La marge d’exploitation de Franklin Resources Inc, gestionnaire connu sous la marque de Franklin Templeton Investments, a diminué pour l’exercice au 30 septembre à 35,4 % contre 37,3 % pour 2010-2011, mais le bénéfice net a progressé à 1.931,4 millions de dollars contre 1.923,6 millions.Au 30 septembre, l’encours ressortait à 749,9 milliards de dollars, contre 659,9 milliards un an auparavant. L’augmentation de 90 milliards de dollars ou de 14 % en un an est attribuable à l’effet de marché pour 96,4 milliards de dollars qui a été en partie compensé par 2,3 milliards de remboursements nets (contre 36,4 milliards de souscriptions nettes pour le précédent exercice).
Le pôle Global Multi-Asset de JP Morgan vient d’annoncer le lancement d’une nouvelle série de fonds à horizon comportant une composante passive.Les dix nouvelles stratégies proposées par JP Morgan, SmartRetirement Blend, utilisent les mêmes modèles d’allocation que ses fonds à horizon de référence, les fonds SmartRetirement, dont les actifs sous gestion s'élèvent à plus de 12 milliards de dollars. Ces derniers fonds sont gérés activement alors que les nouveaux fonds utiliseront des ETF sur indices pour certaines classes d’actifs, comme les actions américaines.
Le pôle gestion d’actifs d’Ameriprise Financial a dégagé au troisième trimestre 2012 un bénéfice avant impôt de 155 millions de dollars contre 119 millions pour la période correspondante de l’an dernier, et l’encours au 30 septembre ressortait à 461 milliards de dollars contre 417 milliards. Les actifs gérés par Columbia Management ont représenté 340 milliards contre 325 milliards tandis que ceux du britannique Threadneedle affichaient un gonflement de 28 % à 124 milliards de dollars.Néanmoins, en juillet-septembre, le groupe a encore accusé des remboursements nets de 3,5 milliards de dollars contre 5,2 milliards pour la période correspondante de l’année. Ces sorties sont imputables à la clientèle institutionnelle pour 2 milliards de dollars (dont 1,1 milliard chezThreadneedle), comme au troisième trimestre 2011, et à la clientèle des produits alternatifs, essentiellement des hedge funds, qui a retiré en net 1,6 milliard de dollars contre seulement 0,1 milliard en juillet-septembre 2011. En revanche, le retail a collecté en net 0,1 milliard de dollars contre des sorties nettes de 3,1 milliards, car les fortes souscriptions nettes de Threadneedle ont été presque entièrement compensées par des sorties nettes chez Columbia.Ameriprise indique que son bénéfice net pour juillet-septembre s’est situé à 174 millions de dollars contre 322 millions pour la période correspondante de l’an dernier, alors que son bénéfice d’exploitation est demeuré inchangé à 289 millions de dollars.
Pour l’exercice au 30 septembre 2012, Raymond James Financial déclare un bénéfice net record de 295,87 millions de dollars contre 278,35 millions qui comprend pour six mois l’activité de Morgan Keegan, acquise le 2 avril. Sans une charge avant impôt de 59 millions imputable à des acquisitions, le bénéfice net serait ressorti à 334,2 millions de dollars.Au 30 septembre, les encours sous gestion ressortaient à 42,8 milliards de dollars contre 32,1 milliards un an plus tôt et les encours sous administration totalisaient 390,3 milliards contre 255.7 milliards. Dans les deux cas, il s’agit -également- de records.
Pour les neuf premiers mois de 2012, T. Rowe Price Group a enregistré un bénéfice net de 647,8 millions de dollars, dont 247,3 millions pour juillet-septembre, contre 584,8 millions dont 185,5 millions pour les périodes correspondantes de l’an dernier.Au 30 septembre, les encours se situaient à un montant record de 574,4 milliards de dollars, dont 342,9 milliards dans des mutual funds américains. L’augmentation de 84,9 milliards par rapport aux 489,5 milliards de dollars de fin 2011 s’explique pour 21,4 milliards par des souscriptions nettes et pour 63,5 milliards par l’effet de marché.
La société de gestion Fideas Capital vient de lancer Betamax Emergents, un fonds investi en actions des pays émergents dont le «pilotage» reprend la méthode de gestion du risque de la société dite «Maximisation de la Variété ». Celle-ci, déjà utilisée dans la gestion du fonds Betamax investi dans différents actifs internationaux, vise l’amélioration du rapport rendement/risque grâce à la diversification du portefeuille. Betamax Emergents propose une allocation par pays ; chaque pays est représenté par une exposition à son indice local, indique un communiqué qui précise que l’objectif du fonds consiste à capter la prime de rendement des pays en question tout en recherchant «la meilleure diversification des risques individuels, l’abaissement des corrélations et, en conséquence, la réduction des risques». Cette diminution est de l’ordre de 20 à 30% sans préjudice de la performance, selon la gestion. En pratique, l’allocation retenue donne des résultats sensiblement différents de celle de l’indice global par capitalisation des pays émergents. A titre d’exemple, le portefeuille est peu exposé aux pays trop corrélés par les flux, notamment les BRIC, et se trouve plus diversifié que le MSCI Emerging Markets Global. Caractéristiques : Codes Isin : FR0011245117 (parts fondateurs)/ FR0011245117 (parts institutionnels)/ FR0011245083 (parts particuliers) Minimum à la souscription : Part fondateurs : 2 millions d’euros Part institutionnels : 500 000 eurosPart particuliers : sans Encours : 20 millions d’euros
Durant le troisième trimestre, les fonds d’investissements gérés par ABC Arbitrage ont drainé en net 21,5 millions d’euros de souscriptions, ce qui porte le total pour les neuf premiers mois de l’année à 250 millions d’euros. L’encours se situait fin septembre à 450 millions d’euros.La société précise que ces fonds «affichent des performances intéressantes au regard du contexte mais en dessous des objectifs de rentabilité du groupe».
Nouvellement admise à la cotation, EFG Financial Products a annoncé avoir été avisée le 19 octobre que le fonds souverain Government of Singapore Investment Corporation Pte. Ltd (GIC) et JPMorgan Chase, par le biais de JPMorgan Asset Management et JPMorgan Investment Management, ont franchi le seuil des 3 % de son capital et détenaient respectivement 3,38 % et 3,24 % des titres émis et en circulation.
Schroders a annoncé que Philipp Mallinckrodt, group head of private banking, a pris avec effet immédiat le poste de CEO de Schroders Private Bank laissé vacant par la démission de Rupert Robinson, rapporte Fundweb.De son côté, Investment Europe annonce que Klaus Oestergaard a quitté le gestionnaire alternatif Brevan Howard (36,7 milliards de dollars), dont il était un des associés.
Standard Life Investments vient de lancer le Emerging Market Debt OEIC Fund, un fonds de dette émergente destiné à des investisseurs particuliers et institutionnels. Le produit, dont l’indice de référence est le JP Morgan EMBI Global Diversified, sera principalement investi en dette libellée en dollars.L’équipe dette émergente, dirigée par Richard House, investira en fonction d’une approche fondamentale, macro-économique et en utilisant une analyse détaillée des pays pour bâtir un portefeuille de meilleures idées.
Andreas Dahl a quitté Cheuvreux pour rejoindre l’équipe gérant le hedge fund Carve au sein de la société suédoise Brummer & Parters, rapporte Realtid.se. Carve est géré par quatre gérants sous la direction de Per Josefsson.
Selon le rapport trimestriel du groupe Santander, le bénéfice net du pôle gestion d’actifs est ressorti pour les fonds d’investissement à 48 millions d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, soit 49,9 % de plus que pour janvier-septembre 2011, tandis que celui dégagé sur les fonds de pension, à 7 millions d’euros, progressait de 7,6 %.L’encours au 30 septembre ressortait à 140,1 milliards d’euros, soit 1 % de plus que fin 2011, dont 103 milliards en fonds d’investissement et fonds de pension. La gestion traditionnelle représentait un volume de 137 milliards d’euros, l’alternatif les quelque 3 milliards restants.A l’échelon du groupe Santander, le bénéfice net des trois premiers trimestres accuse une chute de 66 % à 1.804 millions d’euros, après 3.475 millions d’euros de provisions destinées à couvrir les risques immobiliers en Espagne.
La société de gestion italienne Arca SGR, gérant 16 milliards d’euros, vient de signer un accord de distribution avec la banque italienne Cassa di Risparmio di Ferrara. De cette manière, ses fonds seront commercialisés via les agences des 137 filiales de l’établissement en Italie. L’accord a été noué pour une durée de 10 ans.
Invesco a enregistré pour septembre des souscriptions nettes de 301 millions d’euros en Italie, rapporte Bluerating, citant Assogestioni. La société américaine est ainsi le premier acteur étranger en termes de collecte nette pour la deuxième fois en trois mois. Sergio Trezzi, managing director d’Invesco pour l’Italie et co-responsable de l’activité européenne retail en Europe, juge que le marché italien offre de grandes opportunités aux sociétés de gestion capable de se distinguer par la qualité de leurs produits, leur offre mondiale et leur indépendance.
Crispin Odey, le célèbre gérant de hedge funds londonien spécialiste des prises de participations dans des sociétés sous-valorisées, a bâti une participation de 5 % dans son concurrent Man Group, rapporte le Financial Times. Il devient ainsi le deuxième actionnaire du groupe de hedge funds derrière BlackRock, qui en détient 9 %. Les actions de Man ont chuté de 40 % cette année.
MAM Funds envisage de distribuer l’ensemble de ses fonds sous l'étiquette Miton d’ici à la fin de l’année, rapporte Money Marketing. Le site d’information précise toutefois que la décision n’aurait pas encore été définitivement prise.La société propose actuellement ses fonds sous trois marques, Miton, Midas et Acuim à la suite de plusieurs fusions au cours des cinq dernières années.
Depuis le 25 octobre, la cote du segment XTF de la plate-forme électronique Xetra (Deutsche Börse) compte un 1.006ème ETF avec l’admission à la négociation du SPDR Dow Jones Global Real Estate ETF de State Street Global Advisors (SSgA).Ce produit de droit irlandais réplique le Dow Jones Global Select Real Estate Securities Index. Il s’agit d’un ETF d’actions de sociétés immobilières du monde entier. C’est le 43ème ETF de SPDR a être coté en Europe et il marque l’ouverture de cette gamme à une nouvelle classe d’actifs. Il s’agit d’un fonds à réplication physique qui bénéficie aussi d’agréments de commercialisation pour l’Irlande, l’Italie, la France, les Pays-Bas, la Suède et le Royaume-Uni.CaractéristiquesDénomination : SPDR Dow Jones Global Real Estate ETFCode Isin : IE00B8GF1M35TFE : 0,40 %
Le 25 octobre, la Deutsche Bank a annoncé la nomination d’un comité des rémunérations indépendent présidé par Jürgen Hambrecht, ancien président du directoire de BASF, qui est actuellement président du conseil de surveillance de Fuchs Petrolub et administrateur de Daimler, Lufthansa et Trumpf.Les autres membres du comité sont Michael Dobson (CEO de Schroders), Morris W. Offit, président d’Offit Capital et administrateur indépendant d’AIG, Michael Otto, président du conseil de surveillance d’Otto Group et Theo Waigel, député CSU et ancien ministre fédéral des Finances.
Le gestionnaire central des caisses d'épargne allemandes, DekaBank, a annoncé le 25 octobre le lancement d’une «solution de retraite immédiate» pour la prévoyance vieillesse destinée à la tranche des 60-67 ans. Le Deka-RenteDirekt permet, moyennant un versement unique d’au minimum 10.000 euros, de percevoir des prestations viagères à minimum garanti combinées avec un des investissements souples.Les placements se poursuivent jusqu’au 85ème anniversaire dans des fonds de Deka Investment tandis que les prestations suivent d’abord un plan de remboursements avant de passer à une rente viagère servie par Öffentliche Versicherung Braunschweig à partir du 85ème anniversaire.Les frais de dossier se situent à 10 euros par an. Au moment du démarrage du plan de remboursement, les souscripteurs devront acquitter un droit qui sera fonction des différents fonds utilisés. Sur la base de l’allocation de départ ( 1/3 actions Deka-ZukunftsPlan I et 2/3 obligations RenditDeka), le droit d’entrée est de 2,7 %. Quant aux frais de gestion, ils peuvent évoluer en fonction de l’allocation aux actions entre 0,48 et 0,52 % par an.
The Global Multi Asset unit of JP Morgan has announced the launch of a new series of target date funds, with a passive management component. The ten new strategies offered by JP Morgan in the SmartRetirement Blend range use the same allocation models as its reference target date funds, the SmartRetirement range, whose assets under management total over USD12bn. The latter funds are managed actively, while the new funds will use ETFs based on indices to allocate to certain asset classes, such as US equities.
Acropole Asset Management this summer launched Acropole Patrimoine, a fund of funds developed on the basis of eight funds of its product range, with three allocations, to convertibles, credit and absolute returns. The asset management firm specialised in convertible bonds is planning to use the product as a bridgehead to retail clients, via private banks and independent financial advisers. Virtually all of its assets have hitherto come from institutional clients, who are more familiar with this relatively technical asset class. Acropole AM now holds a 7% market share in convertible bonds. But with the arrival of new competitors in this asset class, which is largely a province of institutional investors, the asset management firm needs to turn to new sales outlets for its products. It is hoping to bring in up to EUR50m for Acropole Patrimoine in the next 18 to 24 months. After a first foray into the French retail market, Acropole AM will next attach the European retail market, with this fund as the advance guard. Acropole AM currently has slightly under EUR800m in assets under management. “Net inflows have totalled EUR50m since the beginning of the year, while market effects have also come to EUR50m,” says Jacques Joakimides, chairman of the asset management firm. Characteristics of the fund ISIN code: I-class shares (minimal subscription: EUR100,000) FR0011263524, R-class shares FR0011263532 Management fees: I-class shares: 0.3%; R-class shares: 1.2% Variable management fees: 10% on performance exceeding the capitalised Eonia Subscription commission: Maximum 1%, not paid into the fund
EFG Financial Products, which has recently been admitted to trading, has announced that on 19 October it was notified that the sovereign fund Government of Singapore Investment Corporation Pte. Ltd (GIC) and JPMorgan Chase, via JPMorgan Asset Management and JPMorgan Investment Management, have passed the 3% threshold in its capital, and now control 3.38% and 3.24% of shares in circulation, respectively.
A regulatory requirement for all constant net asset value European money market funds to switch to a partial variable net asset value model would have little impact on fund ratings, Fitch Ratings says. Fitch thinks a move to partial variable net asset value (VNAV) funds - where assets with a residual maturity of less than three months continue to be priced on an amortised cost basis - along with new rules to combat liquidity risk, are among the most likely outcomes of the reviews of MMF regulation taking place in Europe. Liquidity risks could also be subject to new rules. The main uncertainty would be the reaction of investors and whether the switch could lead to significant disruption or outflows from a EUR500bn market segment. Fitch will be conducting a survey of investors in the coming weeks to identify the main implications of any regulatory changes.
Since 25 October, the listings on the XTF segment of the Xetra electronic platform (Deutsche Börse) include a 1,006th ETF, following the admission to trading of the SPDR Dow Jones Global Real Estate ETF from State Street Global Advisors (SSgA).The Irish-registered product replicates the Dow Jones Global Select Real Estate Securities Index. It is an ETF of equities in realty firms worldwide, and the 43rd ETF from SPDR to be listed in Europe, marking the opening of this range to a new asset class. It is a physical replication fund, which is also licensed for sale in Ireland, Italy, France, the Netherlands, Sweden, and the United Kingdom.CharacteristicsName: SPDR Dow Jones Global Real Estate ETFISIN code: IE00B8GF1M35TER: 0.40%
The central asset management firm for the German savings banks, DekaBank, on 25 October announced the launch of an “immediate retirement solution” for retirement planning for those in the 60-67 age group. The Deka-RenteDirekt wrapper allows, with a single payment of at least EUR10,000, for a guaranteed minimum payment, combined with more flexible investment.Investments will continue until the 85th birthday of the saver into Deka Investment funds, while benefits will follow a redemption plan initially, and will then roll over into a life annuity from Öffentliche Versicherung Braunschweig, from the 85th birthday.Costs for the plan are EUR10 per year. At the start of the redemption plan, subscribers will pay a fee which will depend on the various funds used. On the basis of the initial allocation (1/3 Deka ZukunftsPlan I and 2/3 RenditDeka bonds), the front-end fee is 2.7%. Management fees may vary depending on asset allocation from 0.48% to 0.52% per year.
The distribution of annual bonuses continues to be a powerful moment in the life of every finance professional. Expectations are not always the same on either side of the Atlantic. According to two recent studies carried out by eFinancialCareers, 41% of City professionals say they are “more worried” about this subject than they were in 2011. 29% of London-based financial professionals are expecting to receive lower bonuses than they did in 2011, and 18% expect not to receive a bonus at all. In 2011, only 11% predicted that they would not receive a bonus. Pessimism appears to have strongly taken root in the mood of the City, as 52% are expecting their bonuses to fall in the next three years. On the other side of the ocean, morale seems to be on the upswing. For 48% of finance professionals on Wall Street, 7 percentage points more than last year, 2012 bonuses will be higher than in 2011, they predict. Only 10% say they do not expect to receive a bonus this year, while 58% expect their bonuses to rise or remain stable in the next three years. Of those, 53% are expecting their bonuses to return to 2006-2007 levels. 44% of respondents in the United States consider money their main motivation to work.
Between third and fourth quarter, international fund managers have not altered their positions on equity and bond markets. 50% of participants in the most recent HSBC survey have maintained a neutral outlook on equity markets, and 60% have done so for bonds. Among respondents, 40% are overweight on equity markets, and 20% on bond markets. Overweight positions on money markets have been chosen by 30% of managers.In fourth quarter, for this asset class, North America receives fewer positive opinions than in the previous quarter (60% compared with 70%). The same is true for Europe excluding the UK (40% compared with 50%), Asia-Pacific ex Japan (33% compared with 40%) and Greater China equities (43% compared with 50%). On fixed income markets, 75% of managers are preferring an overweight position on Asian bonds in US dollars, and 63% on Asian bonds in local currencies (compared with 38% and 25% in third quarter 2012). High yield bonds (90% have an overweight position) and emerging markets (70% are overweight) retain the favours of most fund managers.Assets under management at the 13 global asset management firms surveyed total USD4.14trn as of the end of second quarter 2012, down 3.3% compared with the previous quarter, while most of the decline has been due to equity funds (80%). Equity funds have posted net outflows of USD34.2bn. This is the eighth consecutive quarter of redemptions, HSBC says.The 13 fund management firms participating in the survey are: AllianceBernstein, Allianz Global Investors, Baring Asset Management, BlackRock, Eastspring Investments, Fidelity Investment Management, Franklin Templeton Investments, HSBC Global Asset Management, Invesco Asset Management, Investec Asset Management, J.P. Morgan Asset Management, Schroders Investment Management et Lyxor Asset Management.The full statistics from the study are available as an attachment (pdf).
The ratings agency Standard & Poor’s on 25 October lowered its rating of BNP Paribas by one notch, from AA- to A+, and placed it on a negative ratings watch, alongside other businesses such as BPCE, Crédit Agricole, Société Générale and Crédit Mutuel, among the major French brands. Standard & Poor’s explains that it took the measures due to a deterioration of conjuncture in France. In addition to BNP Paribas, the agency has cut its ratings for Banque Solfea, an affiliate of the energy group GDF Suez dedicated to financing housing renovations, from A+ to A, and for Cofidis, a consumer credit affiliate of Crédit Mutuel, from A- to BBB+.
In 12 months, assets in funds at Banco Sabadell have increased by 4.2%, to a total of EUR8.56bn as of September, while pension funds have gained 32.2% to EUR3.58bn. Funds People reports that these gains are due to the integration of the savings bank CAM, and are not due to any deliberate actions; to the contrary.Sabadell has in fact been encouraging its clients to move to liability-side products, like savings deposits. Management commission levels have fallen in the first nine months of the year by 15.9%, to EUR76.1m, for precisely this reason, deputy director Jaime Guardiola explains.The Sabadell group has posted a decline of 56.3% in its net profits in January-September, to EUR90.6m, due to provisions related to real estate.
According to the quarterly report from the Santander group, net profits in the asset management unit from investment funds have totalled EUR48m in the first nine months of the year, 49.9% more than in January-September 2011, while profits from pension funds have totalled EUR7m, up 7.6%.Assets as of 30 September totalled EUR140.1bn, 1% more than at the end of 2011, of which EUR103bn are in investment and pension funds. Traditional management represented a volume of EUR137bn, while alternative management accounted for the remaining roughly EUR3bn.Over the Santander group as a whole, net profits in the first three quarters are down 66% to EUR1.804bn, after EUR3.475bn in provisions to cover real estate risks in Spain.