La réforme du code des assurances, qui doit permettre aux compagnies de financer plus facilement les prêts aux entreprises, sera présentée ce mercredi.
Athènes chercherait à imposer une baisse de la TVA sur la resturation en contrepartie de la réduction de postes publics avant la réunion de l'Eurogroupe
Le rapport d’une association de représentation du secteur financier, la Global Financial Markets Association (GFMA), dénonce ce matin l’impact néfaste de l’instauration d’une taxe sur les transactions sur les dérivés de changes. La TTF, «frein à la croissance», aurait de quoi décourager des activités pourtant cruciales de couverture en relevant leur coût de 700% pour les entreprises.
Les propriétaires de l’opérateur de télédiffusion, parmi lesquels figurent TPG Capital, Axa Private Equity, Charterhouse Capital Partners et le FSI, réclament plus de 4 milliards d’euros pour la filiale française, sur la base d’une valorisation de onze fois l’Ebitda pour 2013. Les offres de premier tour devraient être reçues le mois prochain, selon Bloomberg qui se base sur des sources proches du dossier.
Le Premier ministre portugais, Pedro Passos Coelho, a conclu un accord avec le CDS-PP pour résoudre le désaccord qui menaçait la majorité parlementaire. Paulo Portas, le chef de file du CDS-PP, a été promu vice-Premier ministre et assurera la coordination de la politique économique et des négociations avec la «troïka». Ce dernier avait démissionné la semaine dernière de son poste de ministre des Affaires étrangères, dans le sillage de son collègue de l’Economie. Le président la République Anibal Cavaco Silva, qui va rencontrer aujourd’hui et demain l’ensemble des formations politiques du pays, doit donner son feu vert à l’accord. S&P a abaissé la perspective de la dette souveraine «BB» du Portugal de stable à négative, estimant «que l’incertitude politique croissante pourrait affecter les émissions à venir du Portugal et sa sortie espérée en 2014 du programme d’assistance soutenu par la troïka».
Le directeur général de la Caisse des dépôts évoque dans un entretien au Journal du Dimanche un taux de rémunération du Livret A, actuellement fixé à 1,75%, compris entre 1% et 1,25%. Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a estimé en juin que la rémunération du livret devrait baisser en raison du net ralentissement de l’inflation.
Selon Der Spiegel, KKR et Permira n’ont pas encore trouvé de solution pour leur sortie du groupe de médias, soit via le placement d’actions sur le marché soit par la vente de leur participation à un autre groupe de médias, entre autres possibilités. «Aucun acquéreur stratégique n’est en vue», a dit Götz Maüser, un des directeurs de Permira.
L’OPCI Médicis a porté ses actifs sous gestion à 260 M€ au travers d’une vingtaine de lignes, majoritairement investi en bureaux, mais bénéficiant aussi de murs d’hôtel comme ceux de Pullman et Ibis en face du château de Versailles. Depuis que Corum AM gère cet OPCI, créé dans une logique d’externalisation de la compétence immobilière, il a été décidé de concentrer les investissements dans l’immobilier de bureaux neufs labélisés et bénéficiant de baux longs et fermes, avec, notamment, les achats des sièges d’Europcar dans le parc d’affaires de Val Saint-Quentin. Corum AM devrait poursuivre cette politique d’acquisition de bureaux neufs labélisés, mais en province, et renforcer la diversification en recherchant des actifs de santé (EHPAD, SSR , MCO). La politique d’acquisition reste guidée par les opportunités, avec une exigence de rendement de 6 à 7 % en moyenne pour un profil de risque Core.
Depuis le 1er janvier 2013, l’UMR a décidé de confier un mandat de gestion à Egamo pour l’ensemble de son portefeuille obligataire, soit environ 4 milliards d’euros. Ce mandat a permis à Egamo d’atteindre un montant total d’encours géré de 7,3 milliards d’euros. A la suite de l’attribution de ce mandat, les actionnaires d’Egamo - le groupe MGEN, actionnaire majoritaire, et OFI Partenaires - ont proposé à l’UMR d’entrer au capital de la société de gestion. Cette proposition répond au souhait de l’UMR d'être partie prenante à la stratégie d’Egamo et de contribuer à l’adéquation des moyens techniques et humains mis ??uvre pour la gestion de ses encours. Un transfert d’actions a été opéré le 3 juillet 2013. La répartition du capital d’Egamo est désormais la suivante : groupe MGEN : 64%, UMR : 20%, OFI partenaires : 16%. En parallèle, deux représentants de l’UMR ont intégré le conseil d’administration d’Egamo : Alain Hernandez et Bernard Goujon, respectivement président et administrateur délégué de l’UMR.
A l’occasion du cinquième anniversaire du premier indice européen de fonds actions ISR et de son fonds associé, Alteane Responsible Fund, Ellipsis AM et Cedrus AM réitèrent leur volonté de poursuivre ensemble, en France et en Europe, la promotion active de ce support d’investissement long terme. Alteane est constitué à 50% de fonds actions ISR Best in Class et à 50% de fonds actions exposés aux thématiques du développement durable les mieux notés par Cedrus AM.
Après des performances de 0,21 % en avril et de 0,53 % en mai, les hedge funds coordonnés ont accusé sur la base de l’indice UCITS Alternative calculé par le suisse Alix Capital une perte moyenne de 1,37 %, ce qui réduit leur performance sur le premier semestre à 0,94 %.L’indice UCITS Alternative des fonds de hedge funds coordonnés a accusé pour sa part une perte de 1,85 % en juin contre des performances de 0,65 % en mai et de 0,22 % en avril. Sur les six premiers mois de l’année, l’indice affiche cependant un gain de 1,24 %.Seules deux stratégies sur onze ont enregistré des résultats positifs en juin : equity market neutral (+ 0,07 %) et volatility (+ 0,10 %). Les plus fortes pertes ont été accusées par les marchés émergents (- 3,08 %) et par les CTA (- 2,70 %).L’encours total des hedge funds coordonnés à fin juin se situait à 162 milliards d’euros contre 161 milliards fin mai et 160 milliards fin avril.
Pour le premier trimestre 2013, les sélectionneurs de fonds en Europe ont privilégié M&G Investments, qui se classe premier gestionnaire européen aussi bien parmi les maisons avec lesquelles les sélectionneurs s’attendent à faire davantage d’affaires (business growth) que parmi celles avec lesquelles ils souhaitent travailler à l’avenir (new supplier), indique Fund Buyer Focus (FBF).En particulier, M&G a gagné douze places au classement «new supplier», détrônant ainsi Aberdeen AM qui revient au deuxième rang, devant l’autrichien Raiffeisen Capital Management en amélioration de deux places. Le quatrième, Pimco, améliore son classement de deux places, mais Nordea et Henderson Global Investors bondissent respectivement de 21 et 29 places aux cinquième et sixième rang.Parmi les gestionnaires de la liste «business growth» les grands groupes occupent les premières places derrière M&G. Cela vaut pour BlackRock (2ème, inchangé) Fidelity (3ème, 11ème auparavant), Aberdeen AM (4ème, 9ème auparavant), et Franklin Templeton (5ème, 4ème auparavant).Dans ce palmarès «business growth», FBF remarque la montée spectaculaire de Flossbach von Storch (FvS), qui passe de la 37ème à la huitième place. Carmignac Gestion perd quatre places et se classe dixième.Lire le récapitulatif des palmarès FBF ci joint
Pas d’anniversaire sans récompenses... amLeague qui fêtait hier soir ses trois ans d’existence a consacré, en présence de Paul-Henri de la Porte du Theil, président de l’AFG, et de Jean Eyraud, son homologue à l’Af2i, les meilleures gestions actives dans ses deux mandats «phare» - le mandat actions-zone euro et le mandat actions-Europe. Réservés donc aux «historiques», les récompenses ont été remises dans le premier cas à Catherine Garrigues et Thierry Le Clercq d’Allianz GI dont le portefeuille affiche un gain de 30 %, devant celui d’EdRAM (29,90 %) et d’Invesco (22,59 %).Dans le second mandat, la palme est revenue à Martin Kolrep et Manuel von Difurth d’Invesco AM à Francfort, avec un portefeuille en gain de 48,14 %, devant Roche-Brune (42,28 %) et Aberdeen AM (39,79 %). Des résultats remarquables dès lors qu’ils sont mis en perspective avec la progression des indices respectifs des mandats : sur la période sous observation, l’Eurostoxx NR a réalisé une performance de 16,80 %, et le Stoxx 600 NR de 28,37 %. Et ce d’autant que les gérants qui participent à ces mandats ont pour contrainte d'être en permanence totalement investis...Pour faire bonne mesure, amLeague étant bâti autour de différents mandats sous l’oeil d’un club d’investisseurs institutionnels, Antoine Briant, son CEO, a également cité les sociétés de gestion affichant sur un an, les meilleurs ratios, très observés en la matière. Pour le mandat Euro, Invesco à nouveau affiche le meilleur ratio d’information (2,00) tandis que pour le mandat Actions Europe, Dexia AM l’emporte (2,62) et pour le mandat «global equities», AllianceBernstein (2,00). Enfin, dans le mandat Multi Asset Class, le meilleur ratio de Sharpe est affiché par CCR AM (1,66 ). Précédant la remise des prix, la manifestation a été l’occasion pour Antoine Briant d’annoncer une série de développements sur le site d’amLeague qui va au cours des mois à venir s’enrichir sensiblement. Ainsi, au quatrième trimestre, ses utilisateurs auront, entre autres, accès à une mesure de la liquidité des portefeuilles permettant d'établir un coût de liquidation. Outre ce nouveau service élaboré en partenariat avec le broker ITG, amLeague compte produire des données agrégées sur les flux d’achats et de ventes sur les marchés d’actions.Enfin, à un horizon plus lointain - début 2014 - amLeague a confirmé sa volonté de créer un nouveau mandat de type ISR actions Europe auxquels les investisseurs institutionnels accordent beaucoup d’importance. Dans ce cadre, «un groupe animé par la société Cedrus AM, spécialiste de l’ISR, et où figurent de grands investisseurs est actuellement en train d’en définir les caractéristiques», a précisé Antoine Briant.
Dans son «interim management statement» pour le trimestre au 30 juin, Liontrust Asset Management Plc indique que malgré la volatilité sur les marchés actions et obligataire, ses souscriptions nettes sont ressorties à 302 millions de livres, soit plus du triple du montant enregistré pour la période correspondante de l’an dernier (93 millions).L’encours au 28 juin ressortait à 3.265 millions de livres contre 3.039 millions au 1er avril. A noter que l’effet de marché a été négatif durant le trimestre sous revue de 76 millions de livres. L’encours institutionnel a baissé de 21 millions de livres entre le 1er avril et le 30 juin, à 480 millions de livres tandis que les actifs retail au Royaume-Uni ressortaient à 2.352 millions de livres contre 2.263 millions. Quant au volume des fonds offshore, il a gonflé à 433 millions de livres contre 275 millions.
RBC Wealth Management, du groupe Royal Bank of Canada, a annoncé la nomination de Mike Moodie en tant que vice president et managing director, Ultra High Net Worth, RBC Wealth Management - British Isles and Caribbean, rapporte Investment Europe.Précédemment responsible de RBC Management au Royaume-Uni, il continuera d’être basé à Londres et prendra ses nouvelles fonctions le 1er septembre 2013.
Selon le Financial Services Register de la Banque d’Angleterre , Kleinwort Benson a recruté le 26 juin Fadi Zaher comme head of bonds & currencies et sera subordonné à Mouhammed Choukeir, le CIO.L’intéressé était précédemment head of fixed income sales & trading chez Barclays Wealth & Investment Management.Chez son nouvel employeur, il sera chargé de concevoir des solutions pour la clientèle de particuliers très haut de gamme (UHNWI) au Royaume-Uni et dans les îles anglo-normandes.
Pour 285 millions de de dollars ou 189 millions de livres en numéraire, l’américain The Hartford vend l’activité de variable annuities au Royaume-Uni (1,75 milliard de dollars ou 1 milliard de livres sous administration) de sa filiale Hartford Life International Limited (HLIL) à Columbia Insurance Company, une compagnie du groupe Berkshire Hathaway que dirige Warren Buffett.Cette transaction, qui doit encore obtenir le feu vert des autorités de régulation, se soldera pour The Hartford par une perte nette d’environ 110 millions de dollars au deuxième trimestre 2013.
Le fonds souverain singapourien Temasek affichait au 31 mars 2013 un encours record de 215 milliards de dollars singapouriens ou 173 milliards de dollars américains, contre 198 milliards un an plus tôt. En dix ans, les actifs gérés ont plus que triplé, puisqu’ils ressortaient à 61 milliards de dollars locaux fin mars 2003.Le bénéfice net de l’exercice est demeuré stable à 10,6 milliards de dollars singapouriens contre 10,7 milliards pour 2011-2012 et le rendement net pour l’actionnaire s’est situé à 8,86 %.Durant les douze mois à fin mars, Temasek a opéré des investissements pour 20 milliards de dollars singapouriens (dont 4 milliards pour le secteur énergétique et les ressources naturelles) et des désinvestissements de 13 milliards.Le chairman S. Dhanabalan a indiqué que le portefeuille est alloué à 30 % à Singapour et à 23 % à la Chine tandis que les expositions à l’Amérique du Nord et à l’Europe se situent à 12 % chacune, contre 8 % il y a deux ans.
Natixis Asset Management annonce sur son site qu'à compter du 5 juillet des modifications interviennent sur le fonds Mirova Euro Sustainable Equity (*) et sur son fonds nourricier Fructi Euro ISR (**). En pratique, le FCP pourra désormais procéder à des investissements en actions européennes non libellées en euro à hauteur de 10% maximum de l’actif net. De fait, l’OPCVM pourra présenter un risque de change à hauteur de 10 % de l’actif net. Par ailleurs, l’investissement minimum et l’exposition minimum en actions de la zone Euro passeront de 75 % à 80 % de l’actif net. (*) Part M : FR0010653733 / Part S : FR0011194224 / Part IC : FR0010653725 / Part RC : FR0000970840 / Part RD : FR0010653741)(**) Part C : FR0010032169
Intech Investment Management, une filiale de Janus Capital Group, vient de lancer des stratégies indexées sur les indices MSCI Emerging Markets et All Country World dans le cadre de sa gamme de produits « volatilité absolue ».Les nouveaux produits sont censés répondre aux attentes des investisseurs institutionnels souhaitant diversifier leur allocation marchés, tout en bénéficiant d’un potentiel d’appréciation du capital et d’un profil de risque absolu inférieur à celui de l’indice capi-pondéré.La stratégie Emerging Markets Managed Volatility d’Intech, par exemple, a pour objectif de surperformer l’indice de référence de 3 à 4 %, tout en générant un risque inférieur d’environ 25 % à l’indice en moyenne. La stratégie Emerging Markets Low Volatility affiche un objectif de performance proche de celle du marché, mais cherche à générer un niveau de risque moyen d’environ 35 % inférieur à l’indice MSCI Emerging Markets.Les stratégies de performance relative, quant à elles, ont pour objectif de générer une surperformance de 3 à 4 % et une tracking error la plus faible possible.
Dans le cadre de la reconstitution de son équipe immobilière en France, comme annoncé par Pierre Cherki à Newsmanagers (lire notre édition du 24 juin), Deutsche Asset & Wealth Management (DeAWM) annoncé que Cédric Dujardin est devenu au 1er juillet directeur du département immobilier pour la France. Il était auparavant directeur des investissements Europe chez Ivanhoé Cambridge, en charge des investissements en bureaux et commerces.Cédric Dujardin a occupé plusieurs fonctions chez Gecina entre 2001 et 2011, notamment en tant que responsable de l’investissement et de l’arbitrage, immobilier d’entreprise.
Alors que de nombreux hedge funds ont terminé le mois de juin dans le rouge, certains fonds tirent leur épingle du jeu et affichent des performances positives à fin juin, indique Institutional Investor Alpha. Parmi les bons éléments, on retrouve Caxton Global Investment, en hausse de 2,25 % en juin et de 15,9 % depuis le début de l’année. Si le fonds continue sur sa lancée, 2013 devrait être la meilleure année depuis 2002. Autres hedge funds qui ont réussi un bon mois de juin, Kensington et Wellington de Citadel, gérés par Kenneth Griffin, ont gagné 1,3 % en juin.
Créée en 2011, l’Association professionnelle des conseils en Développement Durable et RSE (ADD) a annoncé l'élection de Patrick D’Humières à sa présidence à l’issue de son assemblée générale du 28 juin 2013. L’objectif de l’association consiste à favoriser l’inclusion du développement durable et de la RSE dans la pratique opérationnelle des entreprises françaises.A 58 ans, Patrick D’Humières est spécialiste des rapports Entreprise et Société, membre du Conseil National du développement durable. Il a notamment lancé le premier forum de l’entreprise responsable en 1990 et, après avoir été responsable RSE du LEEM – Les entreprises du médicament – entre 2005 et 2009, a fondé l’Institut RSE, un cabinet de conseil spécialisé dans le reporting extra-financier, en 2009.
UBS Global Asset Management a fait admettre à la négociation SIX Swiss Exchange un ETF pondéré en fonction des risques, sur la base un portefeuille multi-actifs (Multi Asset Portfolio, MAP). Le UBS-ETF MAP Balanced 7 UCITS ETF offre la possibilité d’investir simultanément en actions, en obligations en cash et en matières premières. Grâce au concept de parité de risque, toutes les classes d’actifs sont pondérées en fonction de leur volatilité afin de contribuer de manière égale au profil risque de l’ETF. Ce produit vise une performance stable pour un risque de perte limité.Il s’agit d’un ETF conforme à la directive OPCVM IV à réplication synthétique domicilié en Irlande et libellé en dollars.L’allocation est affinée par la prise en compte des dispositions des marchés au moyen de l’UBS Dynamic Equity Risk Indicator (DERI). Le DERI est publié par UBS Equity Research et mesure chaque jour boursier les dispositions et la propension au risque des places financières mondiales. Ce faisant, pendant les phases de tourmente boursière, l’UBS MAP peut convertir la part en actions et en matières premières en liquidités. La stratégie recourt à différents indicateurs pour mesurer jour après jour les conditions de marché et limiter ainsi les pertes, qui sont par conséquent beaucoup plus faibles qu’avec un portefeuille équilibré comparable.CaractéristiquesDénomination : UBS-ETF MAP Balanced 7 UCITS ETFCode Isin : IE00B95FFX04"Flat fee» : 1,75 %
Deux des plus anciennes banques privées d’Europe, la suisse Landolt & Cie et la belge Degroof S.A,. ont annoncé la conclusion d’un partenariat stratégique, selon un communiqué publié le 4 juillet.Ce partenariat s’est concrétisé par la fusion au 1er juillet dernier de Landolt & Cie et de la filiale suisse de Degroof Luxembourg, qui dépend de Degroof S.A.La nouvelle entité, qui conserve le nom de Landolt & Cie a son siège social en Suisse et restera une banque privée suisse.Landolt & Cie est une banque qui a été créée en 1780. Elle vient de changer de forme juridique, et s’est transformée en société anonyme au 1er janvier dernier, abandonnant ainsi son statut de société en commandite, qui rendait ses associés-gérants indéfiniment responsables sur leurs biens propres de la bonne marche des affaires.Les actionnaires suisses sont majoritaires dans la nouvelle entité issue de la fusion avec Degroof Suisse. Landolt & Cie s’enorgueillit de «plus de deux siècles de gestion exclusive de patrimoines privées pour une clientèle suisse et internationale»."De siècle en siècle, Landolt & Cie», qui a son siège à Lausanne, «a su s’adapter à de très nombreux changements d’environnements politiques, économiques et législatifs», souligne-t-elle.La Banque Degroof, créée en 1871, soit 100 ans après Landolt & Cie, est une banque privée et d’affaires indépendante. Elle est présente dans sept pays, alors que la banque Landolt & Cie n’est établie qu’en Suisse. Le montant des actifs sous gestion n’a pas été communiqué.
Senior sales manager et director chez DWS Suisse avec la responsabilité pour la Suisse alémanique et le Liechtenstein, Edmund Wandeler a rejoint Aberdeen Asset Managers Switzerland à Zurich comme senior business development chargé de la Suisse alémanique.Aberdeen gère 17,3 milliards de francs en Suisse.
La Française REM a acquis auprès d’un OPCI géré par Weinberg Capital Partners, le 28 juin 2013, un portefeuille de trois commerces Conforama pour le compte de ses SCPI. Situés à Beauvais, Compiègne et Charleville-Mézières, les biens commerciaux représentent un volume d’investissement d’environ 32 millions d’euros.