs d’entreprises.
A fin mai, les encours sous gestion des ETF négociés en Italie ont franchi la barre des 20 milliards d’euros, selon Il Sole – 24 Ore. Cela représente une hausse de 27,4 % sur un an. Par ailleurs, dans une interview à Il Sole, Marcello Chelli, référent pour l’Italie des ETF de Lyxor (Société Générale), estime que les ETF européens constituent un «benchmark» pour l’ensemble du secteur mondial. «Etant soumis à la directive européenne Ucits III, les ETF européens sont des fonds bien réglementés, et non des produits dérivés».
As of the end of May, assets under management in ETFs listed in Italy had topped EUR20bn, Il Sole – 24 Ore reports. That represents an increase of 27.4% year on year. In an interview with Il Sole, Marcello Chelli, in charge of Italian ETFs at Lyxor (Société Générale), says that European ETFs are a “benchmark” for the global industry as a whole. “Being subject to the European UCITS III directive, European ETFs are well-regulated funds, and not derivative products.”
In an interview with the Börsen-Zeitung, Martin Flanagan, president & CEO of Invesco, says that the US management firm currently has USD35bn in assets in western Europe. He is convinced that there is more ground to be gained here, particularly in Germany, where the firm currently manages about USD8bn (out of a total of USD661bn).
Fitch Ratings believes that Solvency II, the new regulatory regime for European insurers from 1 January 2013, is set to transform how insurers invest their assets and could lead to asset reallocations impacting pricing or demand in several asset classes. European insurers are the largest investors in the European financial markets, holding EUR6.7trn of assets including more than EUR3trn of government and corporate debt. The new rules will force insurers to value asset and liabilities at market value in determining their solvency position and to hold explicit capital to reflect short-term volatility in the market value of assets. This means that insurers’ asset allocations will be heavily influenced by Solvency II capital charges reflecting the price volatility of each asset class - a fundamental change from current asset allocations, which are driven by expected long-term investment returns. «If the current Solvency II proposals were fully implemented on 1 January 2013, insurers would be expected to carry out significant changes to asset portfolios to optimise their capital position under the new rules,» says Clara Hughes, Director in Fitch’s Insurance team. «This would have ramifications for certain segments of the European debt markets. The main impacts would be a shift from long-term to shorter-term debt; an increase in the attractiveness of higher-rated corporate debt and government bonds; diversification of large asset holdings; an increase in the attractiveness of covered bonds; a preference for assets based on the long-term swap rate and a shift from short-dated paper to deposits.» «Fitch expects to see better duration matching with derivatives such as swaps and floors and an increase in downside protection to mitigate the impact of the new capital charges,» says Aymeric Poizot, Senior Director in Fitch’s Fund and Asset Management team. «Fitch also anticipates an increase in financial engineering to create Solvency II-friendly assets such as reverse repos and structured notes, which can optimise return on capital.» However, Fitch considers it unlikely that large-scale reallocations will happen in the short term as transitional arrangements are likely to phase in implementation of Solvency II over several years. «Transitional arrangement may give insurers up to ten years to adapt their business and investment strategies to the new regime,» says Hughes. «The calibration of Solvency II is still under discussion, so the capital charges for asset risk and price volatility may not be as onerous as the current draft, mitigating the impact on investment markets.» Insurers will also have the option to calculate their capital position using an internal model rather than the proposed standard formula. This could offset the impact of any capital requirements in the standard formula that do not accurately reflect the risk in insurers’ portfolios. Fitch will issue a full report on this topic later this month, and will hold conferences in Frankfurt (16 June 2011), London (24 June 2011) and Paris (27 June 2011) to discuss the subject. Source : Fitch Press Release
L’assureur suisse Zurich Financial Services (ZFS) a annoncé mercredi vouloir transférer des contrats d’assurance représentant environ 950 millions de dollars (660,9 millions d’euros) d’actifs bruts à son compatriote Swiss Re. Une des filiales britanniques de ZFS, Zurich Specialties London, va transférer un portefeuille d’assurance à Swiss Re, a précisé l’assureur dans un communiqué. Cette opération devrait permettre de rapatrier à la maison mère environ 360 millions de dollars, a-t-il souligné, ajoutant que cette transaction faisait partie d’un effort plus vaste visant à redéployer 1,5 milliard de capital.
Dès sa création en 1816, la Caisse des Dépôts s'est vu confier la gestion des systèmes de retraite publique. Cette responsabilité participe de sa mission première : assurer la sécurité financière des Français, contribuer au développement de l'épargne et de la prévoyance. Aujourd'hui, sa direction des Retraites étend sa gestion à 46 mandats dans le domaine de la protection sociale. Au total, elle est en relation avec 7,4 millions de cotisants à un ou plusieurs fonds, avec 3,4 millions de pensionnés et 75 000 employeurs publics. En 2010, elle a perçu 26,8 milliards d'euros de financement et elle a versé 21,9 milliards d'euros de prestations.