According to estimates from VDOS reported by Funds People, as of 19 October, assets in Spanish funds are reported to have increased by 0.43%, or EUR545m, compared with the end of September, to a total of EUR128.429bn. Positive market effects came to EUR1.283bn, but net redemptions are estimated to have totalled EUR738m.
Networks of financial advisers in Italy in September posted net subscriptions of EUR759m, down from August (EUR1.1bn), according to the most recent statistics from Assoreti, the Italian association of financial investment products and investment services. A net total of EUR326m were invested in mutual funds. Insurance and retirement planning products saw inflows of EUR463m.
Le Fonds monétaire international a réalisé du 15 au 26 octobre sa première mission d’inspection en Espagne, dans le cadre du memorandum signé par le pays avec ses partenaires européens pour la recapitalisation du secteur bancaire. Le FMI salue «les progrès importants réalisés pour la réforme du secteur bancaire», notamment la nouvelle loi sur la résolution des faillites et le partage des coûts avec les créanciers subordonnés. L’institution insiste sur le bon calibrage à trouver pour la future bad bank, et recommande d'éviter les fusions bancaires qui contraindraient l’offre globale de crédit.
L’Agence France Trésor annonce l’adjudication, le lundi 29 octobre, d’un montant global compris entre 5,6 et 6,8 milliards d’euros de bons du Trésor (BTF). Elle adjugera aussi de 6,5 à 7,5 milliards d’euros d’OAT, cette opération, a été avancée d’une journée en raison de la Toussaint jeudi.
Le groupe de private equity vient d’inaugurer son septième bureau en Asie-Pacifique. Le site de Singapour servira de plate-forme régionale pour l’ensemble de l’Asie du Sud-Est. A ce jour, la société a investi plus d’un milliard de dollars dans la région à l’occasion de quatre opérations: Avago, MMI, Unisteel, tous basés à Singapour, ainsi qu’un investissement de 159 millions de dollars dans Masan Consumer au Vietnam.
L’acteur spécialiste de la mezzanine en France a arrêté à 120 millions d’euros le closing final d’IFE III, un niveau de ressources proche de l’objectif. Depuis son premier closing en 2011, ce dernier véhicule a investi plus de 30 millions d’euros dans trois dossiers : Delpharm (façonnage pharmaceutique), SVP (conseil aux dirigeants par téléphone) et Kermel (fabrication de fibres textiles résistantes au feu). Le mezzaneur souhaite accentuer son positionnement sur le créneau des petites et moyennes entreprises.
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur le marché des fonds actions américaines et le marché des fonds actions françaises au cours du mois de septembre 2012. Ces performances sont mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
La figure ci-jointe montre la courbe des taux d’intérêt réels français au 16 octobre 2012 (courbe bordeaux) et l’ensemble des courbes de taux nominaux (grisées et noire pour la dernière observée) depuis 2004. La structure par terme des taux d’intérêt réels est construite à partir des taux nominaux des bons du Trésor et des OAT desquels est retirée l’inflation anticipée en zone euro pour chaque maturité/horizon.
Même si la progression de 1% du PIB, gonflée par des effets temporaires, au troisième trimestre ne reflète pas la faiblesse de la croissance sous-jacente, la sortie de récession pourrait amener en novembre la Banque d’Angleterre à ne pas prolonger son programme de rachats d’actifs qui arrive à échéance.
Les responsables politiques finlandais auraient débuté des discussions concernant les différents scénarii découlant d’une possible sortie de la zone euro, selon le journal qui cite des propos de Heikki Neimelaeinen, directeur général du Municipal Guarantee Board. Le responsable précise cependant qu’une telle éventualité n’est pas du tout à l’ordre du jour.
Dans un entretien, le directeur général de la Caisse des Dépôts, Jean-Pierre Jouyet, indique que «compte tenu des contraintes prudentielles qui sont les nôtres, il ne faut pas exclure de faire tourner des actifs dans des secteurs non stratégiques ou bien sur lesquels la Caisse est déjà très exposée». Le dirigeant n’a «aucune intention» de se désengager du tourisme (Belambra, Compagnie des Alpes), «première activitééconomique du pays».
La distribution des bonus annuels reste un moment fort dans la vie de chaque professionnel de la finance. Les attentes ne sont toutefois pas les mêmes d’un coté et de l’autre de l’Atlantique. Selon deux récentes études menées par eFinancialCareers, les professionnels de la City sont 41% à se déclarer «plus inquiets» sur ce sujet qu’ils ne l’étaient en 2011. 29% des financiers londoniens s’attendent à recevoir des bonus inférieurs à ceux perçus en 2011. Ils sont même 18% à penser qu’ils n’en auront pas du tout. En 2011, ils n'étaient que 11% à estimer qu’ils n’auraient pas de bonus. Le pessimisme semble bien ancré dans les esprits des professionnels de la City puisque 52% s’attendent à une diminution du bonus sur les trois prochaines années. De l’autre côté de l’océan, le moral semble en revanche au beau fixe. Pour 48% des professionnels de la finance de Wall Street, soit 7 points de pourcentage de plus que l’an passé, le bonus 2012 sera supérieur à celui de 2011. Ils ne sont que 10% à déclarer qu’ils ne pensent pas recevoir de bonus cette année. 58% s’attendent à ce que leurs bonus continuent de croître ou restent stables au cours des trois prochaines années. Parmi ceux-là, 53% envisagent un retour aux bonus versés en 2006-2007. 44% des sondés aux Etats-Unis considèrent l’argent comme leur principale motivation au travail.
En douze mois, l’encours des fonds du Banco Sabadell s’est accru de 4,2 % pour atteindre au 30 septembre 8,56 milliards d’euros tandis que celui des fonds de pension gonflait de 32,2 % à 3,58 milliards d’euros. Ces hausses sont dues selon Funds People à l’intégration de la caisse d’épargne CAM et ne proviennent pas d’une action délibérée, au contraire.De fait, le Sabadell a incité ses clients à se porter sur des produits de passif, sur des dépôts. D’ailleurs, le montant des commissions de gestion a diminué durant les neuf premiers mois de l’année de 15,9 % à 76,1 millions d’euros, justement pour cette raison, a expliqué l’administrateur délégué Jaime Guardiola.Le groupe Sabadell a enregistré pour janvier-septembre une chute de 56,3 % son bénéfice net à 90,6 millions d’euros, en raison des provisions liées à l’immobilier.
Nouvellement admise à la cotation, EFG Financial Products a annoncé avoir été avisée le 19 octobre que le fonds souverain Government of Singapore Investment Corporation Pte. Ltd (GIC) et JPMorgan Chase, par le biais de JPMorgan Asset Management et JPMorgan Investment Management, ont franchi le seuil des 3 % de son capital et détenaient respectivement 3,38 % et 3,24 % des titres émis et en circulation.
Schroders a annoncé que Philipp Mallinckrodt, group head of private banking, a pris avec effet immédiat le poste de CEO de Schroders Private Bank laissé vacant par la démission de Rupert Robinson, rapporte Fundweb.De son côté, Investment Europe annonce que Klaus Oestergaard a quitté le gestionnaire alternatif Brevan Howard (36,7 milliards de dollars), dont il était un des associés.
Standard Life Investments vient de lancer le Emerging Market Debt OEIC Fund, un fonds de dette émergente destiné à des investisseurs particuliers et institutionnels. Le produit, dont l’indice de référence est le JP Morgan EMBI Global Diversified, sera principalement investi en dette libellée en dollars.L’équipe dette émergente, dirigée par Richard House, investira en fonction d’une approche fondamentale, macro-économique et en utilisant une analyse détaillée des pays pour bâtir un portefeuille de meilleures idées.
Andreas Dahl a quitté Cheuvreux pour rejoindre l’équipe gérant le hedge fund Carve au sein de la société suédoise Brummer & Parters, rapporte Realtid.se. Carve est géré par quatre gérants sous la direction de Per Josefsson.
Selon le rapport trimestriel du groupe Santander, le bénéfice net du pôle gestion d’actifs est ressorti pour les fonds d’investissement à 48 millions d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, soit 49,9 % de plus que pour janvier-septembre 2011, tandis que celui dégagé sur les fonds de pension, à 7 millions d’euros, progressait de 7,6 %.L’encours au 30 septembre ressortait à 140,1 milliards d’euros, soit 1 % de plus que fin 2011, dont 103 milliards en fonds d’investissement et fonds de pension. La gestion traditionnelle représentait un volume de 137 milliards d’euros, l’alternatif les quelque 3 milliards restants.A l’échelon du groupe Santander, le bénéfice net des trois premiers trimestres accuse une chute de 66 % à 1.804 millions d’euros, après 3.475 millions d’euros de provisions destinées à couvrir les risques immobiliers en Espagne.
Bruno Vanier et Michel Audeban ont donné le 25 octobre le coup d’envoi officiel de leur société de gestion Gemway Assets dont ils sont respectivement président et directeur général, comme Newsmanagers l’annonçait au début du mois. La présentation s’est déroulée en présence de Didier Le Menestrel, le président de Financière de l’Echiquier, qui participe à l’incubation de la jeune pousse et détient 33,34 % du capital au côté de BMVA – la holding de Bruno Vanier et Michel Audeban - (51,66 %) ainsi que d’un groupement de douze conseillers en gestion de patrimoine-family offices (15 %). Cependant, l’essentiel de la présentation a été consacré au premier fonds de Gemway Assets - GemEquity - dont Bruno Vannier assure la gestion avec Gergely Majoros – un ancien de Deka à Francfort puis UniCredito à Londres – en attendant le soutien d’une troisième personne qui devrait être recrutée dans le courant de l’année prochaine. Avec les marchés émergents pour terrain de jeu, Bruno Vanier allie à la fois une gestion de stock picking pour les deux tiers du portefeuille et une gestion «top down» en s’aidant des travaux de deux organismes de recherche indépendants. Dans le détail, le responsable limite à un tiers la poids des «cycliques» – contre 2/3 dans les indices -, les deux tiers restants étant consacrés à l’investissement dans des sociétés pérennes. «De cette façon», estime Bruno Vanier, «la volatilité est structurellement inférieure». L'équipe de gestion qui suit un processus d’analyse fondamentale a fixé à 400 le nombre de visites de sociétés par an. Le fonds revendique la thématique de l’enrichissement des populations dans les pays émergents et s’intéresse de facto à la consommation (discrétionnaire et courante), à la distribution, à la santé, les telecoms, etc, ou au segment haut de gamme (premium), etc. A ce titre, la gestion peut investir jusqu'à 30 % du portefeuille dans des actions internationales fortement exposées sur ces pays. Enfin, la société de gestion accordant une grande importance à la liquidité, les sociétés figurant au sein du portefeuille affichent toutes un chiffre d’affaires et une taille de capitalisation supérieurs à 500 millions de dollars. «Pour autant», explique Bruno Vanier, «les megacaps sont sous-représentées dans le fonds (Ndlr : moins de 10 % contre 15 % dans la cote), car elles sont souvent détenues par l’Etat et interviennent dans des secteurs plutôt cycliques». En matière de distribution, Gemway Assets a mis l’accent sur les conseillers en gestion de patrimoine et est désormais référencée auprès de vingt plates-formes. Cela dit, la société de gestion compte rapidement se porter vers les investisseurs institutionnels, «l’objectif», a précisé Michel Audeban, «étant de parvenir à un poids identique pour les deux types de clientèle». Autre volonté exprimée par les responsables de la jeune société de gestion d’un point de vue commercial : une montée en puissance à l’international, où la société peut compter sur plusieurs investisseurs «amis». GemEquity affiche actuellement un encours de 12 millions d’euros - dont 10 millions issus de Financière de l’Echiquier et se fixe pour objectif 100 millions d’euros à la fin de l’année prochaine. Caractéristiques : Code Isin : FR0011268705 (part R)/FR0011274984Droits d’entrée : 3 % maximumFrais de gestion : 2,10 % (part R)/1,05 %(part I) Commission de surperformance : 15 % de la surperformance positive au-delà de l’indice MSCI Emerging Markets NR Montant de la part : 100 eurosPas de couverture de change systématique.Fonds libellé en euros
L'équipe dédiée à l’obligataire américain de Scottish Widows Investment Partnership (SWIP) à New York, centrée sur le haut rendement, est renforcée désormais par le recrutement de trois analystes catégorie investissement. Les nouveaux arrivants sont subordonnés à Neil Murray, global head of credit.Ces nouvelles recrues sont C. Ryan Miller, qui était en dernier lieu vice president & senior credit analyst chez JPMorgan Chase Bank, Justin Ziegler (ex Keefe, Bruyette and Woods) et enfin Martin McCudden, muté de l'équipe credit de SWIP à Edimbourg.
Acropole Asset Management a lancé cet été Acropole Patrimoine, un fonds de fonds élaboré à partir des huit fonds de sa gamme, avec trois poches que sont les convertibles, le crédit et la performance absolue. La société de gestion spécialisée dans les obligations convertibles veut se servir de ce produit comme une tête de pont vers une clientèle patrimoniale de distribution à travers notamment les banques privées et les conseillers en gestion de patrimoine. Jusqu'à présent, la quasi-totalité de ses encours provient d’une clientèle institutionnelle, habituée à cette classe d’actif assez technique. Acropole AM affiche aujourd’hui 7 % de part de marché sur les obligations convertibles. Mais, avec l’arrivée de nouveaux concurrents sur cette classe d’actifs, et qui visent principalement les institutionnels, la société de gestion doit se tourner vers de nouveaux débouchés pour la commercialisation de ses produits. Elle espère pouvoir collecter jusqu'à 50 millions d’euros sur Acropole Patrimoine dans les 18 à 24 prochains mois. Après une première approche du marché retail français, Acropole AM devrait ensuite attaquer le marché européen de la distribution, avec ce fonds comme fer de lance. Acropole AM gère actuellement un peu moins de 800 millions d’euros. «La collecte nette s'élève depuis le début de l’année à 50 millions d’euros, l’effet de marché à 50 millions également», a précisé Jacques Joakimides, président de la société de gestion. Caractéristiques du fonds Code Isin : Part I (souscription min.100.000 euros) FR0011263524, part R FR0011263532 Frais de gestion : part I : 0,3 %, part R : 1,2 % Frais de gestion variables : 10 % au-delà de l’Eonia capitalisé Commission de souscription : 1 % max, non acquise
Le groupe indépendant 123Venture, spécialisé dans le capital investissement, a annoncé le 25 octobre le lancement de la sicav contractuelle 123 Viager, présenté comme le premier fonds réglementé français intégralement investi en actifs immobiliers acquis en viager. Le lancement de ce fonds s’inscrit dans une tendance de fond, la montée en puissance des ventes en viager, ce mode d’acquisition étant bénéfique à la fois pour l’acheteur et le vendeur.Pour le vendeur, une vente en viager occupé permet tout à la fois d’augmenter ses ressources mensuelles et de disposer d’un capital immédiat, tout en permettant le maintien à domicile. A cet égard, c’est une des solutions d’avenir de prise en charge de la dépendance. Pour des raisons économiques et démographiques évidentes, il y a donc de plus en plus de vendeurs potentiels en viager occupé.Pour l’acheteur, l’achat de l’immobilier en viager occupé permet de se constituer un patrimoine immobilier dans des conditions favorables : achat avec une décote sur le prix du bien, absence de risque locatif, mise de fonds réduite lors de l’acquisition et financement par crédit-vendeur. Toutefois, en contrepartie de ces conditions en principe favorables, l’investisseur doit accepter de prendre un risque de longévité qui, compte tenu de la progression de l’espérance de vie, est de plus en plus dissuasif."Il y a ainsi aujourd’hui beaucoup plus de vendeurs que d’acheteurs en viager. Nous estimons le nombre de biens mis en vente en viager à 12.000 par an alors qu’il n’y a que 5.000 transactions annuelles», a relevé Jean-Christophe Ginet, directeur de la gestion immobilière, à l’occasion d’un points de presse. Avec cette nouvelle offre, 123Venture entend être présent sur un segment du marché immobilier encore peu structuré et offrir une solution de mutualisation du risque de longévité inhérent au viager.Pour la recherche et l’acquisition des actifs immobiliers, 123Venture s’appuiera sur un réseau d’agences immobilières partenaires, situées dans les régions où la sicav I23Viager investira dans un premier temps (Paris et Première couronne, Grand Lyon, Côte d’Azur).Toujours dans le cadre de son offre non fiscale, 123Venture a par ailleurs annoncé le lancement d’un FCPR d’obligations non cotées, 123 Corporate 2018, dont l’architecture est calquée sur celle des fonds datés d’Oddo Asset Management. Ce véhicule est un FCPR allégé dont la souscription est réservée aux investisseurs avertis éligibles. Les actifs sous gestion de 123Venture s'élèvent à environ 800 millions d’euros, dont un encours de 670 millions d’euros sur le marché des produits fiscaux (FCPI, FIP). Les actifs sur les produits non fiscaux s'élèvent à environ 130 millions d’euros. La collecte ISF de la société a totalisé cette année 63 millions d’euros (contre 74 millions en 2011), soit une part de marché d’environ 25%.Principales caractéristiques de la sicav 123ViagerForme juridique : sicav contractuelle déposée à l’AMF le 11 septembre 2012Code ISIN : FR0011317726 – FR 0011317734Société de gestion : 123VentureDépositaire : CaceisValeur liquidative : trimestrielleDurée de placement recommandée : 8 ansSouscription minimale : 30.000 euros pour les particuliersCommission de souscription : 8% dont 5% acquis à la sicavCommission de rachat : acquise à la sicav et dégressive selon la durée de détention (5% de 0 à 5 ans, 0% pour une durée supérieure à 8 ans)Liquidité : lock-up jusqu’en septembre 2014, limitation des rachats totaux à 5% par trimestre, pas de distribution, sorties par revente des actionsFiscalité : taxation des gains uniquement à la revente des actionsPrincipales caractéristiques du FCPR 123 Corporate 2018Société de gestion : 123Venture Dépositaire : RBC Investor Services Bank FranceValeur liquidative : semestrielleDurée d’investissement recommandée : 6/7 ansCommission de souscription : 5%Frais de gestion annuels : 2,40%Souscription minimale : 30.000 euros