Skandia Investment Group’s (SIG) portfolio manager Lee Freeman-Shor has brought in Marc Renaud of Mandarine Gestion and Cedric De Fonclare from Jupiter to manage mandates within the Skandia European Best Ideas Fund (EBI).The move sees the two Frenchmen join their countryman Damien Lanternier of Financiere de l’Echiquier bringing the EBI team up to ten managers following the removal of Tobias Klien of First Private from the line-up.Freeman-Shor says that ten managers represents the maximum level of diversification for the fund while ensuring high active share is maintained in order to continue to generate excess returns.
Troubles related to Greek debt have exacerbated the risk aversion of investors, who in mid-June pulled out of the high yield bond sector, in favour of funds dedicated to US equities.In the week to 15 June, high yield bond funds suffered a record net outflow of USD2.09bn, according to the most recent weekly statistics from EPFR Global. Bond funds overall still showed a net inflow of USD679m in the week under review.Equities funds attracted over USD6bn, while inflows to a group of US ETF funds, stimulated by a series of options which matured on 17 June, more than compensated for redemptions from the major groups of equities funds. Funds dedicated to European equities finished the week with outflows of USD741m.Money market funds also saw their largest outflows in over four months.In terms of sectors, funds dedicated to health and biotechnologies continued to post subscriptions, putting inflows since the beginning of the year at over USD3bn.
According to the Wealth Management Report 2011 from PricewaterhouseCoopers (PwC), cited by the Börsen-Zeitung, 30% of 275 directors of banks and financial sector groups in 67 countries are expecting a major concentration movement in the wealth management sector in the next two years. The movement will be a delayed result of the financial crisis, particularly of toughening regulations with financial implications for businesses in the sector. However, the profitability of wealth management operations is expected to increase.
According to a survey undertaken by service provider Algorithmics and consultant Chromozome, covering 80 buy-side companies (asset management firms, hedge funds, and pension funds), entitled “Collateral Management for the Buy Side: Emerging Challenges and Best Practices in a Changing Regulatory Environment,” rising costs for collateral management related to settlement requirements for over-the-counter derivative trades on both sides of the Atlantic could drive hedge funds to make less use of, or no longer to trade, OTC products.The study, published on 20 June, finds that 54% of respondents currently make margin calls only on a weekly basis. Where new regulations are in place, central counterparty clearing houses (CCP) may make daily margin calls, and even intra-day calls. In other words, hedge funds need to adapt their infrastructure to these new requirements, which also imply an increase in collateral levels.Andrew Aziz, executive vice president of the Risk Solutions unit at Algorithmics, says that buy-side professionals are facing an interesting evolution. “For the first time, they are subject to the same risk and operational requirements as their sell-side counterparts, due to regulatory requirements.”
Aletti Gestielle Sgr, société de gestion italienne du groupe italien Banco Popolare, vient de nommer Fabrizio Fiorini en tant que nouveau directeur des investissements directs. Arrivé dans le groupe en 1997, l’intéressé a occupé différentes fonctions dont celles de responsable obligataire et, depuis 2010, responsable de l’allocation d’actifs.
La CNMV a délivré le 10 juin son agrément de commercialisation en Espagne aux parts en euros du fonds d’actions britannique Ignis Argonaut Alpha Fund (416 millions d’euros) qui est géré par Barry Norris et Oliver Russ d’Argonaut Capital Partners. Ces parts (*) seront commercialisées par RBC Dexia Investor Services España. Elles ont aussi obtenu leur agrément de commercialisation pour l’Allemagne et l’Autriche. Ignis prévoit également de faire enregistrer ces parts du fonds en France, en Italie (pour les institutionnels seulement) et en Suisse.(*) GB00B42LLR21 (A) et GB00B44P9H80 (I)
Selon Cotizalia, le gestionnaire britannique London & Regional (9 milliards d’euros d’encours) a obtenu l’exclusivité pour l’acquisition des sièges de l’espagnol FCC à Madrid et Barcelone. La transaction porterait sur 60-70 millions d’euros et FCC bénéficiera d’un bail de 20 ans dans le cadre de cette opération de sale-and-leaseback. Ce serait le premier investissement de London & Regional sur un marché espagnol, actuellement déprimé.
JP Morgan et BlackRock viennent de lancer une plate-forme de règlement le jour même à destination des investisseurs asiatiques, rapporte Asian investor.Le service, mis en place à la demande de BlackRock pour ses fonds monétaires, est fourni par le pôle agent de transfert de JP Morgan.
Selon Funds People, Fidelity International a décidé d’envoyer son directeur des ventes pour l’Espagne et le Portugal, Pablo Anabitarte, à São Paulo comme directeur du développement au Brésil. Il devrait être suivi d’autres collaborateurs de Fidelity qui n’est pour l’instant présent en Amérique latine qu’au Chili (avec 8,66 milliards de dollars d’encours).Pablo Anabitarte étant muté au Brésil à compter du 1er juillet, il sera remplacé au comité exécutif du bureau de Madrid par Domingo Barroso et Martina Álvarez.
La société de gestion de la BHF-Bank, Frankfurt Trust, a annoncé le 20 juin le lancement du fonds luxembourgeois FT Emerging ConsumerDemand disponible en parts P (retail) et I (institutionnelles), qui est géré par Thierry Misamer de Frankfurt Trust et Tillo Wannow, de BHF Trust.Pour profiter de la croissance des marchés émergents, ce fonds investira dans des sociétés du secteur des biens de consommation. Initialement, le portefeuille de 40 lignes sera réparti en deux moitiés, l’une pour les biens de consommation courante et l’autre pour les biens de consommation discrétionnaire. Les actions seront choisies parmi les sociétés des pays émergents ainsi que dans des entreprises de pays développés réalisant plus de 30 % de leur chiffre d’affaires dans les pays émergents. CaractéristiquesDénomination : FT Emerging ConsumerDemandCodes Isin : Classe P : LU0632979331/Classe I : LU0632979174Droit d’entrée : Classe P : 5 %/Classe I : pour l’instant pas de droit d’entréeCommission de gestion : Classe P : 1,50 %/Classe I : 0,74 %Commission de banque dépositaire : 0,04 % (classes P et I)Souscription minimale initialeClasse P : 2.500 eurosSouscription classe I : minimum 250.000 euros
La filiale allemande du londonien Pall Mall Investment Management (PMIM) a signé avec le berlinois LBB-Invest une alliance dans le domaine du conseil à la clientèle institutionnelle dans les domaines de l’allocation d’actifs et de la gestion du risque. PMIM devient le partenaire exclusif de LBB-Invest.L’offre de services reposera sur la méthode Risk@Work développée par PMIM voici trois ans. L’objectif est à la fois de préserver le portefeuille en période de baisse des marchés et d’assurer un taux de participation élevé en cas de hausse. La méthode repose sur la détermination d’un facteur de capital à risque approprié pour les portefeuilles assortis d’un budget de risque. Et contrairement aux méthodes adoptées par nombre de concurrents, Risk@Work prend en compte les différences de liquidité entre les différentes classes d’actifs.
Le capital-investisseur britannique AnaCap Financial Partners (1,3 milliard d’euros d’encours) s’est associé aux filiales de gestion d’actifs de Morgan Stanley et de Goldman Sachs pour acquérir moyennant 48 millions d’euros Banco Popolare Česká Republika, la filiale tchèque du Banco Popolare italien, rapporte The Wall Street Journal.Banco Popolare Česká n’a que sept agences et 100 salariés. La transaction génère une plus-value de 12 millions d’euros pour la maison-mère.
Si la CELDA (Caisse d’Epargne Loire Drôme Ardèche) n’intègre pas encore Bâle IIII dans sa gestion au quotidien par contre, la caisse commence à en évaluer les impacts notamment du point de vue de la liquidité. Ainsi, la nouvelle notion de réserve de liquidité va inciter encore plus qu’aujourd’hui, la caisse à aller rechercher de l’actif d’excellente qualité, en quantité importante noté AA ou AAA, notamment des souverains. Ce process porte en lui une remise en question complète de la gestion de portefeuille de la caisse qui n’est pas tournée aujourd’hui, vers du AAA mais plutôt vers du BBB. Bien entendu, la CELDA travaille dans un cadre d’investissement existant mais moins contraignant et la notion de notation qui avait jusqu'à présent, moins d’importance en France, devient prégnante avec les notions de LCR et de NSFR introduites par Bâle III. Si la nouvelle règlementation n’interdit pas d’investir sur du BBB, elle le rend beaucoup moins intéressant puisqu’il n’entre pas dans le coefficient de la nouvelle LCR. La caisse aura donc plutôt intérêt à aller chercher de la liquidité règlementaire donc des titres qui constituent l’actif liquide. Aujourd’hui pour la Caisse régionale, il n’est pas question d’arbitrer mais d’examiner les leviers à la fois financiers et commerciaux pour se constituer des ressources stables. La caisse admet qu’en termes de rentabilité et même de répartition du risque, faire en sorte que tous les investisseurs aillent vers les mêmes émetteurs n’est pas très efficace d’autant plus que le financement des entreprises risque d’en pâtir car les titres achetés constitueront soit, de la liquidité mais au détriment des corporates.
L’Office of Fair Trading (OFT) a décidé de renvoyer le projet d’acquisition de Chi-X Europe par BATS devant l’Autorité de la concurrence britannique. « Bien que nous soyons déçus de la décision de l’OFT, nous nous concerterons avec notre conseil et les actionnaires pour déterminer les prochaines étapes », a déclaré Alasdair Haynes, directeur général de Chi-X Europe.
BondMatch, le système créé par l’opérateur boursier transatlantique, sera opérationnel le 11 juillet prochain. Au démarrage, une dizaine de membres seront actifs sur la plate-forme qui proposera à la négociation quelque 1.800 obligations émanant d’environ 400 émetteurs.
L’Eurogroupe se réunira à nouveau le 3 juillet pour valider le versement de la nouvelle tranche d’aide, sous réserve de nouvelles mesures d’austérité par Athènes.
Le quotidien avance que la société de gestion alternative fondée par John Paulson a essuyé une perte supérieure à 500 millions de dollars en cédant la totalité de sa participation au capital de Sino Forest, la société forestière chinoise suspectée de fraude. Paulson & Co, qui a reconnu avoir cédé ses titres, était le principal actionnaire de Sino Forest.
Au cours des quatre premiers mois de 2011, la Chine a boudé la dette gouvernementale américaine au profit de la dette européenne, selon le journal qui cite une étude de Standard Chartered. Les réserves de change du pays ont ainsi augmenté d’environ 200 millions de dollars (140 millions d’euros) sur cette période, les trois quarts de cette somme ayant été investis à l’étranger dans des actifs non libellés en dollars, précise la banque britannique.
Nyse Euronext a annoncé le lancement effectif le 11 juillet de la première plate-forme de négociation d’obligations d’entreprises en Europe, le projet ayant obtenu le feu vert de l’AMF. La plate-forme sera une MTF (Multilateral Trading Facility) et donc soumise à la législation européenne sur les abus de marché. Elle sera dotée d’une chambre de compensation, qui sera aussi contre-partie centrale, ce qui éliminera le risque de contrepartie lié au gré à gré.
Les comptes courants de la zone euro ont été déficitaires de 5,1 milliards d’euros en avril, en données corrigées des variations saisonnières, selon les chiffres publiés lundi par la BCE. La balance du mois de mars, initialement calculée à 4,7 milliards d’euros de déficit, a été révisée à -3,0 milliards d’euros.
Quelques heures à peine après que les Européens ont conditionné la poursuite du soutien financier à la Grèce à l’adoption d’un nouveau programme d’austérité, la mission conjointe de l’UE et du FMI s’apprête à retourner à Athènes pour en discuter les modalités. Elle va se rendre à Athènes dès mardi et qu’elle y restera jusqu'à mercredi au moins pour une «mission technique». Mais faute de mesures concrètes, les marchés boursiers restent focalisés sur le risque d’une incapacité du pays à honorer ses échéances financières dès début juillet. Au-delà de la Grèce, c’est une contagion à d’autres pays de la zone euro, comme l’Italie qui pourrait voir prochainement sa note dégradée par Moody’s, qui fait trembler les marchés financiers. Vers midi toutes les Bourses européennes étaient en forte baisse: -1,23% à Paris, -0,95% à Londres, -1,09% à Francfort, -1,80% à Madrid, -1,79% à Lisbonne -0,92 à Amsterdam et -2,46% à Milan, la Bourse italienne étant surtout affectée par l’annonce de Moody’s. Le secteur bancaire a été le premier touché par le regain de tension. L’euro a perdu du terrain. La monnaie unique valait 1,4232 dollar contre 1,4301 dollar vendredi soir.
Les exportations japonaises ont diminué davantage que prévu au mois de mai par rapport à l’année dernière, témoignage d’une demande plus faible à l'étranger qui pourrait pénaliser la reprise dans l’Archipel. Sur un an, les exportations sont en baisse de 10,3%, indiquent les chiffres publiés lundi par le ministère des Finances. Les économistes attendaient en moyenne un recul de 8,4%. C’est le deuxième mois consécutif que les exportations sont en baisse au Japon. En avril, elles avaient diminué de 12,4%.
Les prix à la production ont augmenté un peu moins que prévu par rapport à l’année précédente, rapporte lundi le Bureau fédéral des statistiques. Le rythme de croissance des prix s’est établi à 6,1% en rythme annuel. En rythme mensuel, les prix sont restés parfaitement stables.
A l’occasion de la présentation des perspectives de marché et allocation d’actifs par Jean-Marie Mercadal, directeur général adjoint en charge des gestions et responsable de la multigestion, le groupe OFI a indiqué que ses encours ont désormais atteint 49,9 milliards d’euros contre 48 milliards à la mi-décembre (lire notre article du 17 décembre). De fait, avant la fin du premier semestre, les souscriptions nettes ont atteint 1,2 milliard d’euros depuis début janvier contre environ 1 milliard pour toute l’année dernière.Il n’en reste pas moins que, sur ce total, les produits monétaires ont attiré 900 millions d’euros. Pour le reste, les convertibles ont représenté 150 millions, le reliquat se répartissant entre le haut rendement et quelque 100 millions d’euros pour les fonds de performance absolue, dont 56 millions pour l’OFI Risk Arb Absolu, un produit d’arbitrage sur les fusions-acquisitions dont l’encours se situe à 117 millions d’euros.Concernant le contexte macro-économique pour les mois d'été, Jean-Marie Mercadal, face au «côté anxiogène de la conjoncture», confirme ses doutes de mars et reste prudent. Il préconise de «ne pas toucher aux dettes de l’Europe périphérique» et de préférer le risque entreprises soit sous forme d’actions soit sous celle d’obligations. Il serait judicieux pour lui de privilégier de grandes valeurs mondiales de sociétés présentes sur les marchés émergents, qui disposent du pouvoir d’imposer leurs prix et/ou servent des dividendes élevés. Dans l’idéal, la répartition actions/obligations serait à son avis de 60/40 actuellement.
Selon nos informations, Tobam a recruté Sylvain Viret en tant que responsable des clients institutionnels dans l’Europe francophone. L’intéressé était précédemment directeur commercial chez PhiTrust, après avoir été responsable de la clientèle institutionnelle chez Pioneer Investments en France. Tobam, qui est l’ex-Lehman Brothers AM, et dont Calpers a récemment pris une participation de 17,5 % avec Strategic Investment Company, s’est spécialisée dans la gestion «anti-benchmark» qui se fonde sur le constat que les indices de référence pondérés par la capitalisation ne sont pas suffisamment diversifiés et qu’ils ont tendance à donner un poids excessif aux valeurs et aux secteurs dont les cours ont déjà beaucoup monté. La société gérait fin avril 1,35 milliard d’euros.
La société de gestion DNCA Finance vient d’annoncer le «soft closing» de son fonds DNCA Invest MIURA, un fonds diversifié Long/Short Actions figurant au sein de la Sicav DNCA Invest. Il s’agit de réguler le rythme des souscriptions pour tenir au plus près l’objectif de gestion, selon DNCA Finance. De fait, dès que l’encours du compartiment qui est actuellement de 425 millions d’euros aura atteint le seuil de 450 millions d’euros, les parts I destinées aux investisseurs institutionnels subiront un droit d’entrée de 3%. En revanche, les autres parts A et B resteront ouvertes sans droit. La société de gestion précise cependant que lorsque l’OPCVM aura atteint un encours de 600 millions d’euros, les deux types de parts A et B seront également grevés par des frais d’entrée de 3 %.