The US Senator Charles Grassley, a Republican from Iowa and head of the Senate judiciary committee, is investigating 20 cases over the past decade in which the Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) suspects the alternative management firm SAC Capital of making trades on options on the basis of insider information, the Wall Street Journal reports. The transactions concerned companies in the healthcare sector. Neither SAC Capital, nor its CEO, Steven A. Cohen, have been accused of wrongdoing.The Senate investigators will study transactions made by SAC Capital, with the assistance of the SEC and the Department of Justice, sources familiar with the matter say. The investigations will also concern hedge fund management affiliates, such as CR Intrinsic Investors and Sigma Capital Management.
Nancy Utterback (ex European Credit Management) and Alessandro Rovelli (ex Deutsche Bank) have been recruited as credit analysts in the corporate bonds team at Aviva Investors.Utterback will be in charge of completing the integration of the offshore research team based in Mumbai; she will be responsible for the credit research process, covering the TMT (telecom, media, and technology) and consumer sectors.Rovelli will be in charge of the industrial and utilities sectors.
Investors worldwide are acquiring a growing interest in emerging markets and alternative asset classes, according to an annual survey of institutional investors by Mercer (“2010 Global Manager Search Trends report”). From a diversification standpoint, investors are interested in real estate, largely due to the relatively attractive prices in this asset class. There is also a growing interest in commodities, infrastructure, and multi-strategy hedge funds. Research into emerging markets, both in equities and bonds, has also increased strongly. Andy Barber, global director of Manager Research at Mercer, says that “interest in non-traditional asset classes is continuing to increase, as investors seek to diversify their investments and participate in opportunities to generate alpha and beta.” Interest in traditional investments is falling, due to the crisis, but it will continue, Berber predicts, adding that mandates for traditional equities and bond management will continue to dominate research activities in the short term. In Europe, research activities have been significantly reduced in the United Kingdom in 2010, but had increased strongly the previous year, while it has risen more than 50% in Germany, with strong demand for emerging markets strategies (equities and bonds). Activities have also increased in Switzerland and Sweden, while they have fallen in France, Ireland, and the Netherlands.
The value of the F&C Commercial Property Trust increased by GBP12.98m in first quarter, the firm has announced in a statement. As of 31 March, the portfolio of the fund weighed in at GBP851.28m.
Ibercaja Gestión a lancé le 24 mars un fonds obligataire à «performance escomptée», solution décrite comme intermédiaire entre un fonds garanti et un dépôt à terme. Le produit, Ibercaja Renta Fija 2014 – 2, affiche une échéance fixée au 29 décembre 2014. Il vise une performance annuelle de 3,25 à 3,50 %.Le portefeuille sera investi en obligations notées au minimum A- par S&P ou l'équivalent, mais il pourra être placé jusqu'à 40 % en titres BBB+/BBB-) et allouer au maximum 3 % de son encours à des obligations d’une note inférieure à BBB- ou non notées. La duration moyenne du portefeuille sera initialement inférieure à 3,5 ans. Tous ces titres seront conservés jusqu'à échéance.Ce fonds sera commercialisé jusqu’au 30 juillet sans droit d’entrée.Caractéristiques :Dénomination : Ibercaja Renta Fija 2014 – 2Code Isin : ES0147049003Droit d’entrée : 0,5 % à partir du 30 juillet 2011Commission de gestion : 0,95 %Commission de banque dépositaire : 0,1 %Pénalité de sortie : 1,5 % à partir du 30 juillet 2011
Le 18 mai, la Bourse de Hambourg a indiqué que le gel depuis le 16 mai des souscriptions et rachats du fonds de fonds immobiliers offert au public DB ImmoFlex par DWS Investment l’a incitée à admettre les parts de ce produit à la négocation sur sa plate-forme. De ce fait, poursuit l’entreprise de marché qui gère les Bourses de Hambourg et de Hanovre, tous les fonds et fonds de fonds immobiliers allemands offerts au public qui sont actuellement gelés sont négociables.
Aux investisseurs allemands plutôt prudents, conservateurs, Fidelity International propose désormais le Fidelity Global Strategic Bond Fund, qui couvre tous les segments obligataires (obligations d’entreprise catégorie investissement, obligations haut rendement, obligations d’Etat, obligations indexées sur l’inflation, obligations émergentes). Ce fonds en euros de droit luxembourgeois a obtenu l’agrément de commercialisation de la BaFin.De même, Fidelity Allemagne a annoncé le 20 mai la commercialisation du Fidelity Asian Bond Fund (en dollars) qui est destiné à des clients moins réticents à prendre des risques et désireux de tirer parti de la croissance asiatique.L’encours Asie-Pacifique (hors Japon) du groupe Fidelity représentait fin décembre 55,7 milliards de dollars.Caractéristiques :Dénomination : Fidelity Global Strategic Bond FundCodes Isin : classe distribution LU0594301060Classe capitalisation : LU0594300682Gérant : Andy WeirIndice de référence : Barlcaus Capital Global Aggregate Bond IndexDroit d’entrée : 3,5 %Commission de gestion :1,15 %Dénomination : Fidelity Asian Bond FundCode Isin : classe capitalisation LU0605512275Gérant : Bryan CollinsIndice de référence : BofA/Merrill Lynch Asian Dollar Investment Grade Index (ADIG)Droit d’entrée : 3,5 %Commission de gestion : 0,75 %
Le capital-investisseur britannique Cinven a annoncé qu’il revend pour 2,47 milliards d’euros le groupe suédois Phadia (diagnostic in-vitro des allergies), qui avait été acheté début 2007 pour 1,285 milliards d’euros, à l’américain Thermo Fisher Scientific Inc.Le chiffre d’affaires de Phadia, soutenu par les investissements de Cinven, a marqué en 2007-2010 une hausse annuelle de 12 % par an, pour terminer à 367 millions pour l’an dernier.Malgré des investissements importants, notamment humains, avec un fort gonflement des effectifs de 1.000 personnes à près de 1500 salariés sur la période, Phadia a augmenté ses marges et vu son EBITDA croître à un taux annuel moyen pondéré de 14%, pour atteindre 149 millions d’euros en 2010.
Avec l’arrivée de Sébastien Thomas, (ex Invest AM, ex Olympia Capital Management), la succursale de Paris de Pictet & Cie Europe compte fournir à sa clientèle un service supplémentaire en la dotant d’un interlocuteur en mesure de l’informer du sentiment en matière d’allocation d’actifs des équipes de Pictet Asset Management basées à Genève. Un second recrutement a par ailleurs été finalisé pour renforcer, en juillet, l'équipe commerciale de Paris.
Dans un entretien aux Echos, le directeur général délégué de Lazard en France, Matthieu Pigasse, estime que Lazard se porte bien. «Les faits le prouvent. Nous avons surmonté la disparition de Bruce Wasserstein et passé la crise avec succès, grâce à la force de notre «business model», à l’impulsion déterminante de Ken Jacobs et à l'énergie jamais démentie de Bruno Roger. Le nouveau Lazard est un Lazard de conquête, avec une nouvelle équipe et une nouvelle culture. Nous avons recruté à l’extérieur et promu des associés en interne. Nous renforçons notre réseau partout dans le monde, et notamment en Chine», explique Matthieu Pigasse.
L'équipe d’administrateurs qui a accompagné les premiers pas du Fonds stratégique d’investissement (FSI) depuis sa création en novembre2008 arrive au bout de sa mission, rapporte Les Echos. Les sept membres du conseil d’administration de la filiale de la CDC, qui ont hérité d’un mandat renouvelable de trois années civiles, se retrouveront le 31 mai pour préparer l’avenir. Le renouvellement du mandat des deux représentants de la CDC d’une part, et de ceux de l’Etat d’autre part, ne semble pas faire de doute. Les deux administrateurs indépendants, Patricia Barbizet, directrice générale d’Artémis, le holding patrimonial de François Pinault, et Denis Kessler, président-directeur général de la compagnie de réassurance SCOR, ont aussi exprimé leur intention de continuer d’accompagner le développement du FSI. En revanche, Xavier Fontanet, actuel président d’Essilor, veut passer la main.
Comme l’a souligné tout récemment à Istanbul Sergio Albarelli, senior director Southern Europe & Benelux, qui coiffe également la France, Franklin Templeton Investments cible prioritairement les investisseurs institutionnels de tout premier plan en France. Des clients potentiels considérés comme extrêmement sophistiqués, comme la société américaine peut le constater par les renseignements qui sont demandés dans les appels d’offres. L’implantation parisienne, qui gère «plus de 4 milliards de dollars» selon son directeur général Dominique de Préneuf, se targue de travailler déjà avec tous les acteurs de cette catégorie, notamment avec le FRR (qui représente environ un bon tiers des encours), et les banques privées, le reliquat se répartissant entre CGPI, produits structurés et fonds de fonds.D’ores et déjà, il est prévu que l'équipe commerciale d’une douzaine de personnes, sur un effectif de dix-huit, sera renforcée au moins par le recrutement d’un spécialiste de la clientèle institutionnelle, sans qu’il faille pour autant exclure l’embauche ultérieure d’autres membres pour muscler la force de vente.
NYSE Euronext a annoncé qu’Amundi a fait admettre à la cotation sur la plate-forme parisienne les ETF Amundi ETF MSCI EM Asia B (code Isin : FR0011018316) et Amundi ETF MSCI EM Latin America B (FR0011018324). Tous deux chargés à 0,45 %, ils répliquent respectivement les indices MSCI Emerging Markets ASIA et MSCI Emerging Markets Latam.Avec ces nouveaux produits de droit français, NYSE Euronext cote désormais 649 fois 557 ETF en Europe. Depuis le début de l’année, les plates-formes européennes de l’entreprise de marché ont enregistré 108 introductions correspondant à 82 ETF.
« Notre soucis est de renforcer des classes d’actifs aujourd’hui faiblement représentées dans notre gestion comme les obligations convertibles et l’alternatif. Nous parlons d’ailleurs plutôt de gestions décorrélées pour éviter de rentrer dans les schémas complexes de type fonds de fonds », analyse Georges Caubel, trésorier du Crédit agricole Aquitaine. La banque s’attache désormais à des stratégies à la fois plus lisibles et plus liquides. Cependant, le seul paramètre que la crise a vraiment modifié concerne la partie fonds alternatifs de son portefeuille qui en était autrefois, une composante forte. La caisse exprime aussi de façon ponctuelle, des intérêts sur des produits structurés de type EMTN avec participation à la hausse d’un indice action ou d’un panier de valeurs. En termes de rendement pour 2011, la caisse s’attend à Eonia + 50 point de base sur la globalité du portefeuille. Si la caisse n’entérine pas encore Bâle III dans sa gestion, Georges Caubel admet cependant : « Nous allons procéder à une adaptation graduelle de la règlementation et nous avons commencé à regarder les covered bonds mais l’actualité ne nous incite pas vraiment à aller aujourd’hui vers les titres d’Etat ». Car la banque est dynamique et travaille hors Amundi, avec une dizaine de contreparties parmi lesquelles se trouvent de petites sociétés comme Metropole Gestion ou de très grandes comme Robeco et Deutsche Bank. « A travers leurs compétences, actions ou gestions décorrélantes, nous cherchons à compléter l’offre groupe pour ne pas être prisonniers d’une gamme », observe Georges Caubel.
La caisse régionale a une gestion orientée sur le rendement. Déjà investie sur le crédit, elle est aussi très exposée sur les actions. Xavier Cibois, responsable de la gestion des actifs financiers et immobiliers, expose cette stratégie: «Nous faisons jouer les timing sur Solvency 2 pour investir encore sur les small caps, les convertibles mais aussi pour rechercher des obligations sur le thème du haut rendement». La caisse tient pourtant compte de la nouvelle règlementation car après avoir pris des bénéfices, elle s’est petit à petit, allégée d’un certain nombre de positions en désinvestissant sur la gestion alternative et un certain nombre de risques crédit qui avait très bien performé mais qui ont été revendu dans le cadre de Solvency 2. «Aujourd’hui, notre caisse couvre ses besoins en SCR plusieurs fois, souligne Xavier Cibois. Cela dit, nous allons être côtés et par le jeu de la consolidation des comptes du groupe, nous allons entrer dans un esprit groupe et si on nous demande de réduire la voilure, on le fera car l’approche groupe sera plus forte». En dehors de Groupama Asset Managment, la caisse Centre-Manche travaille avec d’autres sociétés de gestion, mais en nombre réduit qu’elle sélectionne d’abord par le produit et ensuite, en s’appuyant sur les critères classiques de la taille, la réputation ou la notation. «J’ai beaucoup réduit la voilure du nombre de sociétés de gestion, explique Xavier Cibois. Quand on a fusionné avec la caisse du Maine-Eure et Loire et Normandie, on avait une quarantaine de sociétés de gestion car chacun avait sa propre diversification et c'était ingérable».
Hana Financial Group et Lone Star seraient disposés à poursuivre au-delà du 24 mai, date-limite qu’ils s’étaient fixés, les négociations portant sur des points de détail de l’acquisition par le groupe financier sud-coréen de la part majoritaire détenue par le fonds texan au capital de Korea Exchange Bank. Les autorités sud-coréennes ont repoussé le 12 mai une décision concernant l’approbation de cette transaction.
Le directeur général du London Stock Exchange (LSE) s’est félicité de la décision prise par l’opérateur boursier canadien TMX de rejeter la proposition de rachat formulée par un consortium canadien et de poursuivre avec son offre de 3 milliards de dollars. «Notre offre est solide et nous avons mis plus de six mois pour étudier les aspects juridiques et réglementaires avant d’annoncer notre proposition », a souligné Xavier Rolet à Reuters.
Contesté par son actionnaire de référence, Apax Partners, le PDG du groupe Altran devrait conserver la majorité des voix au conseil d’administration qui statuera sur son avenir. Selon le Journal du Dimanche, les nominations des trois nouveaux administrateurs qu’il proposait ont été acceptées. «Apax a donc renoncé à prendre le contrôle du conseil», écrit le journal.
La société d’investissement aurait décidé de retirer son offre de rachat sur les activités routières d’Aviva, RAC, valorisées à un milliard de livres (1,15 milliard d’euros) selon le quotidien. En effet, Bain Capital aurait fait une offre inférieure à celles de ses concurrents, Carlyle, Clayton Dubilier & Rice et BC Partners, qui seraient toujours en course.
La dette grecque ne devrait pas conduire à un effet domino de contagion aux autres pays de la zone euro dans la mesure où les problèmes qui gangrènent le Portugal sont d’une autre nature, a indiqué le Gouverneur de la banque de France au quotidien japonais. Christian Noyer a également estimé qu’une restructuration de la dette grecque avec des coupes dans le principal n’était pas la solution.
Le conseil d’administration du Fonds stratégique d’investissement se réunit le 31 mai pour «préparer l’avenir», et notamment le renouvellement des mandats de ses membres. Des trois indépendants, Patricia Barbizet et Denis Kessler souhaiteraient «poursuivre l’aventure», mais pas Xavier Fontanet, du fait de son départ d’Essilor. «Plusieurs grands patrons de sociétés du CAC 40 seraiententrés dans un processus de sélection pour lui succéder» selon le quotidien.