Invesco Asset Management annonce le recrutement de Mustapha Bouheraoua en qualité de responsable des ventes institutionnelles pour la France. Il vient renforcer l’équipe commerciale dédiée aux investisseurs institutionnels dirigée par Colin Fitzgerald, Directeur des ventes institutionnelles pour la zone EMEA. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (Economie et finance), Mustapha Bouheraoua (48 ans) a débuté sa carrière en 1992 au sein du groupe BNP Paribas où il a exercé différentes fonctions comme responsable du développement commercial en salle des marchés, inspecteur et responsable commercial institutionnel. De 2000 à 2004, il a travaillé pour AGF AM en qualité de responsable commercial en charge de la clientèle des entreprises et institutionnelle. Avant de rejoindre Invesco Asset Management, Mustapha Bouheraoua a travaillé pendant 11 ans chez Schroders France où il occupait en dernier lieu le poste directeur de la clientèle institutionnelle pour la France et l’Afrique du Nord.
L'ACPR ne lâche rien quand il s'agit de protection des assurés. Et alors que la réglementation devra bientôt intégrer les changements introduits par la directive distribution, en cours de finalisation, les échanges avec le régulateur vont se densifier.
L’éléphant chinois dans le magasin de porcelaine ? L’ampleur de la panique sur les marchés financiers au mois d’août interpelle et ne peut s’expliquer que par la réaction véhémente qu’entraîne une crise de confiance envers ceux qui nous gouvernent. En quelques semaines, la maladresse des dirigeants chinois à prévenir la formation d’une bulle actions puis son explosion, la décision en apparence précipitée d’une dévaluation, l’explosion chimique qui a ravagé le 3e port du pays à 140 km de la capitale, ont donné l’impression que les dirigeants chinois étaient en train de perdre le contrôle de la situation. Comme le notait Christine Lagarde, « la transition vers une économie de plus en plus tournée vers le marché et le dénouement des risques accumulés ces dernières années sont complexes et pourraient donc bien être quelque peu mouvementés ». Ce qui importe dans ce focus est d’identifier en quoi cette transition pourrait impacter négativement nos pays occidentaux et rappeler à ce sujet quelques faits rassurants. Lire la suite en pièce jointe.
Selon les informations de Business Immo, Jean-Marc Coly devrait rejoindre Amundi Immobilier et succéder à Nicolas Simon à la direction générale d’Amundi Immobilier. La société de gestion de portefeuille, filiale du Crédit Agricole et de la Société Générale, revendique 9,1 Mds€ d’actifs immobiliers sous gestion à fin 2014 au travers de 90 fonds. Juriste et notaire de formation, Jean-Marc Coly dispose de plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la gestion et de l’investissement immobilier, où il a été notamment directeur général de La Française REIM (ex-groupe UFG). Il avait rejoint, l’an passé, Altarea Cogedim pour assurer le lancement d’une nouvelle filiale - Alta Reim - consacrée à l’asset management de produits immobiliers SCPI et OPCI.
Jean-Pierre Menanteau fait le point sur l'actualité du groupe de protection sociale. Le patron d'Humanis rappelle notamment le compte à rebours très serré soumis aux entreprises pour adapter la protection sociale complémentaire de leurs salariés d'ici le 1er janvier 2016.
L’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV/Iosco) a publié le 2 septembre son rapport de synthèse sur la réglementation des fonds monétaires («Peer Review of Regulation of Money Market Funds»), qui fait un point d'étape sur la mise en oeuvre des réglementations relatives aux fonds monétaires dans 31 juridictions. L’OICV s’est concentré sur huit domaines de réformes : définition des fonds monétaires et véhicules présentant des caractéristiques et des objectifs d’investissement similaires, périmètre des catégories d’actifs éligibles et risques liés, méthodes de valorisation, gestion de la liquidité, risques et problèmes pouvant affecter la stabilité des fonds monétaires offrant une NAV constante, utilisation des notations, informations et pratiques de fonds sur les transactions de prise en pension. Seuls les Etats-Unis ont mis en place des mesures d’application pour l’ensemble de ces domaines. La Chine et les Etats membres de l’Union européenne n’ont pas encore «complètement arrêté leur dispositif sur tous ces points». L’OICV souligne que près de 90% des actifs gérés dans les fonds monétaires se trouvent aux Etats-Unis, en France, au Luxembourg, en Irlande et en Chine.
La question se pose pour les banquiers de savoir s’ils peuvent exercer leur métier « traditionnel » en respectant les contraintes de Bâle 3. Mais avec les recommandations des uns et des autres, les Institutionnels peuvent-ils toujours gérer de manière responsable leurs actifs ? En regardant les contraintes qui leur sont imposées, nous sommes en droit de nous poser la question. Un billet de Jean-Claude Guimiot.
La société de gestion canadienne Manulife Asset Management a nommé Shirley Lam, avec effet au 1er septembre 2015, au poste nouvellement créé de responsable Asie de la gestion de fortune et de l’activité «affiliate wealth», rapporte le site spécialisé Asian Investor. Cette nouvelle fonction s’ajoute à celle qu’elle occupe actuellement de responsable de l’activité pour l’Asie du Nord. Cette nomination intervient alors que la société de gestion a décidé de regrouper ses activités de gestion d’actifs et de gestion de fortune en Asie, réunissant ainsi la gestion de portefeuille institutionnelle et la distribution «retail». Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Shirley Lam dirigera plus précisèment les activités de distribution de l’ensemble des solutions de gestion de fortune de Manulife AM en Asie via des canaux de distribution propriétaires et partenaires. Elle sera également responsable du conseil en investissement et gestion de portefeuille dans la région. Elle continue d’être rattachée à Michael Dommermuth, vice-président exécutif et responsable de la gestion de fortune et de la gestion d’actifs pour l’Asie.
Jean-François Garin rejoint Groupama comme directeur général de Groupama GAN Vie. Directement rattaché à Thierry Martel, directeur général de Groupama SA, il aura aussi la responsabilité de la coordination de GAN Patrimoine et de GAN Prévoyance.
Les groupes Macif et Matmut poursuivent leurs coopérations opérationnelles et annoncent la constitution de SFEREN Innovation, une structure commune d’investissement destinée à prendre des participations dans des entreprises spécialisées dans les innovations technologiques.
Le groupe suisse Syz a annoncé le 31 août la finalisation du rachat de Royal Bank of Canada (Suisse). L’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) a approuvé la transaction, qui est effective depuis le 28 août, selon un communiqué de Syz. Cette filiale, renommée Banque Syz Suisse, fusionnera avec la société existante Banque Syz d’ici la fin de l’année.La finalisation du rachat de RBC (Suisse) intervient sept semaines après son annonce. L’opération doit permettre à Syz d’atteindre un encours sous gestion de 22 milliards de francs pour les activités de banque privée et de 40 milliards de francs à l'échelle du groupe. La reprise s’inscrit également dans une logique d’expansion à l'étranger. La banque rappelle qu’elle souhaite développer ses activités en Amérique latine, en Afrique et au Moyen-Orient.Cette transaction, dont le montant n’avait pas été dévoilé, a été entièrement financée par les fonds propres de la banque. Dès 2017, les bénéfices de cette reprise devraient amener un apport de 30 millions de francs suisses supplémentaires par an.
Selon l’indice semestriel IPD, le rendement global des OPCI Professionnels en France s'élève au premier semestre 2015 à 5,8%. Sur un an, ce rendement global annualisé est de 9,6 % et sur trois ans, de 6,3 %. Une comparaison avec d’autres actifs met également en évidence la performance des foncières cotées sur un an et sur trois ans (6,5 % et 19,2 % respectivement), ainsi que des actions (12,2 % et 18,6 % respectivement) (*) cet indice est composé de 103 véhicules affichant plus de 18 milliards d’euros d’actifs immobiliers sous gestion, dont 48 % de bureaux, et prend uniquement en compte les fonds dont le sous-jacent a fait l’objet d’une réévaluation semestrielle.
A l’issue du premier semestre 2015, le groupe Macif a enregistré une collecte nette de 216 millions d’euros en assurance vie contre 258 millions d’euros au premier semestre 2014. Un recul qui s’explique «par les retraits des épargnants, plus significatifs au premier semestre 2015 qu’au cours de la même période de 2014», précise l’assureur dans son rapport financier semestriel. Au 30 juin 2015, le pôle «Finance/Epargne» du groupe Macif affiche une collecte brute de 1,03 milliard d’euros, en hausse de 5,9% par rapport au 30 juin 2014. Dans le détail, les supports en euros ont enregistré une collecte brute de 1,02 milliard d’euros contre 973,1 millions d’euros un an plus tôt, tandis que les supports en unités de compte (UC) ont réalisé une collecte brute de 5,5 millions d’euros contre 3,45 millions d’euros un an auparavant. «Les supports en euros représentent toujours plus de 99% de la collecte», note l’assureur mutualiste. A l’issue du premier semestre 2015, le pôle «Finance/Epargne» représente 35% des cotisations totales du groupe Macif, qui s'élèvent à 2,94 milliards d’euros au 30 juin 2015 contre 2,86 milliards d’euros au 30 juin 2014 (soit une progression de 2,5% sur un an). A fin 2015, le groupe Macif a dégagé un résultat net part du groupe de 146 millions d’euros contre 140 millions d’euros au 30 juin 2014. La contribution du pôle «Finance/Epargne» à ce résultat net part du groupe s'élève à 19 millions d’euros au 30 juin 2015 contre 23 millions d’euros au 30 juin 2014. «Le premier semestre 2015 se caractérise par un repli de la collecte nette et une progression des frais généraux», explique la Macif. Le résultat opérationnel de ce pôle s'établit à 28 millions d’euros à fin juin 2015 contre 34 millions d’euros au 30 juin 2014. Pour l’ensemble du groupe Macif, le résultat opérationnel ressort à 234,8 millions d’euros au 30 juin 2015 contre 197,6 millions d’euros au 30 juin 2014. Enfin, pour le secteur «Gestion d’actifs», la contribution de cette activité au résultat net part du groupe s'élève à 3 millions d’euros au 30 juin 2015. «La rentabilité issue des opérations de gestion reste stable à 6 millions d’euros sur le premier semestre 2015", précise la Macif. Le résultat opérationnel ressort à 6 millions d’euros contre 33 millions d’euros au 30 juin 2014. «Le premier semestre 2014 avait été marqué par la constatation d’un produit financier exceptionnel suite à la prise de contrôle par la Macif du groupe OFI», justifie l’assureur mutualiste.
La Section générale de la Caisse des Dépôts, au sein de laquelle Joël Prohin est responsable de la gestion des actifs pour compte propre, abrite les dépôts et les consignations confiés à l’établissement public. C’est un des trois grands départements de la Caisse gérant des actifs financiers, avec la direction des retraites et de la solidarité et la direction des fonds épargne, qui gère la centralisation des 2/3 du Livret A. L’encours sous gestion de la Section générale représente un montant de l’ordre de 80 milliards d’euros.
Longtemps considérées comme un financement de la dernière chance, les lignes de financement en fonds propres commencent à attirer des sociétés plus solides. Elles représentent pour ces dernières un moyen efficace de financer des projets ponctuels, ou bien d’accroître leur solidité financière aux yeux des investisseurs.
Selon les informations de l’Argus de l’assurance, l’AGPM, mutuelle d’assurance spécialiste de l’assurance des personnels de la défense (mais accessible à tout public) et le GMPA, l’association spécialiste de la protection des militaires, pompiers, policiers et douaniers vont officiellement créer et déposer les statuts de leur association de loi 1901 commune le 10 septembre prochain. Baptisée « Tégo », elle a pour objectif de mener des actions d’entraide et de servir d’espace commun de réflexion à une nouvelle offre de protection sociale auprès des personnels de Défense et de sécurité. Chaque partie garde son autonomie financière, mais a jugé utile de joindre ses forces sur ce sujet.
Agnès Lossi rejoint les équipes d’Indefi en tant que Directrice associée du pôle Gestion d’actifs. À ce titre, elle accompagnera le développement des activités de conseil et d’étude du Groupe Indefi auprès des sociétés de gestion. Elle était, depuis septembre 2010, responsable marketing et ingénierie institutionnelle au sein d’Exane Asset Management. Agnès Lossi a débuté sa carrière en tant qu’ingénieur financier chez HSBC Capital Management en 1999, avant de rejoindre Axa Investment Managers en 2001 et d’y devenir responsable de l’ingénierie financière quatre ans plus tard. Elle a occupé ensuite les fonctions de responsable de la structuration institutionnelle et de l’ingénierie financière au sein d’Exane Derivatives. Elle a été diplômée de l’Ecole nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information en 1997 et de la London School of Economics and Political Science en 1998.
Thierry de la Noue a été nommé responsable investment consulting au sein de Siaci Saint Honoré, groupe français de courtage, conseil gestion et formation en assurances. Agé de 47 ans, Thierry de la Noue était jusqu’alors en charge de la direction du département Investment consulting au bureau de Paris de la société de conseil Towers Watson, spécialisée dans la gestion du risque et du capital humain et financier. Avant cela, il a évolué plus de six ans chez AXA Investment Managers dans la gestion de l'épargne salariale et de la retraite collective. Diplômé de l’ESC Nantes, il a débuté sa carrière chez JP Morgan, puis a rejoint Deloitte Consulting dans le conseil auprès des asset managers.
Après un premier investissement dans un fonds ouvert de dette privée en 2014, Philippe Freyer, directeur comptable et financier du Groupe Pasteur Mutualité, explique que l'institution souhaite développer ses investissements dans le private equity. Dans le cadre d'une interview dédiée aux Couronnes Instit Invest 2015, il évoque également la volonté du Groupe de développer plus d’indicateurs de risque, afin de préparer l'entrée en vigueur de Solvabilité II.
Les groupes de protection sociale figurent parmi les principaux partenaires de l'édition 2015 de l'Université d'été du Medef, organisée à Jouy-en-Josas. Six personnalités de l'assurance ont prévu de s'exprimer lors des conférences consacrées cette année à la jeunesse.
La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) présente aujourd’hui la mise à jour de sa performance au 30 juin 2015. Au terme du premier semestre de l’année, le rendement annuel moyen atteint 10,2 % sur quatre ans, ce qui porte les résultats de placement nets pour cette période à 75,0 G$. Pour les six premiers mois de 2015, le rendement moyen pondéré des fonds des déposants se chiffre à 5,9 %. Au 30 juin 2015, l’actif net totalise 240,8 G$. « Depuis quatre ans, la Caisse affiche des résultats solides : ils surpassent à la fois les besoins à long terme de nos déposants et nos indices de référence. Comme tous les investisseurs, la Caisse a certes profité de marchés haussiers qui carburent à des politiques monétaires expansionnistes. Mais au-delà de la progression des marchés, nos équipes ont choisi de bonnes stratégies et les ont déployées avec rigueur, a dit Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse. « Se démarquer de la sorte s’annonce encore plus exigeant dans les mois et années à venir. Dans un contexte de valorisations élevées et de risques économiques et géopolitiques accrus, la Caisse devra faire preuve d’encore plus de discernement dans le choix de ses investissements. Elle devra se dépasser et innover pour trouver des occasions d’affaires intéressantes. Et c’est sur quoi toute l’attention des équipes de la Caisse se concentre. » Sur quatre ans, les rendements des huit plus grands déposants de la Caisse se situent entre 9,5 % et 11,0 %. Pour les six premiers mois de 2015, ils s’établissent entre 5,1 % et 6,8 %. Au cours du semestre, la Caisse a poursuivi la mise en œuvre de sa stratégie d’investissement en se concentrant sur deux priorités, la mondialisation et l’innovation. Cela s’est traduit par plusieurs nouveaux investissements, le déploiement de ses équipes à travers le monde et la mise en place d’initiatives novatrices en matière d’entrepreneuriat et d’infrastructures. À l’international, la Caisse a acquis une participation dans Eurostar, le premier opérateur de trains à grande vitesse en Europe, et dans Southern Star Central Corporation, une entreprise exploitant un réseau de pipelines de gaz naturel aux États-Unis. Elle a aussi investi dans le secteur des télécommunications mobiles au Royaume-Uni, en plus d’acquérir des participations dans SterlingBackcheck, l’une des plus importantes sociétés de vérification des antécédents au monde, et SPIE, un chef de file européen de l’ingénierie. Du côté de l’immobilier, Ivanhoé Cambridge a effectué plusieurs transactions dans le monde, dont un premier investissement direct en Australie, avec l’acquisition d’une participation dans un immeuble de bureaux à Sydney, et deux investissements à Shanghai. La Société a aussi acquis des immeubles à New York, à Londres, à Chicago et à San Francisco, et augmenté sa participation dans la foncière européenne Gecina. La Caisse a également fait preuve d’innovation en proposant un modèle unique pour le financement et la réalisation de projets d’infrastructures publiques avec la création de CDPQ Infra. Cette filiale exclusive agira à titre de maître d’œuvre de certains projets d’infrastructures à travers le monde. Deux projets sont déjà à l’étude au Québec, soit le système de transport collectif sur le nouveau pont Champlain et celui reliant le centre-ville de Montréal à l’aéroport international Montréal-Trudeau et à l’Ouest-de-l’Île. Afin de donner une nouvelle impulsion aux entreprises québécoises les plus prometteuses et de les inciter à innover et à se mondialiser, la Caisse a annoncé la création de l’Espace CDPQ, marquant ainsi de manière pérenne le 50e anniversaire de sa fondation. Établi à Place Ville Marie, cet écosystème entrepreneurial réunira des acteurs clés, dont WeWork, l’École d’entrepreneurship de Beauce et Anges Québec. Il sera orienté vers trois grands axes d’action : la collaboration, l’accompagnement et le financement. La Caisse a aussi investi dans des entreprises québécoises telles que Cirque du Soleil et Logistec. Elle a de plus financé l’agrandissement de l’Aéroport international Jean-Lesage de Québec et de l’acquisition de Société Terminaux Montréal Gateway. Sa filiale immobilière, Ivanhoé Cambridge, a pour sa part annoncé la modernisation du centre commercial Laurier Québec et l’aménagement d’un observatoire au sommet de Place Ville Marie. Au 30 juin 2015, l’actif net des déposants a atteint 240,8 G$, en hausse de 14,9 G$ par rapport aux 225,9 G$ enregistrés au 31 décembre 2014. Cette augmentation est attribuable aux 13,1 G$ de résultats de placement nets, auxquels s’ajoutent des dépôts nets totalisant 1,8 G$. Sur quatre ans, la Caisse a produit un rendement annualisé de 10,2 %. Par rapport au rendement du portefeuille de référence, qui s’établit à 9,7 %, cette performance génère une valeur ajoutée de 4,1 G$. Tous les portefeuilles contribuent positivement au rendement annualisé sur quatre ans. La catégorie Revenu fixe dégage un rendement de 5,5 %, à 0,5 % au-dessus de son indice. La catégorie Placements sensibles à l’inflation offre un rendement de 11,9 %, soit 1,6 % de moins que son indice. Le rendement de la catégorie Actions surpasse l’indice de référence par 0,6 %, pour atteindre 12,0 %. Ces bons résultats s’expliquent par plusieurs facteurs, dont : les activités de dette privée et de crédit auprès des sociétés, les activités de dettes immobilières, le repositionnement du portefeuille d’actions canadiennes vers la gestion en absolu, la stratégie qui mise sur le choix de titres de qualité et la performance des portefeuilles Placements privés, Immeubles et Infrastructures. Globalement, la stratégie a permis de réaliser des investissements performants avec un risque maîtrisé. Pour le semestre se terminant le 30 juin 2015, la Caisse a généré un rendement de 5,9 % et surpasse son portefeuille de référence de 0,7 %, ce qui représente une valeur ajoutée de 1,7 G$. Le rendement semestriel de chaque catégorie d’actif s’établit au-dessus de son indice. La catégorie Actions génère un rendement de 7,8 %, pour des résultats de placement nets de 8,3 G$, dont environ la moitié provient des portefeuilles Actions Qualité mondiale et Placements privés. La catégorie Revenu fixe produit un rendement de 2,7 % et des résultats de placement nets de 2,1 G$. Quant à la catégorie Placements sensibles à l’inflation, elle dégage un rendement de 4,6 %, pour des résultats de placement nets de 1,6 G$. Répartition de l’actif Au 30 juin 2015, la catégorie Actions représentait 46 % du portefeuille global, tandis que les catégories Revenu fixe et Placements sensibles à l’inflation comptaient respectivement pour 37 % et 15 %. Gestion des risques et stabilité financière Les liquidités du portefeuille global Caisse demeurent robustes et permettent d’assurer le respect des engagements potentiels et de faire face aux éventualités. Par ailleurs, l’exposition de la Caisse aux risques de marché, de crédit, de contrepartie et de liquidité est restée sensiblement au même niveau qu’au 31 décembre 2014.
Columbia Threadneedle Investments a nommé Jeremy Smith au poste nouvellement créé de directeur de la recherche actions britanniques. Selon un communiqué, il rejoindra en septembre la société de gestion en provenance de Liberum Capital, où il occupait un poste au sein de l'équipe commerciale dédiée aux actions. Avant cela, il avait notamment occupé la fonction de responsable des actions britanniques au sein de Neptune Investment Management et directeur au sein de l'équipe large cap UK de Schroders. Sa nomination intervient parallèlement à celles de Phil Macartney et Sonal Sagar, qui rejoignent l'équipe en tant qu’analystes. Jeremy Smith sera basé à Londres et travaillera sous la responsabilité de Leigh Harrison, directeur de la gestion actions pour l’Europe.
Fondation reconnue d’utilité publique depuis 2005, l’Institut Europlace de Finance a pour ambition de mettre en œuvre et d’accélérer les synergies entre la recherche/formation en matière d'économie et de finance, et les professionnels de la Place financière. Les fondateurs de l’Institut se sont engagés à se donner, dans la durée, les moyens d’une telle action. Comme les années précédentes, la Fondation lance en 2015 un appel à projets de recherche. Cet appel s’adresse à l’ensemble de la communauté académique concernée sans aucune restriction en termes de disciplines académiques. La Fondation en partenariat avec le LABEX Louis Bachelier, se propose de financer 15 projets de recherche, qui bénéficieront pour chacun d’un financement de 10 000 €. Les projets financés porteront sur des thématiques considérées d’intérêt majeur dans le contexte actuel et regroupées en 4 axes : Réglementation et environnement financier Taux d’intérêt Risk management Investissement Les projets devront impliquer au moins un chercheur affilié à une institution académique française. Les projets impliquant plusieurs équipes, et notamment ceux présentant une réelle dimension européenne, seront étudiés avec un intérêt tout particulier. En faisant acte de candidature, les porteurs de projet, s’engagent s’ils sont sélectionnés, à développer leur projet en lien (rencontres, échanges avec les équipes) avec un ou plusieurs acteurs de la place financière de Paris. Le cas échéant, les réponses à l’appel à projets pourront faire état de liens déjà existants et susceptibles d'être renforcés dans le cadre du projet. La date limite de soumission des dossiers de candidature à cet appel d’offres est fixée au 20 septembre 2015. Soumettre votre projet. Découvrez le détail des thématiques en téléchargeant le document ci dessous.
Périclès Group cherche à renforcer son équipe de consultants en finance, notamment en gestion de portefeuilles. Le poste consiste à accompagner les clients de la finance pour des missions telles que : l’analyse des contextes stratégiques, la définition et l’organisation des moyens, le pilotage et l’accompagnement des projets de réalisation. Participation à l’évolution des métiers sur ce secteur au travers des dispositifs de capitalisation et d’échange du groupe Périclès : les clubs de professionnels créés par Périclès Consulting, les études de marché, les articles de presse et les conférences. Découvrir l’intégralité de l’offre.
Bertrand Labilloy a été officiellement nommé directeur général de la CCR par décret du président de la République en date du 17 août 2015. C’est la fin d’un feuilleton administratif démarré en janvier. Betrand Labilloy avait alors été nommé directeur général de la CCR. 5 mois plus tard, cette nomination était confirmée par décret avec une notion d’intérim puisque le réassureur procédait à un renouvellement dans les jours suivant la publication au journal officiel. Le journal officiel du mercredi 19 août vient confirmer Bertrand Labilloy dans ses fonctions, sept mois après la première annonce. Un long parcours administratif qui s’explique par une modification du mode de nomination au sein des sociétés anonymes détenues à plus de 50% par l’Etat. Jusqu’au 20 août 2014, le président était nommé par décret. Depuis cette date, c’est le directeur général, lorsque la fonction est dissociée de la présidence, qui fait l’objet d’un décret de nomination. Voilà donc le conseil d’administration de la CCR en conformité avec l’ordonnance du 20 août 2014.