Après un début de carrière en trésorerie d’entreprise, Laurence a décidé de troquer Excel pour Word en se reconvertissant dans le journalisme financier. Après avoir géré les flux de cash pour des dockers et des constructeurs d’ordinateurs, elle se retrouve donc à couvrir l’actualité du private equity pendant dix ans. Au sein du groupe L’Agefi, elle se consacre désormais au suivi de l’actualité des investisseurs institutionnels. Sinon, elle adore les volcans.
Le groupe énergétique italien tiendra son assemblée générale le 10 mai et plusieurs groupes d’actionnaires poussent des profils différents pour le conseil d’administration.
Les Etats conservateurs lancés dans une fronde «anti-woke» se trouvent confrontés à des projections laissant augurer des moins-values pour les investisseurs locaux.
Le fonds souverain norvégien, l’un des plus grands investisseurs institutionnels au monde avec environ 1.260 milliards d’euros d’actifs sous gestion, utilise l’apprentissage machine pour ses mesures extra-financières. Le fonds est actionnaire de plus de 9.200 entreprises dans le monde, ce qui représente une masse gigantesque de données. Dans son rapport de durabilité pour 2022, il explique sa démarche :