Threadneedle Investments accélère son développement sur le marché asiatique. La société de gestion vient en effet de lancer un deuxième fonds pour son équipe implantée à Singapour, révèle Citywire Global. Baptisé Threadneedle (Lux) Flexible Asian Bond Fund, ce véhicule domicilié au Luxembourg ciblera en priorité les investissements du marché asiatique en investissant dans les dettes gouvernementales et non gouvernementales de la région. Le fonds est capable d’investir à la fois dans des obligations «investment grade» et non «investment grade». Ces obligations seront libellées aussi bien en dollars américains qu’en devises asiatiques, à l’exception du yen. Ce fonds sera géré par une équipe dirigée par Clifford Lau, responsable du fixed income pour l’Asie-Pacifique chez Threadneedle.Ce nouveau produit rejoint ainsi le fonds Threadneedle (Luc) Developed Asia Growth and Income Fund, lancé il y a quelques semaines et géré depuis Singapour par Ng Soo Nam, responsable des actions asiatiques (lire NewsManagers du 25 avril 2014).
A l’occasion de la présentation de ses résultats trimestriels cette semaine, UBS a globalement confirmé ses objectifs. Le groupe bancaire suisse souhaite notamment renforcer sa position de leader mondial du secteur de la gestion de fortune. L’activité devrait ainsi croître de 10% à 15% par an au niveau du bénéfice d’exploitation ajusté.En outre, la croissance de la collecte nette devrait se situer dans une fourchette de 3% à 5% et la marge brute entre 95 et 105 points de base. Le coefficient d’exploitation devrait revenir dans une fourchette de 55% à 65% en 2015 contre 60-70% cette année. La gestion d’actifs doit de son côté renforcer son activité et afficher à moyen terme un bénéfice annuel avant impôts ajusté de 1 milliard de francs suisses. La croissance de la collecte nette, hors monétaire, devrait se situer dans une fourchette de 3% à 5%, la marge brute entre 32 et 38 points de base. Le coefficient d’exploitation devrait s’inscrire entre 60% et 70%. Le groupe veut également accélérer la réduction des actifs considérés risqués (RWA), définis sous Bâle III. Ces derniers devraient se situer en dessous de 215 milliards de francs suisses fin 2015, contre moins de 225 milliards de francs précédemment annoncés, et passer sous la barre des 200 milliards de francs suisses d’ici à fin 2017.
Le California Public Employees’ Retirement System (CalPERS) a annoncé hier, avoir obtenu 12,75 millions de dollars par un accord avec Ernst & Young, en charge d’auditer Lehman Brothers dans le cadre des créances liées aux investissements de CalPERS en actions et obligations de la banque avant sa faillite en 2008.
LCL renforce son offre de financement aux petites et moyennes entreprises en créant deux fonds d’investissement, Amundi Private Equity Funds et Omnes Capital, pour un montant global de 80 millions d’euros, selon un communiqué de presse publié le 6 mai par la banque.Ce nouveau dispositif vient compléter un fonds déjà existant, dont la dotation de 40 millions d’euros est aujourd’hui totalement investie, précise le communiqué.
Le groupe Scor a annoncé le 6 mai que Scor Global Investments, sa filiale de gestion d’actifs, avait enregistré au premier trimestre un rendement des actifs de 2,6%. En prenant en compte les fonds détenus par les cédantes, le taux de rendement net des placements atteint 2,4 % sur la période.Les actifs (hors fonds détenus par les cédantes) s'élèvent à 14.539 millions d’euros au 31 mars 2014, et sont constitués à 8 % de liquidités (en léger repli par rapport au 31 décembre 2013 compte tenu essentiellement du programme d’investissement), 78 % d’obligations (dont 4 % de placements à court terme), 3 % de prêts, 3 % d’actions, 5 % d’immobilier et 3 % d’autres placements. Le montant total des placements, y compris les fonds détenus par les cédantes à hauteur de 8.192 millions d’euros, s'élève à 22.731 millions d’euros au 31 mars 2014, contre 23.086 millions d’euros au 31 décembre 2013. Le résultat net du groupe a progressé de 21,6% à 135 millions d’euros. Sur une base annualisée, le taux de rendement des capitaux propres (ROE) s'élève à 11,2 % (9,4% au 1er trimestre 2013), nettement supérieur à l’objectif de 1 000 points de base au-dessus du taux sans risque défini dans « Optimal Dynamics ».
Début d’année en fanfare pour Amundi. La société de gestion d’actifs, filiale commune du Crédit Agricole et de Société Générale, a engrangé 6,3 milliards d’euros de collecte nette au cours du premier trimestre 2014. Cette collecte a été tout particulièrement tirée par les institutionnels (4,9 milliards d’euros), les corporates (1,2 milliard d’euros) et les distributeurs tiers (1,3 milliards d’euros). A contrario, la situation est plus contrastée dans les réseaux. Si les réseaux internationaux affichent une collecte nette de quelque 500 millions d’euros, les réseaux France subissent une décollecte de 1,6 milliard d’euros sur les trois premiers mois de l’année 2014.Grâce à cette bonne dynamique sur le front de la collecte, les encours d’Amundi se rapprochent du seuil des 800 milliards d’euros, ressortant à 796,5 milliards d’euros à fin mars, en progression de 2,5 % par rapport à fin 2013 (contre 777,1 milliards d’euros) et une croissance de 5% par rapport à fin mars 2013 (758,5 milliards d’euros).A l’issue du premier trimestre, le produit net bancaire d’Amundi enregistre une croissance modeste de 0,2%, à 351 millions d’euros, tandis que son résultat brut d’exploitation accuse un repli de 3%, à 154 millions d’euros. A fin mars 2014, le résultat net part du groupe d’Amundi s’établit à 75 millions d’euros, en baisse de 5,2% par rapport au premier trimestre 2013.
Andbank renforce ses équipes et son organisation. La banque privée andorrane vient ainsi de recruter Daniel Aymerich pour diriger et coordonner son activité d’analyse et de sélection de fonds tant pour le groupe que pour ses filiales internationales, selon des sources proches du dossier citées par Funds People. L’intéressé travaillait depuis neuf ans chez Inversis Banco où il était déjà en charge de la sélection de fonds.Pour Andbank, ce recrutement lui permet enfin de centraliser cette fonction de sélection de fonds, note le site d’information espagnol. De fait, jusqu’à maintenant, les gérants du groupe bancaire se chargeaient eux-mêmes de l’analyse et de la sélection des fonds tiers. Une tâche que Andbank cherchait à déléguer et centraliser auprès d’un responsable unique.
Thoma Bravo, société de private equity américaine a annoncé, par un communiqué publié sur son site, avoir levé 3,65 milliards de dollars pour son nouveau fonds Bravo Thoma XI. Le communiqué précise que ce montant correspond à un plafond et dépasse son objectif initial de 2,5 milliards de dollars. Ce fonds investira dans les secteurs de la technologie et du software.
Dans un entretien accordé à L’Agefi Hebdo, Yves Chevalier, membre du directoire du Fonds de réserve pour les retraites (FRR) vante les avantages du recours aux gérants de transition dont « l’objectif est de minimiser l’ensemble des coûts implicites que sont les fourchettes de cotations, les impacts de marché ou les coûts d’opportunité ». Yves Chevalier précise que la FRR attache également la plus grande importance à la qualité de la gestion opérationnelle et au conseil que lui apportent les gérants de transition. La FRR avait dans un premier temps (de 2003 à 2009), sélectionné Goldman Sachs en tant que courtier en transition exclusif. Par la suite, Russell Investments, puis BlackRock sont venus s’ajouter, portant à trois le nombre de gestionnaires de transition officiant pour la FRR. Mettre en concurrence ces trois prestataires aurait un intérêt limité pour la FRR car selon Yves Chevalier : « Chacun présente des avantages comparatifs selon les segments de marchés concernés (taux, actions) […] mais, dans la plupart des situations et en fonction des volumes traités, la transition peut être répartie entre deux gestionnaires, voire entre les trois ».
Fortress Investment Group étoffe ses équipes. La société de gestion alternative américaine a annoncé, le 5 mai, que l’équipe d’investissement international de Centaurus Capital, compagnie créée en 2000 par Randy Freeman et Bernard Oppetit est en passe de rejoindre son activité «Liquid Markets». L’équipe concernée est dirigée par le directeur des investissements Randy Freeman et sera rebaptisée Fortress-Centaurus Global Strategy. «Cette arrivée va diversifier davantage l’activité Liquid Markets de Fortress, avec l’ajout d’une équipe affichant 20 ans d’expérience dans le domaine grandissant des actions «long-short» et «event-driven», a indiqué le gestionnaire d’actifs américain dans un communiqué. De fait, l’équipe reprise par Fortress gère actuellement un fonds opportuniste mondial, spécialisée dans les stratégies actions «event-driven» et «long-short» avec une attention toute particulière sur l’Europe, l’Asie-Pacifique et les marchés émergents.L’activité «Liquid Markets» de Fortress gère environ 7,7 milliards de dollars d’actifs à fin mars à travers quatre stratégies: Fortress Macro, Fortress Asia Macro, Fortress Partners Funds et, enfin, Fortress Convex Asia. Mais le groupe américain n’entend pas s’arrêter en si bon chemin, souhaitant «ajouter un ou deux nouveaux fonds par an sur notre plateforme Liquid Markets, y compris de nouvelles équipes acquises ou développées par Fortress», indique-t-il dans un communiqué.Au 31 mars 2014, Fortress Investment Group affichait 62,5 milliards de dollars d’actifs sous gestion pour le compte de 1.500 clients institutionnels et investisseurs privés à travers le monde.
Lyxor a enregistré au premier trimestre une hausse de ses actifs sous gestion de 4 milliards d’euros à 84 milliards d’euros, tirée par 2,6 milliards d’euros de collecte nette, soutenue en particulier par les ETF, et un effet performance de 1 milliard d’euros. Les revenus de Lyxor sont en retrait de 3,4% à 48 millions d’euros, soit une marge brute en baisse à 24 points de base contre 28 points de base au premier trimestre 2013. Les résultats de la ligne-métier Gestion d’Actifs et Banque Privée s’élèvent à 261 millions d’euros, en hausse de 2,6% sur un an. Les frais de gestion de -204 millions d’euros sont en hausse (+3,5%). Le coefficient d’exploitation est stable par rapport au premier trimestre 2013 à 78%. La contribution au résultat net part du Groupe s’inscrit à 68 millions d’euros au premier trimestre, en baisse de -4,8% par rapport à un premier trimestre 2013 qui intégrait une reprise de provision pour risque de 4 millions d’euros. Société Générale a par ailleurs annoncé la finalisation de l’acquisition auprès de Crédit Agricole de la participation restante de 50% dans le capital de Newedge, portant ainsi la détention de Société Générale à 100%, ainsi que la cession concomitante de 5% du capital d’Amundi réduisant ainsi la détention de Société Générale à 20%.
Wendel a annoncé hier, dans un communiqué publié sur son site, « son intention de céder 4,3% du capital de Saint-Gobain […] pour un montant d’environ 1 milliard d’euros ». A l’issue de cette opération, Wendel détiendra environ 12% des actions et 20% des droits de vote de Saint-Gobain.Sa participation se stabilisera ensuite durablement autour de 11,5% du capital et de 19% des droits de vote compte tenu de l’effet des augmentations de capital attendues liées au Plan d’Epargne Groupe et au versement d’une partie du dividende en actions, précise le communiqué. En effet, Wendel s’est engagé vis-à-vis des banques « à ne pas procéder à une opération de marché similaire dans les 12 prochains mois ».
Depuis le 5 mai, La Banque Postale commercialise le PEA-PME, le nouveau compte-titres instauré par la loi de finances 2014 dont l’objectif est de faciliter le financement des petites et moyennes entreprises et des entreprises de taille intermédiaire. En pratique, La Banque Postale propose, d’investir dans le nouveau fonds Tocqueville PME, géré par Tocqueville Finance, sa filiale spécialisée en gestion de petites et moyennes valeurs. Ce fonds investit dans des entreprises européennes avec une prédilection pour les actions françaises dont la capitalisation est inférieure à 500 millions d’euros. Géré selon une approche « stock picking », les gérants sélectionnent des titres présentant un potentiel de croissance élevé et des caractéristiques de valorisation attractive, sans restriction en termes de secteurs d’activité, indique un communiqué.Caractéristiques :Tocqueville PME PCode ISIN : FR0011608421Minimum de souscription initiale : 10 euros Minimum de souscription ultérieure : 1/10000 de partFrais de souscription : 2,50 %Frais de gestion maximum : 2,392%Actions des pays de la zone euro Indice de comparaison : CAC Small dividendes nets réinvestis
OFI Infravia, la filiale du groupe OFI dédiée au secteur des infrastructures vient d’annoncer le recrutement de trois personnes supplémentaires lui permettant d'être «en ligne avec la croissance de son activité», indique un communiqué. Audrey Bouctot a rejoint en avril 2014 la société en tant qu’asset manager. Auparavant, elle a occupé différentes fonctions de contrôleur financier, directeur de projet, suivi de participations, etc, pour des leaders européens de l’énergie et des infrastructures tels que Schneider Electric, Faurecia, Areva T&D / Alstom grid et EDF.D’autre part, Athanasios Zoulovits a rejoint OFI InfraVia en décembre 2013 en tant que directeur d’investissement après huit ans d’expérience en investissement et banque d’investissement dans les secteurs de l'énergie et des infrastructures. Entre 2007 et 2012, il a travaillé au sein de l'équipe Principal Investments de la Société Générale à Londres avec une spécialisation sur le secteur des infrastructures et des actifs réels en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Cette expérience lui a permis de développer des compétences en structuration, financement et exécution d’acquisition, et de participer à l’origination de transactions propriétaires, notamment dans les secteurs de l'énergie, du transport et des infrastructures sociales. En 2013, avec des collaborateurs de l'équipe Principal Investments de la Société Générale, il a intégré Access Capital Partners à Londres pour développer l’activité d’investissement en infrastructures. Enfin, Romain Le Mélinaidre a rejoint OFI InfraVia en octobre 2013 en tant que chargé d’investissement. Auparavant, il travaillait depuis 2010 au sein des équipes Corporate Finance de la Société Générale CIB à Paris et participait à des missions de conseil pour des projets d’acquisition et de cession impliquant des actifs d’infrastructure et d'énergie (aéroports, réseaux de gaz et d'électricité).
Natixis a publié ses comptes pour le 1er trimestre 2014, qui affichent une progression des revenus du pôle Epargne, de 18% comparé au 1er trimestre 2013, à 647 millions d’euros. Le produit net bancaire de la gestion d’actifs progresse de 18% par rapport au 1er trimestre de l’année dernière, à 488 millions d’euros, et le résultat brut d’exploitation est en hausse de 25% sur la même période, pour s’établir à 121 millions d’euros. Les encours sous gestion atteignent 653 milliards d’euros au 31 mars 2014 (dont 317 milliards d’euros aux Etats-Unis et 325 milliards en Europe), comparé à un niveau de 629 milliards au 31 décembre 2013.La progression est due à l’effet d’une collecte nette de 8,6 milliards, d’un effet de change et périmètre de 4,3 milliards, et d’un effet marché de 10,8 milliards. « La collecte du 1er trimestre 2014 provient quasi exclusivement de la plateforme de distribution internationale, dont 6 milliards sur l’activité retail US », précise Natixis. Dans l’activité d’assurance-vie, le chiffre d’affaires du premier trimestre de cette année est en croissance de 8% comparé à la période équivalente douze mois plus tôt, à 1 milliard d’euros. La collecte nette est de 0,4 milliard sur le trimestre, une progression de 44% par rapport à la même période de l’année précédente. Les encours gérés au 31 mars 2014 sont en hausse de 5% sur un an, à 40,2 Md€. Pour sa part, le PNB de la Banque privée enregistre une croissance de 11% par rapport au premier trimestre 2013, à 31 M€. Les actifs gérés progressent de 9% sur un an, à 23,2 milliards d’euros. La collecte nette, de 0,4 milliard sur le premier trimestre, est générée avec les réseaux Banque Populaire et Caisse d’Epargne et les activités à l’international.Le PNB de Natixis est en hausse de 3% comparé au premier trimestre 2013, à 1 857 millions d’euros, indique la banque en précisant que ses métiers coeurs enregistré une progression de 7% de leurs revenus sur la même période. Enfin, le résultat avant impôt, en hausse de 31%, ressort à 177 millions d’euros », indique un communiqué.
Début d’année timide pour la gestion d’actifs d’Axa. Lors du premier trimestre, cette activité a en effet enregistré une baisse de 6% de son chiffre d’affaires pour s’établir à 777 millions d’euros, contre 827 millions d’euros au premier trimestre 2013. Dans le détail, Axa IM a réalisé un chiffre d’affaires de 276 millions d’euros à fin mars, en baisse de 13 % par rapport aux 317 millions d’euros enregistrés au premier trimestre 2013. Pour sa part, AllianceBernstein affiche 501 millions d’euros de revenus au premier trimestre 2014 contre 511 millions d’euros un an plus tôt, soit un recul de 2%.Au cours des trois premiers mois de l’année, le pôle de gestion d’actifs d’Axa a engrangé 1,5 milliard d’euros de collecte nette, bien loin cependant des 8,4 milliards d’euros de souscriptions nettes enregistrées au premier trimestre 2013. De fait, les deux filiales d’Axa ont connu des fortunes diverses. Ainsi, si Axa IM affiche une collecte nette de 4,8 milliards d’euros, AllianceBernstein accuse, en revanche, une décollecte nette de 3,3 milliards d’euros. « Axa IM a bénéficié d’une collecte nette importante sur les produits obligataires, tandis qu’AllianceBernstein a connu une décollecte nette limitée due à la perte de deux contrats institutionnels significatifs, en partie compensée par une collecte nette en gestion privée », explique Axa dans un communiqué. A fin mars, les encours du pôle gestion d’actifs d’Axa s’établissent à 910 milliards d’euros, soit une progression de 1,9% par rapport au 31 décembre 2013 (893 milliards d’euros). A l’issue du premier trimestre, Axa IM affiche 562 milliards d’euros d’actifs sous gestion, en hausse de 2,7 % par rapport à fin 2013 (547 milliards d’euros), tandis qu’AllianceBernstein gère 348 milliards d’euros d’encours, stable par rapport à fin 2013 (346 milliards d’euros).Sur l’ensemble de ce premier trimestre, le groupe Axa accuse un repli de 1% de son chiffre d’affaires à 28,5 milliards d’euros contre 28,9 milliards d’euros au premier trimestre 2013.
With EUR160bn in assets under management, Pascal Christory, chief investment officer at Axa France, has made the quest for returns the leitmotif for his teams. In order to achieve that, the insurer wants to accelerate its development in lending to businesses and infrastructure debt, whose proportion of investments is expected to rise from 1.5% to 4% in the next three years.
One investor in three has a smart beta allocation, and nearly 90% of them with more than USD10bn in assets under management have already evaluated this approach or are planning to do so within the next 18 months, according to a study conducted early this year by Russell Indexes of institutional investors on both sides of the Atlantic. But the strongest peneration rate is in Europe. Smart beta has been adopted by 40% of investors in Europe, while the rate is only 24% in North America. Only 15% of European investors rule out evaluating smart beta in the next 18 months, while three quarters of them (76%) are planning an allocation. On both sides of the Atlantic, asset managers, who are considered a neutral partner in the evaluation process, represent the main source of credible information on smart beta strategies. However, US instiututionals also form an opinion of their pairs as well as the index providers. The attraction of smart beta is primarily driven by a desire to reduce risk and to improve returns, rather than a desire to eliminate cost. The two best-used strategies are fundamental indices and low volatility. But fundamental index strategies are mostly used in the United States and the United Kingdom, while continental Europe and Canada prefer low volatility strategies. Risk parity and momentum strategies, which are used by 17% and 25% of US investors, respectively, are used by only 8% of Europeans in both cases. In other words, smart beta is now manifestly one of the strategies that is used on both sides of the Atlantic, but with marked differences in the appreciation and use of this approach. This may be because investors are not yet fully unanimous about the definition of smart beta, which is considered similar to “alternative means to construct market exposure” such as minimum variance, fundamental weighting, maximal diversification. The term smart beta is used only by one investor in three in Europe, while their US counterparts prefer the term “alternatively weighted indexes.”
Tom Valverde has joined the US asset management firm Fidelity Investments as senior vice president in charge of sales and client relationship management, Mutual Fund Wire.com reports. According to his LinkedIn profile, he joined the company in April this year, after spending six years at Pershing Advisor Solutions as managing director and chief development officer for the activity and client relationships. In fact this is a return to Valverde’s roots, as between 1998 and 2008 he worked to Fidelity Investments as vice president in charge of institutional sales.
Début d’année timide pour la gestion d’actifs d’Axa. Lors du premier trimestre, cette activité a en effet enregistré une baisse de 6% de son chiffre d’affaires pour s’établir à 777 millions d’euros, contre 827 millions d’euros au premier trimestre 2013. Au cours des trois premiers mois de l’année, le pôle de gestion d’actifs d’Axa a engrangé 1,5 milliard d’euros de collecte nette, bien loin cependant des 8,4 milliards d’euros de souscriptions nettes enregistrées au premier trimestre 2013. Axa IM affiche une collecte nette de 4,8 milliards d’euros mais AllianceBernstein accuse, en revanche, une décollecte nette de 3,3 milliards d’euros. A fin mars, les encours du pôle gestion d’actifs d’Axa s’établissent à 910 milliards d’euros, soit une progression de 1,9% par rapport au 31 décembre 2013 (893 milliards d’euros).
Natixis a publié ses comptes pour le 1er trimestre 2014, qui fait état d’une progression des revenus du pôle Epargne, de 18% comparé au 1er trimestre 2013, à 647 millions d’euros. Le produit net bancaire de la gestion d’actifs progresse de 18% par rapport au 1er trimestre de l’année dernière, à 488 millions d’euros, et le résultat brut d’exploitation est en hausse de 25% sur la même période, pour s’établir à 121 millions d’euros. Les encours sous gestion atteignent 653 milliards d’euros au 31 mars 2014 (dont 317 milliards d’euros aux Etats-Unis et 325 milliards en Europe), comparé à un niveau de 629 milliards au 31 décembre 2013.La progression est due à l’effet d’une collecte nette de 8,6 milliards, d’un effet de change et périmètre de 4,3 milliards, et d’un effet marché de 10,8 milliards. « La collecte du 1er trimestre 2014 provient quasi exclusivement de la plateforme de distribution internationale, dont 6 milliards sur l’activité retail US », précise Natixis.
A financial transaction tax (FTT) will be created in Europe on 1 January 2016 at the latest, and will initially include equities and some derivative products, Austrian finance minister Michael Spindelegger announced in Brussels on 6 May. The minister announced that a consensus had been found on this point between countries which are participating in this increased cooperation, including Germany, France, Italy and Spain, but not the United Kingdom, where the largest financial market in Europe is. “We have reached agreement on the point that this will be a staged approach, starting with equities and certain derivatives” the minister said at a press conference with his colleagues from the 28 EU countries. “The first step in this harmonized FTT is expected to be applied by 1 January 2016 at the latest,” he added. Spindelegger promised that the implementation of the tax would “take into account the concerns” of non-participating countries, but his announcement immediately provoked outcried from the two main opponents of the plans, George Osborne of Britain and Anders Borg of Sweden. “If [this tax] has an impact on other European economies, they have a right to contest it, and we are going to do that,” Osborne said. “There has not been any political consultation .. nor technical work on the impact on non-participating countries,” Borg said, calling the tax “very inefficient and costly” on arrival at the meeting.
L’Autorité européenne des marchés financiers a indiqué avoir approuvé l’enregistrement de la polonaise EuroRating en tant qu’agence de notation crédit (CRA, Credit rating agency). Il s’agit du premier enregistrement par l’Esma depuis juillet 2013. L’autorité est désormais responsable de la supervision de 23 agences enregistrées (ainsi que de 2 agences certifiées).
La filiale de la Société Générale a enregistré une collecte nette de 2,6 milliards d’euros au premier trimestre 2014, portée en particulier par les fonds indiciels (ETF). S’appuyant également sur un effet marché positif d’1 milliard d’euros, les encours de la société de gestion spécialisée (ETF, gestion alternative, gestion structurée et gestion quantitative) ont progressé de 5% par rapport au quatrième trimestre 2013, à 84 milliards d’euros. En revanche, les revenus sont en retrait de 3,4%, à 48 millions d’euros. La Société Générale publiait ce matin ses comptes trimestriels, marqués par la dépréciation de ses activitités russes.
Les crédits aux entreprises non financières ont accusé une quasi stagnation en mars en France avec un taux de progression annuel limité à 0,1%, après des croissances de 0,5% en février et de 0,3% en janvier, selon les données brutes publiées hier par la Banque de France. Si les crédits à l’investissement se sont biens tenus (+2,7% après +2,6% en février et +2,3% en janvier), la contraction des crédits de trésorerie s’est accentuée : -5,8%, soit la baisse la plus forte depuis octobre 2013, après -4,7% en février et -4,5% en janvier.
L’agence de notation a placé sous revue la note de Deutsche Bank dans la perspective d’une possible dégradation. Celle-ci serait limitée à un cran. L’agence évoque la dégradation de la profitabilité de la banque allemande au premier trimestre 2014. Moody’s, qui note à A2 la dette long terme de Deutsche Bank, concentrera son analyse sur les réductions de coût, le renforcement des fonds propres et les cessions d’actifs non stratégiques de la banque.
Union Bancaire Privée (UBP) vient de lancer une nouvelle stratégie jouant la reprise économique dans les pays périphérique du Vieux Continent. Cette stratégie est matérialisée à travers un nouveau fonds, baptisé UBAM European Opportunities Fund. Le fonds investira dans un portefeuille concentré de 25 à 40 valeurs avec un biais sur les entreprises de taille moyenne.