Altarea Cogedim a signé une Vefa avec Les Assurances du Crédit Mutuel pour le siège de Mercedes-Benz France, à Montigny-le-Bretonneux (78). « Nous sommes heureux, quelques jours après la pose de la première pierre du Star Center, futur siège social de Mercedes-Benz France, de voir que cette opération exemplaire a séduit un investisseur institutionnel. Et nous sommes fiers de compter les Assurances du Crédit Mutuel parmi les nouveaux partenaires d’Altarea Cogedim », a déclaré Stéphane Theuriau, président d’Altarea Cogedim Entreprise. Cet ensemble tertiaire signé par l’agence d’architecture UrbanAct (Alexandre Bouton) s’inscrit dans un projet ambitieux porté par la filiale française Mercedes-Benz France du groupe Daimler AG, visant à relocaliser son siège français dans un seul site pour regrouper deux entités : le siège Mercedes-Benz France incluant la Mercedes-Benz Academy et Mercedes-Benz France Financial Services France. Altarea Cogedim Entreprise s’est attaché à concevoir un ensemble exemplaire, conforme aux standards internationaux et loué sur la base d’un bail de douze ans fermes à un loyer de marché. Cette opération s’inscrit pleinement dans le cadre d’Altagreen, démarche de progrès d’Altarea Cogedim en faveur du Développement Durable. Le Star Center Mercedes-Benz France vise un niveau BREEAM Excellent pour le siège, BREEAM Industry niveau Good pour la Mercedes-Benz Academy et un passeport HQE® Bâtiment Durable niveau Excellent. Le siège sera BBC, conforme aux exigences de consommation énergétiques de la réglementation thermique 2012. L’ensemble immobilier s’intégrera dans un projet paysager global sur un terrain de 2 hectares. Le Star Center Mercedes-Benz France accueillera à son ouverture 700 collaborateurs du groupe. Lors de cette transaction, Altarea Cogedim Entreprise était conseillée par Stratégies &Corp et par l'étude Wargny-Katz et les ACM par l'étude Hitier.
P { margin-bottom: 0.08in; }A:link { } In an interview with Reuters relayed by Handelsblatt, Reinhard Bellet, head of passively-managed products at Deutsche Bank, stated that the major target is institutional investors, and that special custom portfolios will be offered to these clients. Deutsche Bank makes no pretences, and is not expecting to attract the retail client segment.The executive also states that Deutsche Bank is prepared to consider acquisitions of providers of ETFs or other funds, but that it has ruled out taking part in a price war on commissions.
Dans une interview à Reuters relayée par le Handelsblatt, Reinhard Bellet, responsable des produits passifs à la Deutsche Bank a souligné que la cible principale est celle des investisseurs institutionels et que des portefeuilles spécifiques sur mesure seront proposés à ces clients. La Deutsche Bank ne se fait pas d’illusion et ne compte pas réussir à attirer davantage de clientèle de particuliers.Le manager indique aussi que la Deutsche Bank est prête à envisager des achats de promoteurs d’ETF ou d’autres fonds, mais qu’en revanche elle exclut de participer à une guerre des prix en baissant ses commissions.
BNY Mellon a indiqué avoir obtenu trois brevets pour les processus développés par la société qui permettent de négocier des matières premières par le biais d’ETF. Les matières premières couvertes par les brevets comprennent également l’argent ainsi que d’autres métaux précieux et industriels."Ces brevets reconnaissent que BNY Mellon a créé un processus innovant qui transforme un métal ou d’autres matières premières qui sont généralement encombrants en des titres facilement négociables», souligne Joseph Keenan, responsable du pôle Global ETF Services pour le compte de BNY Mellon. BNY Mellon intervient en tant que conservateur ou administrateur pour environ la moitié de l’ensemble des ETF cotés aux Etats-Unis.
Introduction : la « super thématique » La gestion de portefeuille, institutionnelle et patrimoniale, est régulièrement agrémentée de « thématiques » d’investissement, au gré des cycles économiques ou des évolutions plus structurelles - réglementations prudentielles, infrastructures de marché, pure innovation financière...Fonds matières premières, fonds actions minimum variance, fonds obligataires crossover ou fonds jouant le retournement de la construction aux Etats-Unis, sont des exemples de thématiques récentes. Qu’en est-il sur plus long terme, sur la vingtaine d’années marquant l’essor de l’industrie de l’asset management : est-il possible de distinguer un mouvement général, un facteur commun à un ensemble de thématiques, bref une « super thématique » particulière ? Il faudrait pouvoir comparer le portefeuille moyen des investisseurs aujourd’hui à ce qu’il était à la fin des années 80, mais une tendance manifeste ressortirait : la diversification entre classes d’actifs. Principe fondamental connu avant d'être théorisé dans les années 50-70, validé empiriquement, la diversification des portefeuilles a franchi un palier en vingt ans. Le contexte historique a contribué à cela : déréglementation boursière, montée en puissance des marchés émergents, création de la monnaie unique, baisse des taux sans risque, et plus récemment émergence de nouvelles opportunités avec le deleveraging des banques. Aujourd’hui, les possibilités de diversification sont devenues très importantes (voir l’encart ci-contre).
P { margin-bottom: 0.08in; } The Swiss private bank Julius Baer is planning to double its personnel in Asia to more than 1,000 by 2015, the CEO of the firm, Boris Collardi, announced in an interview with the Chinese newspaper South China Morning Post. Julius Baer is planning to recruit investment experts in the region in order to meed demand from a fast-growing high net worth client segment. Asian clients are seeking returns of 10% to 20%, much higher than the 3% rates of return expected in Europe, Collardi observes.
Après un troisième cycle en ingénierie financière et une Maîtrise en économie appliquée à l'Université Paris-Dauphine, Jean-Philippe Olivier fait son service militaire dans la gendarmerie. « J'ai été intégré au niveau de l'Etat Major basé aux Invalides à Paris, plus précisément au sein du service contrôle de gestion, se souvient-il.
Actuellement les équipes politiques et techniques des deux mutuelles travaillent de concert aux différents aspects du dossier : statuts, agrément, organisation, validation par les Conseils d’administration respectifs, présentation en Assemblée générale. La création de l’UMG viamut devrait être effective en juillet 2013. Ainsi, Mutuelle Entrain et la MGC unissent leur savoir-faire dans une structure commune pour proposer une offre unique de complémentaire santé dédiée aux cheminots, aux salariés du groupe SNCF et à leur famille. Une offre individuelle adaptée Dans un premier temps, au 2ème semestre 2013, viamut choisit d’accueillir le jeune actif pour faciliter au mieux son entrée dans sa nouvelle vie profes-sionnelle en lui proposant une solution santé économique, complète et adaptée. Au-delà du simple prestataire en assurance, viamut entre dans une démarche sociale en accompagnant l’agent SNCF tout au long de sa vie au sein du groupe. Après cette première étape, il est prévu de compléter cette couverture santé spécifique ???jeunes actifs’ par une offre commune viamut à destination de tous les actifs du groupe SNCF. Armées pour les offres collectives. L’alliance Mutuelle Entrain et MGC donne à ces deux mutuelles historiques et légitimes du monde cheminot la capacité de répondre aux éventuels appels d’offre que les entreprises du secteur ferroviaire seront amenées à lancer. Dès à présent, viamut est candidat à l’appel d’offre européen lancé par la SNCF pour un contrat collectif obligatoire de complémentaire santé et pré-voyance pour les salariés contractuels - PS25. Pour Oliver TECHEC, président de Mutuelle Entrain : « Nous sommes deux acteurs majeurs de la protection sociale du monde ferroviaire. En addition-nant compétences, et savoir-faire, nous saurons répondre aux attentes des cheminots et de leur famille pour un maintien de leur couverture santé que ce soit dans un cadre individuel, ou collectif. » De son côté, Patrice GUICHAOUA, président de la MGC dé-clare : « Mutuelle Entrain et MGC se connaissent bien. Nous travaillons sur des projets communs depuis quelques temps déjà. Aujourd’hui, l’enjeu est de taille, c’est la qualité de la protection sociale des cheminots et de leur famille qui en dépend. »
P { margin-bottom: 0.08in; } The percentage of women worldwide in positions of responsibility remains low, and has risen little year on year: from 20% in 2011, to 21% in 2012, and 24% in 2013, according to the annual International Business Report 2013, a study of the percentage of women in management positions, published by Grant Thornton for International Womens’ Day.The study finds significant contrasts from one region to another: the best percentages of women in management positions are in South-East Asian countries (32%), Asia-Pacific (29%), and BRIC countries (28%). The big surprise is the Baltic countries, where 40% of senior management are women. At the other extreme, the regions where women have a more limited presence are North America (12%) and G7 countries (21%).Of the 41 countries of the study, China is the country which has the highest percentage of women among its senior personnel (51%), followed by Poland (48%) and Latvia (43%). At the other extreme is Japan (7%), The United Arab Emirates and the Netherlands (11%). Naturally, China is also the country with the largest increase in parity in management positions in the past twelve months (+25%). It is followed by Germany (+18%) and Poland (+17%). The countries where the parity rate has fallen most are Russia (-14%), Italy (-12%), and Switzerland (-8%).In France, the average has unfortunately risen little (+2%), with 26% of women in positions of responsibility. This percentage is aboe the global average (24%) and the European average (25%). There does still appear to be a long way to go to reach the goals set by the French government in the law of 27 January 2011, which set an objective of 40% women on boards of directors of publicly-traded businesses by 2017. Before the general shareholders’ meetings of 2013, Ethics & Boards reports, 27 companies of the CAC 40 and 73 companies of the SBF 120 had reached the 20% threshold set by law for 2014.However, 55% of respondents interviewed by Grant Thornton are opposed to quotas for the representation of women in the management of publicly-traded companies. France falls within this trend, with 51% opposed. Unsurprisingly, the regions which would like to see regulations in this area are the ones where women are less well represented (Northern Europe: 75%, North America: 32%).
Nathalie Chapelle a occupé le poste de Directeur Technique et Financier au Conservateur jusqu'à fin 2012. Elle est actuellement en recherche de missions de conseil. Elle a 15 ans d’expérience en Assurance-Vie, en Front Office Assurance chez BNP Assurances, en Allocation d’Actif chez Sogecap, en Direction Technique et Financière au Conservateur et 12 ans d’expérience managériale. Son profil Linkedin Son numéro de téléphone : 06 62 15 31 80 Son adresse email : chapellenat@free.fr Directeur Technique et Financier, Le Conservateur Février 2010 - Décembre 2012 : Encadrement de 25 personnes dans 5 Sous-Directions Pilotage de la solvabilité du groupe suivant les normes S1 et S2 Pilotage du Front Office Assurance (5 Md€) Mise en place d’une Sous-Direction Middle Office et contrôle Financier Participation aux piliers 2 et 3 de Solvabilité 2 Pilotage de la gestion financière Développements ALM, Solvabilité 2 pilier 1, allocation d’actifs Pilotage des résultats et de la rentabilité de la Mutuelle et des Tontines Développement d’outils de suivi et de contrôle (reportings actifs, méthodologies de définition de limites de risques, trésorerie prévisionnelle) Responsable Contrôle Permanent et Risques, de l’allocation de l’actif Euros (48 Md€), Sogecap janvier 2000 - décembre 2009 : Encadrement de 5 personnes Surveillance Permanente des risques opérationnels Cartographie des processus et des risques Responsable allocation d’actifs Définition avec l’ALM de l’Allocation d’actif et des couvertures d’actif Définition du timing d’investissement Pilotage de l'équipe de gestion obligataire dédiée chez SGAM ( 4 personnes) en charge du picking Sélection de fonds (actions, taux, private Equity, immobilier, alternatif) et d’actifs spécifiques (produits structurés) Suivi et analyse des performances / risques Gestion Financière, Natio-Vie (Groupe BNP) janvier 1997 - décembre 1999 De janvier à décembre 1999 : gestions actions, convertibles, dérivés actions, au sein de BNP Gestions De janvier à décembre 1998 : gestion directe taux, actions, monétaires chez Natio-Vie De janvier à décembre 1997 : Actuaire Financier à la gestion actif / passif Formation Institut des Actuaires Français, Actuaire (1994 - 1995) Ecole nationale de la Statistique et de l’Administration économique Finance (1991 - 1994) Société Financière des Analystes Financiers Analyste (SFAF)
Le rendement global de l’indice semestriel IPD France est de +2,5 %. Les commerces sont la seule catégorie d’actifs qui enregistre une hausse des valeurs sur ce dernier semestre, avec +0,4 % de rendement en capital au 31 décembre 2012. A l’opposé, le rendement en capital des bureaux est négatif, à un niveau encore plus bas que le semestre dernier, -1,5%. « Ces résultats reflète la détérioration de plusieurs indicateurs pour les bureaux : loyers de marché en baisse, vacance en surface en hausse et pour ce semestre, contraction des loyers courus », souligne Stéphanie Galiègue, directrice générale d’IPD France et Europe du sud. Au 2e semestre 2012, l’immobilier d’investissement tertiaire se place ainsi loin derrière les autres classes d’actifs, avec un rendement global positif de +2,5 %. La meilleure performance est celle des foncières cotées à +22,1 % (MSCI FR/ Real Estate). Viennent ensuite les actions (MSCI FR) et les obligations (JP Morgan GBI Global, FR 7-10 ans), avec respectivement +14,7 % et +7,5 %. Sur la même période, l’indice IPD pour les OPCI RFA (en partenariat avec l’ASPIM) présente une performance de +2,7 %. Lire la suite : cliquez ici
Italie ingouvernable ? Zone Euro même pas peur ! Le plus étonnant dans les élections italiennes n’est pas son résultat mais son impact limité sur les marchés. Le résultat des élections générales italiennes du 23 mars est que le centre gauche + le centre n’ont pas la majorité pour gouverner. Comme par ailleurs, le PDL est traité comme un pestiféré du fait de la présence encombrante de Berlusconi, et que le Parti protestataire 5 étoiles qui a recueilli 25% des suffrages ne veut s’allier avec personne, le pays parait ingouvernable. Nous sommes surpris par la grande sérénité des marchés qui ont à peine accusé le coup face au 1er avertissement politique sérieux adressé à Bruxelles. Les opérateurs ont décidément fermement ancré dans leur esprit le schéma d’une convergence européenne, et les « accidents » de parcours ne les font pas dévier de ce schéma. En Italie même, la réaction s’est limitée à un phénomène de correction ; la bourse de Milan a baissé de 8% dans les jours qui ont suivi et les taux à 10 ans Italiens se sont tendus de 50 centimes. Encore plus surprenant, les autres marchés périphériques de la zone euro n’ont pas été gagnés par le phénomène classique de contagion. Tentons quelques explications. Lire la suite en pièce jointe
Louis Soudré, directeur financements et trésorerie de Keolis dans Option Finance numéro 1211 : La performance n’est pas la priorité me concernant. J’accorde davantage d’importance à l’hyper-liquidité du produit et au risque de contrepartie. Pour réduire ce dernier point, je m’appuie sur des sociétés de gestion - avec un track record de qualité-, adossées à des grandes banques avec lesquelles je travaille déjà et dont l’encours du fonds concerné est supérieur à 10 milliards d’euros, de sorte que si des actifs qui le compose posaient problème, l’impact de leur défaillance soit dilué.
Président de la société de gestion Russell Investments France, Dominique Dorlipo est un spécialiste de la gestion de transition qu'il développe au sein de Russell depuis 2004. Il revient sur les qualités de ce service et se réjouit de l'intérêt de certaines institutions, dont EDF et l'Agirc-Arrco, pour piloter les mouvements dans
SCOR Global Investments (SGI) a enregistré en 2012 un rendement courant des actifs de 3,5 % (hors dépréciations du portefeuille actions), dans un environnement de taux d’intérêt historiquement faibles, a indiqué le groupe Scor le 6 mars à l’occasion de la publication de ses résultats annuels. Sur l’ensemble de l’année 2012, le portefeuille d’actifs génère une contribution financière de 394 millions d’euros. La politique de gestion active conduite par SGI a permis au groupe de réaliser 161 millions d’euros de plus-values en 2012. Le groupe a strictement appliqué une politique inchangée d’amortissements et de dépréciations sur son portefeuille de placements, pour un montant total de 86 millions d’euros en 2012, dont 69 millions d’euros sur les actions, sans incidence sur la valeur de l’actif net. Hors dépréciations du portefeuille actions, le rendement courant des actifs s'élève à 3,5 % sur l’ensemble de l’année 2012 (3 % après prise en compte des dépréciations du portefeuille actions). En prenant en compte les fonds détenus par les cédantes, le taux de rendement net des placements atteint 2,7 % sur la période. Les actifs (hors fonds détenus par les cédantes) s'élèvent à 13 982 millions d’euros au 31 décembre 2012 et sont constitués à 10 % de liquidités, à 79 % d’obligations (dont 9 % de placements à court terme), à 5 % d’actions, à 4 % d’immobilier et à 2 % d’autres placements. Le montant total des placements, y compris les fonds détenus par les cédantes à hauteur de 8 266 millions d’euros, s'élève à 22 248 millions d’euros au 31 décembre 2012, à comparer à 21 053 millions d’euros au 31 décembre 2011. Le groupe Scor fait par ailleurs état d’un résultat net de 418 millions d’euros, soit une croissance de 26,7 % sur la base des comptes publiés et de 13,6 % pro forma.
Paris Europlace a redonné vie au groupe Cassiopée en réunissant la semaine dernière les acteurs du marché obligataire parisien pour relancer les plates-formes d'échange de dette sur le marché secondaire, rapporte L’Agefi. Créé en avril 2010, ce comité avait été dissous. Mais depuis, la seule plate-forme active, BondMatch d’Euronext, ne décolle pas. «Notre volonté est aujourd’hui d’accélérer le mouvement de bascule sur ces plates-formes électroniques et de mieux communiquer autour de ce sujet», explique à L’Agefi Vincent Cornet, le patron de la gestion de La Banque Postale AM, qui dirigera les nouveaux travaux du comité qui changera de nom. De grosses sociétés de gestion devraient s’engager dans les prochaines semaines à passer des ordres sur ces plates-formes. Axa IM est déjà active. La Banque Postale AM devrait suivre. Amundi faisait partie des sociétés de gestion présentes à cette première réunion.
P { margin-bottom: 0.08in; } Axa Investment Managers is primarily targeting institutional investors in the Scandinavian region, but is also beginning to work with intermediary clients, says Katrin Boström, head of sales for Nordic countries at the French firm, in an interview on the Swedish website Fondbranschen. Axa IM has been active in Northern Europe since 1995, and opened an offfice in Sweden in 2011, the head says. Most funds have been registered in Sweden (fore institutional and retail funds) and Denmark (for institutional funds). A small proportion of funds are registered in Norway and Finland.
Axa Investment Managers cible principalement les investisseurs institutionnels dans la région nordique, mais commence à travailler aussi avec les clients intermédiaires, confie Katrin Boström, responsable commerciale pour les pays nordiques de la société française, dans une interview au site Internet suédois Fondbranschen.Axa IM est actif en Europe du Nord depuis 1995 et a ouvert un bureau en Suède en 2011, explique la responsable. Jusqu’ici, la majorité des fonds sont enregistrés en Suède (pour les institutionnels et le retail) et au Danemark (pour les institutionnels). Et une petite partie des fonds sont agréés en Norvège et en Finlande.
Gilbert Vidal, directeur financier d’Assystem dans Option Finance numéro 1211 : Pour assurer les besoins de financement de l’entreprise au jour le jour, au maximum 40% de nos placements euros sont investis en sicav monétaire, souligne Gilbert Vidal, qui gère une trésorerie ayant dépassé 100 millions d’euros en 2012. 60% de nos placements sont investis dans plusieurs comptes à terme sur trois ans à taux fixe progressif, ce qui signifie que plus nous conservons longtemps les fonds, et plus la rémunération augmente, explique Gilbert Vidal. Nous avons conclu ces contrats à la fin du premier trimestre 2012 sur un taux évoluant au départ entre 1.5% et 2% pour atteindre au dernier semestre de la période de trois ans 4.5 à 5%. Nous ne sommes pas encore à la moitié de la période et nous bénéficions d’un taux de 2 à 2.5%; ce qui est extrêmement avantageux par rapport au rendement actuel, d’autant plus qu’ils sont plus liquides sans risque de marché et avec des conditions de sorties à l’avance! Un placement qui a permis au groupe d’assurer une performance de trésorerie globale supérieure à 2% sur l’exercice 2012. Mais aujourd’hui, ces produits semblent moins attrayants. Les bonnes rémunérations dont bénéficie Assystem tiennent en effet au fait que ce dernier a renouvelé son compte à terme début 2012. Comme nous avions anticipé une baisse des taux, nous avons fixé nos positions pour nous assurer une rentabilité satisfaisante sur les trois ans à venir, précise Gilbert Vidal. Si nous avions attendu 2013, le taux offert ne serait pas de 1.5% mais plutôt de 0.6% pour finir à 2 ou 2.5% en trois ans, soit une performance qui aurait été divisée par deux. Les billets de trésorerie émis par les entreprises, qui offraient une solution de placement traditionnelle, sont pour l’instant boudés par les trésoriers, qui redoutent le risque de contrepartie. Nous avons étudié ce type de placement, souligne Gilbert Vidal. Toutefois, les titres proposés par les entreprises les plus solides, avec les meilleures notation, offrent des rendements trop bas.
Le Mouvement 5 étoiles (M5s), devenu le premier parti d’Italie à la faveur des élections des 24 et 25 février, pourrait soutenir un gouvernement si, par exemple, il modifiait la loi électorale et fixait une limite de deux mandats pour les parlementaires, a déclaré son dirigeant, l’humoriste Beppe Grillo, dans une interview publiée samedi par le magazine allemand Focus.