La société de gestion américaine SEI a annoncé le lancement de deux nouveaux fonds institutionnels qui intègrent les directives d’investissement de la conférence des évêques catholiques des Etats-Unis (USCCB). L’objectif de ces fonds, le Catholic Values Equity Fund et le Catholic Values Fixed Income Fund, est de fournir aux institutions catholiques des produits multi-manager de haute qualité qui respectent leurs valeurs sans pour autant renoncer au potentiel de rendement ou à la diversification. SEI a déjà plus d’une dizaine d’années d’expérience dans l’investissement socialement responsable. Les actifs gérés en fonction d’une grille responsable s'élèvent actuellement à plus de 18 milliards de dollars. A fin mars 2015, SEI gère ou administre 648 milliards de dollars investis dans des mutual funds ou des actifs ségrégés, dont 258 milliards de dollars d’actifs sous gestion.
La Grèce a versé 200 millions d’euros qui étaient dus ce mercredi au Fonds monétaire international (FMI) et qui correspondaient à des paiements d’intérêts, a déclaré un responsable grec à Reuters. «C’est fait, l’argent est en voie de transfert», a dit ce responsable ayant requis l’anonymat. L’obstacle pourrait être plus difficile à franchir en ce qui concerne un remboursement de 750 millions d’euros au FMI attendu le 12 mai. Le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) devrait par ailleurs décider ce mercredi de relever le plafond du mécanisme de fourniture de liquidité d’urgence (ELA) aux banques grecques, selon des sources proches.
RWC Partners, une boutique de gestion contrôlée à 49% par Schroders, a recruté une équipe composée de 24 gérants en provenance du gestionnaire de hedge funds Everest Capital, a appris l’hebdomadaire financier. L’opération devrait permettre à RWC Partners, qui gère déjà 10 milliards de dollars, d’adjoindre 1,2 milliard de dollars d’encours.
Le rythme de croissance du secteur des services aux Etats-Unis s’est ralenti en avril, montrent les résultats définitifs de Markit publiés hier. L’indice PMI est ressorti à 57,4, inférieur à une première estimation à 57,8, après un chiffre définitif de 59,2 en mars. La composante de l’emploi dans les services, estimée à 55,4, a finalement progressé à 55. Ce niveau représente néanmoins un pic de 10 mois.
Le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre la détérioration de la situation financière de la Grèce sans toutefois prôner un nouvel effacement partiel de la dette grecque, a déclaré hier le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, devant l’association de la presse étrangère à Berlin. Il réagissait à un article du Financial Times en ce sens.
Le groupe Crédit Agricole SA, porté au premier trimestre par CA CIB et Amundi, voit ses revenus se contracter dans la banque de détail en France malgré une hausse des encours.
Les encours des organismes de placement collectif ont progressé de 3% à 1349 milliards d’euros (hors organismes de titrisation). Et le nombre des sociétés de gestion de portefeuille est passé de 613 à 634, avec 48 nouvelles sociétés de gestion agréées par l’AMF sur l’année (soit 23 % de plus qu’en 2013).
L’IRCEM a pour principale problématique l’optimisation de la gestion de sa trésorerie à court terme. « Nous songeons à nous diriger vers des obligations de court terme, au détriment des placements classiques de trésorerie, a indiqué Jean-Charles Grollemund, directeur général de l’institution, à la rédaction d’Instit Invest. Il y a peu d’opportunités actuellement, mais nous avons constaté la bonne tenue des convertibles. Jusqu’à présent, nous en détenons très peu dans notre portefeuille. » La part des obligations convertibles pourrait donc augmenter. Par ailleurs, une autre conviction du groupe paritaire de protection sociale est d’augmenter, sur l’ensemble du portefeuille, les placements ISR. « Nous avons l’objectif de devenir, à moyen terme, 100% ISR, révèle Jean-Charles Grollemund. Pour l’instant les placements ISR représentent un bon quart de notre allocation d’actions et d’obligations ».
Le rythme de croissance du secteur des services aux Etats-Unis s’est ralenti en avril après avoir atteint en mars un pic de sept mois, montrent les résultats définitifs de l’enquête Markit publiés mardi. L’indice PMI des directeurs d’achat est ressorti à 57,4, inférieur à une première estimation à 57,8, après un chiffre définitif de 59,2 le mois précédent. La composante de l’emploi dans les services, annoncée à 55,4 en première estimation, a finalement progressé à 55,0, un pic de 10 mois, après 54,0 en mars. Le secteur des services «laisse présager une économie croissant au rythme annualisé de 3% au deuxième trimestre, soit un joli rebond sur le creux du premier trimestre», précise Chris Williamson, chef économiste de Markit.
Les marchés obligataires souverains ont connu une nouvelle poussée de fièvre mardi, avec une tension généralisée des rendements. Alors que le Bund et l’OAT 10 ans prenaient respectivement 10 et 7 pb en fin de journée, à 0,82% et 0,52%, les taux longs italiens, espagnols et portugais s'écartaient de 30 pb. Les Gilts britanniques à 10 ans se sont aussi écartés de 14 pb, à 1,98%, à l’approche des élections générales du 7 mai.
Pour la première fois depuis le début de l’année, les ETF ont dominé les lancements de fonds en Italie en avril, rapporte Funds People Italia. Six des neuf nouveaux produits commercialisés dans la Péninsule sont des ETF. Cela inclut notamment les ETF UBS (LU) Barclays US Liquid Corporates 1–5 UCITS ETF (hedged to EUR) A-acc et SPDR Thomson Reuters Global Convertible Bond UCITS ETF. Parmi les fonds traditionnels, Amundi a lancé Amundi Multiasset 2020 et Amundi Accumulazione Flessibile TRE.
State Street Global Advisors a lancé à la Bourse de Milan le SPDR® Thomson Reuters Global Convertible Bond UCITS ETF, rapporte Bluerating. L’ETF, lancé en octobre dernier et déjà coté sur les Bourses allemande et britannique, réplique l’indice Thomson Reuters Qualified Global Convertible composé d’obligations convertibles d’émetteurs mondiaux libellées dans différentes devises.
AllianceBernstein a signé un accord de distribution de ses fonds en Italie avec CheBanca!, la banque retail du groupe Mediobanca. Les fonds AB domiciliés au Luxembourg seront ainsi disponibles sur la plate-forme de gestion d’actifs de la banque italienne. La gamme comprend des fonds actions monde, régionaux et sectoriels, couvrant l’ensemble du spectre risque/rendement, des solutions multi-classes d’actifs, alternatives Ucits et toute une gamme de produits obligataires, allant du court terme aux fonds monde à haut rendement.
La fête n’est pas forcément finie mais les marchés ont eu un parcours nettement plus heurté en avril. D’où des parcours et des résultats sensiblement différents au sein des différents mandats comparé aux mois précédents. Sur la zone euro où l’indice Eurostoxx recule de 1,30 %, seul le portefeuille de Candriam fait moins bien que la référence. Les quinze autres ne finissent pas pour autant dans le vert. Sept portefeuilles affichent une progression avec en tête, la gestion basée sur l’analyse fondamentale de Roche-Brune AM, NN IP et Invesco AM. Ces trois là font nettement mieux que la moyenne (-0,07 %) avec des hausses respectives de +2,19 % ; +1,40 % et + 1,12 %. Le marché actions Europe affiche, pour sa part, un comportement sensiblement différent dans la mesure où l’indice Stoxx 600 est en légère progression (+0,10 %). Il devance également sept sociétés de gestion sur 18. Les stocks pickers sont toujours les plus performants : Roche-Brune persiste et signe (+2,11 %) devant Petercam (+1,80 %) et Exane AM (+1,49 %). Ces trois gérants figurent parmi les onze portefeuilles en gain dont des « quants » comme Tobam (+1,19 %) ou celui d’Invesco AM de Martin Kolrep (+1,15 %)… La confrontation entre les quantitatifs et les purs stock pickers s’est également déroulée sur le terrain de l’ISR. Mais cette fois, Tobam (+2,98 %) a pris la tête devant Roche-Brune (+2,25 %) et Theam (+1,25 %). En dernière position, Ecofi Investissements a enregistré une perte de 1,66 %. La société de gestion pourra néanmoins se consoler en affichant le critère ESG la plus élevé de l’ensemble (75) y compris lorsque les critères sont pris un par un (« E », « S » et « G »). Au sein du mandat actions « Global Equities » ,ni l’indice de référence, ni les portefeuilles ne s’affiche en gain. Le Stoxx 1800 perd 1,86 %, battu par six portefeuilles sur onze. Cela dit, Ecofi a été le plus résistant de l’ensemble avec une perte de 1,02 % devant Tobam (-1,12 %) et Roche-Brune (-1,36 %). A l’autre bout du spectre un quant s’affiche en dernière position avec une baisse sensible (-4,29 %) devant un autre quant, Theam (-2,77 %).Enfin, en matière d’activité, on notera que c’est sur le mandat Europe que les gérants ont été les plus actifs en avril. Par ailleurs, dans l’ensemble des catégories, le secteur des banques reste nettement sous-pondéré, (de -3% à -6%). En outre,on constate des repondérations «pays» au profit de l’Italie (mandat Euro) et de la Suisse (mandat Global) Enfin, dans le mandat Global , trois surpondérations notables ont été réalisées dans le secteur de la santé : Mylan (+0.44%), CVS Health (+0.40%) et Roche Holdings (+0.31%), indique amLeague.
Les activités de gestion de fortune d’UBS ont dégagé au premier trimestre le bénéfice combiné le plus élevé depuis 2008 et une collecte nette de 19 milliards de francs suisses. «Elles affichent d’importants progrès dans leurs initiatives stratégiques visant à accroître l’attribution de prêts et à augmenter les ventes de mandats», souligne un communiqué publié ce matin. La division Wealth Management a réalisé un bénéfice corrigé avant impôts de 856 millions de francs suisses, soit son meilleur résultat trimestriel depuis 2008. Ce chiffre inclut une hausse du produit d’exploitation qui s’explique essentiellement par une augmentation des revenus issus des transactions. La collecte nette s’est élevée à 14,4 milliards de francs suisses, avec des flux de première qualité provenant de toutes les régions, d’Asie Pacifique et, fait notable, tant des activités domestiques qu’internationales en Europe. Les actifs investis reculent néanmoins à 970 milliards de francs suisses contre 987 milliards de francs à fin décembre 2014 en raison de l’impact de l’appréciation du franc suisse. La division Wealth Management Americas a enregistré une nouvelle performance trimestrielle record avec un bénéfice corrigé avant impôts de 293 millions de dollars, contre 233 millions de dollars au quatrième trimestre 2014, reflétant le recul des charges d’exploitation. La productivité des conseillers financiers a atteint une position de leader dans le secteur. La collecte nette s’est élevée à 4,8 milliards de dollars reflétant des afflux nets provenant des conseillers financiers employés par UBS depuis plus d’un an. Les actifs investis ont atteint le niveau record de 1.050 milliards de dollars à fin mars contre 1.032 milliards de dollars à fin décembre. La division Global Asset Management a réalisé un bénéfice corrigé avant impôts de 186 millions de francs suisses, soit son meilleur résultat trimestriel depuis 2009. Le produit d’exploitation a progressé, principalement grâce aux solides commissions de performance d’O’Connor et A&Q. Les charges d’exploitation ont reculé, reflétant essentiellement la baisse des charges pour provisions pour litiges, questions réglementaires et similaires. Hors flux en rapport avec les placements monétaires, la collecte nette s’est élevée à 7,5 milliards de francs suisses, incluant 5,1 milliards de francs suisses d’afflux nets provenant des clients des activités de gestion de fortune, principalement dans des produits alternatifs, fonds multi-actifs et actions. Le bénéfice net du groupe au premier trimestre affiche une hausse de 87,6% à 1,97 milliard de francs suisses. Outre les solides performances enregistrées dans toutes ses activités, le groupe suisse indique avoir réduit ses provisions pour litiges à 2,7 milliards de francs suisses au premier trimestre, contre 3,1 milliards de francs à fin 2014. UBS poursuit les négociations avec les autorités compétentes pour résoudre les nombreux litiges en cours, notamment concernant les accusations d'évasion fiscale en France et de manipulations des cours de change aux Etats-Unis, indique la banque dans son communiqué.
Les actifs sous gestion de la Banque cantonale de Lucerne (LUKB) ont progressé au premier trimestre de 1% ou 273 millions de francs suisses pour s'établir à 26,4 milliards de francs suisses à fin mars, selon un communiqué publié le 5 mai. La collecte nette s’est élevée à 253 millions de francs suisses.Le bénéfice net de la banque cantonale s’est inscrit en repli de 2,1% sur un an à 46,1 millions de francs suisses. Le produit de la cession de la participation dans Swisscanto à la Banque cantonale de Zurich, pour 14,4 millions de francs, sera intégralement reversé sur les réserves pour risques bancaires généraux et n’aura de ce fait aucun impact sur la performance du groupe, précise le communiqué.
Le fonds immobilier durable de Raiffeisen Futura Immo Fonds prévoit une augmentation de capital avec droit de souscription de 50 millions de francs suisses. L’objectif est d’obtenir des moyens supplémentaires pour financer d’autres achats d’immeubles et des investissements en cours dans des projets de construction, a indiqué le 4 mai la banque coopérative dans un communiqué.Le prix d'émission se compose de la valeur d’inventaire au moment du bouclage en mars 2015 après la distribution. L’augmentation de capital est soumise à l'évolution du marché et pourrait être reportée si besoin, précise le communiqué de Raiffeisen. Les conditions définitives de l’augmentation de capital seront communiquées fin mai.Futura Immo Fonds investit dans toute la Suisse dans des immeubles existants et des projets de construction ou de rénovation durables. Il détient au moins 60% d’immeubles d’habitation.
JP Morgan Asset Management a fermé (hard-close) son fonds Europe Equity Absolute Alpha après une forte augmentation des encours, deux mois après que des mesures de ralentissement des souscriptions aient été mises en place, rapporte Citywire Global. La société de gestion avait fermé temporairement le fonds aux nouveaux investisseurs début février. Alors, les encours du fonds, lancé en décembre 2013, atteignaient 620 millions d’euros. Depuis, ils ont encore augmenté, pour atteindre 1,01 milliard d’euros. Le fonds a donc été officiellement fermé temporairement à tout investisseur le 29 avril.
Le hedge fund Citadel a recruté Edward O’Reilly en qualité de «managing director» au poste nouvellement créé de responsable mondial de la distribution et des relations investisseurs, rapporte le site Pensions & Investments, qui cite une porte-parole de la société de gestion. L’intéressé sera rattaché à Gerald A. Besson, directeur des opérations de Citadel. Edward O’Reilly avait quitté le hedge fund Capula Investment Management en décembre 2013 après y avoir travaillé pendant cinq ans en qualité d’associé («partner») et de responsable du développement pour le continent américain.
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock a nommé Simona Paravani-Mellinghoff au poste de responsable de l’équipe européenne en charge de l’activité «fiduciary mandate», rapporte Financial News. L’intéressée, qui officait précédemment en qualité de responsable de la recherche mondiale pour le pôle «Wealth Management» du groupe bancaire HSBC, remplace Richard Urwin qui a quitté la société de gestion et a pris sa retraite du secteur. Il dirigeait jusque-là une équipe qui pilotait 73 milliards de dollars d’actifs sous gestion.
Le groupe Berkshire Hathaway, propriété milliardaire américain Warren Buffett, a fait état pour le premier trimestre d’un bénéfice net de 5,16 milliards de dollars, en progression de 10% par rapport au premier trimestre 2014, selon un communiqué publié le 1er mai. Le chiffre d’affaires affiche une hausse de 7% à 48,6 milliards de dollars. La valeur de marché du groupe est estimée à environ 355 milliards de dollars. Des résultats plutôt satisfaisants qui ont au moins momentanément mis sous le boisseau les rumeurs selon lesquelles Warren Buffett serait sur le point de céder les rênes du groupe à l’un des candidats désignés en début d’année. Les deux candidats sont Ajit Jain, responsable principalement des activités d’assurance, et Gregory Abel, patron de Berkshire Hathaway Energy.
Les actifs sous gestion de Wisdom Tree ont dépassé désormais la barre des 60 milliards de dollars d’actifs sous gestion pour s'établir à 61,2 milliards de dollars, a indiqué le PDG de Wisdom Tree, Jonathan Steinberg, le 1er mai, à l’occasion de la publication des résultats trimestriels du fournisseur d’ETP. Au cours du seul premier trimestre, Wisdom Tree a enregistré une collecte nette record de 13,5 milliards de dollars aux Etats-Unis, ce qui a porté ses actifs sous gestion à 55,8 milliards de dollars, soit une progression de près de 42% par rapport à fin décembre 2014. En Europe, les actifs sous gestion s'élèvent à 334,6 millions de dollars, en hausse de 85% par rapport à fin décembre 2014 en raison d’une collecte nette de 174,2 millions de dollars liée à l’offre de Boost. Le bénéfice net de la société ressort à 12,1 millions de dollars au titre du premier trimestre contre 9,6 millions de dollars au quatrième trimestre 2014.
Legg Mason a connu un exercice 2014/2015 en demi-teinte. A l’occasion de la publication des résultats de son exercice fiscal 2014/2015 clos au 31 mars 2015, le gestionnaire d’actifs américain a en effet annoncé que ses actifs sous gestion se sont établis à 702,7 milliards de dollars à fin mars 2015, en baisse de 1% par rapport au 31 décembre 2014 (709,1 milliards de dollars d’encours) et stable par rapport au 31 mars 2014 (701,8 milliards de dollars d’encours). La faute à une fin d’année très délicate sur le plan commercial. De fait, au cours de son dernier trimestre, Legg Mason a subi une décollecte nette de 9,1 milliards de dollars. Dans le détail, au cours des trois derniers mois de son exercice fiscal, les produits de liquidité ont enregistré une décollecte nette de 15,3 milliards d’euros qui n’a pu être compensée ni par la collecte nette de 6,2 milliards de dollars sur les produits de long terme ni par l’effet marché positif de 2,7 milliards de dollars.Sur l’ensemble de l’exercice fiscal 2014/2015, Legg Mason accuse une décollecte nette de 5,7 milliards de dollars – après une collecte nette de 8,3 milliards au cours de l’année précédente – avec 22,2 milliards de dollars de sorties nettes sur les produits de liquidité et 16,5 milliards de dollars de souscriptions nettes sur les produits de long terme.Pourtant, malgré ce contexte délicat sur le front de la collecte, tous les indicateurs financiers sont au vert à l’issue de son dernier trimestre fiscal. Ainsi, Legg Mason a dégagé un résultat net trimestriel de 83 millions de dollars contre 68,9 millions de dollars au quatrième trimestre de l’année précédente, soit une hausse de 20,5%. Ses revenus atteignent 702,3 millions de dollars à la fin de son quatrième trimestre, en hausse de 3,1% par rapport sur un an. Las, sur l’ensemble de son exercice fiscal 2014/2015, la situation est un peu moins flatteuse. Ainsi, son bénéfice net annuel s’établit à 237,1 millions de dollars contre 284,8 millions de dollars l’année précédente, soit une chute de 16,8%. La faute à une charge avant impôt de 107,1 millions de dollars liée au refinancement de sa dette. Ses revenus annuels progressent cependant de 3% pour atteindre 2,8 milliards de dollars fin mars 2015 contre 2,74 milliards de dollars fin mars 2014.