p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } BNP Paribas Asset Management on Thursday announced that its pan-European small and mid-sized enterprise (SME) lending platform had completed its first transaction, with a non-guaranteed, amortisable six-year loan. The loan will support development and growth at a recruitment company based in the west of England. The pan-European SME alternative lending platform was launched in 2017 by BNPP AM in London. The team, led by Stéphane Blanchoz, has been reinforced with the arival of 12 professionals. Last year, the platform signed a strategic partnership with Caple, a company specialised in alternative financing to European SMEs, which collaborates with a network of local partners, including accounting experts and financial advisers, to facilitate financing for SMEs. The first loan issued by the platform was initiated by Caple. The platform is currently operationsl in the United Kingdom, where the first loan was finalised and the new investment strategy will soon be offered to investors. The same model will then be deployed in continental Europe.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Greg Saichin, previously chief investment officer in charge of emerging market debt at Allianz Global Investors (AllianzGI), will be leaving the asset management firm, AllianzGI announced yesterday. “Saichin has decided to take a break in his career,” the German group says. To replace him, AllianzGI has recruited Richard House as chief investment officer for emerging market debt. House, who has nearly 25 years of experience in this asset class, had previously been head of emerging market debt at Standard Life Investments. House will be based in London, and will report to Malie Conway, chief investment officer responsible for fixed income and bonds worldwide. Saichin had for five years worked at AllianzGI, where he developed a range of funds, global expertise and a team of professionals specialised in emerging market debt. He arrived in 2013 from Pioneer Investments, where he had been head of emerging market debt and leveraged financing funds. House left Standard Life Investments in September 2017, following the merger of Standard Life and Aberdeen Asset Management. He had previously been head of emerging market debt at Columbia Threadneedle. In his career, he had also worked at Wadhwani Asset Management and HSBC Private Banking, according to his LinkedIn profile.
First State Investments a annoncé ce 6 juin avoir levé 2,1 milliards d’euros pour son deuxième fonds d’investissement dédiés aux infrastructures en Europe. European Diversified Infrastructure Fund II (ou EDIF II), géré par First State Investments, a réussi sa deuxième série de levée de fonds auprès d’investisseurs actuels et nouveaux, grands investisseurs institutionnels mondiaux. Le fonds avait déjà levé 700 millions d’euros de capitaux en mars 2017 au cours de sa première série. Pour la deuxième, le fonds ciblait initialement 900 millions d’euros d’engagements, un montant qu’il a atteint en quelques semaines fin 2017 avant que les investisseurs n’acceptent de relever l’objectif de souscription. Il a ensuite procédé au closing de sa deuxième série de financement le 30 mai 2018 avec une collecte de 1,4 milliard d’euros, portant le montant total des engagements pour EDIF II à 2,1 milliards d’euros.Le fonds EDIF II, successeur d’EDIF I, adopte la même stratégie d’investissement, en construisant un portefeuille d’actifs Core/Core + dans le secteur des infrastructures, ciblant principalement l'énergie, les services aux collectivités et les transports en Europe. Cette structure séquentielle de levée de fonds est conçue pour offrir aux investisseurs un déploiement rapide de leur capital. Le Fonds vise à réunir des engagements par trois séries distinctes de levée de fonds et a fixé son plafond absolu (« hard cap ») à 2,5 milliards d’euros. À ce jour, EDIF II a déjà finalisé trois transactions et a signé un quatrième et un cinquième investissement dont les closings sont attendus au cours du mois de juin 2018. Une fois le closing effectué, ces investissements permettront de déployer en moins de quinze mois la totalité des fonds souscrits avec la première série et d’initier le déploiement du capital supplémentaire levé avec la deuxième série."Depuis le closing des premières séries de levée de capitaux en mars 2017, le fonds a investi ou a signé des accords en vue d’investir dans cinq sociétés européennes d’infrastructure, de taille moyenne et de qualité, conformément à la stratégie d’investissement. Avec le succès de la deuxième série de levée de capitaux, nous poursuivons notre démarche d’identification d’opportunités d’investissement solides et intéressantes pour le fonds, via des investissements complémentaires pour développer l’activité des entreprises déjà en portefeuille ou dans le cadre d’opérations indépendantes de premier plan», commente Marcus Ayre, associé au sein de l'équipe d’investissements Infrastructure, cité dans un communiqué.
La société de gestion indépendante Amilton Asset Management (Amilton AM) a annoncé, ce 6 juin, la nomination de David Zerbib au poste de directeur commercial. L’intéressé rejoint une équipe commerciale qui a été renforcée, l’an dernier, par les arrivées d’Albin Molines et Maxime Averso, indique la société dans un communiqué.Avant de rejoindre Amilton AM, David Zerbib, 36 ans, travaillait depuis 2014 chez Edmond de Rothschild Asset Management en tant que responsable partenariats, puis comme responsable banques et sociétés de gestion sur la France, Monaco, Belgique et Luxembourg. Diplômé de Dauphine et de l’Essec, il a débuté sa carrière à Londres dans la vente de produits dérivés chez UBS Investment Bank puis HSBC Global Markets, avant de rejoindre Cyrus Conseil à Paris. En 2014, il intègre l’équipe distribution externe d’Edmond de Rothschild Asset Management.
Les membres de l’Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises (Orse) réunis en Assemblée générale ordinaire mardi 5 juin ont approuvé à l’unanimité la nomination à la présidence de l’Orse d’Hélène Valade qui succède ainsi à Daniel Lebègue. L’Assemblée générale a également approuvé les comptes 2017, nommé Secrétaire du Conseil d’administration, Delphine Lalu, directrice RSE et secrétaire générale de la fondation AG2R La Mondiale, administratrice de l’Orse. Brigitte Fargevieille a été nommée trésorière de l’association. Elle est chef de mission à la direction développement durable d’EDF, administratrice de l’Orse. Les vice-présidents de l’Orse sont : Pierre Bollon de l’AFG, Sylvain Lambert de PWC et Gérard Mardiné de la CFE-CGC.Tous les membres de l’association ont chaleureusement remercié Daniel Lebègue pour le considérable travail de promotion de la RSE accompli sous son mandat à l’Orse, souligne un communiqué. “La RSE est un instrument puissant de la transformation de l’entreprise et de son adaptation aux enjeux d’aujourd’hui : la quête de sens, le besoin de transparence, le lien public-privé, la nécessité d’une performance globale pour contribuer à l’intérêt général. Avec l’équipe permanente de l’association, nous allons poursuivre les travaux qui nourrissent les deux grandes fonctions de l’Orse : être un lieu de rencontre entre les différents acteurs de l’entreprise (RSE, Finance, DRH, partenaires sociaux) pour faciliter l’implémentation de la RSE dans l’ensemble de ses processus ; déceler, recueillir et analyser l’ensemble des pratiques qui donnent à chacun de nos membres les moyens de faire rimer compétitivité avec responsabilité.”, a déclaré Hélène Valade, citée dans un communiqué, à l’issue de l’assemblée générale. Hélène Valade est directrice du développement est directrice du développement durable de Suez depuis 2014. Elle est membre du Conseil d’administration de l’Orse depuis 2015, du Comité 21, de la plateforme RSE et du C3D. Elle a été présidente de la Plateforme RSE en 2016-2017. Elle a co-fondé le Collège des directeurs du développement durable en 2007. Elle est par ailleurs membre du Conseil scientifique du CNRS. Avant d’entrer en 2005 à la Lyonnaise des Eaux pour créer la fonction Développement durable, Hélène Valade a été directrice du pôle Opinion de TNS-Sofres de 2003 à 2005, et Directrice du département Opinion publique de l’Ifop de 1995 à 2003. Hélène Valade est diplômée de l’Institut d’Études Politiques de Paris, elle est détentrice d’une maîtrise de Sciences Politiques et d’un DEA d’histoire contemporaine.
Deux sociétés qui ont tenté sans succès de lancer l’an dernier des ETF basés sur le bitcoin ont fait équipe pour une deuxième tentative, rapporte le Wall Street Journal. La société de gestion américaine Van Eck Associates et la start-up new-yorkaise SolidX Management ont déposé mercredi un dossier auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) pour obtenir l’autorisation de lancer un ETF bitcoin. Elles ont structuré le nouveau produit pour répondre aux principales inquiétudes de la SEC. Les sociétés ont aussi fixé un prix par action relativement élevé : 200.000 dollars. Ce prix d’entrée vise à limiter le produit aux institutionnels plutôt qu’aux particuliers. Le nouvel ETF, appelé VanEck SolidX Bitcoin Trust, sera assuré également contre le vol et la perte de contrôle de la crypto monnaie.
La société de gestion Idinvest Partners, spécialiste du financement des PME européennes, a annoncé, le 6 juin, le lancement du produit Idinvest Private Value Europe 3 (IPVE 3). Ce FCPR, premier fonds ouvert de la société éligible au compte-titre et à l’assurance-vie, est un fonds fiscal de droit français permettant une exonération de l’impôt sur les plus-values en contrepartie d’une détention de 5 ans. « Il s’agit d’un véhicule semi-liquide, qui offrira des fenêtres de liquidités trimestrielles à partir de la cinquième année suivant sa création », précise Idinvest.La stratégie d’investissement de ce nouveau fonds se concentre sur le financement de la croissance externe et des opérations de « build-up » d’entreprises privées européennes dont la valeur d’entreprise est comprise entre 20 et 500 millions d’euros. Ce véhicule investira à hauteur de 60% en stratégies de dette privée (unitranche et mezzanine) et 40% en stratégies de private equity (co-investissement, transactions secondaires, engagements primaires).
Jean-Marc Didier, directeur commercial Institutionnels et Entreprises de Fidelity International en France, s’apprête à quitter la société de gestion, a appris NewsManagers. Ce dernier est également directeur général délégué de FIL Gestion, la structure juridique française de gestion, au côté de David Ganozzi. « Jean-Marc Didier partira en septembre pour réaliser un business personnel, a confirmé une porte-parole du groupe. Il part en très bons termes et son processus de remplacement est actuellement en cours ». Diplômé de l’Ecole supérieure internationale d’administration des entreprises, Jean-Marc Didier a débuté sa carrière en 1994 en exerçant des responsabilités commerciales auprès de la clientèle institutionnelle française chez Dresdner RCM Gestion, puis chez AGF Asset Management. Il devient ensuite directeur commercial en charge de la clientèle institutionnelle française chez Pictet & Cie jusqu’en 2010, date à laquelle il rejoint Fidelity International comme directeur commercial institutionnels et entreprises.
Le promoteur immobilier autrichien IFA a nommé Christian Petter au sein de son conseil d’administration, en charge plus particulièrement des ventes et du marketing, rapporte InvestmentEurope. L’intéressé arrive en provenance de BNP Paribas Asset Management (BNP Paribas AM) où il était directeur général pour l’Allemagne et responsable de la région DACH (Allemagne, Autriche, Suisse).Christian Petter a débuté sa carrière chez UniCredit Bank Austria avant de rejoindre Raiffeisen International Funds en tant que managing director. En 2002, il intègre BNP Paribas AM comme responsable du développement commercial, dirigeant les bureaux de Vienne, Prague, Budapest et Varsovie. A compter de 2012, il est promu directeur général pour l’Allemagne et responsable de la région DACH à Francfort.
La société de conseil en immobilier d’entreprises JLL a annoncé, ce 6 juin, la création du fonds de capital-risque JLL Spark Global Venture Fund. Ce nouveau véhicule prévoit d’investir jusqu’à 100 millions de dollars américains dans des starts-up issues du secteur des nouvelles technologies appliquées à tous les métiers de l’immobilier : promotion, gestion, leasing, investissement et conseil aux entreprises. Ce fonds vise également « à mettre en relation les entrepreneurs avec les différents départements de JLL mais aussi avec leurs clients », ajoute la société dans un communiqué. Le nouveau fonds ciblera des investissements d’amorçage ainsi que des cibles à des stades de maturité plus avancées. Les montant investis varieront de quelques centaines de milliers de dollars à plusieurs millions de dollars. Il privilégiera les start-up du secteur technologique offrant des produits « qui peuvent aider les clients investisseurs et entreprises de JLL ou être utilisées par les différentes lignes de métiers de JLL pour délivrer de meilleurs services », indique JLL. Ce fonds s’intéressera également aux starts-up qui révolutionnent les métiers traditionnels de JLL grâce à la technologie mais aussi à celles qui contribueront à élargir son offre de services auprès d’une nouvelle typologie de clients.
Christophe Peronin, jusqu’alors directeur général adjoint de Carmignac Gestion a été promu par le conseil d’administration de la société directeur général délégué, peut-on lire dans «Le Publicateur Légal», dans une annonce publiée il y a quelques semaines, mais consultée seulement maintenant par Newsmanagers. Arrivé chez Carmignac Gestion en 2010, Christophe Peronin avait été nommé en 2017 directeur général adjoint (DGA) au côté d’Eric Helderlé, directeur général délégué et associé historique d’Edouard Carmignac. Il en devient donc son égal en termes de dénomination de fonctions.A l'époque de sa nomination comme DGA, Christophe Peronin avait la responsabilité de la direction des Opérations et la supervision du Contrôle des Risques. Au titre de ses fonctions, il assistait également le directeur général délégué dans l’animation du comité de développement stratégique et la mise en œuvre de ses orientations.
Le gestionnaire d’actifs américain OppenheimerFunds et la firme d’investissement The Carlyle Group (Carlyle) ont annoncé, ce 6 juin, le lancement de OFI Carlyle Private Credit Fund, leur première stratégie commune visant à offrir des opportunités d’investissement dans le crédit privé aux investisseurs très fortunés (« high net worth ») et aux conseillers. Conçus pour les investisseurs de long terme en quête de revenus courants, ce fonds alloue ses actifs de manière opportuniste à travers une large gamme de stratégies crédit, à savoir les placements privés ou les prêts directs, (direct lending), les crédits structurés ou les crédit liquides aux entreprises du monde entier.Au quatrième trimestre 2017, OppenheimerFunds et Carlyle avait dévoilé la création d’une coentreprise réunissant l’expertise de Carlyle en matière de crédit et les capacités de structuration de produits et de distribution d’OppenheimerFunds. Cette plateforme de crédit alternatif vise à fournir des solutions de revenus à long terme aux clients très fortunés et aux conseillers financiers.
OppenheimerFunds lance une nouvelle campagne de publicité en ligne appelée « Challenge Borders » qui promeut les produits d’investissement internationaux de la société de gestion en rappelant aux investisseurs qu’il existe de nombreuses opportunités d’investissement en dehors des Etats-Unis, rapporte le Wall Street Journal. L’une des publicités, qui doit être lancée la semaine prochaine, contredit la devise de Donald Trump, « America First ».
Le gestionnaire d’actifs suisse BlueOrchard Finance, spécialiste de la microfinance et de l’investissement d’impact, a annoncé, ce 6 juin, l’ouverture d’un bureau à Singapour. Cette nouvelle structure s’inscrit dans la volonté de la société « de redoubler d’efforts pour nouer des relations solides avec l’ensemble des parties prenantes dans la région Asie-Pacifique », indique BlueOrchard dans un communiqué. La société de gestion est déjà présente dans la région asiatique depuis près de 10 ans et elle y gère deux fonds, savoir Microfinance Initiative for Asia (MIFA) et Japan ASEAN Women Empowerment (JAWEF), axés sur la croissance durable en Asie-Pacifique. La nouvelle entité de Singapour vient compléter le bureau de Phnom Penh.
Le gestionnaire d’actifs responsAbility Investments AG lance un fonds de dette privée en faveur de l’agriculture durable des pays en développement et des économies émergentes. Domicilié au Luxembourg, ce nouveau véhicule finance des entreprises qui contribuent à améliorer la situation économique de la population rurale. « Ce fonds vise ainsi à la fois un rendement aligné sur celui du marché et un effet positif sur le développement », précise la société de gestion dans un communiqué. Ce nouveau fonds s’adresse à des investisseurs qualifiés, surtout en Europe. De fait, « pour faire face à la demande croissante de produits alimentaires dans le monde, il est nécessaire d’investir chaque année quelque 83 milliards de dollars dans le secteur agricole, explique responsAbility. Cela vaut également pour les pays en développement et les économies émergentes, où 34% des actifs travaillent dans l’agriculture et où celle-ci compte en majorité des petits paysans. » Le nouveau fonds de responsAbility propose donc un financement privé par la dette aux entreprises axées sur la durabilité et qui opèrent au sein de la chaîne de valeur agricole. « Ces capitaux sont destinés à financer à court terme les exportations et les fonds de roulement ainsi que, à moyen terme, les installations de ces entreprises », ajoute la société. Des critères stricts de sélection, un processus clairement défini de l’évaluation des risques concernant l’environnement, la société et la gouvernance (ESG) ainsi que des structures de sûretés optimisées réduisent les risques de crédit.La société de gestion n’en est pas à son coup d’essai. Lancé en 2011, le fonds en faveur de l’agriculture durable, domicilié en Suisse, gérait, à fin mars 2018, une fortune de 177 millions de dollars et des investissements dans 133 entreprises de 44 pays.
Un groupe de grands investisseurs institutionnels mondiaux, mené par la Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse) et le Régime de retraite des enseignantes et enseignants de l’Ontario (RREO), en collaboration avec le gouvernement du Canada, ont annoncé ce 6 juin un projet ambitieux pour faire progresser certains grands objectifs du G7. AIMCo, Allianz, Aviva, CalPERS, Caisse de dépôt et placement du Québec, Generali, Natixis Investment Managers, OMERS, OPTrust, PGGM et RREO – les institutions partenaires qui représentent collectivement plus de 6 000 milliards en actifs sous gestion – ont uni leurs forces et se sont engagés à affecter des ressources et à mettre à disposition leur savoir-faire ainsi que leurs réseaux pour faire progresser trois initiatives :1. Renforcer l’expertise en développement et en financement d’infrastructures dans les marchés en croissance et frontièresAfin de soutenir le rythme de croissance projeté, le monde doit investir 3 300 milliards de dollars en infrastructures par an jusqu’en 2030. Le manque d’infrastructures est particulièrement critique dans les marchés en croissance, souvent en raison de l’insuffisance de projets dans lesquels il est possible d’investir et des compétences financières et opérationnelles nécessaires.Pour s’attaquer à ce problème, les institutions partenaires lanceront un programme de formation pour les hauts fonctionnaires dans les marchés en croissance et les marchés frontières. Celui-ci comprendra un programme intensif de trois mois au sein d’une école de gestion avec un stage dans les équipes d’infrastructures de certains des plus grands investisseurs du monde qui participent à cette initiative. Le programme accueillera sa première cohorte à l’été 2019, où une douzaine de participants suivront un parcours personnalisé, initialement en partenariat avec la Schulich School of Business de l’Université York, à Toronto. Les partenaires vont également identifier d’autres écoles de commerce au Canada et ailleurs dans le monde qui pourraient être intéressées à participer au programme. Grâce à un partenariat avec la Sustainable Infrastructure Foundation (SIF), les participants suivront également une formation avancée sur la plateforme de pointe SOURCE de la SIF pour l’élaboration de projets d’infrastructures. Au cours des années suivantes, le nombre de participants devrait passer à plus de 30.2. Offrir davantage de possibilités aux femmes dans le monde de la finance et de l’investissementMalgré certains progrès, les femmes demeurent sous-représentées dans les équipes de direction des entreprises du monde entier, y compris dans les pays du G7. Les investisseurs institutionnels et gestionnaires d’actifs font face à un défi à cet égard. Le nombre relativement faible de femmes qui choisissent de faire carrière dans les secteurs de la finance et de l’investissement est souvent mentionné comme un facteur déterminant.En raison de leur taille et de leur rayonnement, les investisseurs mondiaux sont bien placés pour donner l’exemple et exercer une influence positive sur le secteur. C’est pourquoi l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (OIRPC) se joint aux institutions partenaires pour lancer une initiative à deux volets afin d’offrir davantage de possibilités aux femmes dans le secteur de la finance à l’échelle mondiale : d’une part, en s’engageant à élaborer et à mettre en application des politiques sur la diversité inspirées des meilleures pratiques dans le monde, dont le rapport 2016 SheWorks: Putting Gender-Smart Commitments into Practice de la Société financière internationale; d’autre part, en établissant et soutenant un partenariat avec le CFA Institute et son réseau mondial pour mettre en place un programme de stages dont l’objectif est d’encourager les femmes fréquentant l’université dans les marchés en croissance à se familiariser avec le secteur de l’investissement, à s’y préparer et à acquérir de l’expérience dans le domaine.3.Accélérer la mise en place de divulgations uniformes et comparables liées au climat, à l’intérieur du cadre établi par le FSB-TCFD.Les recommandations finales du Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques du Conseil de stabilité financière (FSB-TCFD), publiées en juin 2017, ont fixé un cadre global régissant les normes de divulgation liées aux changements climatiques. Même si les investisseurs mondiaux s’entendent sur la nécessité de communiquer des informations sur les risques et les occasions liés aux changements climatiques, aucune méthodologie ou stratégie unique n’a émergé pour rendre les informations facilement comparables d’une institution et d’une société à l’autre.Pour s’attaquer à ce problème et progresser vers une mise en œuvre généralisée des recommandations du FSB-TCFD, les institutions partenaires interviendront sur deux fronts : tout d’abord, en mettant sur pied un comité consultatif, composé de représentants des institutions partenaires et soutenu par des conseillers extérieurs, qui évalueront les efforts existants de divers groupes soutenant l’adoption des recommandations du TCFD, fédéreront ces efforts en une approche unifiée et publieront des guides pour d’autres investisseurs institutionnels au cours des quelques prochaines années; ensuite, en faisant la promotion des recommandations du FSB-TCFD afin de les faire adopter par les sociétés en portefeuille.Les institutions participantes s’efforceront d’intégrer les orientations établies par le comité consultatif dans leurs divulgations FSB-TCFD à venir. Les institutions partenaires pourront aussi profiter de leur participation au comité consultatif pour discuter de l’intégration des Objectifs de développement durable (ODD) dans leur processus d’investissement. Ce travail pourra se faire en lien avec le projet de la World Benchmarking Alliance visant à publier des classements mesurant la performance des entreprises en matière de développement durable."Les changements climatiques, l’inégalité entre les sexes et le déficit d’infrastructures sont tous des problèmes mondiaux considérables qui nécessitent une action collective et des solutions robustes et pratiques. Les investisseurs institutionnels ont les ressources et les plateformes permettant de contribuer de façon importante à chacun de ces domaines. Nous sommes heureux que nos initiatives concordent avec les thèmes du G7 cette année, tout en offrant des bénéfices pour les investisseurs et leurs membres», affirme Ron Mock, président et chef de la direction du RREO, cité dans un communiqué. «En tant qu’investisseurs à long terme, nous savons que nos rendements sont influencés par le dynamisme et la vigueur économique des pays dans lesquels nous investissons. À bien des égards, nos rendements dépendent de leur croissance et de leur développement. Ce que nous annonçons aujourd’hui nous permet de démontrer tout le potentiel de la collaboration. Par notre action concertée, nous souhaitons avoir un impact accru et un effet durable dans trois sphères distinctes», a déclaré de son côté Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse.
Laura Zutel a rejoint début juin BNP Paribas Real Estate à Madrid en qualité de responsable de la division « wealth management », selon le profil LinkedIn de l’intéressée. La nouvelle recrue arrive en provenance Knight Frank Espagne où elle officiait dernièrement en qualité de « manager » au sein du département « Cross Selling & Institutional Transactions ». Elle a débuté sa carrière dans le secteur immobilier chez CB Richard Ellis au sein du département « Valuations ».
State Street Global Advisors (SSGA) vient de recruter Fernanda Kremer en qualité de spécialiste des ventes et des services à la clientèle dans le domaine des ETF en Espagne, rapporte le site spécialisé Funds People. Basée à Londres, elle sera directement rattachée à Ana Concejero, responsable du développement commercial de SSGA pour l’Espagne. Elle sera notamment chargée des solutions pour les investisseurs institutionnels, les gestionnaires d’actifs et les intermédiaires.Fernanda Kremer, qui compte plus de 18 ans d’expérience en gestion d’actifs, arrive en provenance de Santander Asset Management où elle a officié au cours des six dernières années dans les équipes commerciales. Auparavant, elle est passée chez BNP Paribas Asset Management, Fortis Investment et ABN Amro Asset Management.
Le gestionnaire d’actifs américain Pimco vient de renforcer son équipe commerciale en Espagne avec le recrutement de Angel de Molina en tant que nouveau directeur de la distribution, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressé sera basé à Londres et sera rattaché à Juanma Jimenez, directeur général pour l’Espagne et le Portugal. Angel de Molina, qui compte plus de 17 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance de Nordea Asset Management, où il travaillait au sein de l’équipe en charge de la distribution de fonds en Espagne. Au cours de sa carrière, il est également passé chez Santander Asset Management, Tressis, Dexia et Citigroup.
La Française s’est vu confier un mandat de gestion par Neam S.A. (Nord Est Asset Management S.A.), annonce un communiqué diffusé en Italie. La société de gestion française a été choisie pour gérer Nef Target 2025, un compartiment obligataire à échéance et coupon annuel. Ce fonds, lancé en mai, sera investi dans des obligations d’entreprises et de gouvernements à travers le monde avec une échéance moyenne ne dépassant pas le 31 décembre 2025. Le portefeuille pourra être composé d’obligations « investment grade » ou haut rendement.Neam est une société de gestion luxembourgeoise créée par des banques coopératives italiennes. Elle gère Nef, un fonds Ucits ombrelle composé de plusieurs compartiments. Neam ne gère pas les compartiments en direct, mais choisit pour le faire des sociétés de gestion extérieures.
La société de gestion américaine Capital Group va distribuer ses fonds autorisés en Italie via les réseaux de conseillers financiers de Fideuram et Sanpaolo Invest, élargissant son offre en Italie, rapporte Bluerating. Parmi les fonds qui seront commercialisés par ce canal figurent Capital Group New Perspective Fund, Capital Group Investment Company of America et Capital Group New World Fund.
Banca Generali a enregistré en mai des souscriptions nettes de 603 millions d’euros, ce qui lui a permis de collecter 2,7 milliards d’euros depuis le début de l’année, rapporte Bluerating. La Sicav LUX IM, un peu plus d’un mois après son lancement, a déjà dépassé 130 millions d’euros de collecte.
Plus de deux mois après l’introduction en Bourse (IPO) de DWS, Nicolas Moreau, directeur général de la filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank, réaffirme clairement ses ambitions alors l’action DWS traite sous son prix d’introduction de 32,50 euros. « Nous voulons démontrer trimestre après trimestre que nous sommes capables de tenir nos promesses : une collecte nette de 3% à 5% par an, une marge supérieure à 30 points de base, un coefficient d’exploitation inférieur à 65%, et un taux de distribution des résultats de 65% à 75% », énumère le dirigeant dans un entretien à L’Agefi Hebdo en date du 7 juin.Afin d’atteindre ses objectifs, « le segment ‘retail’ en Europe est pour nous un levier de croissance », indique Nicolas Moreau. « Nous occupons le cinquième rang européen sur ce marché, qui est le plus profitable pour DWS », rappelle-t-il. En parallèle, la société de gestion a lancé un groupe de travail « pour renforcer notre activité de gestion quantitative, qui compte 64 milliards d’euros d’encours, un montant que nous souhaitons faire croître considérablement », annonce Nicolas Moreau. Enfin, le gestionnaire d’actifs souhaite développer davantage son activité sur les crédits structurés. « Nous relançons nos efforts sur les CLO (collateralized loan obligations) en Europe et nous regardons les opportunités de croissance aux Etats-Unis, explique le patron de DWS. Nous envisageons aussi de lancer en septembre un fonds avec Deutsche Bank, qui assurera le sourcing des actifs. »Afin de donner corps à ses ambitions, Nicolas Moreau reste ouvert à des opérations de croissance externe. « Nos ambitions dans la gestion quantitative et les crédits structurés peuvent passer par des acquisitions ‘bolt-on’, a-t-il reconnu. Nous regardons actuellement des dossiers d’une valeur comprise entre 100 et 200 millions mais nous avons la capacité d’aller au-delà. »Le dirigeant a également rappelé que DWS s’était fixé un objectif d’économies de coûts de 125 à 150 millions d’euros d’ici 2020. Pour mener à bien cette mutation, la société de gestion a récemment nommé Nikitas Psyllakis comme patron de la transformation. Dans ce cadre, DWS ne s’interdit pas d’arrêter de petites activités non rentables et aux revenus modestes. « Nous sommes, par exemple, sortis des fonds domestiques au Japon pour nous appuyer sur notre partenaire Nippon Life, et nous avons vendu un fonds de fonds de private equity en Allemagne », a évoqué Nicolas Moreau.Très présent dans plusieurs grands pays européens, Nicolas Moreau n’en néglige pas pour autant le marché français où la société n’est pas encore « à la place à laquelle nous souhaiterions être en termes d’encours sous gestion », a-t-il reconnu. Dans un marché particulièrement compétitif, « si nous parvenons à assurer une croissance de nos actifs sous gestion d’environ 50% en trois ans, ce sera déjà une belle performance », a estimé le patron. Preuve de son appétit pour le marché français, DWS a nommé ce mois-ci Olivier Dubost de Cadalvène à la tête de sa succursale française, a révélé Nicolas Moreau. « Nous étudions aussi deux partenariats, dont l’un avec Tikehau Capital, qui est entré au capital à l’occasion de l’IPO et avec qui nous pourrions, notamment, lancer des fonds cogérés associant le meilleur de nos expertises, a expliqué le dirigeant. Un second, que nous espérons boucler en 2018, doit nous permettre d’améliorer la distribution de nos produits en France. »
La Deutsche Börse vient de procéder à la révision de la composition de ses indices qui se traduit par un certain nombre de modifications liées aux récentes introductions en Bourse, relève le quotidien financier Börsen-Zeitung. C’est ainsi que DWS, la filiale de gestion d’actifs de Deutsche Bank, va intégrer l’indice SDax tandis que Siemens Healthineers rejoint le TecDax.Le SDax (Small-Cap-Dax) comprend les 50 plus grandes capitalisations boursières allemandes qui suivent celles du MDax (Mid-Cap-Dax).
UBS Group AG a décidé de réduire ses effectifs dans ses activités de gestion d’actifs alors qu’il donne la priorité à son développement sur le marché chinois et à l’investissement en gestion passive et durable, ont indiqué à Bloomberg des personnes proches de ces mouvements. Une centaine de postes, dont une trentaine aux Etats-Unis, notamment à New York, auraient ainsi été supprimés, a précisé l’une des sources. «Nous ne faisons pas de commentaires sur les ajustements que nous faisons au fil du temps et nous nous concentrons sur les besoins de nos clients, le développement de nos activités et l’amélioration de notre efficacité», a indiqué dans un courriel Sheryl Lee, porte-parole d’UBS.Le patron de la gestion d’actifs, Ulrich Koerner, restructure les activités depuis 2014. Il a cédé des actifs, revu l’offre et poussé notamment les produits de gestion passive qui représentent désormais un encours d’environ 305 milliards de francs.
Ian Clark va quitter Newton (groupe BNY Mellon) pour rejoindre Veritas Asset Management en tant qu’associé, rapporte Citywire Wealth Manager. Veritas a été créée par un groupe d’anciens de Newton. Ian Clark était le co-gérant principal du Newton Global Income de 5,3 milliards de livres.
Le gestionnaire de patrimoine discrétionnaire Netwealth Investments a nommé Edward Bonham-Carter, actuel vice-président de Jupiter Fund Management, au sein de son conseil d’administration en qualité d’administrateur non-exécutif, rapporte le site InvestmentWeek. L’intéressé siégera aux côtés de Somerset Webb, rédacteur en chef de MoneyWeek, récemment nommé au conseil d’administration, et de Michael Hartweg, cofondateur de Leonteq, également nommé administrateur non-exécutif. Charlotte Ransom, cofondatrice et directrice générale de Netwealth, et Thomas Salter, son directeur des opérations, siègent également au conseil d’administration.
La société européenne d’investissements immobiliers Avignon Capital a annoncé, ce 6 juin, la nomination de David Kirkby au poste de « Director of Capital Accounts ». Basé dans le bureau de Londres de la société, la nouvelle recrue se concentrera sur la poursuite de la croissance de l’entreprise, indique Avignon Capital dans un communiqué.David Kirkby, qui compte plus de 35 ans de carrière, était précédemment directeur général (« CEO ») de Valad Europe, un spécialiste de l’immobilier européen racheté par Cromwell Property Group. Avant de rejoindre Valad Europe, il a été directeur général en charge de la gestion de fonds européens chez Lendlease Group. Avant cela, il avait été directeur général de Lendlease en Asie et responsable des fonds « wholesale » toujours chez Lendlease.