Le fonds immobilier institutionnel WestInvest TargetSelect Logistics compte un actif de plus avec l’acquisition par Deka Immobilien de PCC II à Brême, une installation logistique de 23.700 mètres carrés achetée 25 millions d’euros et qui sera livrée en novembre 2013 pour être louée en totalité à Daimler Benz. Deka Immobilien avait déjà acheté l’ensemble PCC I (16.000 mètres carrés) en 2010.
Le gestionnaire londonien Plurimi Capital a lancé la commercialisation du Plurimi Sustainable Income Fund 1 qui se veut le premier fonds de développement durable focalisé sur les obligations européennes à haut rendement et dont l’encours représente déjà 150 millions d’euros.L’équipe de gestion de ce fonds destiné principalement aux investisseurs institutionnels (souscription minimale: 1 million d’euros) prendra en compte en dehors de l’analyse fondamentale des titres le résultat d’un examen des aspects développement durable des émetteurs, notamment en matière de gouvernance et de transparence.L’objectif de performance se situe à 8-12 % avec une volatilité de 4-5 %.La commission de gestion est fixée à 1,25 % et la commission de performance sera de 20 % pour un taux butoir de 1,25 % avec high watermark.
En 2012, les 150 SCPI sont demeurées au rythme de collecte atteint ces dernières années, avec un total annuel dépassant les 2,5 milliards d’euros. Ce niveau de collecte nette connaît un léger tassement par rapport à 2011 (- 9,9 %) en raison du net recul des SCPI « immobilier résidentiel » : en particulier, les SCPI « Scellier » se limitent à 82,08 millions d’euros, dans la même veine que le retrait sensible des investisseurs particuliers « en direct » (- 42%, source : FPI). Sur la même période, les SCPI « immobilier d’entreprise » ont de leur côté atteint des niveaux record d’attractivité avec un total de 2,323 milliards en progression de 10,8% par rapport aux douze mois précédents.
La prochaine crise bancaire viendra de la finance de l’ombre, selon le président du directoire de la Banque Postale, qui plaide pour davantage de régulation du système financier international. «Nous devons préparer l’avenir et voir de quelle manière nous pourrions prévenir cette prochaine crise qui sera systémique», a-t-il déclaré au cours d’une conférence consacrée à l’avenir des banques organisée par The Economist.
L’indice S&P/Case Shiller dans 20 agglomérations a progressé de 0,9% CVS en décembre, alors que le consensus donnait une hausse à 0,5%. En outre, les ventes de logements neufs ont bondi de 15,6% en janvier, à 437.000 unités en rythme annualisé. La hausse des prix a atteint en 2012 un rythme sans équivalent depuis plus de six ans, attestant d’une reprise du marché immobilier américain.
La confiance du consommateur américain s’est améliorée bien plus que prévu en février, en dépit des inquiétudes budgétaires et des risques d’augmentation des impôts. L’indice du Conference Board la mesurant et publié hier ressort à 69,6 contre 58,4 en janvier, un plus bas de plus d’un an. Il est au plus haut depuis novembre et dépasse largement le consensus qui le donnait à 61.
Le nombre de demandeurs d’emploi a bondi en janvier en France après une hausse plus modérée en décembre, la moitié de la progression étant due à une modification du système de radiation des chômeurs. Selon les chiffres du ministère du Travail, le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A (ceux qui n’ont pas travaillé) a augmenté de 43.900 le mois dernier en France métropolitaine (+1,4%) pour atteindre 3.169.300, soit son plus haut niveau depuis juillet 1997.
La filiale d’Axa a retrouvé une collecte positive l’an dernier et une croissance de ses encours. Le cas de sa filiale Rosenberg étant réglé, le gérant veut continuer à déployer ses expertises en Europe et en Asie, notamment auprès des institutionnels, en attendant une relance aux Etats-Unis.
Après les doutes de la semaine dernière, le président de la Fed a réaffirmé devant le Congrès que les rachats d’obligations d’Etat restaient nécessaires.
La Commission de régulation chinoise des marchés a changé ses règles pour autoriser les titulaires d’un passeport de Hong Kong, Macao ou Taïwan mais résidant en Chine continentale d’ouvrir des comptes de trading leur permettant d’investir dans des actions chinoises de classe A, indique le China Securities Journal. Une annonce officielle pourrait être faite dans les prochaines semaines.
La société américaine de private equity vise selon le South China Morning Post une collecte de 2 milliards de dollars pour un fonds dédié au secteur immobilier, qui réalisera des «investissements de grande envergure» au sein des «principales puissances économiques asiatiques». Le fonds souverain China Investment Corp et l’Autorité monétaire de Singapour vont «très probablement» prendre part à l’aventure.
Le président exécutif de l’opérateur boursier de Chicago, Terrence Duffy, a assuré dans un entretien à la chaîne télévisée que l’augmentation des volumes traités trouvait sa source dans les acquisitions passées et que le groupe conservait un certain appétit pour les rapprochements de grande ampleur. Un entretien diffusé alors que Bloomberg a fait état lundi de discussions engagées entre CME Group et Deutsche Börse. L’opérateur allemand a démenti, l’américain est resté muet. Le CME a acquis le Chicago Board of Trade (CBOT) en 2007 et le New York Mercantile Exchange (Nymex) l’année suivante pour un montant total de 20 milliards de dollars.
Olivier Héreil, Directeur des investissements et des gestions d’actifs de BNP Paribas Cardif dans un article publié par Les Echos : Nous avons commencé à accroître notre poche actions. Nous y venons prudemment. Elle est passée à 11 % environ, contre 10 % auparavant. Nous pourrions légèrement l’augmenter jusqu'à 12 % en 2013. Nous sommes allés avant tout vers les pays émergents, qui enregistrent une croissance supérieure à celle de l’Europe et des Etats-Unis. Cette année, au sein des actions, il est possible que nous montions à 20 % contre 15 % aujourd’hui sur la zone émergente. Les instruments à disposition pour investir en actions sont très nombreux. Nous les utilisons un peu tous. Mais il est vrai que, ces dernières années, nous avons beaucoup travaillé avec les ETF (fonds indiciels cotés), qui offrent une profondeur dans les choix d’allocation « pays » et notamment les émergents. Les ETF nous permettent d’augmenter ou de diminuer très rapidement notre exposition à une zone ou à un pays en particulier. Si nous voulions acheter un fonds sur le Mexique, par exemple, cela serait plus compliqué car il nous faudrait faire des « due diligences », voir si le fonds est correctement diversifié, etc. Cela ne veut pas dire que les fonds de gestion active ne nous intéressent pas. Mais nous les utilisons pour des marchés plus larges. Enfin, ce retour vers les actions se fait en utilisant les flux de nouveaux versements des assurés et la vie naturelle de notre portefeuille, comme les tombées de coupons et arrivées à échéance des obligations. Nous n’avons pas eu à vendre d’obligations pour le faire. Il est vrai que, par le passé, nous avons détenu plus de 15 % d’actions. Mais nous n’envisageons pas d’atteindre de nouveau ce niveau. Cela est étroitement lié à la notion de risque, évidemment, elle-même très présente dans les règles de Solvabilité II. Même si sa mise en place a été repoussée, son architecture est aujourd’hui connue et nous devons en tenir compte.
Chez Aviva France, nos investissements en infrastructures seront pour les deux prochaines années essentiellement dédiés à la dette, avec 300 millions alloués à un véhicule également ouvert à d’autres assureurs en complément, et principalement investis sur le marché secondaire, précise à l’Agefi, Philippe Taffin, directeur des investissements.
Fabrice Rossary a une expérience de près de 15 ans en gestion. Il a débuté sa carrière en 1998 chez Société Générale Asset Management où il a occupé différentes positions de gestion. Puis, il a rejoint Fortis en 2006 en tant que gérant crédit sénior. Il a ensuite pris la responsabilité de la gestion crédit à Londres. En 2009, il entre chez Scor Global Investments pour occuper le poste de Responsable de la gestion crédit, avant d'en devenir en 2011 le CIO.
Le Fonds européen de Stabilité financière a lancé son nouvel emprunt de référence à trois ans, avec un spread de 5 points de base au-dessous de la courbe de swaps. Credit Suisse, JPMorgan et Morgan Stanley sont en charge de l’opération, qui sera la dernière sur un emprunt de référence du fonds de sauvetage européen au premier trimestre.
La hausse des prix des logements individuels s’est accélérée en décembre et 2012 aura vu une croissance de ces prix sans équivalent depuis plus de six ans, attestant d’une reprise du marché immobilier américain. L’indice S&P/Case Shiller dans 20 agglomérations a progressé de 0,9% CVS en décembre, alors que le consensus donnait une hausse à 0,5%. En outre, les ventes de logements neufs ont bondi de 15,6% en janvier, à 437.000 unités en rythme annualisé.
La prochaine crise bancaire viendra de la finance de l’ombre (shadow banking), a estimé mardi Philippe Wahl, président du directoire de la Banque postale, qui plaide pour davantage de régulation du système financier international. «Nous devons préparer l’avenir et voir de quelle manière nous pourrions prévenir cette prochaine crise qui sera systémique», a-t-il déclaré au cours d’une conférence consacrée à l’avenir des banques organisée par The Economist.
Le gouvernement n’entend pas supprimer l’avantage fiscal accordé aux parents d'étudiants de moins de 25 ans, a déclaré mardi le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac. Le Figaro affirmait que la demi-part fiscale pour enfant à charge allait être supprimée au profit d’une «allocation d'études» soumise à condition de ressources.
La commission des Finances du Sénat américain a approuvé mardi la candidature de Jack Lew au département du Trésor, ouvrant la voie à une validation par le Sénat en assemblée plénière. La candidature a été approuvée par 19 voix contre 5, ce qui signifie que près de la moitié des républicains membres de la commission des Finances se sont prononcés contre.
La confiance du consommateur américain s’est améliorée bien plus que prévu en février, en dépit des inquiétudes budgétaires du moment et surtout des risques d’augmentation des impôts. L’indice du Conference Board la mesurant et publié mardi ressort à 69,6 contre 58,4 en janvier (58,6 en première estimation, un plus bas de plus d’un an). Il est au plus haut depuis novembre et dépasse largement le consensus qui le donnait à 61.