La Banque Postale et CNP Assurances ont annoncé ce 3 mai le lancement de leur premier fonds d’infrastructure, dénommé «LBPAM infrastructure Septembre 2030», spécialement pour l’enveloppe d’assurance-vie. Le véhicule a été développé en partenariat avec LBP AM, filiale en gestion d’actif de La Banque Postale. Commercialisée du 2 mai au 31 août, avec une échéance à septembre 2030, cette nouvelle unité de compte vise une rentabilité cible de 2% net de frais par an sur une durée d’investissement conseillée de 8 ans. Afin de mettre en place ce fonds, La Banque Postale et CNP Assurances ont créé une SCP (société civile de portefeuille), détenue à 100% par CNP Assurances. LBP AM intervient quant à elle comme gestionnaire de la société et du fonds de dette. Le portefeuille va investir dans des actifs non cotés de secteurs tels que l’environnement, la santé, l’éducation, les télécommunications et les services d’utilité publique. Ces actifs permettent également d’investir dans des projets à impact social et environnemental, liés aux énergies renouvelables, de mobilité durable (transport) ou encore d’infrastructures sociales (comme les écoles) ou numériques (comme la fibre optique). Il sera composé, au démarrage, de 40% d’un fonds de dettes de projets d’infrastructures et à 60% d’un fonds actions non cotées dédié aux infrastructures, deux fonds dans lesquels CNP Assurances a déjà investi pour son compte. L’encours sous gestion est de 100 millions d’euros au 2 mai 2022.
L’université américaine entend ainsi contribuer à combler le fossé creusé par l’esclavage et le racisme en matière d’éducation, de société et d’économie.
La commémoration de la fin de la seconde guerre mondiale, le 8 mai en Europe et le 9 mai en Russie, représentera un jour symbolique dans la guerre en Ukraine. Les investisseurs institutionnels n'ont pas échappé aux répercussions du conflit. Instit Invest rappelle leurs prises de positions dans une sélection d'articles.
Les investisseurs ont trouvé un terrain d’entente avec General Electric, Duke Energy et Dominion Energy qui s’engagent à augmenter leur transparence en matière climatique.
Les responsables du département américain du Travail estiment que le projet de Fidelity Investments de permettre aux investisseurs de placer des bitcoins dans leurs comptes 401(k) risque de compromettre la sécurité de la retraite des Américains. «Nous sommes très préoccupés par ce que Fidelity a fait», a déclaré Ali Khawar, secrétaire adjoint par intérim de l’Employee Benefits Security Administration, dans une interview accordée au Wall Street Journal. Le groupe d’Ali Khawar travaille au sein du département du Travail pour réglementer les plans de retraite proposés par les entreprises. Dans l’interview, il a déclaré qu’il considérait les crypto-monnaies comme spéculatives. M. Khawar a ajouté qu’il avait été averti par Fidelity la veille du jour où la société de gestion a dévoilé son projet de donner aux 23.000 entreprises qui utilisent ses services 401(k) la possibilité de proposer le bitcoin. Dans sa communication du 26 avril, Fidelity a indiqué qu'à partir de cette année, les salariés pourraient allouer jusqu'à 20 % de leur épargne à des bitcoins. Ce seuil pourrait être réduit par les employeurs.
A la fois superviseur, banque centrale et détenteur d’actifs, l’établissement accélère ses engagements pour la transition climatique dans ses portefeuilles.
L’UE pourrait décider de mesures ciblant les importations de pétrole russe dans les prochains jours. De telles sanctions seraient très douloureuses pour le Kremlin et son effort de guerre.
Le pétrolier ne l’inscrira pas à l’ordre du jour de l’AG du 25 mai, mais invite au dialogue lors de l’assemblée. Follow This pousse les pétrolières à atteindre l’accord de Paris.
La mutuelle des agents actifs et retraités du Ministère de l'Economie et des Finances a maintenu son niveau de solvabilité et compte sortir du groupe Vyv.
Le fonds de pension danois a observé une récente hausse de 15% du nombre de ses clients investissant de façon "active" dans sa solution Danica Balance Sustainable Choice.
La Spac Queen’s Gambit Growth Capital 2 est devenue mardi la dernière entreprise à suspendre ses projets d’introduction en Bourse aux États-Unis, dans un contexte de volatilité du marché provoquée par le conflit russo-ukrainien et la hausse des taux d’intérêt dans le monde. Cette décision aligne la société sur plusieurs autres sociétés de même type – dont deux soutenues par le banquier d’investissement milliardaire Ken Moelis – et intervient à un moment où l’intérêt pour l’espace s’estompe en raison de la surveillance réglementaire croissante et de la faible performance des actions des entreprises récemment fusionnées telles que comme Grab Holdings.
La Capssa met son portefeuille en accord avec ses principes. Jean-Pierre Mottura, le directeur général de l’institution de Prévoyance des agents de la Sécurité Sociale et assimilés, exprime ses convictions et ses choix d’investissement dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne.