L’indice de référence des fonds Ucits alternatifs, le Ucits Alternative Index Blue Chip, affiche une progression de 2,83% depuis le début de l’année jusqu'à la date du 27 mai, selon les derniers chiffres communiqués par Hedgeanalytics. Toutes les composantes de l’indice sont bien orientées à l’exception notable de l’indice des matières premières (UAIX Commodities) qui accuse un repli de 2,49% depuis le début de l’année. Les meilleurs performances sont à mettre au compte des stratégies CTA, qui affichent un gain de 5,16%, et des stratégies marchés émergents, qui font encore mieux avec une avance de 7,64%.
Totalement dédiée au mandat Multi Asset Class, l’émission consacrée à amLeague sur Newsmanagers TV a été l’occasion pour Mathieu Pivovard, responsable de la gestion diversifiée Institutionnelle France chez Allianz GI, et Alexis Bienvenu, gérant chez Primonial AM, d’exposer les grandes caractéristiques de leurs allocations ainsi que leurs convictions sur la tenue des différentes classes d’actifs dans lesquelles ils investissent. Avec un premier constat établi par Vincent Zeller, responsable partenaires de la plateforme : en dépit de performances à deux chiffres relativement proches depuis le début de l’année, les deux gérants affichent des différences de gestion et de composition assez nettes. Dans le cadre de la poche obligataire tout d’abord. Dans un contexte tourmenté en avril, avec une remontée des taux sensible, ces titres occupent chez Allianz GI 30 % du portefeuille. Mais la gestion s’est écartée des produits obligataires de la zone euro « jugés risqués ». Chez Primonial, le poids des obligations est plus important, mais très peu de souverains y figurent. Le cas échéant, les titres affichent des durations faibles les insensibilisant à la remontée constatée le mois dernier. « En revanche, nous avons beaucoup d’obligations à haut rendement ‘américains et européens , nettement moins sensibles à la hausse », a confirmé Alexis Bienvenu. A l’évocation d’une éventuelle remontée des taux de la Fed, Mathieu Pivovard, qui envisage cette remontée en milieu du second semestre, mise sur un effet limité de ce côté-ci de l’Atlantique en raison de la protection offerte par les récentes décisions de la Banque centrale européenne. Et sur les marchés d’actions ? « Si les taux remontent, cela traduira une amélioration de l’économie et les marchés d’actions doivent en profiter après un mois d’avril également en demi teinte du fait de prises de bénéfices », a estimé le gérant de Primonial, dont le portefeuille contient une part actions proche de celui d’Allianz GI - de l’ordre de 53 %. Cela dit, des différences sont sensibles dans sa composition. Chez AllianzGI, le secteur des « commodities » pèse pour 11 % tandis que ce secteur est absent du portefeuille de Primonial. Mathieu Pivovard justifie la présence de ce secteur comme celui de l’or – qui représente 6 % du portefeuille - par une gestion de long terme et par une diversification, alors que l’incertitude géopolitique et économique est élevée. Certes, le prix de cette stratégie a été important ces derniers mois compte tenu de la hausse des marchés d’actions. Pour autant, selon Mathieu Pivovard, « cela fait partie des aléas d’une stratégie à long terme qui seront effacés par d’autres stratégies mises en place, notamment actions ». Avec le ralentissement chinois, l’inflation basse, Primonial, de son côté, ne croit pas à cette stratégie et s’en tient à l’écart. Tout en se disant ouvert à une révision de sa politique si l’inflation se mettait à remonter, aux Etats-Unis par exemple. Quant à l’or, il est aussi absent de son portefeuille car jugé inadapté à la situation si les taux remontent sans inflation et sans crise géopolitique majeure ou systémique. Reste à caractériser la gestion de chacun de ces deux professionnels. Chez Primonial, elle est qualifiée de flexible avec des ajustements de portefeuille, tandis que chez AllianGI, où le long terme reste la donne, le taux de rotation du portefeuille est faible. Enfin, au terme de l’émission, Vincent Zeller est revenu sur le comportement des gérants au sein des deux mandats euro et Europe d’amLeague, et plus précisément sur la capacité de chacun à créer de l’alpha. A ce jeu, il ressort qu’en 2013 l’alpha moyen avait été de 2 points de pourcentage. L’année suivante, l’alpha avait été nul. « En revanche, pour cette année, l’alpha annualisé est déjà de 6 points de pourcentage », a relevé Vincent Zeller, donnant à la gestion active un motif de satisfaction évident... Pour lire la vidéo, cliquez sur le lien suivant : http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/lesgerantssexpliquent.aspx?id=1167
La société de capital investissement Samena Capital, basée à Dubai, prend une participation significative dans Kleinwort Benson Bank, la banque privée basée au Royaume-Uni de Kleinwort Benson. La transaction devrait être bouclée au troisième trimestre 2015. Samena Capital, qui investit notamment dans le sous-continent, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (la région SAMENA), est à la tête d’un portefeuille de quelque 750 millions de dollars. Les actifs sous gestion de Kleinwort Benson Bank s'élèvent à 3,4 milliards de livres.
A l’occasion de la publication de ses résultats portant sur son premier semestre fiscal clos au 31 mars 2015, le gestionnaire de fortune britannique Brewin Dolphin a fait état d’une croissance de 9,2% de ses actifs sous gestion. De fait, les encours de ses fonds discrétionnaires s’élèvent à 26,2 milliards de livres au 31 mars 2015 contre 24 milliards de livres à la fin de l’exercice 2014. Au cours des six mois écoulés, le groupe anglais a enregistré une collecte nette de 700 millions de livres. Au 31 mars 2015, son chiffre d’affaires atteint 148,4 millions de livres, en hausse de 1% par rapport au premier semestre 2014. Son bénéfice avant impôt s’établit à 37,9 millions de livres, en progression de 72% sur un an. Enfin, son résultat net ressort à 30,1 millions de livres au 31 mars 2015 contre 18,1 millions de livres au 31 mars 2014, soit un bond en avant de 66% sur un an.
WisdomTree Europe, an exchange traded fund (ETF) and exchange traded product (ETP) sponsor, has announced the company surpassed USD500 million in assets under management. “I am encouraged by the strong execution across our growing operations, product development, distribution, research and capital markets efforts which have raised a total of USD548 million (as of 25 May 2015) in assets today, since the formation of WisdomTree Europe last April, when our AUM was USD97m,” said Nik Bienkowski, co-CEO of WisdomTree Europe. Since its formation in April 2014, WisdomTree Europe has launched the WisdomTree UCITS ETF smart beta family across the United Kingdom, Italy, Germany and Switzerland.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The benchmark index for UCITS hedge funds, the Ucits Alternative Index Blue Chip, has posted growth of 2.83% since the beginning of the year, up to 27 May, according to Hedgeweek. All components of the index are positively oriented, with the notable exception of the UAIX Commodities index, which is down 2.49% since the beginning of the year. The best returns were for CTA strategies, which ae up 5.16%, and for emerging market startegies, which have done even better, with gains of 7.64%.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } UBS Global Asset Management has recruited Marco Doglio has head of its Global Real Estate real estate division in Italy. Doglio, who will report to Tilman Hickl, head of Global Real Estate Europe outside Switzerland, joins the firm from Fabrica SGR, where he had been deputy director and CEO. Paolo Zappacosta also joins the Italian team as head of business management & products. He also previously worked at Fabrica SGR. The team also telcomes Giacomo Cristofori as director of development, Matteo Serra as senior product development analyst, and Nicola Franceschini as a research analyst. The Italian team at GRE will also rely on the contribution of Barbara Zotti, who joined UBS last year as business manager and director of products. GRE will continue to rely on Gaetano Lepore. He will be responsible for investment management on the new platform.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The US asset management firm TCW has recruited Brian Ford as senior vice president in its marketing team dediated to institutional investors. Ford is responsible for managing relationships with institutional clients in the mid-Atlantic region of the United States. Before joining TCW, Ford worked as vice president for management of institutional accounts at Pimco, where he had been responsible for management of relationships with clients, fundraising, and development of new activities.
Le crédit aux entreprises et aux ménages a stagné en avril, contrairement aux attentes, après avoir progressé de 0,1% en mars, alors que la masse monétaire augmentait plus que prévu, de 5,3% contre 4,6%, a annoncé la BCE. La faiblesse du crédit aux entreprises a freiné la reprise de l'économie de la zone euro même si la situation semblait s’améliorer et si les responsables européens, dont le président de la BCE, Mario Draghi, restent confiants dans la reprise.
L'économie italienne a enregistré une croissance de 0,3% au premier trimestre, par rapport au dernier trimestre 2014, suivant les données publiées vendredi par Istat. La croissance du PIB sur une base annuelle ressort à 0,1% durant le trimestre, chiffre susceptible d’alimenter l’espoir d’une reprise économique après trois années de récession dans la péninsule. La demande intérieure, les stocks et l’investissement ont apporté une contribution positive à la croissance, tandis que la consommation des ménages est restée faible. La demande nette de l'étranger a eu une contribution négative.
L'économie suisse s’est contractée au premier trimestre mais les solides dépenses des ménages ont amorti un tassement qui aurait pu être plus prononcé à l’issue du désarrimage du franc d’avec l’euro le 15 janvier. Le PIB suisse a diminué de 0,2% d’un trimestre sur l’autre après une croissance de 0,5% au dernier trimestre 2014. Les analystes interrogés par Reuters prévoyaient une contraction de 0,1%. L’abandon du plafond de 1,20 franc suisse par euro a eu de fortes répercussions sur les exportations suisses qui ont baissé de 1,3% en avril. Les commandes à l’industrie suisse ont elles diminué de 5,0% au premier trimestre.
La directrice générale du Fonds monétaire international reconnaît dans un entretien au Frankfurter Allgemeine Zeitung qu’une sortie de la Grèce de la zone euro est «une possibilité». Un «Grexit» ne serait pas facile, déclare-t-elle, mais cela ne signifierait pas la fin de la monnaie unique. «Il est très improbable» que la Grèce parvienne à un accord complet avec ses créanciers dans les prochains jours, ajoute encore Christine Lagarde.
L'économie espagnole a connu au premier trimestre sa croissance la plus soutenue depuis plus de sept ans. Le PIB a ainsi progressé de 0,9%, a annoncé l’INE, l’institut national de la statistique. En rythme annuel, la croissance a atteint 2,7%. En plus des conditions macroéconomiques globales favorables, la reprise de la consommation nationale a été un élément décisif dans cette reprise.
Les flux de capitaux vers les économies émergentes devraient reculer cette année à 981 milliards de dollars (902 milliards d’euros), leur plus bas niveau depuis 2009, contre 1.050 milliards en 2014, en raison d’une croissance décevante, de l’impact d’une possible remontée des taux aux Etats-Unis et d’un recul des investissements en Russie, a annoncé jeudi l’Institut de la finance internationale (IFF).
La médiatrice de l’UE a demandé au président de la BCE de lui fournir des explications sur la gestion par la banque centrale de sa communication aux marchés. Le 18 mai au soir, Benoît Coeuré, membre du directoire, avait annoncé dans un discours à des investisseurs privés la volonté de la BCE d’accroître le volume de ses achats d’actifs en mai et juin. La nouvelle n’avait été communiquée à l’ensemble du marché que le lendemain matin, avec un fort impact sur les taux et les changes.
Le gouvernement portugais a proposé jeudi de reconduire Carlos Costa au poste de gouverneur de la banque centrale pour un deuxième mandat. Carlos Costa, dont le mandat se termine en juin, avait été critiqué par l’opposition au Parlement pour sa gestion de la déconfiture de Banco Espirito Santo l’an dernier. Il avait pris ses fonctions en 2010 en succédant à Vitor Constâncio.
Une sortie de la Grèce de la zone euro («Grexit») ne provoquerait pas un retour à la crise de la dette de 2012, mais elle créerait des risques de contagion et changerait la nature de l’Union monétaire qui était destinée à être permanente, a déclaré jeudi à Reuters une analyste de Moody’s. Pour Kathrin Mühlbronner, l’impact d’une sortie de la Grèce serait atténué par le QE de la BCE.
Le Premier ministre britannique a invité jeudi ses homologues européens à être «souples et imaginatifs» pour mettre en œuvre la réforme de l’Union européenne qu’il souhaite voir avant un référendum sur le maintien du Royaume Uni dans l’UE d’ici fin 2017. David Cameron réclame notamment une modification des règles européennes sur les prestations sociales, pour endiguer ce qu’il qualifie de «tourisme social».
Olli Rehn, qui fut commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires au plus fort de la crise de la dette de la zone euro, a été nommé ministre des Affaires Economiques par la nouvelle coalition au pouvoir en Finlande. «Le gouvernement a deux tâches principales, l’un de rééquilibrer les finances publiques, l’autre de redynamiser une croissance durable», a-t-il déclaré.
Producteurs et distributeurs de fonds se sont réunis le 28 mai pour débattre des impacts de MIF 2 sur les évolutions produits à venir, lors des « Rencontres gestion d’actifs et innovation » organisées par Option Finance. Un double constat s’impose : la part de marché des ETF sur le segment retail va fortement croître, et les maisons de gestion doivent investir massivement sur le marketing pour survivre au rétrécissement de l’architecture ouverte.
L’Ombudsman de l’Union européenne a demandé à Mario Draghi, président de la BCE, de lui fournir des explications sur la gestion par la banque centrale de sa communication aux marchés. Le 18 mai au soir, Benoît Coeuré, membre du directoire, avait annoncé dans un discours à des investisseurs privés la volonté de la BCE d’accroître le volume de ses achats d’actifs en mai et juin. La nouvelle n’avait été communiquée à l’ensemble du marché que le lendemain matin, avec un fort impact sur les taux et les changes. La BCE avait attribué cette défaillance à «une erreur de procédure interne».
L’Union européenne a conclu jeudi un accord fixant les détails du plan d’investissement de 315 milliards d’euros destiné à soutenir la croissance en Europe sur la période 2015 à 2017, qui ouvre la voie à un premier déblocage de fonds à l’automne. L’accord sera mis aux voix au Parlement européen le 24 juin, avant un sommet européen prévu les 25 et 26 juin. Le plan Juncker sera financé à travers un nouveau véhicule, le Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS), qui bénéficiera d’une garantie pouvant aller jusqu'à 8 milliards d’euros du budget européen sur les trois prochaines années.
Les flux de capitaux vers les économies émergentes devraient reculer cette année à 981 milliards de dollars (902 milliards d’euros), leur plus bas niveau depuis 2009, contre 1.050 milliards en 2014, en raison d’une croissance décevante, de l’impact d’une possible remontée des taux aux Etats-Unis et d’un recul des investissements en Russie, a annoncé jeudi l’Institut de la finance internationale (IFF).
Le gouvernement portugais a proposé jeudi de reconduire Carlos Costa au poste de gouverneur de la banque centrale pour un deuxième mandat. «Carlos Costa est la proposition du gouvernement», a déclaré le ministre à la Présidence, Luis Marques Guedes, au sortir d’un conseil des ministres, selon lequel «le gouvernement a une appréciation clairement positive du travail du gouverneur à la Banque du Portugal au cours des cinq dernières années.» Carlos Costa, dont le mandat se termine en juin, avait été critiqué par l’opposition au Parlement pour sa gestion de la déconfiture de Banco Espirito Santo l’an dernier. Il avait pris ses fonctions en 2010 en succédant à Vitor Constâncio, actuel vice-président de la Banque centrale européenne.
Selon la dernière étude du cabinet d’audit et de conseil PwC, intitulée «Bridging the gap», sept investisseurs institutionnels sur dix (70 %) – parmi les 60 qui ont été interrogés par PwC au plan mondial – affirment qu’ils refuseraient de participer à une levée de fonds de private equity ou à un co-investissement si ceux-ci présentaient un risque environnemental, social ou de gouvernance. Dans cette étude, PwC analyse l’attitude des investisseurs vis-à-vis de l’investissement responsable dans le secteur du private equity et, plus particulièrement, celle des commanditaires (limited partners, ou LPs, qui sont généralement des investisseurs institutionnels apportant un capital sous forme de private equity), par rapport aux questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). Pour 97 % des répondants, l’investissement responsable est appelé à prendre de l’importance au cours des deux prochaines années. L’obligation fiduciaire, le risque en termes d’image et les valeurs de l’investisseur en tant qu’entreprise sont cités comme les trois principales raisons d’opter pour un investissement responsable. «Les tendances internationales en termes de reporting, qu’elles soient réglementaires (Directive Européenne, Grenelle 2 en France), volontaires (GRI – Global Reporting Initiative, par exemple), ou issues des demandes d’agences de notation, poussent toutes à un reporting ciblé sur les enjeux matériels des entreprises et non à un reporting large ne prenant pas en compte les spécificités sectorielles. Ces tendances devraient progressivement être intégrées par les LPs dans leur approche des enjeux ESG», explique Sylvain Lambert, associé chez PwC et responsable du département Développement Durable. Autre enseignement de l'étude, 88 % des LPs interrogés estiment que la prise en compte des questions ESG contribue à augmenter la valeur financière des investissements : 83 % des LPs pensent qu’améliorer la gestion des facteurs ESG fait partie de leur obligation fiduciaire et 97 % des LPs évaluent l’approche ESG des sociétés de gestion dans lesquels ils investissent avant toute allocation de fonds. L'étude relève également que 71% des répondants affirment que leur allocation de fonds est désormais liée au fait que des conditions ESG sont remplies. Et 83 % se sont dotés d’une politique d’investissement responsable pour leurs investissements en private equity. Cependant, d’une manière générale, les LPs ne savent pas toujours quelles informations précises et pertinentes demander et redoutent le coût élevé associé au reporting. Certains avouent même qu’ils seraient en peine d’analyser de grands volumes d’informations ESG, à supposer qu’ils sachent lesquelles exiger et qu’ils arrivent à les obtenir. Mais la tendance est bien là et elle devrait s’accentuer compte tenu des avantages liés à la prise en compte des risques ESG. « Depuis la crise financière, les investisseurs sont plus surveillés que jamais en matière d’engagement et d’impact environnemental et social. Jamais les régulateurs, les décideurs, les ONG et l’opinion publique n’ont été aussi exigeants envers les investisseurs en matière de responsabilité et d’efficacité au-delà du simple rendement financier et cela n’est pas près de changer. Pour ces investisseurs, il est évident que le fait d’identifier les occasions d’améliorer la gestion des risques associés aux questions environnementales, sociales et de gouvernance ne peut que protéger leur placement et en accroître la valeur. D’autant qu’ils sont de plus en plus nombreux à constater l’impact qu’a sur la performance une prise en compte stratégique et pragmatique des questions», estime Emilie Bobin, senior manager chez PwC et responsable des activités ESG & Private Equity.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Asian arm of East Capital, East Capital Asia Ltd, has been granted an asset management license and a securities advising license from the Hong Kong regulator, the Hong Kong Securities and Futures Commission (SFC), Investment Europe reports. The Swedish asset management firm opened an office in Hong Kong in 2004. The local team is led by Karine Hirn, partner, who works with Adrian Pop and Dmitriy Vlasov.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Italian asset management group Azimut on Wednesday signed an agreement to acquire all capital in the Australian financial consulting firm Pride Advice, via its local affiliate AZ Next Generation Advisory (AZ NGA), for a total of EUR2.5m, The operation follows the recent acquisition of Eureka Whittaker Macnaught in Australia, and comes as pat of the strategy at AZ NGA to consolidate financial consulting firm which offer asset allocation services to local retail, high net worth and institutional investors. Pride was founded in 2003 by Brett Schatto, and has about EUR128m in assets under management for 1,700 clients. The Australian firm has 9 employees in its offices in Adelaide, and provides financial advising and asset allocation, retirement and insurnace advising, and strategic financial planning to its clients. Schatto, the current CEO, will continue to direct Pride. He has also been appointed as director of AZ NGA. AZ NGA was founded in November 2014, and is controlled by Azimut, which has over EUR34bn in assets under management.