A quelques semaines de la cérémonie de la 5ème édition des Couronnes Instit Invest, qui se déroulera le 8 décembre prochain, à l'Hôtel Salomon de Rothschild, à Paris, la rédaction d'Instit Invest vous propose de (re)découvrir les personnalités de la gestion financière institutionnelle des 24 nominés dans les 8 prix thématiques.
Plusieurs articles récents s’inquiètent d’une concentration croissante de la plupart des secteurs aux Etats-Unis. Plus de 90 % d’entre eux ont connu une augmentation de leur concentration au cours des deux dernières décennies, avec comme conséquence des taux de marge accrus, des performances boursières plus élevées et des opérations de fusions et d’acquisition plus profitables. Cette concentration est le résultat en particulier de la concentration des sociétés cotées : sur les vingt dernières années, il y a eu une réduction de moitié du nombre de firmes cotées, qui sont aujourd’hui moins nombreuses qu’en 1970, où le PIB des Etats-Unis était le tiers de ce qu’il est aujourd’hui[1]. Ces entreprises, moins nombreuses, sont également fréquemment détenues par les mêmes investisseurs institutionnels (fonds de pension, mutual funds et autres), qui possèdent 70 % à 80 % des sociétés cotées aux Etats-Unis. BlackRock est ainsi le principal actionnaire de près d’un cinquième des entreprises américaines. Cette importance des investisseurs institutionnels renforce les conséquences de la concentration sectorielle sur les prix payés par les consommateurs. En effet, la littérature économique a montré de longue date qu’un actionnariat commun entre plusieurs concurrents réduisait les incitations des entreprises à être en concurrence. Or la loi antitrust aux Etats-Unis permet aux investisseurs institutionnels d’exercer jusqu’à 15 % de droits de vote de toute entreprise, sans en avertir les autorités antitrust, dans la mesure où ils sont supposés être des investisseurs passifs (Hart-Scott-Rodino Act). De son côté, la réglementation européenne ne s’intéresse qu’aux prises de contrôle et ne concerne pas pour l’instant les blocs minoritaires, même si des débats sont en cours sur le sujet. Pour illustrer les effets de l’existence d’actionnaires communs sur les prix et les marges, une étude récente[2] s’intéresse à l’industrie aéronautique aux Etats-Unis. Ce secteur présente l’intérêt de donner accès aux niveaux de prix et places disponibles sur chacune des lignes aériennes. Pour les trois plus grandes compagnies aériennes (Delta Airlines, United Airlines et Southwest Airlines), les dix plus gros actionnaires sont des investisseurs institutionnels qui détiennent ensemble respectivement 36 %, 68 % et 46 % du capital. On retrouve largement parmi eux les mêmes investisseurs (BlackRock, Fidelity, Wellington, Vanguard…). Pour chacune des lignes aériennes, un indice de concentration est calculé, et les auteurs mesurent si des variations dans la concentration de l’actionnariat se traduisent par des changements de prix des billets d’avion sur une ligne donnée. Toutes choses égales par ailleurs, l’étude montre que les prix des billets sont 10 % plus élevés en raison de l’actionnariat commun. Les investisseurs n’ont en effet aucun intérêt à ce que les entreprises détenues se fassent une concurrence active, dans la mesure où ils sont essentiellement intéressés par la rentabilité globale du secteur dont ils détiennent tous les acteurs. Plusieurs études récentes montrent que les investisseurs institutionnels sont peut-être des investisseurs passifs, mais certainement pas des actionnaires passifs[3] : ils vont rencontrer les dirigeants, exercer leur influence sur la gouvernance des entreprises détenues, parfois proposer la nomination d’un administrateur. Et même s’ils s’abstiennent totalement d’intervenir, il est probable que les dirigeants des entreprises intègrent dans leurs décisions l’intérêt de leurs actionnaires, d’autant qu’ils peuvent eux-mêmes trouver un avantage à des comportements coopératifs sur leurs marchés. Cet effet d’actionnariat commun résulte de l’importance des investisseurs institutionnels aux Etats-Unis. Il peut également dissuader certains activistes d’intervenir. En Europe continentale, l’importance des blocs d’actionnaires familiaux, qui sont non diversifiés, et l’absence de fonds de pension, peut tempérer cet effet, même si les institutionnels étrangers détiennent 45 % des actions des sociétés européennes cotées, selon un rapport de l’observatoire de l’épargne européenne pour la Commission européenne. Les fusions et acquisitions entre entreprises du secteur ne sont ainsi pas les seules situations qui peuvent réduire la concurrence dans un secteur. La consolidation dans le secteur de la gestion d’actifs peut avoir des conséquences négatives sur la concurrence sur le marché physique des entreprises détenues par ces fonds. Les autorités de la concurrence devraient ainsi être vigilantes, dans l’évaluation des propositions de rapprochement dans la gestion d’actifs, à leur impact sur les secteurs des entreprises composant les portefeuilles. [1] Ces données sont issues de Grullon, Larkin et Michaely, 2016, « Are US industries becoming more concentrated ? » ; www.cicfconf.org/sites/default/files/paper_388.pdf. [2] Azar, Schmalz et Tecu, 2016, « Anti-competitive effects of common ownership » ; papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm. [3] Par exemple Appel, Gormley, Keim, 2016, « Passive investors, not passive owners », Journal of Financial Economics, 121, 111-141.
La Commodity Futures Trading Commission enquête à nouveau sur les pratiques de Citigroup dans ses activités de trading et de compensation de swaps de taux d’intérêt, a indiqué lundi la banque américaine dans un document réglementaire. Cette révélation intervient alors que Citi a déjà accepté de verser cette année 425 millions de dollars pour mettre fin à une enquête du gendarme des marchés de dérivés en raison de manipulation des indices de référence sur les taux d’intérêt entre 2007 et 2012.
In an interview with Newsmanagers, Fiona Frick, CEO of Unigestion, presents the company, which is highly active internationally, discusses activities since the beginning of the year, and lays out its ambitions. With assets of EUR18.3bn as of the end of September, Unigestion, which aims primarily at institutional clients, points to the growing interest in multi-asset. The firm also underscores its attachment to bespoke management, which represents about half of its assets.
Dans un entretien à Newsmanagers, Fiona Frick, CEO d'Unigestion, présente la société, très active à l'international, fait le point sur l'activité depuis le début de l'année et évoque ses ambitions. Avec des encours de 18,3 milliards d'euros à fin septembre, Unigestion, qui s'adresse avant tout à une clientèle institutionnelle, souligne, entre autres, l'intérêt grandissant pour le multi-asset. La société marque par ailleurs son attachement à la gestion sur mesure qui représente la moitié environ de ses actifs.
Bertrand Bougon, directeur des relations investisseurs et agences de notation, et Ian Kelly, directeur de la consolidation financière groupe, voient le périmètre de leurs fonctions évoluer au sein de la direction financière groupe du réassureur.
La Fondation de France accorde une importance particulière au pilotage par le risque de son portefeuille. Elle réalise notamment chaque semestre un stress test sur le modèle de la BCE, explique Jean-Pierre Lefranc, directeur financier, lors du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016.
Thierry Giami, conseiller de la direction de la Caisse des dépôts et président de l’Observatoire du financement des entreprises par le marché, quitte ses fonctions et se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat.
Dans le sillage de Crédit Agricole et de Natixis, Société Générale poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique,et annonce l’arrêt de l’ensemble de nouveaux financements de projets de centrales thermiques au charbon ou des infrastructures associées, partout dans le monde. Cette décision prendra effet au 1er janvier 2017. Cette annonce renforce les décisions prises en 2015 d’arrêter les financements des projets de développement de mines de charbon et des financements de projets de centrales thermiques à charbon dans les pays de l’OCDE à revenus élevés.Ces évolutions sont retranscrites dans les politiques sectorielles du groupe, Mines et Centrales Thermiques au charbon, qui fixent le cadre des offres de services financiers de Société Générale dans les secteurs d’activité où la banque intervient.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Fidelity International is seeking to increase its market share serving institutional clients in Europe. These clients “have represented up to 30% of our assets in continental Europe,” which is now half the size it was, and Fidelity International hopes to be able to “reinforce,” explains Christophe Gloser in an interview with L’Agefi weekly. The new head of the distribution profession for continental Europe and Latin America at Fidelity International highlights “a network style organisation” with its Luxembourg-based institutional counterpart. He says clients have increasingly standardised strategies, and “they expect the same alignment from us.” He would also like to “present a single identity” in coordination with his Asian colleagues. The newspaper states that the volume of wholesale assets for continental Europe at Fidelity International totals USD60bn, equivalent to levels at the end of 2015, and that inflows will be balanced for the year. Gross inflows “are down sharply this year, as much as halved in some countries, as clients have extreme wait-and-see attitudes.” In Latin America, assets are below EUR2bn, collected by major Spanish banks. But Fidelity has not launched an offensive there yet, the newspaper reports.
Après avoir confirmé à plusieurs reprises ces derniers mois ses objectifs financiers pour 2017, malgré les doutes répétés de ses actionnaires, Gemalto se rend à l'évidence. Le numéro un mondial des solutions de sécurité numérique a fortement revu à la baisse ses prétentions. Le résultat opérationnel attendu pour 2017, dernière année du plan stratégique en cours, s'établira entre 500 et 520 millions d’euros, contre un objectif de 660 millions. Celui-ci avait été relevé de 60 millions en 2015 pour tenir compte de l’intégration de Safenet. Le marché avait déjà anticipé depuis plusieurs mois cet échec, mais le nouvel objectif est encore 10% inférieur au consensus. Conséquence: le cours de l’action Gemalto plonge de 10% à 50,30 euros vendredi en fin de matinée. Il a perdu jusqu'à 16,7%.
À l’heure où la Commission européenne travaille sur plusieurs dossiers concernant l’assurance, la profession en appelle à plus de souplesse en matière de réglementation afin de pouvoir relever les défis qui s’imposent à elle.
Claude Zaouati, directeur général d'Aviva Assurances, le pôle d'assurances IARD du groupe britannique en France, va rejoindre Groupama pour prendre les rênes de Gan Assurances.
Les fonds de pension à la Française sont en passe de devenir une réalité dans le cadre du projet de loi Sapin 2 dont l’adoption est imminente. Quels sont les points d’attention que les assureurs doivent avoir à l’esprit avant de se lancer.
Scor Global Investments, la filiale de gestion du réassureur Scor, a dégagé un rendement de ses actifs investis en baisse à 2,9% à la fin du troisième trimestre, contre 3,1% pour la même période de 2015. Le montant total des investissements s'élève à 27,6 milliards d’euros, dont 8,4 milliards de fonds déposés chez les cédantes. Au troisième trimestre, les liquidités ont été réduites de 4 points de pourcentage par rapport au deuxième trimestre 2016 à 10%, les obligations de haute qualité ont crû de 5 points et la duration du portefeuille obligataire a augmenté à 4,5 ans contre 4 ans au deuxième trimestre 2016. Scor indique avoir réalisé une «solide et récurrente performance financière» dans son activité de gestion «malgré un environnement de rendement extrêmement bas». Les revenus d’investissement se sont établis à 409 millions d’euros au troisième trimestre, avec 168 millions de plus-values réalisées, venues principalement des portefeuilles immobilier et fixed income.
Selon l’Argus de l’Assurance, l’ex-membre du comité exécutif de Generali France, Michel Estimbre, s’apprête à rejoindre début novembre le groupe de protection sociale Malakoff Médéric. Michel Estimer devrait occuper le poste de directeur général adjoint et membre du comité de direction générale (CDG) au sein du groupe de protection sociale. Il devrait avoir en outre dans son périmètre de responsabilité la gestion, la relation clients, la transformation, l’organisation et les ressources humaines pour la partie assurance. Cet ancien d’Axa exercerait aussi une fonction transverse groupe sur les ressources humaines. Entré chez Generali en 2003, il a mené pendant dix ans, sous la direction de Claude Tendil, de nombreuses réorganisations. Dans le cadre du plan stratégique mis en place par Eric Lombard, il a notamment négocié en décembre dernier avec les organisations syndicales représentatives une série d’accords portant sur l’organisation du travail.
Investie dans le fonds de droit français Shânti Indiasean depuis une dizaine d’année, la Caisse de Prévoyance des Agents de la Sécurité Sociale et Assimilés (CAPSSA) n’aurait pas été mise au courant de la fusion de celui-ci avec la SICAV luxembourgeoise Twenty First Capital Luxembourg fin septembre 2016. Elle détient pourtant 25% des encours totaux, et a provisionné plus d’un million d’euros pour faire face à des moins-values réelles.
Tikehau Capital va reprendre la gestion de dette senior européenne de Lyxor. A l’issue de cette transaction, qui doit encore recevoir l’approbation des autorités réglementaires, Tikehau Investment Management, la société de gestion d’actifs de Tikehau Capital, se substituera à Lyxor UK (l’entité du groupe Lyxor au Royaume Uni aujourd’hui chargée de la gestion de cette activité) pour devenir le gérant financier des quatre fonds de droit luxembourgeois de dette senior européenne de Lyxor, représentant un total de 700 millions d’euros d’actifs sous gestion. Dans le cadre de cet accord, l’équipe opérationnelle de dette senior européenne de Lyxor UK (actuellement 8 personnes) rejoindra Tikehau IM à Londres. Ce dernier verra ses encours de prêts à effet de levier et de titrisation de prêts LBO (CLO) passer à 2,6 milliards d’euros d’encours et le total de ses actifs à 9,8 milliards d’euros.L’annonce intervient alors que Lyxor UK s’est doté d’un nouveau directeur général cet été en la personne de Matthieu Mouly. Lionel Paquin, directeur général de Lyxor, indique par ailleurs que Lyxor restera la société de gestion de tête des fonds et que Tikehau contribuera «pleinement à la qualité et au développement futur de cette activité». Malgré l’opération, il assure que « les gestions « fixed income » restent par ailleurs pour Lyxor un axe de développement important». La gestion des risques continuera d'être assurée par la filiale de la Société Générale. A fin août, elle comptait 15,8 milliards d’euros d’encours conseillés sur un total de 119 milliards d’euros. Au Royaume-Uni, la plate-forme londonienne ne fera plus de gestion que pour les ETF, le reste étant dédié au conseil et à la vente.
La Matmut a détaillé mercredi la refonte de son offre d’assurance emprunteur, développée depuis octobre 2013 en partenariat avec Mutlog. Spécialiste de ce segment depuis 1981, cette dernière intégrera la Sgam (Société de groupe d’assurance mutuelle) de la Matmut le 1er janvier 2017. La nouvelle offre s’articule depuis septembre autour d’une formule unique, « Matmut Altus Evolution », qui propose notamment de nouvelles garanties optionnelles comme le doublement du capital versé en cas de décès accidentel. Le produit présente aussi une dimension « solidaire », comme l’exonération pendant un an de cotisations en cas de première naissance ou de première adoption.
Aviva France annonce que Nicolas Schimel quittera son poste de directeur général à la fin du mois d’octobre. Il est remplacé par Patrick Dixneuf, actuel directeur du plan d’innovation et de changement pour le directeur financier du groupe Aviva.
La gestion financière de la CAVAMAC s'est enrichie ces dernières années de la notion de risque. Pierre-Maxime Duminil, son directeur général, détaille, à l'occasion du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016, sa politique de gestion des risques, de la formation des administrateurs à l'utilisation de stress tests et d'outils quantitatifs dans sa gestion d'actifs.
Un regain d’intérêt des investisseurs institutionnels pour la dette privée s’est ressenti en 2016. Une aubaine pour Scor Investment Partners, qui a développé la gestion pour compte de tiers sur ce segment depuis 2002.
Les placements des sociétés d’assurance françaises, comprennent plus de 60% de titres résidents, (représentant un encours de 1255 milliards d’euros à fin juin 2016) émis essentiellement par les sociétés financières (743 milliards-60%) et par les administrations publiques (412 milliards-33%). La zone euro (hors France) bénéficie des placements des assureurs à hauteur de 576 milliards d’euros de titres (plus de 25% du portefeuille). Enfin, 266 milliards d’euros (13% des titres détenus) financent le Reste du monde hors zone euro. Assurance vie et mixte : L’encours des placements augmente de +41,3 milliards pour atteindre 2 052 milliards d’euros fin juin 2016. Cette évolution est due principalement à la progression de +33,9 milliards du portefeuille d’obligations sous l’effet conjugué d’investissements nets de +20,7 milliards et d’effets valorisation de +13,2 milliards. Les portefeuilles de titres d’OPC non monétaires et d’actions cotées enregistrent également des flux nets positifs (respectivement + 6,5 milliards et + 2,4 milliards) mais bénéficient d’effets de valorisation moindres pour les titres d’OPC non monétaires (+0,6 milliard) et même négatifs pour les actions cotées (- 2 milliards). Enfin, les assureurs vie sont vendeurs nets de titres d’OPC monétaires (-0,7 milliard). Assurance non-vie : L’encours des placements s’inscrit en hausse de 3,4 milliards et atteint 209 milliards d’euros fin juin 2016. Le portefeuille obligataire progresse de +2,6 milliards, répartis entre +1,6 milliard de flux nets positif et +1 milliard d’effets valorisation. Par ailleurs, les souscriptions nettes d‘actions cotées (+1,4 milliard) compensent l’effet valorisation négatif (-1,3 milliard) de cette catégorie de titres. Les évolutions sur les titres d’OPC non monétaires (+0,3 milliard) et monétaires (0,0 milliard) sont très limitées. Lire la suite
C’est avec une grande tristesse que nous venons d’apprendre la disparition d'Éric Loiselet à l’âge de 56 ans. Éric était administrateur du FIR et l’un de ses co-fondateurs en 2001. Depuis juin 2016, il était également conseiller du président de l’IRCANTEC, après avoir été administrateur de 2011 à 2016. Homme politique et citoyen engagé, tout au long de sa vie professionnelle, il a œuvré avec constance pour faire bouger les lignes sur les sujets d’ISR. Récemment encore, il était l’un des artisans les plus combatifs de l’article 173 de la loi Transition Énergétique pour la Croissance Verte, article dont le caractère pionnier et les ambitions sont désormais reconnus au niveau international. Nos pensées vont à sa famille et à ses amis.
Créée en 1988 par la CCI Marseille Provence, la CEFIM (Communauté Economique et Financière Méditerranéenne) est une association de Place qui rassemble l’ensemble des acteurs économiques qui constituent le territoire Aix-Marseille Provence. Véritable carrefour d’échanges pour les représentants de la finance dont les investisseurs institutionnels, du droit, du conseil et des entreprises, la CEFIM est un lieu d’aiguillage des diverses problématiques rencontrées par les chefs d’entreprises de la région. Rémy Vialettes, son délégué général, détaille les différentes missions de l’association ainsi que son rôle auprès des entreprises et des institutionnels.
It has been a busy autumn at Axa Investment Managers. In addition to the creation of a team dedicated to absolute return, based in Hong Kong, the French asset management firm has also created an alternative credit platform. Christophe Coquema, global head of the client group at Axa IM, discusses these two projects with NewsManagers. He also discusses international developments at the company, including an announcement of plans to create an asset management firm with 100% foreign capital in the Shanghai free trade zone.
Le groupe Matmut accueille un nouveau membre au sein de son conseil d’administration. Une recrue particulièrement stratégique dans le contexte de recomposition du paysage institutionnel et commercial du monde mutualiste.
Les banques et les compagnies d’assurances s’intéressent de plus en plus aux start-up qui innovent dans la finance. Si, pour le moment, elles prennent surtout des participations stratégiques pour faire bénéficier leur métier des dernières technologies, elles commencent également à trouver dans ces sociétés des opportunités de placements. Une stratégie qui s’inscrit dans une recherche plus globale de rendement.
Nicolas Kateb vient d’arriver chez Axylia, cabinet de conseil financier spécialisé dans l’ISR, en tant que consultant financier. Il doit «contribuer à l’enrichissement du service apporté à nos clients associations et fondations, au développement des expertises en matière de finance responsable et rentable pour une économie altruiste», indique Vincent Auriac, Président d’Axylia, cité dans un communiqué. Diplôme de Sciences Po Grenoble et de l’Ecole Supérieure de Commerce de Lille et de l’Université de Lille avec une spécialisation en finance de marché et en analyse financière internationale, Nicolas Kateb a commencé sa carrière en 2010 au sein de BNP Paribas Asset Management en tant qu’analyste risques et performance, et spécialiste des normes GIPS. Deux ans plus tard, il est devenu successivement développeur d’outils quantitatifs pour le trading de produits dérivés, puis trader propriétaire au sein de Futex, un fonds d’investissement anglais spécialisé sur les futures. Rentré en France en mai 2015, il a exercé des fonctions de conseil en analyse quantitative pour BNP Paribas Securities Services, puis en trading et en mesure de performance et de Pnl pour Société Générale CIB, en tant que spécialiste des produits dérivés.