A l’occasion d’une interview vidéo lors du Forum de la gestion institutionnelle du 11 juin, organisé par l’Agefi, Pierre Vaysse, head of investment finance d’Allianz France, revient sur le rôle de l’assureur dans le financement de l’économie. Dans le cadre de Solvabilité II notamment, la compagnie d’assurance va chercher des primes de risque permettant la diversification de son portefeuille, particulièrement nécessaire en cette période de taux bas. Pierre Vaysse aborde également ses orientations d’investissements dans les secteurs de la dette privée, de l’immobilier et de l’infrastructure pour cette année. Visionner la vidéo sur le site de l’Agefi
La MIF a écopé le 19 juin dernier d’une amende de 500.000€ pour défaut de mise en place de procédures adaptées de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (LCB-FT).
A la tête de BNP Paribas IP, Philippe Marchessaux peut, deux ans après la mise en place de sa nouvelle organisation, dresser un bilan positif pour chacune des trois "business lines". A commencer par celle dédiée aux investisseurs institutionnels et celle focalisée sur les émergents, et ce en dépit des difficultés actuelles de ces marchés. A l'international qui compte beaucoup pour la filiale de gestion d'actifs de BNP Paribas, Philippe Marchessaux affiche également sa satisfaction. Un bémol cependant :le Japon où la taille critique n'est pas encore atteinte...
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } DNCA has recruited Andrea Picci as a senior salesperson on its Italian team, Bluerating reports, on the basis of an interview with Enrico Trassinelli, head of the French asset management firm in Italy. Trassinelli will be dedicated to distribution partnerships in particular. DNCA has also recruited a junior for client support. The news for the asset management firm acquired by Natixis does not end there. It has just opened new offices in the center of Milan, on via Dante. DNCA is also preparing to sign a distribution agreement with a very important financial advisers network, and the firm already has agreements with 20 players in Italy. Lastly, Trassinelli has announced the launch of a new fund by September, which will meet needs on the part of investors to amortize market volatility.
PAI Partners fait évoluer sa gouvernance à compter du 1er juillet 2015. La société de capital investissement a en effet annoncé, ce 19 juin, la nomination de Michel Paris, actuellement président du comité d’investissement (chief investment officer), au poste de président du comité exécutif (CEO) de PAI Partners. Il remplace ainsi Lionel Zinsou, qui présidait le comité exécutif de la société depuis 2008, après avoir été pendant 10 ans associé-gérant au sein de la banque d’affaires Rothschild. Franco-béninois et ancien élève de l’ENA, Lionel Zinsou a décidé d’assumer la mission de Premier Ministre du gouvernement du Bénin qui lui a été confiée par le Président de la République du Bénin. Lionel Zinsou ne s’éloigne pas tout à fait de PAI Partners puisqu’il est nommé vice-président du conseil de surveillance, présidé par Amaury-Daniel de Sèze.La nomination de Michel Paris s’inscrit dans le cadre de la continuité et d’une transition préparée depuis longtemps au sein de PAI Partners. Outre sa fonction de président du comité d’investissement, Michel Paris était également directeur général et membre du comité exécutif de PAI Partners. L’intéressé est d’ailleurs un fin connaisseur de PAI Partners, étant un pur produit de Paribas. Michel Paris a en effet rejoint Paribas Affaires Industrielles (faisant alors partie du groupe Paribas) en 1984. Il compte plus de 30 ans d’expérience dans le secteur de l’investissement au sein de PAI, ayant eu la responsabilité de différents secteurs dont plus particulièrement Technologie et Télécoms, Distribution et Services. Cette évolution de la gouvernance intervient après le succès de la levée du fonds VI, le 13 mars 2015, qui a atteint 3,3 milliards d’euros, et la réalisation de plusieurs investissements significatifs dans CST, EuroMediaGroup, DomusVi, Labeyrie Fine Foods et AS Adventures.
La société de capital-risque ISAI, spécialisée dans les sociétés internet, a annoncé, ce 18 juin, l’arrivée de trois nouvelles recrues en la personne de Mounia Rkha, Thierry Vandewalle et Paul Strachman. Cette annonce intervient quelques semaines après le premier closing du fonds ISAI Venture II. Diplômée de Supelec, Mounia Rkha, 30 ans, rejoint ISAI au poste de « Seed Club Manager» pour coordonner et gérer le programme «ISAI Seed Club» d’investissement en capital-amorçage qui permet à ISAI et ses souscripteurs «business angels» de co-investir. En parallèle, Thierry Vandewalle, 40 ans, intègre l’équipe d’ISAI en tant que «Venture Partner» pour l’Europe. A ce titre, il participera aux côtés de Jean-David Chamboredon et Christophe Raynaud à la constitution et au management du portefeuille Européen d’ISAI Venture II. Enfin, Paul Strachman, 37 ans, est nommé «Venture Partner» pour les Etats-Unis. Basé à New-York, il sera chargé d’aider les sociétés du portefeuille d’ISAI à s’établir et se financer aux Etats-Unis et sera également en charge des investissements d’ISAI outre-Atlantique.Grâce à ces trois recrutements, l’équipe d’ISAI compte désormais 9 membres. Fondée en 2009 par Pierre Kosciusko-Morizet, Geoffroy Roux de Bezieux, Stéphane Treppoz et Ouriel Ohayon, ISIA est dirigée par Jean-David Chamboredon (président-exécutif), Christophe Raynaud (directeur général & co-fondateur) et Pierre Martini (Directeur Général). La société intervient au travers de deux fonds : un fonds de « capital-risque/post-amorçage » et un fonds de « capital-développement/private equity ». Agréé par l’AMF, ISAI Gestion est une société de gestion de portefeuille qui affiche à ce jour plus de 150 millions d’euros sous gestion.
Le directeur général de Julius Baer, Boris Collardi, veut attendre le règlement du conflit fiscal avec les Etats-Unis avant de procéder à de nouvelles acquisitions. «Avant que la querelle ne soit réglée, nous ne prévoyons pas de finaliser un gros projet d’acquisition», a-t-il déclaré dans une interview à la Basler Zeitung. Ce règlement devrait intervenir «dans un avenir prévisible», a-t-i précisé, ajoutant qu’il était confiant d’obtenir une «bonne solution compte tenu des circonstances».La banque n’a rien provisionné pour ce règlement, car il manquait une base pour cela, a relevé le directeur général. Julius Baer est cependant très fortement capitalisée, a-t-il précisé, refusant de commenter les spéculations qui circulent à la Bourse autour du montant que l’institut devra finalement payer pour régler l’affaire. «Un certain montant est escompté dans le cours de l’action», a-t-il indiqué. Jusqu’ici, l’ensemble du processus a coûté environ 80 millions de francs suisses à la banque.
A la tête de BNP Paribas IP, Philippe Marchessaux peut, deux ans après la mise en place de sa nouvelle organisation, dresser un bilan positif pour chacune des trois "business lines". A commencer par celle dédiée aux investisseurs institutionnels et celle focalisée sur les émergents, et ce en dépit des difficultés actuelles de ces marchés. A l'international qui compte beaucoup pour la filiale de gestion d'actifs de BNP Paribas, Philippe Marchessaux affiche également sa satisfaction, y compris via la sicav Parvest . Un bémol cependant :le Japon où la taille critique n'est pas encore atteinte...
Le groupe familial italien, spécialisé dans le café, a mandaté Roland Berger pour l’aider à évaluer ses options stratégiques, notamment la possibilité d’une introduction en Bourse, rapporte le quotidien de sources proches du dossier. Il ajoute que cette décision intervient dans un contexte de consolidation grandissante sur ce marché de 80 milliards de dollars (70,5 milliards d’euros). La fusion voici un an entre l’américain Mondelez et le néerlandais DE Master Blenders 1753 a notamment menacé la suprématie du suisse Nestlé. Le chiffre d’affaires d’Illycaffè a atteint l’an dernier 391 millions d’euros, en hausse de 4,5% par rapport à 2013.
Les assemblées générales mutualistes de juin confirment le paysage mouvementé de la Mutualité. La Mutuelle générale environnement et territoires (MGET) officialise sa fusion avec la Mutuelle générale de l’Education nationale (MGEN), alors que la Mutuelle nationale des hospitaliers (MNH) quitte la Mutualité Fonction publique (MFP) et se rapproche de Groupe Pasteur Mutualité.
Philippe le Dauphin a été nommé responsable du contrôle interne de niveau 2 au sein de Société Générale Assurances, en charge de la mise en œuvre des nouvelles règles de contrôle interne en France et des filiales à l'étranger. Il a effectué la majorité de sa carrière chez Sogecap, de 1999 à 2015, en tant que directeur des investissements, puis risk manager, en charge des investissements dans les FCP, les actions et les obligations. Philippe Le Dauphin a débuté sa carrière en 1990 chez KPMG, au sein duquel il était auditeur, avant de rejoindre la Dresdner Bank en 1995, pour y devenir contrôleur financier. Il est diplômé d’un MBA Finance à l’Université Paris Dauphine, en 1988.
In an interview with Les Echos, Philippe Brassac, CEO of Crédit Agricole SA (CASA), discusses plans to hold an initial public offering for Amundi, the asset management affiliate the bank owns jointly with Société Générale, and estimates that the asset management firm “may capitalise at least EUR7bn. … When CASA acquired an additional 5% of Amundi from Société Générale early in 2014, in exchange for the sale of Newedge, Amundi was valued at EUR6.7bn,” the director explains. “The markets have risen since then, and so have the valuations of publicly-traded asset management firms, from about 13 to about 16 times profits.”Brassac also states that the trigger event for these plans to hold an IPO for Amundi was “a desire on the part of Société Générale to access liquidity from its 20% stake.” The CEO of CASA reaffirms his intention to carry out the operation “before the end of the year.” At this stage, the mutualist bank does not yet know if it will sell shares as part of the IPO or not. “We have not yet taken a decision, and will discuss with Société Générale in such a case. At any rate, CASA will remain a majority shareholder in the capital of Amundi.”The public offering of Amundi should not be interpreted as a sign of disengagement on the part of Crédit Agricole from the asset management market. “This is not a sign of a backing away by Crédit Agricole,” Brassac says. “Asset management is a strategic profession for CASA and will remain so.” The proof in this reorganisation of the banking group is that Brassac has announced the integration of a large unit into Amundi in savings solutions, which will also include life insurance and real estate activities. This unit will be placed under the direction of Yves Perrier, CEO of Amundi.
La succession de Lionel Zinsou s’accélère chez PAI Partners. Le dirigeant, qui présidait le comité exécutif du fonds de capital investissement, a en effet accepté de devenir Premier ministre du Bénin.
8 %. Telle est la progression des encours des placements des membres de l’Association française des investisseurs institutionnels (AF2i) qui présentait mercredi soir les chiffres 2014 de l’association dans le cadre de ses Entretiens. Une hausse deux fois plus importante que l’an dernier, due aux 105 milliards de plus-values latente du portefeuille obligataire qui ont pesé pour 6 points de pourcentage. auxquels il faut ajouter 65 milliards de ressources nouvelles, soit 3 points de pourcentage - les ajustements statistiques ayant diminué l’ensemble de 1%. De fait, l’encours des placements s'élevait à 2 740 milliards d’euros à la fin de l’année dernière dont 80 % sont aux mains des assureurs, marquant une progression de 11 %, devant les Instituts de prévoyance et les mutuelles (4 % du total en hausse de 5 %), les administrations de sécurité sociale (7 % du total , en hausse de 4 %, la Caisse des dépôts (7 % de l’ensemble) et les entreprises (2 % du total, en augmentation de 5 %). Seules les institutions sans but lucratif représentant 1 % marque un recul (-21 %). Une comparaison internationale réalisée par Didier Davydoff, Directeur de l’Observatoire de l’Epargne Européenne a également confirmé la force de la France dans le total mondial du marché institutionnel, estimé à 46 500 milliards à fin 2013 en quatrième position derrière les Etats-Unis, le Japon et le Royaume-Uni. L’Hexagone est aussi l’un des pays où le poids du secteur de l’assurance - plus de 70 % - est le plus important, expliquant, en cela, la prédominance des obligations dans les allocations. Ainsi, sur le Vieux Continent, seul le secteur de l’assurance en Belgique et au Luxembourg est encore plus présent, tandis que dans des pays comme les Pays-Bas ce poids est inférieur de moitié. Le décor étant planté, Jean Eyraud et Patrice Billaut, respectivement président et délégué général de l’AF2i se sont attachés à décrire l’allocation d’actifs des investisseurs institutionnels français, et donner les tendances de cette année. En premier lieu, ils ont qualifié 2014 d’année de «digestion». Car la diversification dans les portefeuilles est à la fois modeste, mais bel et bien engagée. Dans les faits, la part des obligations, des actions de l’immobilier et des liquidités ont marqué le pas en 2014. Comme l’année précédente, les obligations stagnent à 73 % des portefeuilles, les actions à 12 % et l’immobilier à 4 %. Quant aux liquidités, leur poids est de 4 % de l’ensemble. Autrement dit, le « minimum utile », a indique Patrice Billaut. A l’inverse, toutes proportions gardées, le non coté, les prêts et les infrastructures et le capital investissement sont désormais clairement dans les radars des investisseurs. Ces actifs occupent chacun à 1 % du portefeuille, comme l’année précédente. Mention spéciale aux infrastructures, quasi absente en 2013 et qui pèse également 1 % désormais dans les allocations. «Cette situation se double d’un recentrage au sein de différentes classes d’actifs», a expliqué Patrice Billaut. Côté actions par exemple, les titres de la zone euro et européens ont été les plus recherchés. Les actions de la zone euro représentent 77,6% de la poche actions (73,1 % en 2013) tandis que l’Europe hors zone euro occupe 7,9 % (7,2 % un an auparavant). Cette évolution s’est faite au détriment des actions américaines (8,6 % en 2014 contre 10,2 % en 2013) et des marchés émergents (2,5 % contre 3,2 % un an plus tôt). Pour la classe obligataire, l'étude de l’AF2i met en évidence un retour des souverains dans les portefeuilles. Ces titres représentent 45 % environ de l’ensemble – dédiés surtout aux fonds propres et assimilés. De la même façon, les titres non cotés, principalement utilisé par les établissements de retraite et prévoyance (25 % chacun) représentent près de 25 % au total. Quant à l'étude portant sur les maturités par taille de portfeuille, elle montre que les petits établissements (moins de deux milliards d’euros) sont plutôt investisseurs dans des titres à maturité courte-moyenne (les titres 3/5 ans représentent 22 % de leur poche obligataire), tandis que les institutionnels les plus importants (plus de 20 milliards d’euros) sont investis pour 25 % de leur poche obligataire sur des titres de maturité 5/7 ans. Si l’année 2014 apparaît comme une année de transition, 2015 devrait pour sa part mettre en évidence des évolutions nettement plus marquées. Dans ses perspectives, l’AF2I recense les évolutions, qu’elles soient à la baisse, à la hausse, ou qu’elle marquent une stagnation pour les différences classes d’actifs dans les portefeuilles des institutionnels français. A ce jeu, il ressort que pour 85 % des répondants, trois classes d’actifs devraient progresser en proportion des actifs : l’immobilier, les prêts et les infrastructures. Pour les obligations, en revanche, c’est une baisse qui se profile pour 61 % des répondants, tandis que personne n’envisage de voir le poids des liquidités progresser. Les actions font débat semble-t-il puisque en proportion, elles doivent rester stable pour 46 % ou progresser, pour 51 %. Par ailleurs, la part du capital investissement devrait progresser pour 58 % contre 31 % qui compte maintenir leur part stable. Enfin, les gestions alternatives ne permettent pas non plus de dégager de tendance nette : 32 % voient leur part baisser, 38 % rester stable et 30 % progresser. A titre de conclusion, Jean Eyraud est revenu sur la qualité des relation entre investisseurs et sociétés de gestion. Pour pointer qu'à 77 %, ces relations ont été jugées satisfaisante ou très satisfaisante. Et qu’aucun des répondants n’a jugé ses relations mauvaises...
Acteur majeur dans le financement de l’économie réelle, Aviva France est présent dans différents domaines d’investissement : fonds de prêts aux PME, private equity, fonds d’impact investing, crowdfunding. Son directeur des investissements, Philippe Taffin, explique la stratégie de l’assureur à l’occasion d’un entretien de pré-sélection pour les Couronnes Instit Invest 2015.
Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en œuvre ; des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps. Téléchargez le baromètre de juin
La mutuelle de référence des militaires présente ce mardi 16 juin son plan stratégique 2015-2018 à ses délégués mutualistes. A cette occasion, Unéo va dévoiler le résultat de la première étape de son processus de choix d’un partenaire, qui doit déboucher fin 2015 ou début 2016.
Van Eck Global vient de lancer le Market Vectors Global Spin-Off ETF (NYSE Arca: SPUN), un nouvel ETF qui se propose de tirer parti du potentiel à long terme des opérations de spin-off censées dégager de la valeur pour l’actionnaire.Le nouveau véhicule cherche à répliquer le Horizon Kinetics Global Spin-Off, qui se caractérise par son exposition à l’ensemble des marchés développés et par une méthodologie de sélection spécifique. A la différence d’autres indices du même type, les spin-off peuvent intégrer l’indice très tôt dans leur cycle de vie et ils peuvent ensuite rester dans l’indice pendant une durée de cinq ans suivant leur admission. Le rebalancement de l’indice intervient tous les trimestres. A fin mai 2015, l’indice comptait 87 lignes, dont 69% pour les sociétés américaines, 21% pour les entreprises d’Europe occidentale et 10% pour les sociétés asiatiques. Le total des frais sur encours du nouvel ETF s'élèvent à 0,55% net, un ratio contractuellement plafonné à ce niveau jusqu’au 1er février 2017.
Didier Bonneau a intégré en mars dernier les équipes de l’Institut Pasteur de Lille (fondation indépendante financièrement de l’Institut Pasteur de Paris) au poste de secrétaire général. A cette fonction, il s’occupe de la comptabilité, du contrôle de gestion, de l’informatique, de la logistique et des ressources humaines entre autres. Didier Bonneau a passé la majorité de sa carrière chez Unilever. Il a commencé en 1985 en faisant de l’audit interne sur la France et l’Afrique francophone. Il a intégré ensuite le contrôle de gestion usines avant de devenir directeur financier en charge des filiales Afrique francophone et DOM-TOM. En 1996, il part à Prague pour travailler sur les activités du groupe présentes en Tchéquie et en Slovaquie. Quatre ans plus tard, il rejoint l'équipe de Londres en tant que vice-président finance de la Global Infrastructure Organisation, poste qu’il occupe jusqu’en février 2005. Quatre mois plus tard, il intègre Vauban Humanis au poste de directeur financier, puis est nommé au poste de directeur Finances Groupe Humanis en juillet 2012 jusqu'à fin mars 2014. Il rejoint le groupe IRCEM en tant que directeur comptable, fiscal et immobilier d’août 2014 à janvier 2015.
Les Fonds de compensation AVS/AI/APG apparaissant sous le logo compenswiss publient aujourd’hui leur rapport annuel 2014 adressé au Conseil fédéral. Traditionnellement diffusé aux plus hautes instances, aux représentants des Chambres fédérales ainsi qu’aux principaux interlocuteurs fédéraux, ce rapport existe en allemand et en français. Une version courte est également disponible dans les trois langues officielles de la Confédération, ainsi qu’en anglais. Le Conseil d’administration des Fonds de compensation s’est exprimé en faveur d’une plus grande transparence ; ainsi, pour la première fois cette année, les Fonds de compensation AVS/AI/APG font apparaître dans leur rapport annuel la liste de leurs gestionnaires de fortune. Marco J. Netzer, Président des Fonds de compensation AVS/AI/APG, déclare : « En indiquant à qui les Fonds de compensation ont attribué leurs mandats de gestion de fortune en 2014, nous clarifions la situation. » Le résultat des placements a atteint un total de 2 milliards de francs et la fortune sous gestion des Fonds de compensation s’est élevée à 33.1 milliards de francs à fin 2014. Le rapport annuel complet ainsi que la version courte dans les différentes langues peuvent être consultés sur le site www.compenswiss.ch.
«Avec plus de 122 millions d’euros d’euros de cash dans notre bilan à fin 2014, nous jugeons plus rassurants de gérer ces ressources directement en central», a indiqué Paul-César Bonnel, directeur administratif et financier de Neurones, dans une interview à Option Finance. Pour ce faire, la direction financière de l’entreprise s’appuie sur un cash pooling opérationnel à l'échelle de l’ensemble du groupe. «A mon arrivée, nous disposions de quatre structures de ce type, gérées par quatre établissements différents, a rappelé le DAF. Dans un souci de simplification, nous les avons rassemblés en 2011 en une seule, ce qui nous donne entière confirmation.» Outre le suivi du cash, la deuxième priorité liée à la trésorerie porte sur son allocation. N’affichant aucune dette, la société consacre en effet une partie de ses ressources à son développement, tandis que le solde est placé sur des comptes à terme. «Dans un contexte de taux bas, trouver de bons rendements dans le cadre de placements sécurisés nécessite un fort investissement en temps», a déclaré Paul-César Bonnel. Malgré cet environnement, Neurones a perçu des rendements pouvant dépasser 1%.
C’est avec un accent prononcé du Sud que Jean-Paul Lacam, délégué général du Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP), nous accueille dans ses locaux, situés rue Cambacérès, dans le VIIIème arrondissement de Paris. L’occasion pour lui d’évoquer les trois fusions qu’il a connues dans le milieu de la protection sociale en près de 37 ans de métier. De Pro BTP à Humanis, en passant par Novalis Taitbout, Jean-Paul a grandement contribué à faire évoluer ce secteur en mutation. Il n’a donc pas eu de mal à enlever sa casquette d’opérationnel pour défendre dorénavant les intérêts des institutions de prévoyance et des groupes de protection sociale.
Le groupe britannique a confié un processus de vente à Lazard pour céder ses activités françaises d'assurance et de banque privée.
Il attendrait autour de 150 millions pour ce pôle de plus de 4 milliards d'euros d'actifs.
Coe-Rexecode et l’AFTE publient ce jour les principaux résultats de l’enquête mensuelle de juin 2015 sur la trésorerie des grandes entreprises. Elle s’est déroulée entre le 3 et le 9 juin. L’enquête, qui vient de passer le cap des dix ans et qui est largement reprise dans la presse, ne demeurera statistiquement pertinente que si de nombreux trésoriers l’alimentent de leurs observations. Merci de répondre au prochain questionnaire qui vous sera adressé le 3 juillet : cela ne prend que quelques minutes. En résumé : La situation de la trésorerie d’exploitation des grandes entreprises et des ETI est jugée normale; En revanche, leur trésorerie globale tend à se dégrader ; L'évolution des prix des matières premières et du change euro/dollar n’exercent plus d’influence majeure sur les trésoreries ; Les recherches de financement sont à nouveau jugées aisées sans toutefois s’améliorer à nouveau ; Les placements très liquides restent privilégiés par les trésoriers. Les résultats détaillés sont consultables en cliquant ici.
Cinq ans après avoir entamé une réflexion pour moderniser les systèmes d’information de sa gestion d’actifs, CNP Assurances vient de finaliser ce projet pour lequel il a sélectionné l’éditeur SimCorp. Retour sur les principales étapes de ce chantier et ses implications en matière opérationnelle.
Le groupe britannique a confié un processus de vente à Lazard pour céder ses activités françaises d'assurance et de banque privée.
Il attendrait autour de 150 millions pour ce pôle de plus de 4 milliards d'euros d'actifs.