Céréa Partenaire, qui cherche à investir dans les entreprises de l’agro-business, a annoncé ce 17 avril le premier closing de Céréa Dette II. Avec plus de 300 millions d’euros, le fonds dépasse la taille de son prédécesseur et atteint, dès le premier closing, son objectif de taille finale en moins de 7 mois de levée, souligne un communiqué. Son «hard cap» est maintenu à 350 millions d’euros afin de respecter son positionnement et le closing final est attendu prochainement.Les souscripteurs du fonds regroupent uniquement des institutionnels du type compagnies d’assurance, caisses de retraite, fonds de fonds et banques. Unigrain, sponsor de Céréa Partenaire, ainsi que la totalité des investisseurs d’origine, sont revenus dans le nouveau fonds. Céréa Dette II financera des opérations de transmission, de financement d’investissement ou de financement d’exploitation. Le fonds interviendra uniquement en dette senior sous forme de placement privé, crédit bancaire ou unitranche pour des montants compris généralement entre 10 et 60 millions d’euros en prise ferme.
La société de gestion Amplegest a annoncé, hier, le renforcement de son activité de gestion privée avec l’arrivée d’une nouvelle équipe composée d’Isabelle Dessal, Isabelle Fritsch et Christophe Lernould. Tous trois arrivent en provenance de la Banque Neuflize OBC, filiale du groupe ABN Amro, où ils travaillaient ensemble depuis plus de 8 ans au service de la clientèle privée. Dans le détail, Isabelle Dessal prend la direction du développement de la gestion privée et du family office. Pour sa part, Christophe Lernould prend la direction du pôle Flexible (170 millions d’euros sous gestion). Enfin, Isabelle Fritsch renforce l’équipe « middle office » dédiée à la clientèle privée. Ces trois nouveaux collaborateurs sont également associés au capital, indique Amplegest.Isabelle Dessal, 50 ans, a commencé sa carrière chez Indosuez Investment Banking sur les marchés de produits de taux, puis chez Paribas Capital Markets. En 2006, elle a rejoint Sycomore Gestion Privée en tant que gérant privée, avant d’occuper à partir de 2010 le poste de banquier privée chez Neuflize OBC.Christophe Lernould, 45 ans, a débuté sa carrière en 1999 en tant qu’auditeur chez Arthur Andersen. Il rejoint la COB (devenue l’AMF – Autorité des Marchés Financiers) en 2000 pour prendre la responsabilité du pôle « Prestataires » au sein de la direction des prestataires et des produits d’épargne. En 2007, il intègre le groupe ABN AMRO pour y occuper successivement plusieurs postes, principalement dans le domaine de la gestion sous mandat de portefeuilles privés et notamment la direction de l’équipe de gestion sous mandat de la banque Neuflize OBC.Enfin, Isabelle Fritsch a travaillé pendant 38 ans au sein de la Banque Neuflize OBC où elle dirigeait le « middle office » de la gestion sous mandat.
La société de gestion française Lazard Frères Gestion a recruté Eléonore Bunel en qualité de responsable de l’obligataire, a appris le site InvestmentEurope. L’intéressée a officiellement pris ses fonctions dans le courant du mois d’avril. Eléonore Bunel arrive en provenance d’Axa Investment Managers (Axa IM) où elle a travaillé pendant 15 ans en tant que gérante de portefeuille crédit et analyste. Chez Axa IM, elle se concentrait à la fois sur le crédit « investment grade » et le crédit «high yield».
L’industrie des hedge funds se trouve aujourd’hui à un point d’inflexion, poussant les acteurs à se réinventer. Tel est le constat d’un récent rapport publié par l’AIMA (Alternative Investment Management Association), intitulé « Perspectives : les leaders du secteur des hedge funds évoquent leur avenir » et réalisé en partenariat avec Aberdeen Standard Investment. « L’évolution des attentes des investisseurs oblige les sociétés de hedge funds à repenser les solutions d’investissement qu’elles proposent. Le rythme des changements technologiques et la montée de l’intelligence artificielle amènent même certains acteurs à se demander si les propositions des hedge funds existeront encore dans quelques années », avance ainsi Tom Kehoe, responsable mondial de la recherche de l’AIMA et auteur de ce rapport qui s’appuie sur des conversations directes avec les 25 plus grands acteurs de l’industrie, représentant collectivement plus de 500 milliards de dollars d’encours.Les nouvelles technologies, dont l’intelligence artificielle ou le « machine learning », sont aujourd’hui au cœur des préoccupations des hedge funds du monde entier. « L’intelligence artificielle et autres techniques quantitatives de pointe deviendront très bientôt cruciales pour l’industrie des hedge funds, note le rapport. Les sociétés de gestion, qu’elles soient systématiques ou discrétionnaires, auront besoin de recourir au ‘machine learning’ afin de mieux traiter l’information et, ainsi, prendre les meilleures décision d’investissement possibles […]. Les sociétés de hedge funds qui ne développent pas de capacités d’intelligence artificielle pour aider leurs collaborateurs dans les processus d’investissement pourraient bientôt se retrouver dans une position concurrentielle désavantage. » L’enjeu est donc de taille mais il ne semble pas insurmontable pour des acteurs qui « ont toujours été proactifs à l’égard du changement », comme le note Jack Inglis, président de l’AIMA. De fait, « l’industrie des hedge funds est née de la disruption, évoque le rapport. Les sociétés de hedge funds ont toujours été à la pointe de l’investissement, acceptant le changement et innovant constamment afin d’offrir des rendements supérieurs à leurs investisseurs. » Reste à savoir si tous les acteurs du secteur auront la capacité de bien appréhender les mégatendances économiques et sociales qui remodèlent actuellement les sociétés et les marchés à travers le monde. « Ces changements sont si importants que certains doutent de la capacité des sociétés de hedge funds à s’adapter assez rapidement », évoque ce rapport. « Les leaders de l’industrie des hedge funds avec lesquels nous avons parlé sont conscients des défis auxquels ils sont confrontés, indique l’auteur du rapport. Ils savent qu’ils devront innover pour survivre. Ils devront exploiter l’intelligence artificielle et répondre à l’opinion publique, toucher de nouveaux investisseurs et offrir de nouvelles solutions à celles qui existent actuellement. »A ce titre, l’investissement socialement responsable (ISR) gagne de plus en plus de terrain au sein des fonds dits spéculatifs. Si le sujet de la gouvernance a toujours été importante pour les investisseurs, « différentes formes d’investissement responsable sont aujourd’hui de plus en plus largement adoptées dans le secteur des hedge funds », constate l’AIMA. De fait, « les investisseurs d’aujourd’hui s’attendent à ce que leurs investissements reflètent leurs valeurs et prennent en compte les risques environnementaux à long terme », indique l’auteur du rapport. Dans ce domaine également, les nouvelles technologies peuvent être une aide précieuse pour les hedge funds puisqu’elles peuvent permettent aux hedge funds de mettre en œuvre des stratégies d’investissement responsable à faible coût. « Même si toutes les sociétés de hedge funds n’adopteront pas l’investissement responsable dans un futur proche, la convergence des demandes des investisseurs, l’amélioration des données et les capacités technologiques pousseront probablement plus de gestionnaires à offrir à leurs investisseurs un plus grand d’opportunités d’investissement responsable », veut croire l’étude de l’AIMA.La gouvernance de leurs propres entreprises constitue également un enjeu de tout premier plan pour les sociétés de hedge funds. « De nombreux dirigeants de hedge funds cherchent de plus en plus à institutionnaliser leurs entreprises et à assurer une transition en douceur vers une nouvelle génération de dirigeants », évoque le rapport. A ce titre, « les plans de successions sont de plus en plus courant dans l’industrie », ajoute l’étude qui constate que « pour réussir dans le futur, les sociétés de hedge funds encouragent davantage la collaboration interne et aplanissent leurs hiérarchies internes ».A en croire le rapport de l’AIMA, les hedge funds seraient donc prêts à affronter le futur et les nombreux défis auxquels ils sont actuellement confrontés. Ces acteurs n’ont, de toute façon, pas d’autres choix que de se réinventer. « Les sociétés de hedge funds sont obligées de se concentrer davantage sur leurs modèles économiques et leur distribution car elles font face à une concurrence croissante entre elles et de la part des gestionnaires d’actifs traditionnels, souligne l’auteur de l’étude. Ces sociétés ne peuvent plus se concentrer uniquement sur leurs produits d’investissement : elles doivent réfléchir à la meilleure façon de gérer leur entreprise. Les sociétés de hedge funds n’ont jamais eu le luxe de rester immobiles. »
The asset management firm Amplegest yesterday announced that it is adding to its private management activity, with the arrival of a new team composed of Isabelle Dessal, Isabelle Fritsch and Christophe Lernould. All three join from Banque Neuflize OBC, an affiliate of the ABN Amro group, where they had worked for over eight years serving private clients.Dessal becomes director of development for private management and family office. Lernould, for his part, becomes director of the Flexible unit (EUR170bn in assets under management). Lastly, Fritsch comes as an addition to the middle office team dedicated to private clients. The three new employees will gain stakes in capital, Amplegest has announced.Dessal, 50, began her career at Indosuez Investment Banking in fixed income markets, and subsequently worked at Paribas Capital Markets. In 2006, she joined Sycomore Gestion Privée as a private manager, and then from 2010 served as a private banker at Neuflize OBC.Lernould, 45, began his career in 1999 as an auditor at Arthur Andersen. He joined COB (which became the French Autorité des Marchés Financiers, or AMF) in 2000, and took over as head of providers in the office responsible for providers and savings products. In 2007, he joined the ABN AMRO group, and served in several successive positions, mainly in the field of mandated management of private portfolios, and in particular directed the mandated management team at Neuflize OBC bank.Fritsch worked for 38 years at Banque Neuflize OBC, where she directed the middle office for mandated management.
The annual performance of French funds, excluding money markets, came to 4.3% in February 2018, down 3.2 points compared with the previous month, according to statistics released on 17 April by the Banque de France. “Although all categories of funds are affected, this decline in largely due to the performance of equity funds, which have lost seven points, to 8.5% in February 2018,” the Banque de France says in a statement. Diversified funds, meanwhile, show returns of 2.9%, compared with 5.5% in January, while employee savings funds posted 6.2%, after 9% in January. As of the end of February 2018, assets in non-money market funds totalled EUR1.207trn, compared with EUR1.225trn as of the end of January 2018.Meanwhile, the annual performance of money market funds continued to fall in February 2018, to -0.25%, compared with -0.24% in January. Assets in money market funds totalled EUR358bn as of the end of February, compared with EUR374bn as of the end of January 2018.
Natixis Investment Managers and MFEX have announced that they are in exclusive talks to sell all capital in Axeltis, a fund distribution platform, to MFEX. The sale would be accompanied by a long-term partnership agreement to be signed with MFEX for open architecture distribution of OPC funds from the BPCE Group via the Caisses d’Epargne and Banques Populaires networks, as well as funds from Natixis Wealth Management and Natixis Assurances.The two groups explain in a statement that “in a highly-concentrated sector, this transaction will allow MFEX to consolidate its position as an international fund distribution specialist, to strengthen its market share in Europe and Asia, and to add to its current product range with innovative and efficient products, both for distributors and for asset management firms. With this new long-term agreement with the BPCE Group, Axeltis joins a group specialised in distribution services, to become a major part of its internatonal development plan.”Natixis Investment Managers explains that it will continue dynamic management of its activity portfolio, and will focus its development on the asset management profession. The project is subject to approval by employee representatives at the two companies concerned.MFEX, founded in Sweden in 1999, is dedicated to fund distribution professionals and asset management companies. It has a platform to assist in the distribution of OPCVM funds via more than 820 agreements signed with asset management firms. The firm has clients in 31 European and Asian countries. The headquarters of MFEX are in Stockholm, Sweden, and the firm has offices in Paris, Umea, Geneva, Milan and Singapore. MFEX has been present in France since 2006.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } To assist in its development in infrastructure debt, Zencap Asset Management is adding to its investment teams, with the arrival of Quentin de Longevaille as a private debt analyst, with a speciality in infrastructure debt financing. Before joining the investment team, de Longevialle, 25, had since 2015 been working at KPMG Corporate Finance in Paris as an Associate in structured financing. He served investment funds and industrials to structure and model financing for infrastructure projects in Europe and the Middle East. He is a graduate of EM Lyon. The analysis and management team specialised in infrastructure debt is led by Guillaume Boucher, chief investment officer. Zencap Asset Management has recently announced the launch of a third senior infrastructure debt fund. Zencap Asset Management is also preparing to launch its third senior infrastructure debt fund, following on the success of its first two funds, Zencap Infra Debt, launched in 2014, and Zencap Infra Debt 2, launched in 2016, the asset management firm has announced. The two funds have jointly received more than EUR500m in engagements, largely from institutional investors in the insurance sector. The new fund will extend the investment strategy of the first two funds, and will aim to participate in senior financing for European infrastructure projects, with a first closing objective of EUR200m. The vehicle will also benefit from access to the Real Asset Debt platform from Natixis, dedicated to infrastructure financing, “to offer privileged access to the European infrastructure debt market,” a statement says. “Zencap Asset Management is also working to obtain labels for the fund, so as to highlight the environmental and social impact of the projects financed,” the asset management firm says.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Nils Hemmer, previously head of external distribution for Amundi in Germany, has left the asset management firm, the specialist website Das Investment reports. The news has been confirmed by Amundi. Hemmer will be replaced by Gottfried Hörich, co-director of Amundi Deutschland, responsible for all distribution activities in Germany, who has taken on interim responsibility for the Third Party distribution channel. In the wake of the merger of Pioneer with Amundi, Hemmer had reported to Hörich as his immediate superior, after previously directing external distribution at Pioneer Investments. Before joining Pioneer in 2013, Hemmer had worked at Fidelity Worldwide Investments.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } BMO Global Asset Management (BMO GAM) in March recruited Pieter van Stijn as head of its Governance & Sustainable Investment team, according to the LinkedIn profile of van Stijn. Van Stijn, who has over 18 years of experience, will be based in the Netherlands, and joins from PGGM Investments, where he had served for 11 years as senior advisor, responsible for socially responsible investment. Before that, he was a socially responsible investment analyst at SNS Asset Management.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Italian private bank Banca Patrimoni Sella and Rothschild Asset Management (Rothschld AM) have teamed up to launch the R Profilo BPA Selection fund, a flexible, global multi-strategy fund, registered in France and denominated in euros, the two companies have announced. The new vehicle will be co-managed by the two businesses. The R Profilo BPA Selection fund invests in absolute return strategies and directional strategies, with an objective of generating returns higher than Euribor 3 month, with maximal annual volatility of 6% to 9%. The underlying assets for the fund of funds include both directional strategies (equity, bond and money market funds) and alternative strategies (long/short, arbitrage/RV, global macro, systematic, event driven, etc.), making the management of the fund particularly flexible. The two reference portfolios for the fund are managed by Banca Patrimoni Sella for directional strategies and Rothschild AM for alternative strategies. The investment percentage varies between 30% and 70% for each of the two asset classes, and is defined each month by the investment committees at the two asset management firms.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Swiss asset management firm Unigestion on 17 April announced the launch of an international private equity fund dedicated to small and mid-sized companies. Unigestion Global Choice VII, which follows the “"Unicapital Global» and «Euro Choice» strategies, has a size objective of EUR300m, to construct a portfolio of about 30 funds specialised in Europe, North America, and the Asia-Pacific region. Unigestion has already made a pre-selection, which includes secondary investments, to give the fund an early boost. “Current market conditions require more than ever that investors work with experts who are able to identify off-market opportunities, and provide access to specialist funds,” says Christophe de Dardel, head of private equity at Unigestion. After acquiring Akina in 2017, the private equity activity at Unigestion has assets of USD7bn, managed by a team of 50 employees based in six offices worldwide (Geneva, Zurich, London, Jersey City, New Jersey, Singapore, and Luxembourg).
A l’issue de son troisième trimestre fiscal, clos au 30 mars 2018, Ashmore Group a vu ses actifs sous gestion atteindre 76,5 milliards de dollars, soit une progression de 10% par rapport au 31 décembre 2017, a annoncé le gestionnaire d’actifs spécialiste des marchés émergents. Cette progression résulte principalement d’une collecte nette de 6,4 milliards de dollars au cours du trimestre sous revue. La société de gestion a également bénéficié d’un effet de marché positif à hauteur de 600 millions de dollars. « La demande soutenue des investisseurs pour les actifs des marchés émergents a généré des entrées nettes aussi bien dans l’obligataire que dans les actions », a expliqué Ashmore qui ajoute avoir enregistré « sa meilleure collecte nette trimestrielle depuis juin 2013 ».
Six gérants de portefeuilles seniors ont quitté la division actions d’Aberdeen Standard Investments à la suite du rapprochement des équipes actions d’Aberdeen Asset Management et Standard Life Investments, rapporte Investment Week. Ainsi, Kevin Troup, Ross Mathison et Jaime Ramos Martin ont quitté l’équipe dédiée aux actions mondiales. Kevin Troup gérait le fonds Global Equity Income tandis que Ross Mathison en était le gérant adjoint. Pour sa part, Jaime Ramos Martin assurait la gestion du fonds North American. La gestion de ces fonds a été reprise par Dominic Byrne, responsable adjoint des actions mondiales, et Donal Reynolds, « senior vice president » au sein de l’équipe actions mondiales.En parallèle, Joanna McIntyre, Tony Hood et Euan Sanderson quittent l’équipe en charge des actions régionales pour intégrer l’équipe dédiée aux actions mondiales, précise le site d’information britannique.Par ailleurs, au sein de l’équipe en charge des actions britanniques, Karen McKellar a décidé de prendre sa retraite tandis que Henry Flockhart et Adam McInally vont quitter la société de gestion. Karen McKellar, qui avait intégré Standard Life Investments en 1995, gérait le fonds UK Equity High Income, repris par Iain Pyle. Henry Flockhart et Adam McInally, arrivés en 2010 en provenance de Matterley Asset Management, géraient les fonds UK Equity Alpha et UK Equity Growth. Ces deux fonds sont repris respectivement par Frederik Nassauer et Andrew Millington. Dans le même temps, Charlie Luke, Georgina Cooper, Louise Kernohan et Romney Fox passent de l’équipe actions paneuropéennes à l’équipe actions britanniques. Andrew Millington demeure responsable des actions britanniques tandis que Lesley Duncan conserve son poste de responsable adjoint des actions britanniques.
BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) a annoncé, ce 17 avril la nomination de Julien Halfon au poste de responsable des solutions de retraite au sein de son pôle de gestion Multi-Actifs, Quantitatif & Solutions (MAQS). L’intéressé a pris ses fonctions le 16 avril et est rattaché à Anton Wouters, responsable Solutions & Client Advisory. Au sein de MAQS, cette équipe offre des conseils et des solutions d’investissement dédiées, notamment des stratégies quantitatives et fiduciaires mais aussi la gestion actif-passif pour les investisseurs institutionnels comme les fonds de pension et les compagnies d’assurance.Basé à Londres, Julien Halfon est responsable de l’élaboration de solutions sur mesure pour les clients, notamment la gestion de bilan, les solutions multi-actifs et les overlays. Il travaillera en étroite collaboration avec les équipes de ventes institutionnelles et de gestion. Julien Halfon travaillait précédemment au sein de Mercer en tant que consultant senior en solutions structurées. Il a débuté sa carrière en tant qu’économiste au Ministère français des Finances, avant de travailler pour la Commission européenne. Il a aussi exercé les fonctions de responsable des solutions de couverture (Royaume-Uni et Europe continentale) chez P-Solve et de responsable européen pour les solutions structurées chez Lazard. Au cours de sa carrière, il a également été consultant senior chez Hewitt, Bacon & Woodrow et associé senior au sein du groupe Stratégie Européenne Fonds de Pensions et Assurances chez Goldman Sachs.
Principal Global Investors a annoncé ce 17 avril avoir bouclé l’acquisition de la boutique spécialisée dans l’immobilier paneuropéen Internos Global Investors, basé au Royaume-Uni. Internos compte plus d’une centaine de collaborateurs basés dans huit bureaux européens (Londres, Francfort, Amsterdam, Paris, Lisbonne, Luxembourg, Madrid et Milan) et ses actifs sous gestion s'élèvent à 2,68 milliards d’euros à fin décembre 2017.Internos sera renommée Principal Real Estate Europe mais son indépendance en matière d’investissement et son équipe de gestion ne seront pas affectées par cette modification. Principal Real Estate Europe sera rattachée à Principal Real Estate Investors, dont les actifs gérés et conseillés s'élèvent à 79,2 milliards de dollars à fin décembre 2017.Les actifs sous gestion de Principal Global Investors s'élèvent à environ 453,5 milliards de dollars.
La boutique de gestion suisse BlueStar IM a recruté Massimo Colnago, un spécialiste des biotechnologies, et s’est associé au cabinet de conseil en stratégie Onelife pour lancer un nouveau fonds dédié aux sciences de la vie, rapporte Citywire Selector. Baptisé Online Fund, le nouveau véhicule se concentrera sur les opportunités de croissance à long terme en matière d’innovation dans les secteurs des biotechnologies et de la santé. Massimo Colnago, qui a précédemment officié en qualité de directeur au sein de deux hedge funds, a rejoint BlueStar IM pour gérer le fonds conjointement avec le cabinet Onelife.
La société de gestion suisse Unigestion a annoncé ce 17 avril le lancement d’un fonds de private equity international dédié aux petites et moyennes entreprises. Unigestion Global Choice VII, qui s’inscrit dans la continuité des stratégies «Unicapital Global» et «Euro Choice», affiche un objectif de taille de 300 millions d’euros pour constituer un portefeuille d’environ 30 fonds spécialisés dans le buyout, le growth et les situations spéciales en Europe, en Amérique du Nord et dans la région Asie-Pacifique. Unigestion a déjà procédé à une pré-sélection, y compris des investissements dans le secondaire afin de donner le coup d’envoi du fonds.Selon Unigestion, le segment des PME est le segment le plus intéressant et le plus rémunérateur pour les acteurs du private equity. Une conviction étayée par l'étude récente («Size matters - small is beautiful 2.0") du professeur Oliver Gottschalg, professeur associé à HEC Paris, qui estime qu’un portefeuille international de petites capitalisations devrait non seulement surperformer un portefeuille plus concentré de grosses capitalisations, mais également dégager une performance similaire, avec moins de risque. En outre, l'étude relève que les portefeuilles internationaux dégagent des performances plus solides que les portefeuilles régionaux, les rendements par région n'étant pas complètement synchronisés. «Les conditions de marché actuelles nécessitent plus que jamais que les investisseurs travaillent avec des experts capables d’identifier des opportunités hors marché et fournir un accès à des fonds spécialisés», souligne Christophe de Dardel, responsable du private equity chez Unigestion.Après l’acquisition d’Akina en 2017, l’activité de private equity d’Unigestion représente un encours de 7 milliards de dollars gérés une équipe d’une cinquantaine de collaborateurs basés dans six bureaux dans le monde (Genève, Zurich, Londres, New Jersey City, Singapour et Luxembourg).
La banque privée italienne Banca Patrimoni Sella et Rothschild Asset Management (Rothschild AM) se sont associés pour lancer le fonds R Profilo BPA Selection, un fonds de fonds multi-stratégies flexible et mondial de droit français et libellé en euros, ont annoncé les deux sociétés. Ce nouveau véhicule sera cogéré par les deux entreprises. Le fonds R Profilo BPA Selection investit dans des stratégies « absolute return » et des stratégies directionnelles, avec l’objectif de générer une performance supérieure à l’Euribor 3 mois, avec une volatilité annuelle maximale de 6% à 9%.Le sous-jacent du fonds de fonds comprend soit des stratégies directionnelles (fonds actions, obligataires et monétaires) soit des stratégies alternatives (long-short, arbitrage/RV, global macro, systematic, event driven…), rendant ainsi la gestion du fonds particulièrement flexible. Les deux portefeuilles de référence du fonds sont gérés par Banca Patrimoni Sella pour les stratégies directionnelles et par Rothschild AM pour les stratégies alternatives. Le pourcentage d’investissement varie entre 30% et 70% pour chacune de deux classes d’actifs et il est défini tous les mois par les comités d’investissement des deux co-gestionnaires.
Nils Hemmer, jusqu'à récemment responsable de la distribution externe d’Amundi en Allemagne, a quitté la société de gestion, rapporte le site spécialisé Das Investment. L’information a été confirmée par Amundi. Nils Hemmer sera remplacé par Gottfried Hörich, co-dirigeant chez Amundi Deutschland, responsable de toutes les activités de distribution en Allemagne qui reprend sur une base intérimaire le canal de distribution Third Party. Dans le sillage de la fusion de Pioneer avec Amundi, Gottfried Hörich était le supérieur hiérarchique de Nils Hemmer, qui dirigeait auparavant la distribution externe de Pioneer Investments.Avant de rejoindre Pioneer en 2013, Nils Hemmer a travaillé chez Fidelity Worldwide Investments.
BMO Global Asset Management (BMO GAM) a recruté en mars Pieter van Stijn en qualité de directeur de l’équipe « Governance & Sustainable Investment », selon le profil LinkedIn de l’intéressé. La nouvelle recrue est basée aux Pays-Bas. L’intéressé, qui compte plus de 18 ans d’expérience, arrive en provenance de PGGM Investments où il a officié pendant 11 ans en qualité de « senior advisor » en charge de l’investissement responsable. Avant cela, il a été analyste en investissement responsable chez SNS Asset Management.
Deutsche Bank Wealth Management (Deutsche Bank WM), la filiale de gestion de fortune du groupe Deutsche Bank, a recruté Rocio Ceron en qualité de nouvelle chef d’équipe en Espagne, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressée, qui compte plus de 10 ans d’expérience en gestion de patrimoine et en banque privée, est rattachée directement à Nicolas Cotoner, responsable adjoint de Deutsche Bank WM en Espagne. Précédemment, Rocio Ceron a travaillé pendant sept ans chez Credit Suisse, où elle conseillait les clients particuliers très fortunés. Avant cela, elle a été banquier privé chez CaixaBank (2008-2011) et chez Morgan Stanley (2007-2008).
PGIM, la filiale de gestion d’actifs du groupe américain Prudential Financial, a annoncé, ce 17 avril, le recrutement effectif au 6 avril 2018 de Ken Poliziani en qualité de directeur du marketing. Dans le cadre de ses fonctions, l’intéressé est chargé de renforce « la réputation de la marque globale PGIM », selon un communiqué. Il sera rattaché à Taimur Hyat, directeur de la stratégie chez PGIM. Ken Poliziani officiait précédemment en tant que directeur du marketing des activités institutionnelles et retraites pour les Amériques chez J.P. Morgan Asset Management.
L'intelligence artificielle et l'investissement responsable sont au cœur des préoccupations des fonds alternatifs, selon un rapport de l'AIMA et d'Aberdeen Standard Investment.
BNP Paribas Asset Management vient d'annoncer la nomination de Julien Halfon (photo) au poste de responsable des solutions de retraite au sein du pôle de gestion Multi-Actifs, Quantitatif & Solutions. Arrivé le 16 avril 2018, il rapportera à Anton Wouters, responsable Solutions & Client Advisory. Il s'occupera notamment des stratégies quantitatives et fiduciaires mais aussi de la gestion actif-passif pour les investisseurs institutionnels comme les fonds de pension et les compagnies d’assurances.
La société de gestion Amplegest a annoncé, hier, le renforcement de son activité de gestion privée avec l’arrivée d’une nouvelle équipe composée d’Isabelle Dessal, Isabelle Fritsch et Christophe Lernould. Tous trois arrivent en provenance de la Banque Neuflize OBC, filiale du groupe ABN Amro, où ils travaillaient ensemble depuis plus de 8 ans au service de la clientèle privée.
Bpifrance et CNP Assurances ont participé au closing du fonds Sofinnova Crossover I, premier fonds crossover de Sofinnova Partners dédié à la santé en Europe. Spécialisé dans le capital-risque en Europe et dans les sciences de la vie, Sofinnova Partners a annoncé le lancement de ce fonds d’un montant de 275 millions d’euros (340 millions de dollars), au-delà de l’objectif du premier closing à 250 millions d’euros. Sofinnova Crossover I investira dans la biopharmacie et l’instrumentation médicale. Il ciblera en priorité des technologies de rupture permettant des innovations thérapeutiques portées par des équipes managériales expérimentées. Sofinnova Partners investira comme chef de fil ou investisseur de référence dans une quinzaine d’entreprises privées ou cotées. Environ 80% du fonds seront investis en Europe, et les 20% restants ailleurs, principalement en Amérique du Nord.