Nos articles d’actualité et d’analyse sur le thème de la retraite (capitalisation, répartition), son financement, ses réformes et ses conséquences pour les acteurs financiers (assureurs, banques, fonds etc.)
La mise en place d’un Conseil d’orientation scientifique doit permettre de fixer les travaux de recherche et d’investigation nécessaires et également apporter des éléments de crédibilité dans la constitution du Corpus de l’association : ses membres sont désignés intuitu personae, en raison de leurs compétences ou de leur expérience par le conseil d’administration : ils peuvent être choisis par collège (universitaires, élus, hauts fonctionnaires, dirigeants, ....) Compte tenu de la nécessité de dégager un budget d’opérations (événementiel, baromètre...), la recherche d'économies a conduit à envisager de mutualiser les charges avec d’autres associations, autour du concept de GIE ou Centre associatif de coûts partagés : des négociations sont en cours avec SilverLife. D’autres associations sont contactées. L’idée de la création d’une « Maison de l’Epargne-Retraite et de l’investissement... » pourrait sans doute améliorer encore le modèle économique tout en donnant une visibilité médiatique et l’opportunité de développer des positions convergentes pour promouvoir l'épargne longue dans notre pays. En pièce jointe, les objectifs de ce nouveau think tank
Face au défi du financement des régimes de retraites, le choix de régime mixtes conciliant répartition et capitalisation s’est fortement développé, la part des fonds de pensions pouvant même constituer la composante principale de certains systèmes de retraite. Pour garantir des retraites viables avec un niveau de pension adéquat, l’OCDE vient de publier une feuille de route destinée à améliorer la conception des régimes d'épargne retraite à cotisations définies. En 10 recommandations, l’OCDE rappelle l’importance pour les Etats d’encourager le recours à l'épargne retraite supplémentaire notamment à travers la mise en place d’un dispositif d’inscription automatique et le développement des incitations fiscales. L’OCDE insiste par ailleurs sur la nécessité d’introduire des stratégies d’investissements par défaut, selon son appétence au risque et son horizon de placement, afin que ces produits se diffusent largement dans la population. Les plans doivent également tenir compte des cycles de vie afin de ne pas faire porter les risques marchés sur des personnes proche de la retraite. Enfin, l’objectif étant le maintien d’un niveau de vie descend après la cessation d’activité professionnel dans un contexte de vieillissement de la population, l’OCDE rappelle l’importance de favoriser la transformation de l'épargne constituée en rente afin de prémunir les souscripteurs contre le risque de longévité. Pour lire le rapport de l’OCDE : cliquez ici
Selon nos informations, Jean-Yves Mary est devenu le directeur des investissements en private equity chez Malakoff Médéric. Ses prérogatives comprennent également les investissements en infrastructures. Malakoff Médéric est actuellement en phase de réflexion sur cette nouvelle classe d’actifs. Auparavant portfolio manager chez Natixis AM, il a notamment été en charge de la gestion et des risques des mandats de non coté pour le compte de CNCE.
Nous avons relayé dans un post précédent les propositions de Fondact pour développer l'épargne salariale. Malheureusement aucune n’a été reprise par le nouveau gouvernement et pire il a augmenté le forfait social de 8 à 20% à partir du 1er août. Cette hausse massive frappe de plein fouet la Participation, l’Intéressement, l’Abondement PEE ou PERCO et les régimes de retraite à cotisations définies de type article 83. Elle pénalise l'épargne longue puisqu’elle frappe indistinctement les sommes perçues immédiatement et les sommes épargnées qui financent les fonds propres de nos entreprises via l’actionnariat salarié des PEE et la part importante de l’investissement en actions des dispositifs de type PERCO ; et contribuent au développement de l'épargne retraite par capitalisation. Espérons que le gouvernement saura à l’avenir encourager le partage du profit en reprenant certaines des propositions du rapport rappelées ci-après : cliquez ici
A l’invitation de Michel Sapin, Ministre du Travail, Fondact a apporté une contribution à la conférence sociale pour mettre en évidence les dommages collatéraux que provoquerait la hausse du forfait social. Le partage des profits, moteur essentiel de notre économie. Le partage des profits regroupe tous les dispositifs permettant d’associer les salariés aux résultats de leur entreprise : participation, intéressement, actionnariat, plan d'épargne salariale... Le gouvernement prévoit une taxation accrue des sommes versées aux salariés dans le cadre des accords de participation, d’intéressement et de l’abondement. FONDACT, l’association qui réunit tous ceux qui croient aux vertus du partage des profits, souhaite ici rappeler aux décideurs politiques que : L'État se prive d’un facteur essentiel de redressement et d’un outil efficace pour combattre la désindustrialisation. L'État évalue mal les effets collatéraux. C’est pourquoi, une décision hâtive de taxation est risquée. Non seulement son bienfait pour les finances publiques serait de courte durée mais elle provoquerait à brève échéance des effets désastreux. La recette escomptée pourrait en réalité générer un manque à gagner bien supérieur. D’autres voies sont possibles. Lire la suite : cliquez ici
Les lignes directrices, publiées en mars par l’ERAFP, sont le premier signal donné par un investisseur institutionnel de volonté d’associer une stratégie d’investissement « best in class » à de l’engagement auprès des émetteurs. Philippe Desfossés, son directeur, Olivier Bonnet, son responsable ISR, et Eric Loiselet, le président du comité de suivi des placements de l’ERAFP, tirent ensemble un premier bilan de cette politique : « L’ERAFP a affirmé des positions originales. Sur la rémunération des dirigeants, nous estimons qu’elle ne devrait pas excéder 100 fois le salaire minimum, sur la distribution des dividendes nous estimons que la rétribution des actionnaires ne doit pas se faire au détriment des salariés ou de l’investissement et enfin nous nous opposons aux stock options pour les dirigeants des grandes entreprises ». La saison 2012 étant un premier test, l’ERAFP a concentré ses analyses sur une vingtaine d’entreprises françaises. Ses positions étant relativement en décalage avec les résolutions soumises au vote en AG, le taux moyen de contestation de l’ERAFP est de 34% contre 6% pour l’ensemble des actionnaires. Sur les dividendes, il s’est par exemple opposé à 6 résolutions sur 20 parce qu’il les jugeait trop élevés. Cette position est loin d'être partagée par la quasi-totalité des actionnaires ! L'étape suivante consiste à mobiliser d’autres acteurs autour de la politique d’engagement 2013 qui devrait être arrêtée d’ici la fin de l’année. « Le poids de l’actionnaire en volume d’actions est déterminant pour faire entendre sa voix. Les entreprises ne nous ont pas encore identifiés d’autant plus que nous ne nous sommes pas adressés à elles, avant et après l’AG, pour expliquer nos votes ». Pour cela, il faut des moyens supplémentaires au sein de l’ERAFP afin d’analyser les résolutions à l’aune de la politique de vote. Il faudrait aussi nouer des alliances au sein de coalitions étrangères, si possible, ainsi qu’avec d’autres investisseurs français. L’ERAFP rêve d’une action commune des grands investisseurs publics français...
L’Assemblée nationale a adopté, jeudi soir, le passage du forfait social sur les produits d'épargne salariale à 20 %. Cette mesure sera maintenant examinée par le Sénat. Cette disposition qui est justifiée par le Gouvernement par la volonté d’harmoniser la taxation des revenus du travail et des revenus du capital risque de pénaliser les salariés. En outre, l'épargne salariale est un complément naturel salaires qui est négocié par les partenaires sociaux. Le forfait social pour l'épargne salariale, parfois considéré comme une CSG patronale, a été augmenté de 8 à 20%. Pour Bercy, il s’agit d'éviter la substitution de l'épargne salariale (intéressement, participation...) non soumise à cotisations sociales aux hausses de salaires directs qui contribuent au financement de la protection sociale. Ce relèvement rapportera 550 millions d’euros en 2012 et 2,3 milliards d’euros en 2013.
Patrick Bézier, directeur général du groupe de protection sociale de l’audiovisuel, de la communication, de la presse et du spectacle Audiens a été nommé au grade de chevalier de la Légion d’honneur. Le décret de nomination est publié au Journal Officiel du 14 juillet 2012.
Depuis que la loi a rendu obligatoire la proposition d’un fonds solidaire dans tout plan d'épargne entreprise, l'épargne salariale solidaire est devenu le principal moteur du financement des entreprises solidaires, déclare Sophie des Mazery, directrice de Finansol. En effet, de nombreuses entreprises solidaires, qui agissent en faveur de l’emploi et du logement social, sont financées via cette épargne. En 10 ans, grâce à ces entreprises, 200 000 emplois non délocalisables ont ainsi été créés ou consolidés, 82 700 entreprises ont pu être soutenues et près de 35 000 personnes ont retrouvé un logement décent* (*Résultats du Baromètre 2012 Finansol/La Croix) En alourdissant la fiscalité de ce dispositif, de réelles menaces pèsent sur la capacité de ces entreprises à agir en faveur des personnes et territoires les plus vulnérables, à un moment où cette action est plus que jamais nécessaire, précise Sophie des Mazery, directrice de Finansol. Face à cette annonce, Finansol mène une action de sensibilisation du Parlement : L’objectif est d’obtenir un taux réduit pour le relèvement du forfait social applicable à l'épargne salariale, lorsque les salariés choisissent un fonds d'épargne salariale solidaire. Tout en étant consciente des enjeux de réduction du déficit public, Finansol propose donc que l'épargne salariale investie dans des fonds solidaires (FCPE solidaires) bénéficie d’un taux de forfait social réduit à 16% soit 4 points de moins que le taux de droit commun proposé par le projet de loi de finance rectificative.
Pour les caisses de pension de droit privé évaluées, le taux de couverture pondéré en fonction de la fortune est resté inchangé à 104,8% par rapport au trimestre précédent. La situation est similaire pour les caisses de droit public avec capitalisation totale, pour lesquelles le degré de couverture pondéré en fonction de la fortune s'élève à 96,7%. A l’instar des institutions de droit privé, ces caisses doivent constituer une réserve de fluctuation et visent également un taux de couverture supérieur à 100%. Chez les caisses de droit public garanties par l’Etat, une capitalisation partielle de 80% est autorisée. Au deuxième trimestre, ces institutions ont affiché un degré de couverture pondéré en fonction de la fortune de 72,8%. Les institutions de prévoyance évaluées ont réalisé depuis début 2012 un rendement moyen pondéré en fonction de la fortune de 2,8%. Par conséquent, la part de caisses en situation de sous-couverture n’a que légèrement diminué. La part estimée des institutions en situation de sous-couverture se situe à 20% pour les caisses de droit privé, alors qu’elle s'élève à 67% pour les caisses de droit public avec capitalisation totale. Les estimations actuelles au 30 juin 2012 sont basées sur les indications effectives au 31 décembre 2011 de 340 institutions de prévoyance totalisant une fortune de CHF 437 milliards. Les estimations sont établies sur la base des évolutions du marché et de la stratégie de placement choisie en début d’année 2012 par les participants à l’enquête. Pour plus d’informations, consulter le site www.swisscanto.ch/moniteur-cp.
Le Conseil d’Orientation des Retraites a engagé mercredi 11 juillet un important chantier d’actualisation des prévisions de déficit. Ce travail vise à prendre en compte de nouvelles ???hypothèses de croissance et de chômage qui sont moins optimistes qu’en 2010, année de la dernière prévision. Les nouvelles projections serviront de base à la négociation annoncée lors de la conférence sociale. La Direction du Trésor a présenté trois scénarii qui s'échelonne jusqu’en 2060 contre 2050 lors de ces précédentes prévisions. Pour le court terme, jusqu’en 2017, les prévisions de chômage, de croissance du PIB et de la productivité du travail sont communes. Elles correspondent aux hypothèses retenues par le gouvernement pour ses prévisions du quinquennat : un taux de chômage de 8,4 % en moyenne, une hausse de la productivité limitée à 1,1 % par an, un taux de croissance potentielle du PIB de 1,6 %. Par rapport aux prévisions de 2010, la diminution du chômage a été revue à la baisse ainsi que prévisions de progression de la productivité. Au-delà de 2017, deux des trois scénarios ont été retenues par la Direction du Trésor reprenant ceux de 2010. Néanmoins, «un nouveau scénario plus défavorable a été ajouté pour tenir compte de la possibilité que les gains de productivité aient été durablement amoindris par la crise». Selon ce scénario, le taux de chômage ne descendrait pas en dessous de 7 % jusqu’en 2060 quand les deux autres tablent sur un taux de 4,5 % à long terme. Une telle situation serait lourde de conséquences en matière de déficit. Le Conseil d’Orientation devrait publier son rapport d’ici la fin de l’année. Lire la suite : cliquez ici
Jean-Marc Robinet, nouveau DG du groupe Réunica, nomme trois directeurs dans le cadre de la nouvelle organisation du groupe. Corinne Biadatti prend la direction des comptabilités du groupe, elle est sous la responsabilité de Michel Gayer, DG adjoint chargé des affaires générales et finances. Cette diplômée de l’ESC Reims et expert-comptable a occupé des missions d’audit légal pendant vingt ans au sein du cabinet PriceWaterhouseCoopers, avant de rejoindre Réunica en 2001, où elle exerçait précédemment en tant que responsable des comptabilités du groupe. Stéphane Demuth est promu directeur gestion et commercial individuel du pôle Arpege. Il reporte à Alain Stressel, DG adjoint du pôle assurances de personnes d’Arpege. Diplômé de l’Institut de formation d’actuariat de Srasbourg, Stéphane Demuth a débuté sa carrière au sein d’une collectivité territoriale avant d’intégrer Réunica en 1996. Christian Schmutz devient directeur immobilier et logistique. Il est rattaché à Michel Gayer. Diplômé de l’ESTP, ingénieur en génie civil, Christian Schmutz après un début de carrière en 1985 chez Bouygues, puis chez Eiffage a rejoint en 1989 le Groupement foncier français (GFF) en tant que responsable de programmes immobiliers. C’est en 1998 qu’il rejoint Réunica, où il était jusqu'à présent responsable immobilier et logistique.
Dans le cadre de sa stratégie de développement présentée en mai, le Groupe OFI annonce la création d’une direction marketing et stratégie, avec pour objectif de structurer l’offre de produits et de services à destination d’une clientèle française et internationale. Vincent Ribuot, précédemment Directeur des investissements et membre du Comité de direction de l’UMR, rejoindra OFI Asset Management début septembre en qualité de Directeur marketing et stratégie ; il sera membre du Comité exécutif. Il aura pour mission de coordonner et mettre en oeuvre la stratégie marketing au sein d’un pôle renforcé avec l’arrivée de Alejandro Hiniesto, en charge du marketing Europe, et d’un responsable des appels d’offres en cours de recrutement. Pour Maxime du Chayla, Directeur Général Délégué d’OFI Asset Management : « nous nous réjouissons de l’arrivée de Vincent Ribuot dont l’expérience et la connaissance du monde institutionnel sont parfaitement en ligne avec les ambitions de notre Groupe. La nouvelle direction marketing et stratégie que nous mettons en place marque une étape indispensable dans notre développement en France et à l’international ». Vincent Ribuot, Directeur Marketing et Stratégie Après 15 ans d’expérience dans différentes banques d’investissement françaises et étrangères, Vincent Ribuot, 49 ans, rejoint en 2003 la Direction des investissements de l’UMR, où il est membre du Comité de direction. Il est par ailleurs élu Vice-Président de l’Af2i, en 2008. À ce titre, il est responsable des groupes de travail sur la classification des OPCVM et la gestion alternative, ainsi que de l’enquête annuelle. Vincent Ribuot a été élu « Investisseur institutionnel de l’année » lors des talents de la gestion 2006 et lauréat, au titre de la gestion ALM du Corem, de plusieurs récompenses au niveau européen (IPE Awards 2005, 2006, 2010, 2011 ; IPE Real Estate Awards 2006, 2007, 2008). Vincent Ribuot est titulaire d’un MBA en Finances internationales obtenu à New-York en 1987 et diplômé de l’IPAG, 1986.
Pour faire face aux nombreuses mutations que connaît le monde de la protection sociale, MICILS, mutuelle du Groupe APICIL et ses quatre partenaires mutualistes, Mutuelle GRM, Mutuelle Intégrance, Sud-Ouest Mutualité et la Mutuelle Prémiris, ont décidé de créer une UGM (Union de Groupe Mutualiste). La création de cette nouvelle entité, baptisée UNALIS Mutuelles, a été annoncée le 6 juillet 2012 lors de l’Assemblée Générale Constitutive par les mutuelles fondatrices. A travers UNALIS Mutuelles, les cinq entités affichent leur volonté de partager une vision politique commune sur l'évolution de la protection sociale et de la complémentaire santé. Cette Union se veut une base solide qui leur permettra de gagner en force dans leurs réflexions pour élaborer une stratégie d’assurance de personnes axée notamment sur la prévention, la responsabilité individuelle et l’action sociale. L’UGM s’appuiera sur la mise en commun de moyens pour satisfaire la réalisation de ses objectifs, tout en contribuant au développement coordonné de chacune des mutuelles membres. D’ores et déjà, les mutuelles adhérentes d’UNALIS Mutuelles assurent en santé 596 000 personnes protégées et représentent 367,4 millions d’euros de cotisations. UNALIS Mutuelles a aussi vocation à être un pôle mutualiste et favorisera l’accueil d’autres mutuelles partageant les mêmes valeurs. Le Conseil d’Administration d’UNALIS Mutuelles est composé de 10 membres. Monsieur Jean BARUCQ, Président de la Mutuelle Intégrance a été élu Président de UNALIS Mutuelles et Messieurs Jacques MARTIN, Président de la Mutuelle MICILS et René QUARTI, Président de Sud-Ouest Mutualité, vice-présidents.
Réunica ne choisira pas avant le premier trimestre 2013 avec qui, de Malakoff Médéric, Apicil ou AG2R La Mondiale, il se rapprochera pour former un nouveau groupe de protection sociale. Il veut atteindre la taille critique en assurances de personnes. Tout, sauf une urgence. Le projet de rapprochement en cours entre le groupe paritaire de protection sociale Réunica et l’un de ses trois alter ego, AG2R La Mondiale, Apicil ou Malakoff Médéric, s’apparente à une course de fond. Entre le moment où il a annoncé avoir identifié trois partenaires possibles, début janvier, et le moment où il leur a envoyé le cahier des charges, en juin, il s’est déjà passé près de six mois. Les candidats ont jusqu'à début octobre pour répondre à un dossier de consultation de 36 pages. Très discret depuis le début du processus, le groupe donne un premier aperçu du calendrier. « Le choix du groupe retenu ne se fera pas avant le premier trimestre 2013. Il y aura alors sans doute des éléments à compléter et à redéfinir. Ce n’est qu’ensuite seulement que nous pourrons écrire une lettre d’intention commune », précise Jean-Marc Robinet, directeur général depuis le 1 er juillet. Il faudra ensuite compter un an pour monter le dossier auprès des fédérations Agirc et Arcco et du Centre technique des institutions de prévoyance, qui ne devraient pas rendre leur avis avant l’automne 2014. Pour lire la suite : cliquez ici
Jean-Marc Robinet a été nommé Directeur Général du groupe Réunica le 1er juillet 2012. Il remplace Jean-Louis Coulon, parti à la retraite. L’Association sommitale du groupe Réunica a confirmé la nomination de Jean-Marc Robinet au poste de Directeur Général du Groupe. Directeur Général délégué de Réunica depuis 2005, il remplace Jean-Louis Coulon, qui part à la retraite. Titulaire d’un diplôme d’expertise comptable, Jean-Marc Robinet a commencé sa carrière dans l’audit avant de rejoindre le groupe Réunica en 2005. La nomination, qui prend effet au 1er juillet 2012, s’accompagne d’une nouvelle organisation de la société. D’un côté, le comité exécutif du groupe réunira désormais 6 directeurs généraux adjoints autour de Jean-Marc Robinet. De l’autre, le comité de direction rassemblera, autour des membres du Comité Exécutif, l’ensemble des directeurs des unités fonctionnelles du groupe.