Jean-Loup est journaliste financier depuis près de dix ans. Il a commencé par couvrir la gestion d’actifs pour le média en ligne Distrib Invest, puis le secteur bancaire pour La Correspondance économique, avant de retrouver la gestion d’actifs à L’Agefi en 2019. Il est titulaire de la certification Chartered Financial Analyst (CFA). Il est toujours partant pour une partie d’échecs.
Les investisseurs semblent confiants quant à une victoire massive du camp nationaliste, mené par le Premier ministre sortant, lors des élections législatives.
En pleine campagne des élections européennes, la dégradation de la note de la France à AA- est un revers pour le gouvernement. Son effet sur les marché s'annonce bien plus limité.
Les gérants de portefeuilles concentrés peuvent provoquer une hausse substantielle des prix des titres détenus par leur simple trading. Les sélectionneurs de fonds participent à cette mécanique, attirés par des rendements qui s’avèrent, au final, être « auto-entretenus ».
Pour conquérir ce marché immense, les sociétés de gestion développent des canaux digitaux pour toucher les jeunes épargnants, tandis que les banques privées s’installent désormais dans les petites villes.
En délocalisant une partie de sa production dans d’autres pays émergents, Pékin a su contourner les barrières douanières de Washington et maintenir la dépendance de l’économie américaine à son égard. Les candidats à la Maison-Blanche promettent pourtant d'en faire toujours plus.
Avec un PIB qui cale, la tâche de la Banque du Japon se complique. La contraction des dépenses des ménages et des entreprises remet en cause l’hypothèse de plusieurs hausses de taux cette année.