Lors du Forum de la Gestion Privée de L’Agefi Actifs jeudi, le premier prix de la gestion privée a été attribué à Béatrice Belorgey, directrice de BNP Paribas Banque Privée France, suite au vote des lecteurs de L’Agefi, qui était doublé d’un prix spécial des rédactions du groupe. Ce dernier a été attribué à Patrick Follea, directeur de la banque privée et de la gestion d’actifs du groupe Société Générale. Ces deux distinctions visent à distinguer un dirigeant d’un établissement financier, banque privée, multi family office ou cabinet de conseil en gestion de patrimoine qui s’est illustré au cours de l’année écoulée (entre le 1er mars 2018 et le 1er mars 2019) dans une opération d’envergure (opération de croissance externe, organique, décision stratégique majeure, etc.), ou qui se sera vu confier une nouvelle fonction importante.
Au cours du Forum de la Gestion Privée de L’Agefi Actifs qui s’est tenu à l’hôtel Lutetia jeudi 18 avril, le premier prix de la gestion privée a été attribué à Béatrice Belorgey, directrice de BNP Paribas Banque Privée France. Cette récompense qui est le résultat du vote des lecteurs de L’Agefi était doublé d’un prix spécial des rédactions du groupe. Ce dernier a été attribué à Patrick Follea, directeur de la banque privée et de la gestion d’actifs du groupe Société Générale. Ces deux distinctions ont pour vocation de distinguer un dirigeant d’un établissement financier, banque privée, multi family office ou cabinet de conseil en gestion de patrimoine qui s’est distingué au cours de l’année écoulée (entre le 1er mars 2018 et le 1er mars 2019) dans la conduite d’une opération d’envergure (opération de croissance externe, organique, décision stratégique majeure, etc), ou qui se sera vu confier une nouvelle fonction importante pour son établissement. Les lauréats figuraient parmi une liste de onze nominés.
Au cours du Forum de la Gestion Privée de L’Agefi Actifs qui s’est tenu à l’hôtel Lutetia jeudi 18 avril, le premier prix de la gestion privée a été attribué à Béatrice Belorgey, directrice de BNP Paribas Banque Privée France. Cette récompense qui est le résultat du vote des lecteurs de L’Agefi était doublé d’un prix spécial des rédactions du groupe. Ce dernier a été attribué à Patrick Follea, directeur de la banque privée et de la gestion d’actifs du groupe Société Générale.
Longtemps annoncées, la consolidation ainsi que la réorganisation des secteurs de la banque et de la gestion privée sont devenues réalité, Toutes les structures sont touchées et doivent, une fois en ordre de marche, relever une multitude de défis, dont leur rentabilité
La banque privée génère encore un PNB pro capita élevé mais dont la rentabilité est en baisse de 40% depuis le début des années 2000, Il est urgent qu'elle se transforme et surtout oriente ses efforts de transformation sur l’utilisation efficaces de ses données clients.
Generali on Thursday18 April announced the appointment of Francesco Martorana to direct Generali Insurance Asset Management (GIAM). He replaces Santo Borsellino, who becomes chairman. Martorana will retain his position as interim chief investment officer, which he has held since October 2017. Borsellino is also appointed as chief investment officer for asset management, governance and institutional relationships. He will be responsible for public relations with institutions, associations and regulators, as well as the implementation of governance for the asset management and wealth management teams.
Crédit Agricole and Santander on 17 April announced that they have signed an agreement in principle to merge their institutional services into a new entity, which will be 69.5% controlled by the French banking group, and 30.5% controlled by the Spanish group. The entity will include Caceis, an affiliate of Crédit Agricole SA, and the Spanish and Latin American activities of Santander Securities Services (S3), an affiliate of Santander, and will retain the name Caceis, a statement says. The merger, which will be finalised by the end of 2019, will create a group with €3.343trn in assets under custody, and €1.833trn in assets under administration. “S3 will bring 100% of its Spanish activities, and 49.99% of its Latin American activities into Caceis,” a statement says, adding that the new Caceis will be “better placed to profit from growth in high-potential countries (Latin America and Asia).” Jean-François Abadie, currently CEO of Caceis, will retain his position at the new entity, while Carlos Rodriguez de Robles, the current CEO of S3, will head up activities in Spain and Latin America (Brazil, Mexico, Colombia), the two businesses say. The final agreement will be subject to prior approval by personnel representative bodies. Crédit Agricole and Santander are expecting to finalise the operation “by the end of 2019.” Caceis was created in 2005 in the merger of the custody activities of Crédit Agricole and the Caisses d’Epargne.
VanEck is launching nine Think Core ETF products on Borsa Italiana, bringing the number of its ETF products listed in Milan to 18, Funds People Italia reports. The new ETFs offer access to sustainable equities, global real estate securities, equities and global and European bonds, and to high-dividend companies. The products include the Think Sustainable World UCITS ETF, Think Global Real Estate UCITS ETF, Think European Equity UCITS ETF, Think Global Equity UCITS ETF and Think Morningstar® High Dividend UCITS ETF.
Une personnalité atypique. Francisco Garcia Paramés, un grand gestionnaire d’origine espagnole qui a créé il y a maintenant un peu plus de deux ans sa propre société de gestion, Cobas, ne paie pourtant pas de mine. Mais Veronica Vieira affiche une conviction sans faille. «Dès le début, j’ai su que j’étais en présence de quelqu’un de terriblement différent», lance la responsable de Cobas pour la France et le Benelux quicôtoie ce gérant depuis une bonne vingtaine d’années, dans un premier temps en tant que broker et désormais en tant que membre de la direction de Cobas. Une personnalité atypique donc, et plutôt réservée. Alors que l’intéressé fait figure de référence dans l’univers de l’investissement, il se garde bien de prendre les postures ostentatoires de certaines d’entre elles. Il est même tout le contraire de quelqu’un arrivé au but et qui regarde le monde alentour du haut de ses performances financières. Le Financial Times n’a pourtant pas hésité à le présenter comme le Warren Buffett espagnol. Vous avez bien lu, le Warren Buffett espagnol. De son point de vue, il s’agit sans doute d’une exagération. Récemment de passage à Paris, Francisco Garcia Paramés ne semblait pas attacher trop d’importance à cette référence au sage d’Omaha même si Warren Buffett reste un phare dans le parcours de l’Espagnol né au début des années 60 en Galice, à La Corogne. «Ma dette envers lui est immense, parce que pour un jeune homme qui débute dans l’investissement, avoir une source d’inspiration d’un tel acabit est aussi essentiel que disposer d’une grande capacité intellectuelle ou de travail», écrit-il dans l’opus (*) qu’il a récemment présenté dans la capitale française. Francisco Garcia Paramés a même engagé une correspondance épistolaire avec Warren Buffett. Début 2007, il le remerciait d’exister et « d’être une référence pour un investisseur isolé dans un pays comme l’Espagne». Warren Buffett lui répond presque immédiatement et lui demande s’il a des idées pour investir dans des sociétés espagnoles. «Comme il ne m’en venait aucune qui cadrât avec sa philosophie d’investissement, je ne lui ai pas répondu et notre brève relation épistolaire s’est malheureusement arrêtée là», regrette l’investisseur espagnol. Mais, comme pour régler une dette de toute façon trop élevée, une délégation de Cobas se rend chaque année au grand-rendez d’Omaha, au mois de mai. Et, en cette année 2019, le gestionnaire espagnol sera aussi de la partie pour présenter son livre dans l’un des événements parallèles organisés durant cette période. L’ouvrage qu’il a présenté à Paris marque une césure dans son parcours. Il y a la carrière avant l’écriture du livre, qui court jusqu’à fin 2014 et son départ d’une société de gestion espagnole où il a gagné son statut de «star» de l’investissement. Et il y a la carrière après l’écriture du livre, avec la création par l’investisseur de sa propre société de gestion d’actifs. Après son départ de Bestinver, le gestionnaire a en effet cessé son activité pendant deux ans, comme le mentionnait son contrat de travail, afin de respecter la clause de non-concurrence et de ne pas faire d’ombre à son ancien employeur. Une période de deux ans à Londres, le hub financier de l’Europe, qui ne souffrait pas encore de l’hypothèque du Brexit. Et c’est là à Londres que Francisco Garcia Paramés a tenté de mettre noir sur blanc ce que furent ses 25 premières années passées à investir. La future star de l’investissement value a fait ses premiers pas à El Corte Inglès, en 1986. Et trois ans plus tard, il rejoignait le gestionnaire Bestinver Asset Management après avoir passé un MBA dans une école de commerce espagnole, l’IESE, où il a dû repasser l’examen d’entrée de Maths. Mais l’investissement «n’est pas conditionné à une connaissance exceptionnelle des Mathématiques, mais à celle de la dynamique concurrentielle des firmes et à l’utilisation d’une simple calculette», observe-t-il. Chez Bestinver, à l’époque la branche de diversification de la famille Entrecanales installée en plein centre de Madrid, la jeune recrue débute à l’été 1989 son travail d’analyste, celui pour lequel il se sent d’attaque. «Il était clair que mon profil n’était ni celui d’un commercial, ni celui d’un dirigeant, mais bien plutôt celui de quelqu’un qui étudie, qui approfonditet qui lit: en un mot celui d’un analyste». Et dans ses nouvelles fonctions, il a bénéficié d’un concours de circonstances qui a sans doute accéléré son ascension, à savoir le départ de plusieurs membres de l’équipe, dont le responsable de l’analyse financière et de la gestion de portefeuille. Ce qui a incité le débutant, qui avait déjà passé au crible la Bourse espagnole et analysé tous les secteurs qui comptent, à soumettre à la direction de Bestinver la possibilité de prendre en charge la gestion de portefeuille de la société. Malgré quelques réticences, sa requête a été acceptée et il a commencé à gérer en 1991. Avec un encours de deux ou trois millions d’euros, souligne l’intéressé. «Si les sommes avaient été plus importantes, il aurait été impossible qu’ils me fassent confiance, du haut de mes 27 ans et fort d’une année d’expérience seulement», estime-t-il. Mais ils lui ont fait confiance et ne l’ont pas regretté. En 2006, avant la crise de 2008-2009, les clients affluaient et l’actif géré a atteint 6 milliards d’euros. Soit un actif multiplié par 20 en trois ans. Et quelques années plus tard, l’encours avait largement dépassé la barre des 10 milliards d’euros. Les investisseurs ne s’y sont pas trompé. Année après année, le gestionnaire espagnol a dégagé des performances parmi les meilleures du marché tout en évitant les chocs boursiers, comme celui de la bulle internet sans parler de la crise des prêts hypothécaires à risque («subprime»). Entre 1993 et 2014, son fonds phare dédié aux actions espagnoles affiche un rendement annuel moyen de 15,7% contre un rendement de moins de 8% pour l’indice général de la Bourse de Madrid. Avec de tels résultats, on comprend pourquoi s’est imposée la comparaison avec Warren Buffett qui a un «track record» encore plus long mais des performances finalement pas très supérieures à celles du prodige espagnol (17,6% contre 13,5% selon une étude d’AQR). Comment expliquer de tels résultats? On l’a dit, le gestionnaire reconnaît sa dette envers Warren Buffett (même s’il considère au passage que l’Américain «n’entend rien à la notion de Value investing») mais Francisco Garcia Paramés s’est aussi inspiré de très grosses pointures comme Patrick Lynch, Philip Fisher, Joel Greenblatt, Benjamin Graham, et last but lot least, l’école économique autrichienne, et ses plus éminents représentants Carl Menger, Ludwig von Mises, ou encore Friedrich A.Hayek. Fort de toutes ces références, le gestionnaire espagnol a développé sa propre approche «value», qui metl’entreprise et ses dirigeants au centre de l’analyse, qui s’inscrit surle long terme et qui exige beaucoup de patience… De son point de vue, le «véritable investisseur Value» est «un individu qui passe sa vie à seconsacrer à sa passion, la lecture». Cette passion pour la lecture, Francisco Garcia Paramés l’a développée très tôt, d’abord en compagnie des grands auteurs de la littérature, entre autres Stendhal et Proust, qu’il revisite volontiers, et puis tout au long de sa vie de gestionnaire. Sa journée de gérant de fonds passe par la lecture de la presse, la lecture de rapports et bien entendu les rencontres avec les sociétés. Mais les bureaux de Cobas ont tout de l’atmosphère d’une «étude de notaire», souligne le patron de Cobas qui, sauf nécessité absolue, ne regarde jamais ses «écrans» durant la journée. Et le gestionnaire ne semble pas près de lâcher les rênes! Francisco Garcia Paramés considère son travail, -qu’il qualifie d’attirant et qu’il fait, dit-il, «raisonnablement bien», comme un «devoir» vis-à-vis de sa famille (il a cinq enfants), de ses amis de ses connaissances et de tous qui lui font confiance. Dans ce contexte, écrit le gérant, «je ne doute pas un seul instant que je continuerai à faire ce métier encore longtemps». Et il ajoute: «Qui sait? Jusqu’à ce que j’éprouve le besoin d’écrire un second livre…». Le premier est d’ores et déjà un vrai succès avec des droits de traduction jusqu’en Chine. En attendant, l’investisseur espagnol a lancé, il y a un peu moins de deux ans, un projet à vocation pédagogique, «Value School», qui se propose de rendre accessible à tous la connaissance et la culture financière avec un blog et un espace multimédia. Tout en continuant de se ressourcer sur les plages de Cobas (à proximité de La Corogne) etd’œuvrer à la bonne marche de sa société éponyme... (*) Investir à long terme, Mon expérience en tant qu’investisseur, Francisco Garcia Paramés, Valor Editions, 4ème trimestre 2018
Le plan d'économies de la Société Générale prévoit 52 suppressions de postes nettes sur 87 au siège de la banque privée à Paris, et 28 sur 95 chez Lyxor.
Le plan d'économies de la Société Générale prévoit 52 suppressions de postes nettes sur 87 au siège de la banque privée à Paris, et 28 sur 95 éligibles chez Lyxor.
Le directeur général d’Amundi, Yves Perrier, devrait voir sa rémunération totale au titre de l’exercice 2018 atteindre 3 millions d’euros, selon le document de référence 2018 publié par la société de gestion. Ainsi, la rémunération fixe a été portée de 860.000 euros en 2017 à 1 million d’euros l’an dernier. Cette augmentation de 16,3% a été accordée à Yves Perrier «considérant le décalage significatif par rapport au niveau de rémunération des dirigeants d’autres sociétés de gestion d’actifs en Europe et la structure de rémunération spécifique au regard de la Réglementation CRD IV, limitant le poids de la rémunération variable et ne permettant donc pas au directeur général de bénéficier du plan d’attribution d’actions de performance (LTI) prévu pour les cadres dirigeants», explique le document. La rémunération variable due au titre de l’exercice 2018 s'établit quant à elle à 2 millions d’euros. Cette rémunération est basée sur des critères de performance liés à la performance économique (évolution des revenus, du coefficient d’exploitation ou du résultat net par exemple pour 35% du total), des critères managériaux relatifs à l’intégration de Pioneer (pour 20% du total) et au développement de l’ISR et de la finance solidaire (pour 10% du total) et des critères portant sur le périmètre Crédit Agricole SA, la maison-mère d’Amundi (pour 35% du total). Le document de référence explique sur cette base qu’au cours de la réunion du 12 février 2019 du conseil d’administration, il a été constaté que les objectifs fixés pour 2018 ont été «significativement dépassés». Ainsi, le taux d’atteinte global est de 112,1 %, dont 106,2 % sur les critères économiques et 118 % sur les autres critères. Le niveau d’atteinte des objectifs économiques se décompose comme suit : 105,4 % pour les critères Amundi; 108,2 % pour les critères Crédit Agricole S.A. Sur la base du taux d’atteinte global des objectifs, la rémunération variable théorique aurait été de 2,242 millions d’euros. «Cependant, en application de la Réglementation CRD IV, le conseil a limité la rémunération variable à deux fois la rémunération fixe, soit un montant de 2 millions d’euros». Ce montant inclus 600.000 euros de variable non différé, 200.000 euros de variable à paiement décalé de six mois et 1,2 million d’euros de variable différé, indexé et conditionnel. La rémunération totale serait «dans la fourchette basse du marché» La première société de gestion en Europe rappelle par ailleurs que la hausse globale de rémunération d’Yves Perrier (+16%) est à comparer avec une progression de 25,5% du résultat net comptable d’Amundi. «Entre 2015 et 2018, l’évolution de la rémunération globale du directeur général s’établit à 42%, à comparer avec une progression du résultat net comptable de 65% sur la même période. Chaque année, une analyse est réalisée pour situer la rémunération du directeur général par rapport à celle de ses pairs. Les résultats de celle-ci concluent à un positionnement de la rémunération totale attribuée au directeur général dans la fourchette basse du marché», ajoute la société. Enfin, Amundi a publié pour la première fois le ratio d’equité qui correspond au ratio entre la rémunération globale attribuée au directeur général au titre de 2018 et la rémunération globale moyenne des collaborateurs du groupe. Celui-ci s’établit à 21,9, et à 23,3 sur le périmètre France uniquement. «Ce ratio est l’un des plus bas parmi les sociétés du SBF 120", note Amundi.
Following a meeting of the supervisory board at Edmond de Rothschild (France) on 12 March 2019, Renzo Evangelista has been appointed as chairman of the board, replacing Vincent Taupin, the group announced on Tuesday 9 April in a statement. Evangelista will work to continue the development of Edmond de Rothschild in France for all professional units. Meanwhile, the family group has announced the appointment of Philippe Cieutat as CEO of Edmond de Rothschild France. The announcements come on the heels of a reshuffle in March, which saw the French entity absorbed into Edmond de Rothschild (Suisse), the removal of the group from public trading, and the appointment of Vincent Taupin as CEO of the group. Evangelista, 48, who has been director of private banking at Edmond de Rothschild (France) since 1 January 2017, holds a DESS degree in business and tax law from the Université Paris Panthéon-Sorbonne. He began his career in 1996 as a wealth manager at BGPI, where he participated in the development of a product range for entrepreneurs. In 2000, he joined Edmond de Rothschild as a private banker, and then formed the family office in 2006, where he is director. From 2012, he becomes director of a new team. Cieutat, 42,began his career in 2002 as an auditor for the financial sector at Mazars, and then in 2005 joined the general inspection unit at HSBC France as an inspector, and later as director of missions. He joined HSBC Global Asset Management (France) in 2009 as CFO and a member of the executive board for the asset management profession. In 2013, he was appointed as director of strategy and organisation at HSBC France and as a member of the executive board. He joined Edmond de Rothschild (France) in September 2014 as administrative and financial director and a member of the executive board. He had been a member of the board at Edmond de Rothschild (France) since 2014.
A l’issue du conseil de surveillance d’Edmond de Rothschild (France) du 12 mars 2019, Renzo Evangelista a été nommé président du directoire en remplacement de Vincent Taupin, a annoncé ce mardi 9 avril le groupedans un communiqué. L’intéressé aura pour mission de poursuivre le développement d’Edmond de Rothschild en France pour l’ensemble de ses métiers. Dans le même temps, le groupe familial a annoncé la nomination dePhilippe Cieutat en tant que directeur générald’Edmond de Rothschild en France. Cesannonces fontsuite à la réorganisation opérée en mars dernieret qui a notamment vu l’absorption de l’entité française par Edmond de Rothschild (Suisse), la sortie du groupe de la bourse et la nomination de Vincent Taupin au poste de CEO du groupe. Directeur de la banque privée d’Edmond de Rothschild (France) depuis le 1er janvier 2017, Renzo Evangelista, 48 ans, est diplômé d’un DESS Droit des Affaires et Fiscalité de l’Université Paris Panthéon-Sorbonne. Il débutesa carrière en 1996 comme gestionnaire de fortune à la BGPI où ilparticipeau développement d’une offre dédiée aux entrepreneurs. En 2000, il rejoint Edmond de Rothschild en tant que banquier privé, puis il constitue le family office en 2006 dont il assure la direction. Àcompter de 2012, il reprend la direction d’une nouvelle équipe. Philippe Cieutat, 42 ans, est luidiplômé de l’Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales (ESSEC), et de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Ildébute sa carrière en 2002 dans l’audit du secteur financier chez Mazars, avant de rejoindre en 2005 l’inspection générale de HSBC France en tant qu’inspecteur puis directeur de missions. Il rejoint HSBC Global Asset Management (France) en 2009 en tant que directeur financier etmembre du comité exécutif du métier de l’asset management. En 2013, il est nommé directeur de la stratégie et de l’organisation de HSBC France et membre du comité exécutif. Ilrejoint Edmond de Rothschild (France) en septembre 2014 en tant que directeur administratif et financier etmembre du comité exécutif. Il était membre du directoire d’Edmond de Rothschild (France) depuis 2014.
Les plus grandes valeurs bancaires de la cote helvétique ont enregistré des performances positives depuis le début de l’année, en particulier pour Julius Baer (+26%), porté par des spéculations de reprise par UBS ou par une autre grande banque, mais aussi pour CS Group (+13%), ainsi que pour UBS (+2%) dont les résultats annuels, et plus particulièrement ceux du quatrième trimestre, étaient ressortis en dessous des attentes du consensus, rapporte L’Agefi suisse. Alors que dans le même temps, l’indice SPI s’inscrit cette année en hausse de près de 16%. Sur 12 mois cependant, les trois grandes valeurs précitées affichent encore des performances négatives de plus de 22%, sous-performant ainsi même les banques européennes sur cet horizon. Dans une étude publiée la semaine dernière sur les banques suisses de gestion privée, Morgan Stanley explique cette contre-performance par une intensification de la pression sur les marges et par la difficulté d’adapter les coûts à l’évolution des revenus. UBS est le seul titre surpondéré par Morgan Stanley dans l’univers de la gestion privée helvétique, alors que les analystes de la banque sont neutres sur Julius Baer et sur CS Group.
Assets under management of the French investment fund industry were €3,864trn as of end 2018, decreasing by 2% year-on-year according to data unveiled by French asset management association AMF. This AuM drop ends a consecutivesix-year term during which assets managed by the French asset management industry went up by over €1trn. Over a 10-year period, the annualised growth rate of AuM in the French fund industry is 4.4%. Assets in French-domiciled funds decreased by 6.3% in 2018 (+7.5% in2017), reaching a total of €1,813trn, split as follows: €783bn in Ucits funds(- 10.4% in 2018 yoy), and €1,029trn in alternative investment funds(-2.9% yoy). AFG highlights several factors that have contributed to the drop in French Ucits funds assets : the negative market environment, high numbers of redomiciliation of funds still managed in France and net outflows of €17.6bn over 2018 (vs. inflows of €48.5bn posted in 2017). In detail, money market funds have reported outflows of €16.6bn last year and some €10.4bn have been pulled out of diversified funds. Formula funds have also faced outflows (-€2.6bn)like the three years before. Equity and bond funds have boarded net inflows of €9.7bn and €2.3bn in 2018 respectively.
L’Affo annonce le lancement d'une formation dédiée aux family office créée en partenariat avec l’Aurep, Les grandes familles réalisent l’importance de se structurer et les family office se professionnalisent
Le groupe Mirabaud annonce la nomination de Louis Fauchier-Magnan au poste de Directeur Général de la succursale française de la banque privée Mirabaud & Cie (Europe) SA. Il aura pour mission de développer l’activité de gestion de fortune sur le marché français.
CCR lance «157 Re»,le tout premier «sidecar» à adopter la forme d’un fonds commun de titrisation (FCT) de droit français (fonds commun de titrisation supportant des risques d’assurance), instrument utilisé jusqu’à présent uniquement pour la titrisation des actifs financiers.France Titrisation agit comme société de gestion de 157 Re et BNP Paribas Securities Services, comme dépositaire. Par ailleurs,WillisTowers Watson Securities, la filialebroker-dealerdeWillisRe, confirme avoir agi pour le réassureur français CCR Re en qualité d’agent unique de structuration. Le sidecar (un véhiculede réassurance qui partage les primes et sinistres avec un assureur sur une base proportionnelle)assumera une quote-part du portefeuille mondial de polices de réassurance exposées aux catastrophes naturelles de CCR Re. «En acceptant une participation de 25% du portefeuille Dommages Catastrophes (Property Cat) monde, 157 Re offre une capacité entièrement collatéralisée à CCR Re et lui permet ainsi de poursuivre sa diversification et sa croissance organique profitable», commente CCR par voie de communiqué. Ayant obtenu l’agrément de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et Résolution, le véhiculeseracompatible avec la réglementation Solvabilité II, ce qui «permet par ailleurs à CCR Re d’avoir accès à une source compétitive et agile d’investisseurs», indique le réassureur. Le premier compartiment du fonds 157 Re, baptisé 157 RE 19, prend effet le 1er avril 2019. Il sera suivi par d’autres les années à venir en fonction de la demande des investisseurs et des besoins de CCR Re. «En réalisant cette opération, nous avons ensemble démontré la capacité d’innovation de la Place Financière de Paris, à travers la création du premier fonds commun de titrisation supportant des risques d’assurance qui réponde tant aux besoins de la cédante qu’à ceux des investisseurs, se targue CCR. Cette transaction, qui peut facilement être dupliquée pour couvrir d’autres types de risques d’assurance, ouvre la voie au développement d’un marché des ILS à Paris».
Paluel Marmont Capital, société de gestion de portefeuille et filiale de la Compagnie Lebon, organise le rachat en LBO de Securinfor, une entreprisedeservices numériques spécialisée dans l’infogérance d’infrastructure informatique pour les grands comptes et les institutions publiques. L’opération, réalisée avec le management de la société, la BPI et Rives Croissance, prévoit le rachat des parts auprèsd’Axio Capital, Capitem Partenaires et Swen Capital. Basé à Rungis etfort de 380 collaborateurs, dont 150 personnes en région, le groupe réalise près de 25 millions d’euros de chiffre d’affaires par an. Fondé en 1986, le groupe a été repris en 2016 par Michel Meunier, l’un des dirigeants historiques qui a développé le groupe durant 20 ans, accompagné d’Axio Capital, Capitem Partenaires et Swen Capital Partners. Rui Neves, recruté début 2017 comme directeur général après vingt ans chez Consort NT, a repris le flambeau managérial et reprend désormais le groupe avec son équipe de management et un tour de table financier piloté par Paluel-Marmont Capital qui deviendra le nouvel actionnaire majoritaire. Pour monter ce LBO, Paluel-Marmont Capitala fait appel au Crédit du Nord et à la Banque Populaire Rives de Paris, co-arrangeurs de la dette senior, et à la Banque Palatine, ainsi qu’à CIC Private Debt pour la dette mezzanine. «Pour cette nouvelle étape dans sa croissance, Sécurinfor s’appuie ses savoir-faire reconnus et la poursuite de l’externalisation de l’infogérance, son métier historique, ainsi que sur le développement des prestations d’assistance technique et une stratégie active de croissance externe», précise la société dans une missive. De son côté, Axio Capital réalise, avec cette opération, la première sortie d’Axio Croissance SLP, sa société d’investissement lancée en 2016.
Bernhard Hodler, directeur général de Julius Baer, a indiqué jeudi à Bloomberg que le gérant privé suisse étudiait une nouvelle salve de réductions de coûts, après avoir fermé des bureaux aux Pays-Bas, à Panama et au Pérou. Il a par ailleurs relativisé les défections de Julius Baer vers son concurrent Pictet, dirigé par son prédécesseur Boris Collardi. Julius Baer, qui a recruté l’an dernier 105 banquiers privés, a vu cette semaine le patron de ses activités au Brésil, Marc Braendlin, partir chez Pictet avec une équipe de chargés de clientèle.
Un sacré camouflet! Le hedge fund britannique Pharo Management a restitué en décembre dernier un investissement d’environ300 millions de dollars réalisépar la banque centrale d’Arabie saoudite, la SAMA (Saudi Arabian Monetary Authority), ont indiqué à Bloomberg des sources au courant de la démarche. Guillaume Fonkenell, 54 ans et fondateur de Pharo Management, a indiqué à des investisseurs en janvier dernier que cette décision par des raisons éthiques en raison des préoccupations liées à la mort du journaliste Jamal Khashoggi par des agents du gouvernement saoudien, a précisé l’une des sources. La SAMA s’est refusée à tout commentaire et un porte-parole de Pharo, qui géraitquelque 9,7 milliards de dollars à fin janvier, a également décliné l’invitation à commenter l’information.
Bernhard Hodler, directeur général de Julius Baer, a indiqué jeudi à Bloomberg que le gérant privé suisse étudiait une nouvelle salve de réductions de coûts. Après avoir fermé des bureaux aux Pays-Bas, à Panama et au Pérou, «nous allons essayer de le faire un peu plus sur une base stratégique», a expliqué le dirigeant.
Il s'agit de la cinquième acquisition réalisée par le groupe au cours des huit derniers mois qui étend ainsi son activité aux marchés italien, français et australo-asiatique.
Les aléas du Brexit ne semblent pas détourner Julius Baer de son projet de développement outre-Manche. La filiale britannique, Julius Baer International, vient ainsi de recruter trois chargés de clientèle, Colin Aitken, Mark Dooner et Laurence Patmore. Colin Aitken, qui sera basé à Édimbourg,travaillait précédemment chez UBS et a notamment contribué au développement des activités du groupe suisse en Ecosse, des activités qu’il a dirigées pendant neuf ans. Mark Dooner sera basé à Manchester tandis que Laurence Patmore prendra en charge la région autour de Cambridge. En outre,selon le communiqué publié ce 19 mars, Julius Baer va continuer de recruter des talents pour renforcer sa présence en Grande-Bretagne et en Irlande.
The ETF and ETP provider WisdomTree will on 19 March announce the launch of the Investor Solutions platform, with the objective of helping asset managers to more effectively engage in dialog with their clients and prospective clients, and to modernise their portfolios to meet the changing needs of investors. This programme includes the Digital Portfolio Developer (DPD), a sophisticated portfolio construction tool aimed at investors. DPD, available to professional clients on the WisdomTree website, is a resource for analysing the current positions in portfolios, identifying opportunities for improvement, and running stress tests on portfolios according to various market scenarios. After a successful launch in the United States and Canada in 2017, DPD is now available in France. “The asset management sector is changing fast, and we feel that technology is on the cutting edge of the market, and that it will contribute to more efficient and competitive practices in the asset management profession,” says Frank Spiteri, head of distribution for Europe. “We are convinced that this tool will offer them a way to improve their investment decisions and to free up time to study new ways of interacting with their clients.” The new tool, which now includes over 60,000 investment funds and ETPs, can be used to develop stress test scenarios. Using analytical data obtained from institutional clients by the fintech and financial analysis company FinMason, investors can compare the hypothetical performance of an initial portfolio and a portfolio recommended by the tool for various market scenarios. Investors can also choose and compare two portfolios side by side on the basis of key indicators, to help them identify underlying risks and to find opportunities to improve performance or income, and/or to reduce costs. “WisdomTree is committed to making useful digital applications available to asset managers, based on very high quality analytical data,” says David Abner, head of WisdomTree for Europe. “With thousands of users in the United States and Canada, we have observed that the Digital Portfolio Developer is a high-performance tool which enables quick and effective analysis of client portfolios and prospective portfolios. We are convinced that this technological solution offers asset managers a way to make effective performance evaluations and to carry out certain stress tests to strengthen their activities.” The Investor Solutions programme also offers users access to experts and their research in the fields of macroeconomics, retirement, and recruitment, including Jeremy J. Siegel, senior investment strategy adviser at WisdomTree, Joseph F. Coughlin, Ph.D., founder and director of AgeLab, a research programme dedicated to the elderly at the Massachusetts Institute of Technology, and Randy Street, managing partner at the consulting and recruitment firm ghSMART.
Mathieu Vedrenne succède à Patrick Folléa qui a récemment été nommé Responsable de la Business Unit Gestion d’Actifs et Banque Privée. Mathieu Vedrenne était précédemment Directeur Commercial de la banque privée en France. Basé à Paris, il est directement rattaché à Patrick Folléa.
Mathieu Vedrenne, ancien directeur de cabinet de Frédéric Oudéa, est nommé directeur de Société Générale Private Banking France. Il succède à Patrick Folléa, qui a été récemment nommé responsable de la business unit gestion d’actifs et banque privée. Ancien de l’Inspection générale de la banque rouge et noire, Mathieu Vedrenne fut le directeur de cabinet du président-directeur général de la Société Générale Frédéric Oudéa entre 2008 et 2011. Il intègre la banque privée du groupe en 2012 au poste de directeur général adjoint et secrétaire du conseil d’administration de la branche suisse. En 2016, il est nommé directeur de l’offre de produits et services de la banque privée en France, avant d'être promu l’année suivante directeur commercial.
Mathieu Vedrenne, former director of the office of Frédéric Oudéa, has been appointed as director of Société Générale Private Banking France. He succeeds Patrick Folléa, who has recently been appointed as head of the asset management and private banking business unit. Vedrenne, formerly a member of the general inspector’s office at Société Générale, was director of the office of Société Générale chairman and CEO Oudéa from 2008 to 2011. He joined the private bank of the group in 2012 as deputy CEO and secretary of the board of directors for the Swiss arm. In 2016, he was appointed as director of products and services for the private bank in France, and was promoted the following year to director of sales.