Le consortium formé par Ardian avec Bertrand et Thierry Letartre, descendants des fondateurs, a annoncé hier avoir conclu la cession des Laboratoires Anios, repris par l’américain Ecolab. Annoncée en juin dernier, cette transaction valorise le groupe de désinfection en milieu hospitalier, pour l’industrie et les collectivités environ 750 millions d’euros. La société d’investissement avait pris 47% du capital en 2013, au côté des frères Letartre à 51%, lors du rachat du groupe à Air Liquide.
Le consortium formé par Ardian avec Bertrand et Thierry Letartre, descendants des fondateurs, annonce avoir conclu la cession des Laboratoires Anios, repris par l’américain Ecolab. Annoncée en juin dernier, cette transaction valorise le groupe de désinfection en milieu hospitalier, pour l’industrie et les collectivités environ 750 millions d’euros, précise le communiqué d’Ardian. La société d’investissement avait pris 47% du capital en 2013, au côté des frères Letartre à 51%, lors du rachat du groupe à Air Liquide.
L’Association française des investisseurs pour la croissance (Afic) a présenté ce matin «16 propositions qui seront adressées aux candidats à l’élection présidentielle pour favoriser la croissance et la création d’emplois en France». L’association des professionnels du capital-investissement veut favoriser l’investissement de long terme dans les entreprises en supprimant notamment l’impôt de solidarité (ISF) sur la fortune pour «favoriser l’ouverture et la rotation du capital». En contrepartie de cette proposition qui nuirait aux FIP et FCPI ISF de certains de ses membres, l’Afic souhaite un élargissement de la réduction d’impôt sur le revenu liée à ces fonds dédiés à l’innovation et aux PME régionales. Elle propose aussi de limiter à 25% la taxation des plus-values mobilières ou encore de favoriser le réinvestissement des plus-values en fonds propres dans les start-up.
Aryzta a annoncé l’ouverture d’une revue stratégique de ses différentes participations, principalement celle dans Picard Surgelés. Lors d’une conférence téléphonique avec les investisseurs, Gary McGann, le nouveau président du groupe suisse de boulangerie industrielle, a indiqué qu’il consulterait ses actionnaires sur cette question. Toutes les options seront envisagées, a-t-il ajouté.
Petit Forestier ne prendra pas le contrôle de Fraikin. Le loueur de camions frigorifiques a renoncé en raison des exigences de l’Autorité de la concurrence. Les négociations entre les deux groupes avaient été annoncées en juin 2016. Dans un communiqué, l’autorité, qui avait ouvert une phase d’examen approfondi de l’acquisition, indique que «l’opération aurait abouti à la constitution d’un quasi-monopole du nouvel ensemble». Selon elle, la nouvelle entité aurait détenue une part de marché de 90% sur le marché de la location longue durée de véhicules industriels frigorifiques. «Après plusieurs consultations des acteurs du marché (fournisseurs, concurrents, clients) et la réalisation de tests quantitatifs, l’Autorité a identifié un risque non négligeable d’augmentation des prix pour les clients, constitués notamment de nombreux artisans», ajoute l’anti-trust.
Michel Paris, président et directeur exécutif de PAI Partners, a décidé de scinder ses fonctions, ont rapporté hier Les Echos. Seul aux manettes depuis la mi-2015, après que Lionel Zinsou s’est lancé dans la politique au Bénin, il cède la direction du comité d’investissement à Frédéric Stévenin en vue de la prochaine levée de fonds. Entré en 1993 au sein de la société de gestion, Frédéric Stévenin venait de prendre la tête des équipes en charge des biens de consommation et de la santé.
Michel Paris, président et directeur exécutif de PAI Partners, a décidé de scinder ses fonctions, annoncent ce matin Les Echos. Seul aux manettes depuis la mi-2015, après que Lionel Zinsou s’est lancé dans la politique au Bénin, il cède la direction du comité d’investissement à Frédéric Stévenin en vue de la prochaine levée de fonds. Entré en 1993 au sein de la société de gestion, Frédéric Stévenin venait de prendre la tête des équipes en charge des biens de consommation et de la santé. « Ce passage de témoin intervient alors que PAI Partners va solliciter ses investisseurs pour la levée de son septième fonds, à hauteur de 4 à 5 milliards d’euros, en fin d’année », précisent Les Echos.
Le fonds HLD et Didier Tabary, le président des laboratoires Filorga et SVR, ont racheté la marque Le Couvent des Minimes auprès du groupe L’Occitane, ont annoncé ce matin les deux parties. La société va rejoindre le pôle cosmétiques du fonds d’investissement dirigé par Jean-Bernard Lafonta et Jean-Philippe Hecketsweiler. Créé en 2004 par L’Occitane pour l’un de ses clients américains, Le Couvent des Minimes commercialise ses produits à base de plantes dans 15 pays, principalement en pharmacie et parfumeries. Assez proche du positionnement de L’Occitane elle-même, cette gamme ne rentrait plus dans la stratégie du groupe. « Cette cession va nous permettre de concentrer le travail de nos équipes et nos investissements marketing sur nos marques les plus importantes : L’Occitane en Provence, L’Occitane au Brésil, Melvita et Erborian », déclare le groupe coté à Hong Kong dans un communiqué.
Le spécialiste des centres d’appels a renégocié à la baisse le coût de sa ligne de financement, mise en place début 2016 à la suite de son rachat en LBO par KKR. Cette facilité cov-lite de 560 millions d’euros à échéance 2023 qui payait jusqu'à présent 550 point de base au-dessus de l’Euribor, voit sa marge abaissée à 425 points de base avec un plancher Euribor à 0% et un prix au pair. La fourchette initiale était proposée à 450-475 pb et à 99,75% du pair. Webhelp envisage d’ajouter une rallonge de 75 millions d’euros, ainsi qu’une tranche en sterling payant 500 pb au-dessus du Libor avec un floor à 0%. La transaction est dirigée par KKR et Nomura.
Le spécialiste des centres d’appel a renégocié à la baisse le coût de sa ligne de financement, mise en place début 2016 à la suite de son rachat en LBO par le fonds KKR. Cette facilité cov-lite de 560 millions d’euros à échéance 2023 qui payait jusqu'à présent 550 point de base au-dessus de l’Euribor, voit sa marge abaissé à 425 points de base avec un plancher Euribor à 0% et un prix au pair. Un niveau encore en-dessous de la fourchette initiale, proposée à 450-475 pb avec un prix de 99,75% du pair.
KKR a annoncé vendredi l’achat au conglomérat Hitachi de sa filiale d’outillage électrique Hitachi Koki pour 1,3 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros). L’offre sera lancée le 30 janvier, à raison de 1.450 yens par action décomposés en 870 yens en cash et en 580 yens de dividende exceptionnel. L’action Hitachi Koki a terminé à 1.508 yens vendredi en Bourse de Tokyo, ce qui valorise la filiale 186 milliards de yens (1,5 milliard d’euros).
KKR a annoncé aujourd’hui l’achat au conglomérat Hitachi de sa filiale d’outillage électrique Hitachi Koki pour 1,3 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros). C’est la deuxième acquisition du fonds de capital-investissement américain au Japon en trois mois. KKR avait racheté en novembre l'équipementier automobile Calsonic Kansei pour 4,5 milliards de dollars. L’offre sera lancée le 30 janvier, à raison de 1.450 yens par action décomposés en 870 yens en cash et en 580 yens de dividende exceptionnel. L’action Hitachi Koki a terminé à 1.508 yens vendredi en Bourse de Tokyo, ce qui valorise la filiale 186 milliards de yens (1,5 milliard d’euros).
La famille Provost et les managers reprennent le plein contrôle du groupe de salons de coiffure Provalliance en rachetant la participation minoritaire de 40% détenue depuis 2012 par Chequers Capital. Créé par Franck Provost en 1975, Provalliance est devenu le numéro un des salons de coiffure en Europe avec un réseau de près de 3.000 salons pour environ 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires.
Repris entre 20 et 30 millions d'euros par Equistone en 2013, le comparateur et courtier en crédit et assurance devrait être cédé dix fois plus cher à Goldman Sachs Merchant Banking.
Acquis en 2010 par Fondations Capital, le spécialiste des produits préfabriqués en béton en France et en Belgique a été cédé à Chequers Capital pour un montant non dévoilé. Avec son actionnaire actuel, «le groupe Alkern a connu une croissance de près de 50% de son chiffre d’affaires, portée par une stratégie d’innovation à travers notamment le lancement de nouveaux produits à haute performance énergétique, et d’acquisitions avec 14 opérations de croissance externe réalisées au cours des cinq dernières années», selon un communiqué. En 2015, son chiffre d’affaires dépassait 180 millions d’euros.
Acquis en 2010 par Fondations Capital, le spécialiste des produits préfabriqués en béton en France et en Belgique a été cédé à Chequers Capital. Avec son actionnaire actuel, «le groupe Alkern a connu une croissance de près de 50% de son chiffre d’affaires, portée par une stratégie d’innovation à travers notamment le lancement de nouveaux produits à haute performance énergétique, et d’acquisitions avec 14 opérations de croissance externe réalisées au cours des cinq dernières années», selon un communiqué. En 2015, son chiffre d’affaires dépassait 180 millions d’euros. Le prix de la transaction n’est pas communiqué.