Le groupe Crédit Agricole se déclare serein face aux investigations des autorités européennes concernant la manipulation présumée des taux interbancaires qui s'étend à de nombreuses banques internationales, rapporte L’Agefi. Il refuse toute idée d’une transaction avec Bruxelles car ceci constituerait une reconnaissance de responsabilité qui n’a pas lieu d'être. A propos du Libor, la banque collabore aux enquêtes ouvertes «sans qu’on lui ait opposé aucun grief».
Les actifs sous gestion de Swiss Life Banque Privée s'élevaient fin septembre à environ 4 milliards d’euros, a indiqué le directeur général, Tanguy Polet, à l’occasion d’une conférence sur les perspectives économiques et financières 2014.Tanguy Polet n’a pas donné plus de chiffres mais a toutefois précisé que la collecte nette sur l’ensemble de l’année serait probablement multipliée par deux par rapport à celle de l’année dernière. La collecte de l’an dernier s’est élevée à près de 250 millions d’euros, ce qui donnerait une collecte de l’ordre du demi-milliard d’euros sur l’ensemble de l’année. Les actifs sous gestion s’inscrivaient à 3,2 milliards d’euros fin 2012.
BPCE Assurances a abattu ses cartes dans le dossier CNP Assurances. Lors d’un conseil d’administration qui s’est tenu hier chez le premier assureur-vie français, le groupe bancaire mutualiste a confirmé sa volonté de ne plus distribuer, à partir du 1er janvier 2016, au sein de son réseau des Caisses d’Epargne de nouveaux contrats produits par CNP, rapporte Les Echos.Un choix « longuement mûri », explique aux « Echos » François Pérol, le président du directoire de BPCE, qui dément toute posture tactique. « Il ne faut pas préempter l’issue de discussions qui ne font que commencer, tempère de son côté un administrateur de CNP. Nous avons tous, au sein du conseil, la volonté de montrer que, même s’il n’est pas question de renouveler le partenariat à l’identique, il reste un espace de jeu possible. ».Dans cette logique, les administrateurs ont créé un comité ad hoc qui sera chargé d'éclairer le conseil d’administration sur l’impact des différentes options qui pourraient être prises au fil des négociations à venir.
Après les quelque 1.450 postes supprimés en 2012 et 2013, Société Générale va encore réduire sensiblement sa masse salariale en France. Selon Les Echos, plus de 400 postes vont ainsi disparaître entre 2014 et 2015 au sein du nouveau pôle baptisé en interne «GBIS», qui rassemble les activités de banque de financement et d’investissement, de banque privée, de gestion d’actifs et de services aux investisseurs. Cette nouvelle restructuration est la conséquence du rapprochement de ces différents métiers, qui avait été annoncé en février 2013. Dans le détail, la Société Générale va lancer un plan social visant le départ de 116 personnes sur un total de 350 employés parmi les équipes de gestion administrative (back-office) de son activité de conservation. SGSS, la filiale de conservation elle-même, va par ailleurs faire l’objet de 150 suppressions de postes supplémentaires via des départs en retraite et des reclassements. Les back-office de la banque de financement et d’investissement devront aussi voir partir 80 personnes, sans compter une vingtaine d’autres au sein de la société de gestion Lyxor.
Le nouveau pôle de Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs (GBIS) du groupe Société Générale, intégrant les activités de la Banque de Financement et d’Investissement et du pôle Banque Privée, Gestion d’Actifs et Services aux Investisseurs, a enregistré au troisième trimestre une progression de 7,2% de ses revenus, avec une progression équivalente des deux pôles Banque Privée, Gestion d’Actifs et Services aux Investisseurs (+7,4% par rapport au troisième trimestre 2012, avec une hausse significative des revenus de la Banque Privée) et Banque de Financement et d’Investissement (+7,1%), malgré des taux bas persistants, la crise des marchés émergents et la faiblesse des volumes pendant l’été.La Banque Privée présente au troisième trimestre une solide activité commerciale notamment sur les produits structurés. Cette performance permet à la marge brute de progresser significativement à 108 points de base (99 points de base) contre 83 points de base au troisième trimestre 2012. Les actifs sous gestion de la ligne-métier s’élèvent à 83,9 milliards d’euros à fin septembre, grâce à une collecte positive de 0,8 milliard d’euros sur le trimestre, essentiellement tirée par la France et l’Asie, un effet marché de 0,7 milliard d’euros et un effet change de 0,1 milliard d’euros. A contrario, la cession de l’activité au Japon le 1er octobre a généré un effet périmètre négatif de 2,2 milliards d’euros.Les activités de Services aux Investisseurs voient leurs actifs en conservation progresser de 7,7% à 3 609 milliards d’euros par rapport à fin septembre 2012 et leurs actifs administrés augmenter de 11,6% sur la même période à 500 milliards d’euros.Dans les activités de Banque de Financement et d’Investissement, «Lyxor enregistre une hausse de ses actifs sous gestion, grâce à une collecte importante sur le trimestre dans le cadre de l’extension de sa gamme de produits».Le groupe, qui poursuit sa réorganisation, souligne l’entrée «en négociations exclusives pour acquérir 100% de Newedge». Une évolution qui lui permettra «d’élargir son offre de services de l’exécution des transactions au post-trade (opérations de compensation et services associés) et d’intensifier sa présence dans les zones Amériques et Asie».
Natixis qui présentait ses comptes pour le troisième trimestre mercredi 6 novembre a fait état d’une forte croissance des revenus des métiers coeurs, en hausse de 10% par rapport au troisième trimestre de l’année dernière, à 1 597 millions d’euros. Au sein du pôle Epargne, la gestion d’actifs enregistre une collecte nette «record» de 11,2 milliard d’euros, portée majoritairement par les Etats-Unis, et l’activité assurance-vie qui a été dynamique. Les revenus du pôle Epargne enregistrent une progression de 15%, à 549 millions d’euros. Sur les neuf premiers mois de l’année 2013, le PNB de Natixis est en progression de 4% à 5 391 millions d’euros. Les revenus du pôle Epargne enregistrent une progression de 9%, à 1 619 millions d’euros, principalement portée par la gestion d’actifs, qui progresse de 7% sur la période. Les activités d’Assurances ont également contribué à ces résultats. La collecte nette est positive de 0,5 milliard d’euros et les encours sous gestion progressent de 4% par rapport à fin septembre 2012, à 39 milliards d’euros. Enfin, le PNB de la Banque privée est en hausse de 18% à 30 millions d’euros. La collecte nette est de 0,5 milliard d’euros sur les neuf premiers mois, liée au développement de l’activité avec les réseaux du Groupe BPCE et la clientèle directe. Les encours gérés atteignent 22 milliards d’euros au 30 septembre 2013, une progression de 17% par rapport à l’année précédente (+7% à périmètre constant).
Sur les neuf premiers mois de 2013, Amundi a enregistré des souscriptions nettes de 1,1 milliard d’euros, selon les résultats financiers publiés ce jeudi par son actionnaire Crédit Agricole, qui va bientôt passer à 80 % du capital contre 75 % actuellement pour un montant de 337,5 millions d’euros (lire par ailleurs). La collecte est portée sur les neuf premiers mois par les segments institutionnels, corporate et distributeurs (+7,5 milliards d’euros), les réseaux internationaux (+2,3 milliards d’euros) et l’épargne entreprises (+0,9 milliard d’euros) », précise la banque dans son communiqué. En revanche, les réseaux France accusent des rachats de 9,6 milliards d’euros. Amundi note aussi que la collecte hors monétaire s’élève à 5,7 milliards d’euros, ce qui laisse entendre que les rachats dans les fonds monétaires ont été élevés (4,6 milliards d’euros). En incluant à 100% les joint-ventures en Asie et Smith Breeden, société acquise récemment aux Etats-Unis (impact de +4,7 milliards d’euros), les actifs sous gestion ressortent à fin septembre 2013 à 759 milliards d’euros. Cela représente une hausse de 2,6% par rapport à fin décembre 2012 (740 milliards d’euros). Ils bénéficient d’un effet marché favorable à +13,5 milliards d’euros. A 756 milliards d’euros, les encours moyens progressent de 9% entre les neuf premiers mois 2012 et les neuf premiers mois 2013. Sur les neuf premiers mois de l’année, le résultat net part du Groupe d’Amundi s’élève à 233 millions d’euros, soit une augmentation de 4,6% par rapport à 2012. Pour le troisième trimestre 2013, le résultat net part du Groupe s’élève à 73 millions d’euros, en repli de 8,9 % par rapport au trimestre correspondant de 2012. Le résultat brut d’exploitation d’Amundi progresse de 1,3% par rapport à 2012 sur les neuf premiers mois de l’année. Le produit net bancaire avance de 1,8% et de 0,5% par rapport au troisième trimestre 2012. Les charges d’exploitation des neuf premiers mois 2013 augmentent de 1,4% hors impact des mesures fiscales par rapport aux neuf premiers mois de 2012. Le coefficient d’exploitation est stabilisé à 55,3% au 30 septembre 2013.
Le groupe Société Générale est entré en négociations exclusives avec Crédit Agricole afin d’acquérir la participation restant de 50% dans le capital de Newedge, filiale de courtage de dérivés détenue conjointement, portant ainsi la détention de Société Générale à 100 %, selon un communiqué publié le 7 novembre.En ligne avec la stratégie de Société Générale qui consiste à renforcer ses activités coeur et développer les synergies, l’acquisition complète de Newedge constituerait un développement clé dans le domaine des activités de marchés, notamment dans la perspective des évolutions réglementaires qui s’orientent vers une compensation plus centralisée des produits de gré à gré.La combinaison des deux plates-formes complémentaires apporterait une nouvelle dimension au pôle Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs de Société Générale, en matière d’offre clients et de présence géographique, tout en favorisant davantage de synergies."Cette transaction nous permettrait de proposer à nos clients une offre intégrée sur les différents marchés, de l’exécution aux prime services, ainsi qu’en matière de compensation, à la fois sur les produits listés et de gré à gré», a déclaré Didier Valet, Directeur du Pôle. «De plus, étant donné les évolutions réglementaires, nous souhaitons investir dans les activités de post-marchés afin d'élargir notre offre clients».Les transactions financières discutées dans le cadre des négociations exclusives entre Société Générale et Crédit Agricole sont les suivantes: - l’acquisition par Société Générale de la participation de 50% détenue par Crédit Agricole CIB dans Newedge, pour un montant de 275 millions d’euros. - la vente concomitante à Crédit Agricole SA de 5% du capital d’Amundi, leur société commune de gestion d’actifs, pour un montant de 337,5 millions d’euros, réduisant la participation de Société Générale à 20%. Cette cession serait sans effet sur la structure de gouvernance de la société. Amundi demeurerait le fournisseur de référence de solutions d’épargne et d’investissement pour les réseaux de banque de détail de Société Générale ; à l’occasion de l’opération, les accords de distribution seraient prolongés jusqu’à fin 2019 à l’issue de l’expiration de leur durée initiale fin 2014.
La société de gestion danoise Sparinvest, basée au Luxembourg, a lancé un compartiment de type SIF de sa Sicav qui sera investi dans des obligations d’Europe du Nord à haut rendement. Cette stratégie a déjà drainé 60 millions d’euros investis dans un mandat de la part d’un important client institutionnel international. Le nouveau SIF, appelé Nordic High Yield Value Bonds, permettra à d’autres investisseurs institutionnels susceptibles d’investir un minimum de 15 millions d’euros de profiter de cette expertise.L’univers d’investissement du fonds est le Danemark, la Finlande, la Norvège, la Suède et leurs territoires associés. Le fonds sera investi dans des instruments de dette et monétaires émis par des entreprises domiciliées en Europe du Nord ou dont le chiffre d’affaires provient principalement de cette région. Le portefeuille initial comprendra une cinquantaine de titres.
Le prestataire allemand de services financiers MLP (22 milliards d’euros d’encours) a annoncé le 6 novembre que, compte tenu du ralentissement de l’activité dans l’assurance retraite et l’assurance maladie, le bénéfice avant impôt et charges financières (EBIT) de 2013 sera inférieur à la prévision de 65 millions d’euros. Il était ressorti pour 2012 à 74,1 millions d’euros contre 17,3 millions en 2011.Le «corridor» de 65-78 millions d’euros pour l’EBIT en 2014 et 2015 n’est pas modifié.Pour janvier-septembre, l’EBIT est tombé à 12,3 millions d’euros contre 26,4 millions durant la période correspondante de 2012.
Le capital-investisseur américain achète pour 640 millions d’euros le pôle «water technologies» de Siemens, qui emploie 4.000 personnes dans le monde et réalise un chiffre d’affaires de 900 millions d’euros, rapporte la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Cette activité, faiblement bénéficiaire, était sur la liste des actifs à céder depuis un an. La prochaine vente pourrait concerner les appareils auditifs, qui font partie de la division santé.
Das Investment rapporte que Deutsche Asset & Wealth Management (DeAWM) a commandé l’Aladdin Enterprise Investment System dans le cadre d’un contrat portant sur la modernisation de tout son appareil informatique pour le processus d’investissement, depuis l’analyse des valeurs jusqu'à l’exécution et au dénouement des ordres en passant par la gestion du portefeuile et du risque.
La Banque centrale européenne abaisse ses taux directeurs. Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement de l’Eurosystème est abaissé de 25 points de base, à 0,25%. Le taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal est réduit de 25 points de base, à 0,75%. Le taux d’intérêt de la facilité de dépôt demeure inchangé, à 0,00%.
La Banque d’Angleterre (BoE) a laissé sa politique monétaire inchangée, s’en tenant ainsi à son engagement de maintenir ses taux à un niveau très bas jusqu'à que la reprise économique du pays soit plus solidement ancrée. L’institut d'émission a maintenu son taux directeur à 0,5%, son plus bas niveau historique, un niveau auquel il est fixé depuis mars 2009.
L’Italie a levé un montant record de 22,3 milliards d’euros dans le cadre d’une émission, bouclée mercredi, d’obligations souveraines à quatre ans indexées sur l’inflation. Ces titres étaient destinés aux particuliers mais les institutionnels y ont répondu en masse, conduisant le Trésor à interrompre prématurément le placement au bout d’un jour et demi. L’Italie avait établi le précédent record voici un an lors d’une émission de BTP Italia du même type. Le pays a désormais couvert 95% de son programme d'émission à moyen long terme pour 2013. Les analystes s’attendent maintenant à ce que Rome annule ses émissions de dette souveraine prévues à la mi-décembre. Sur le marché secondaire, les cours des obligations italiennes ont progressé à la suite de cette émission record. Le rendement de l’obligation souveraine à 10 ans a ainsi baissé de trois points de base juste après l’annonce, à 4,15%.
Le co-directeur général de la société de private equity, David Rubinstein, a assuré que le fonds en préparation Carlyle Partners VI avait été intégralement souscrit et que son actif ne serait pas inférieur à 12,9 milliards de dollars. Carlyle a fait part d’un résultat net économique en repli de 11% à 195 millions au troisième trimestre sur fonds de moindres gains issus des cessions d’actifs.
Le département du Trésor américain a indiqué hier qu’il prévoit d’émettre entre 10 et 15 milliards de dollars de titres à taux variables à partir du mois de janvier 2014. Un retour sur le marché pour ce type d’obligations, délaissées par Washington depuis 1997. Les investisseurs s’attendent à un rythme d’émission de 30 milliards de dollars par trimestre. La demande devrait provenir essentiellement des fonds monétaires, des fonds de court terme, et des trésoriers d’entreprises qui cherchent à se couvrir contre une hausse des taux d’intérêt. Ce lancement devrait en outre coïncider avec le début du ralentissement de la taille du programme de rachats d’actifs de la Réserve fédérale américaine (Fed), prévu d’ici mars 2014. Le Trésor a également indiqué qu’il avait reçu une forte demande de la part des investisseurs pour des émissions d’obligations indexées sur l’inflation (TIPS) de maturité 5 ans.
Tant que le régime actuel de changes flottants, de masses monétaires gonflées, de taux bas et de dettes élevées perdure, l’or demeure un actif intéressant
D’après Serge Ledermann, responsable de la Division investissements de Retraites Populaires, les investissements en micro-finance représentent pour le moment « un peu moins de 2 % des investissements de la Caisse de Pensions de l’Etat de Vaud ». A terme, Retraites Populaires, en accord avec la CPEV, « aimerait les augmenter mais est confronté à deux contraintes ». « La première est que cela reste un marché relativement petit, et la seconde est que lorsqu’on enlève toutes les charges liées au déploiement de cette activité plus en partie le hedging, la rentabilité disponibles pour les investisseurs est quand même relativement faible, autour de 3 à 3,25 % » déplore ainsi Serge Ledermann. Qui conclut : « nous attendons d’avoir une remontée de ces rentabilités pour déployer plus de moyens ». Rappelons que Retraites Populaires est une entité de droit public basée à Lausanne, qui gère près de 20 milliards de francs suisses pour le compte de plus de 100 000 assurés et pensionnés, avec deux activités, celle d’assureur-vie (rentes et capitaux en majorité), et celle de plateforme de gestion pour caisses de pensions, en majorité publiques. Le plus gros plan qu’elle gère est celui de la Caisse de Pensions de l’Etat de Vaud (CPEV), dont l’allocation stratégique est la suivante : 25 % en immobilier direct, 35 % en actions, 25 % en taux et le solde de 15 % en actifs plus alternatifs (placements privés, placements alternatifs, immobilier indirect en Suisse et à l'étranger, obligations convertibles et microfinance).
Selon le quotidien qui se réfère à deux sources officielles, le gouvernement mexicain négocierait avec le principal parti d’opposition une réforme des marchés de l’énergie plus favorable aux investisseurs. Alors que l’Etat prévoyait initialement des accords de partage des profits, les conditions financières des contrats seraient désormais définies projet par projet, ce qui offrirait plus de flexibilité pour le secteur des hydrocarbures.
Le co-directeur général de la société de private equity, David Rubinstein, a assuré que le fonds en préparation Carlyle Partners VI avait été intégralement souscrit et que son actif ne serait pas inférieur à 12,9 milliards de dollars. Carlyle a fait part d’un résultat net économique en repli de 11% à 195 millions au troisième trimestre sur fonds de moindre gains issus des cessions d’actifs.
L’enquête annuelle de la BCE sur le marché monétaire en zone euro, réalisée auprès de 104 banques au deuxième trimestre 2013, montre que les volumes sont repartis à la hausse avec une progression de 3% des volumes échangés à 75.000 milliards d’euros. Ils avaient diminué de 18% sur un an en 2012, année marquée par les injections massives de liquidités de la BCE. Le gros des transactions sur le marché monétaire s’effectuent sur des maturités de moins de 7 jours.
L’Italie a levé un montant record de 22,3 milliards d’euros dans le cadre d’une émission, bouclée mercredi, d’obligations souveraines à quatre ans indexées sur l’inflation. Ces titres étaient destinés aux particuliers mais les institutionnels ont répondu en masse, conduisant le Trésor a boucler par anticipation le placement. L’Italie avait établi le précédent record il y a un lors d’une émission de BTP Italia du même type. Le pays a désormais couvert 95% de son programme d'émission à moyen long terme pour 2013.
Equities were the most popular asset class in the United Kingdom in September for the sixth consecutive month. Retail net inflows totalled GBP1.3bn in the month, bringing the total for third quarter to GBP3.8bn. Inflows to bond funds totalled GBP99m, compared with an average of GBP55m in the past twelve months. Inflows to mixed funds totalled GBP375m, compared with an average of USD335m over twelve months.
BlueBay Asset Management has appointed Luc Leclercq as chief operating officer (COO).Previously, Leclercq worked at State Street where he was senior vice president and responsible for middle office client relations with a focus on asset management.