Membre depuis trois ans de l'équipe des portefeuilles de «matching» et des produits «spéciaux», Beatriz Camacho a été promue à la tête de cette équipe chez Aviva Gestión (14 gérants, 14 milliards d’euros d’encours). Elle est subordonnée à José Caturla, le CIO d’Aviva pour l’Espagne.Les portefeuilles de «matching» sont des produits à taux garantis supérieurs à ceux publiés par la Direction générale des Assurances. Les autres produits spéciaux sont les fonds de pension garantis et les produits assurantiels structurés.
Le 10 juin, la CNMV a accordé son agrément de commercialisation en Espagne au fonds de droit local Sabadell BS Selección Alfa créé le 6 mai.Il s’agit d’un produit diversifié qui devra investir au minimum la moitié de son encours dans d’autres fonds, le reliquat étant placé en obligations souveraines et d’entreprises qui pourront au maximum positionner le portefeuille en duration négative de trois ans. L’exposition aux actions sera en période normale de 10 % au travers de fonds tandis que celle au risque devises ne pourra dépasser 30 % et celle aux marchés émergents devra être inférieure à 5 %. La durée indicative de détention conseillée est de 18 mois.CaractéristiquesDénomination : Sabadell BS Selección AlfaCode Isin : ES0111187003Commission de gestion- directe : 0,9 %- indirecte : 4 % maximum
Natixis a annoncé, lundi 20 juin, l’arrivée d’Etienne Varloot au poste de responsable du département des Risques de marché au sein de la direction des Risques de Natixis. Ce département regroupe l’ensemble des équipes chargées de piloter les risques de marché de la banque à travers le monde, précise un communiqué. Dans ses nouvelles fonctions, le nouveau promu rapportera à Jacques Beyssade, directeur des Risques et membre du Comité Exécutif de Natixis.Agé de 43 ans, Etienne Varloot était responsable adjoint des Risques de marché et de crédit de la Banque de France depuis 2009.
A l’occasion de la présentation des perspectives de marché et allocation d’actifs par Jean-Marie Mercadal, directeur général adjoint en charge des gestions et responsable de la multigestion, le groupe OFI a indiqué que ses encours ont désormais atteint 49,9 milliards d’euros contre 48 milliards à la mi-décembre (lire notre article du 17 décembre). De fait, avant la fin du premier semestre, les souscriptions nettes ont atteint 1,2 milliard d’euros depuis début janvier contre environ 1 milliard pour toute l’année dernière.Il n’en reste pas moins que, sur ce total, les produits monétaires ont attiré 900 millions d’euros. Pour le reste, les convertibles ont représenté 150 millions, le reliquat se répartissant entre le haut rendement et quelque 100 millions d’euros pour les fonds de performance absolue, dont 56 millions pour l’OFI Risk Arb Absolu, un produit d’arbitrage sur les fusions-acquisitions dont l’encours se situe à 117 millions d’euros.Concernant le contexte macro-économique pour les mois d'été, Jean-Marie Mercadal, face au «côté anxiogène de la conjoncture», confirme ses doutes de mars et reste prudent. Il préconise de «ne pas toucher aux dettes de l’Europe périphérique» et de préférer le risque entreprises soit sous forme d’actions soit sous celle d’obligations. Il serait judicieux pour lui de privilégier de grandes valeurs mondiales de sociétés présentes sur les marchés émergents, qui disposent du pouvoir d’imposer leurs prix et/ou servent des dividendes élevés. Dans l’idéal, la répartition actions/obligations serait à son avis de 60/40 actuellement.
Selon nos informations, Tobam a recruté Sylvain Viret en tant que responsable des clients institutionnels dans l’Europe francophone. L’intéressé était précédemment directeur commercial chez PhiTrust, après avoir été responsable de la clientèle institutionnelle chez Pioneer Investments en France. Tobam, qui est l’ex-Lehman Brothers AM, et dont Calpers a récemment pris une participation de 17,5 % avec Strategic Investment Company, s’est spécialisée dans la gestion «anti-benchmark» qui se fonde sur le constat que les indices de référence pondérés par la capitalisation ne sont pas suffisamment diversifiés et qu’ils ont tendance à donner un poids excessif aux valeurs et aux secteurs dont les cours ont déjà beaucoup monté. La société gérait fin avril 1,35 milliard d’euros.
La société de gestion DNCA Finance vient d’annoncer le «soft closing» de son fonds DNCA Invest MIURA, un fonds diversifié Long/Short Actions figurant au sein de la Sicav DNCA Invest. Il s’agit de réguler le rythme des souscriptions pour tenir au plus près l’objectif de gestion, selon DNCA Finance. De fait, dès que l’encours du compartiment qui est actuellement de 425 millions d’euros aura atteint le seuil de 450 millions d’euros, les parts I destinées aux investisseurs institutionnels subiront un droit d’entrée de 3%. En revanche, les autres parts A et B resteront ouvertes sans droit. La société de gestion précise cependant que lorsque l’OPCVM aura atteint un encours de 600 millions d’euros, les deux types de parts A et B seront également grevés par des frais d’entrée de 3 %.
L’Union Financière George V a annoncé, vendredi 17 juin, le lancement de MY Stop, un indicateur visuel reposant sur de l’analyse graphique se présentant comme un outil d’aide à l’allocation d’actifs dédié aux conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI). Pour chaque fonds, l’indicateur est représenté par une ligne, soit rouge (en phase de vente), soit verte (en phase d’achat). Cette ligne se superpose à celle des cours réels du fonds et indique la tendance. Dès que la courbe de performance est franchie par la ligne MY Stop d’une façon ou d’une autre, la tendance s’inverse. L’outil se veut toutefois peu sensible aux faux signaux pendant les périodes à faible tendance, précise un communiqué.
Quilvest Banque Privée a annoncé, vendredi 17 juin, le recrutement de Jean Raoul-Duval au sein de l'équipe de gestion de Quilvest, au poste d’analyste crédit. Agé de 29 ans, le nouveau promu a précédemment occupé des fonctions d’analyste - gérant chez Quilvest & Associés.
BNP Paribas Investment Partners a annoncé, vendredi 17 juin, le recrutement de Skander Chabbi au poste de responsable des obligations convertibles. Il succède à Frédéric Surry, COO et responsable des solutions d’expertise transversale, qui a dirigé l’équipe ad interim. Le nouveau promu aura la responsabilité globale de l’équipe d’investissement dédiée aux obligations convertibles qui gère des stratégies pour des portefeuilles mondiaux, européens et asiatiques, indique un communiqué. Il aura également pour mission de consolider le processus d’investissement, la performance et l’offre de produits. Agé de 37 ans, Skander Chabbi qui a rejoint BNP Paribas Investment Partners le 6 juin et dont le poste est basé à Paris travaillait auparavant chez DWS Investments (groupe Deutsche Bank), à Francfort, où il gérait des portefeuilles globaux .
«Pour nous, l’alternatif, ce n’est pas une classe d’actifs à part entière, mais une façon de «jouer» les actions de manière moins volatile et avec une meilleure performance. Et nous n’utilisons pas en direct d’effet de levier, même si les fonds sous-jacents peuvent pour leur part s’en servir», a expliqué lors d’une présentation Bertrand Bricheux, responsable du développement de la gestion alternative chez Mirabaud.Pour la maison genevoise, l’alternatif se résume strictement aux hedge funds et fonds de hedge funds, sans private equity, sans immobilier ni matières premières. «Sans overlay, non plus, et avec toutes les lignes en devises couvertes», précise Anne-Cathrine Frogg, gérante du fonds coordonné Mirabaud Multi-Manager (137 millions d’euros). Cette dernière insiste sur le fait que «la priorité consiste à fournir au client du sur-mesure dans des produits avant tout liquides, avec des stratégies pures et qui ne varient pas». Ce sont là des arguments de vente solides depuis que Mirabaud a choisi de ne plus se focaliser uniquement sur la clientèle de banque privée, qui représente toujours 15 milliards de francs suisses sur un encours total de 25 milliards (dont 5 milliards en «long-only») et de se tourner vers les institutionnels : «au sortir de la crise de 2008, Mirabaud a décidé d’exploiter son expérience dans le domaine de la gestion alternative, qui remonte à 1972, pour occuper ce créneau que d’autres abandonnaient», explique Thibault Amand, responsable de la clientèle institutionnelle à Paris. Aujourd’hui, les actifs gérés pour le compte d’institutionnels représentent déjà environ 5 milliards de francs. Le plus important est à Londres mais l’activité en France qui est récente représente déjà quelque 300 millions d’euros. Mirabaud s’efforce également désormais de recruter cette clientèle en Suisse, entre autres parmi les caisses de pension, tout en sachant que la société arrive relativement tard sur ce marché et que les relations se construisent sur la durée, insiste Lionel Aeschlimann, membre du comité exécutif chargé de la gestion d’actifs et depuis le début de l’année l’un des sept associés de la banque.Le groupe genevois peut proposer différents niveaux de service adaptés aux besoins de la clientèle. Le catalogue comprend par exemple une option «advisory light» avec commission forfaitaire pour la recherche sur les gérants et la due diligence opérationnelle, à partir de 10 millions de dollars, et une version «full advisory» (à partir de 20 millions de dollars), qui va jusqu'à la construction du portefeuille.Un dispositif muscléL'équipe de gestion alternative de Mirabaud aligne 19 personnes dont huit analystes, les trois seniors parmi ces derniers étant aussi gérants. La maison genevoise fonctionne essentiellement sur le mode de la multigestion, avec une sélection limitée à 120-150 gestionnaires (sur un univers de recherche de 800 à 1.000 noms) dont la moitié affichent des encours inférieurs à 100 millions de dollars.En dehors de 2 milliards de francs de mandats de hedge funds en ligne directe (au minimum 20 millions de francs ou de dollars), Mirabaud aligne quatre fonds de hedge funds «succédanés d’actions» (long/short equity et global macro) dont le fonds Haussmann Holdings (1,9 milliard de dollars) et trois produits régionaux dont l’OPCVM Asian Capital Holdings (546 millions de dollars) et un fonds de CTA suiveur de tendance, le Mirabaud Opportunities-Trends (50 millions de dollars).A cela s’ajoutent le fonds Mirabaud Multi-Manager (137 millions d’euros) et le MirAlt Diversified (35 millions de dollars), un produit multistratégies «tous temps» à base de valeur relativ et d'événémentiel.Le cas échéant, la gamme de fonds de hedge funds régionaux pourrait être élargie à un produit marchés émergents global, mais aucun projet concret n’a encore été mis au propre à ce sujet.
Si les banques et les assureurs en Europe continuent de gérer leurs sociétés de gestion d’actifs comme des activités secondaires, leur part de marché dans les actifs gérés à l’échelle mondiale chutera de 31 % à 21 % d’ici à 2015, selon Casey Quirk, un consultant américain cité par le Financial Times.En revanche s’ils prennent au sérieux les activités de gestion, ils pourraient doper leur valeur de 175 milliards d’euros et augmenter leurs revenus de 24 %.Les banques ont besoin d’une stratégie plus claire pour leur gestion d’actifs. Elle doivent aussi améliorer la façon dont elles vendent leurs fonds via des conseillers non affiliés. La clé du succès est d’attirer les talents et de les retenir, et d’établir une culture d’indépendance vis-à-vis de la maison mère, commente le FT.
Dans une lettre aux souscripteurs datée du 8 juin, Isaac Souede, le CEO de Permal (groupe Legg Mason), s’efforce de rassurer les clients de Merrill Lynch qui ont souscrit des parts du Permal investment Holdings NV, un fonds de fonds multistratégies de 2,2 milliards de dollars, rapporte The Wall Street Journal.Le manager affirme que ce fonds n’aurait pas de problème de liquidité en cas de «market crunch». Cela vaut également pour le Permal Fixed Income Holdings NV de 6 milliards de dollars. Citigroup et Bank of America Merrill Lynch avaient mis en garde leurs clients contre d'éventuels problèmes de liquidités de ces deux fonds.Permal est parvenu à stabiliser sa base de clientèle, avec désormais près de 40 % de fonds de pension et autres institutionnels. Récemment, pour son premier investissement dans l’alternatif, le fonds de pension de New York City (117 milliards de dollars) a choisi Permal, auquel il a confié 450 millions de dollars.
Pictet Asset Management vient de recruter Anthony Cheung en qualité de senior investment manager. Il rejoint l'équipe Asie dédiée au total return et va co-gérer les fonds actions asiatiques long/short, rapporte Hedgeweek.Anthony Cheung travaillait précédemment chez Gartmore Investment Management au sein de l'équipe dédiée aux marchés émergents, notamment sur la Chine.
Selon Reuters, PCA Investments (ou Principia Capital Advisors) vient d’obtenir sa licence de gestion auprès du régulateur des marchés de Hong Kong, la Securities and Futures Commission (SFC), ce qui lui ouvre la voie au lancement d’un hedge fund.La société souhaite proposer dans un premier temps une stratégie CTA pariant sur les tendances de marchés à long terme pour ensuite lancer dans le courant de l'été des stratégies crédit et actions. La société espère ainsi lever quelque 750 millions de dollars.
Franklin Templeton a indiqué le 17 juin que la BaFin a délivré un agrément de commercialisation en Allemagne au fonds Templeton Emerging Markets Balanced (LU0608807433).Ce fonds (lire notre article du 10 mai) est cogéré par Mark Mobius, président du Templeton Emerging Markets Group, pour la partie actions, et Michael Hastenstab, président du Franklin Templeton Fixed Income Group, pour la poche obligataire. Les deux gérants vedettes du groupe sont assistés respectivement de Dennis Lim, Tom Wu et Allan Lam, d’une part, de Laura Burakreis, d’autre part.Actuellement, ce fonds marchés émergents est investi à 60 % en actions et à 40 % en obligations
Pour le premier semestre de l’exercice au 31 octobre, le capital-investisseur Deutsche Beteiligungs AG (DBAG) affiche un bénéfice net de 17,7 millions d’euros, comme pour la période correspondante de 2009-2010 (lire notre article du 15 juin 2010).La DBAG annonce par ailleurs avoir clos fin mai les souscriptions pour son fonds DBAG Expansion Capital Fund destiné à prendre des participations minoritaires dans des petites et moyennes entreprises. Le volume atteint 242 millions d’euros, dont 100 millions fournis par DBAG. Sur les 142 millions levés à l’extérieur, environ 40 % ont été apportés par de nouveaux investisseurs, dont cinq institutionnels. 60 % des capitaux proviennent d’Allemagne, le reliquat étant issu principalement des Etats-Unis et de la France.
En activité depuis 1741, Wegelin & Co est la plus ancienne banque de Suisse et l’un des dix plus vieux établissements bancaires au monde. Ce qui ne l'empêche pas de nourrir des projets d'envergure. Dr. Adrian Künzi, l'un des huit associés, revient pour Newsmanagers sur la stratégie de développement de son établissement dans le domaine de la gestion d'actifs et de la banque privée en Europe.
Selon le «Finanza & Mercati» de vendredi, Banca Popolare di Milano (BPM) aurait reçu une offre de rachat «alléchante» de BNP Paribas, note La Tribune. BPM a diffusé un démenti, sur demande de la Consob, tandis que la banque française n’a pas commenté. BPM doit lancer en septembre une augmentation de capital de 1,2 milliard d’euros pour convenir aux normes prudentielles de Bâle III, précise le quotidien.
Selon les informations de Il Sole – 24 Ore, Banca Fideuram étudierait l’acquisition de Banca Network, un réseau d’environ 500 conseillers financiers représentant un encours sous gestion de 3 milliards d’euros. Pour la société du groupe Intesa Sanpaolo, leader du marché des conseillers financiers avec plus de 30 % de parts de marché et environ 72 milliards d’euros, l’opération vise à grossir dans la perspective de son introduction en Bourse.
Selon les dernières estimations, l’indice Dow Jones Credit Suisse s’est inscrit en baisse de 0,96% au mois de mai, sept parmi les dix secteurs répertoriés enregistrant des performances négatives, rapporte Hedgeweek. Les stratégies de managed futures ont notamment reculé de 4,44% durant le mois sous revue alors que parallèlement, les stratégies dedicated short bias, ont réalisé le meilleur résultat du mois, avec un gain de 2,20%. Malgré ce mois difficile, le secteur a enregistré une collecte nette de 1,5 milliard de dollars en mai, ce qui porte les souscriptions nettes depuis le début de l’année à 28,6 milliards de dollars. Les actifs sous gestion s'élèvent à environ 1.820 milliards de dollars.
En dépit du rebond du marché du LBO, les investisseurs restent prudents: près de 90% d’entre eux vont refuser de réallouer des capitaux au moins à une équipe de gestion dans l’année qui vient, selon le dernier baromètre Coller réalisé auprès de 110 «limited partners» (LP) dans le monde et publié ce lundi 20 juin, rapporte Les Echos. En moyenne, les investisseurs anticipent qu’un fonds sur cinq sera incapable de lever un nouveau véhicule dans les sept ans qui viennent, voire un tiers ou plus, selon 19% d’entre eux.
At a presentation of market and asset allocation outlooks by Jean-Marie Mercadal, deputy CEO in charge of asset management and multi-management, OFI announced that its assets now total EUR49.9bn, compared with EUR48bn in mid-December (see Newsmanagers of 17 December). Before the end of first half, net subscriptions already totalled EUR1.2bn since January, compared with about EUR1bn for all of last year.Of this total, money market products attracted EUR900m, while convertibles attracted about EUR150m. The remainder went to high yield, and about EUR100m for absolute return funds, of which EUR56m went to the OFI Risk Arb Absolu, a mergers and acquisitions arbitrage product with assets of EUR117m.
According to information received by Newsmanagers, Tobam has hired Sylvain Viret as head of institutional clients for French-speaking Europe. Viret was previously director of sales at PhiTrust, and was previously head of institutional clients at Pioneer Investments France.Tobam, formerly Lehman Brothers AM, in which CalPERS has recently acquired a 17.5% stake with Strategic Investment Company, is specialised in anti-benchmark management, based on the principle that benchmark indices which are weighted by capitalisation are not adequately diversified, and that they tend to give excessive weight to shares and sectors whose share price is already high. As of the end of April, the firm managed EUR1.35bn in assets.
The Frankfurter Allgemeine Zeitung reports that the hedge fund management firm Och-Ziff Capital Management (about Usd30bn in assets) has invested nearly USD12bn since the beginning of the year in options on US equities. The strategy is intended to generate capital gains if the markets become more volatile.
In a letter to subscribers dated 8 June, Isaac Souede, CEO of Permal (Legg Mason group) seeks to reassure clients of Merrill Lynch who subscribed to shares in Permal Investment Holdings NV, a multi-strategy fund of hedge funds with USD2.2bn in assets, the Wall Street Journal reports.The manager says that the fund would have no liquidity problems in case of a market crunch. The claim also applied to the Permal Fixed Income Holdings NV fund, with USD6bn in assets. Citigroup and Bank of America Merrill Lynch have warned their clients against potential liquidity problems for the two funds.Permal has managed to stabilise its client base, and nearly 40% of clients are now pension funds and other institutionals. Recently, for its first investment in alternative asset classes, the New York City pension fund (USD117bn) selected Permal, and awarded it USD450m.
According to estimates from Hedge Fund Research (HFR), new hedge fund launches in first quarter 2011 and in the four quarters to the end of March were at their highest levels since 2007. The “Market Microstructure hedge fund industry report” finds that 298 funds were created in January-March, which represents a launch rate of 3.3%, while total assets for the first time totalled over USD2trn.However, liquidations were also higher in the past 12 months, with 181 funds closing in January-March, representing an attrition rate of nearly 2%. In the 12 months to the end of March, 684 funds have been liquidated, while net creations of new funds in the same period totalled 295, also the highest since 2007.In terms of performance, the dispersion has continued to narrow in first quarter, with a difference of 55.3 percentage points between the top decile (+41.3%) and the bottom decile (-14%) over the past twelve months. This difference is the smallest observed since 2005, and is half of what it was in 2009 (116 percentage points). In the twelve months to the end of March, the HFRI Fund Weighted Composite Index rose 9.4%.An analysis of fee structures shows a divergence between management and incentive commissions. On average, management commissions have remained unchanged, at 1.58% (see Newsmanagers of 4 March), but rose to 1.67% for funds launched in the past four quarters. Meanwhile, incentive commissions fell in first quarter to 18.85%, compared with 18.95% in October-December. They have fallen by nearly 50 basis points since first quarter 2008, and data supplied by funds launched in the past twelve months reveal that the trend has continued, with a rate down to an average of 17.2%.
Jim O’Neill chairman of Goldman Sachs Asset Management, considers China and Russia the BRIC countries which currently are the most attractive, as the Indian market is “relatively expensive,” CNBC reports. According to O’Neill, Russian president Dimitri Medvedev is resolved to fight corruption and improve the financial reputation of the country. O’Neill also says he is persuaded that Russia, a major player in the commodities markets, has the means to diversify, for example, into the technologies sector, where it is already relatively strong.
Reuters reports that PCA Investments (Principia Capital Advisors) has received a management license from the Hong Kong market regulator, the Securities and Futures Commission (SFC), which allows it to launch and operate a hedge fund. The firm would initially like to offer a CTA strategy, which will bet on long-term market trend strategies, and will then launch equities and credit strategies during summer. The firm is planning to raise USD750m for the fund.
If Europe’s banks and insurers continue to run their fund management arms as “backwater businesses”, their share of the market in global assets under management will fall from 31 per cent to 21 per cent in 2015, according to Casey Quirk, a US consultant, cited by the Financial Times. With improvements, Europe’s investment management businesses could be worth an additional EUR175bn. The banks need a clearer strategy for asset management arms and to improve the way they sell funds through non-affiliated advisers, says Casey Quirk. The key to success is attracting and retaining talented investment managers and establishing a culture of independence from parent groups.
The European fund and asset management association (EFAMA) on 17 June announced the appointment of Claude Kremer as president of the professional association for a two-year term, at its general assembly, held in Lucerne. Kremer succeeds Jean-Baptiste de Franssu, who for four years was president of the Luxembourg investment fund association (ALFI).EFAMA has also for the first time appointed two vice-presidents, Christian Dargnat, CEO of BNP Paribas Investment Partners, and Massimo Tosato, vice-president of Schroders.In an address following his election, Kremer announced that he has identified five priorities which would form the core strategy of the association during his term: promotion of long-term savings, information and education for investors, support for regulatory measures favourable to the sector, promotion of the UCITS brand in Europe and beyond, and lastly, strengthening the legitimacy of the professional association.