Nos articles d’actualités et d’analyse sur l’allocation des investisseurs par grandes classes d’actifs - actions, obligations, crédit, actifs réels, immobilier.
BNY Mellon Investment Management on 24 September announced that it has decided to stop the activities of EACM Advisors, a previously independent entity within the group, specialised in long-only and hedge fund strategies, totalling about USD3.9bn in assets under management as of the end of August 2018. The fund of hedge fund strategies, totalling about USD2.1bn under management, will be closed to new investors, and existing capital will be gradually repaid.It has also been decided, with the approval of the board of directors of the fund, to liquidate the Dreyfus Select Managers Long/short fund, for which EACM is the manager responsible for allocation. The liquidation is expected to take place on or about 30 November 2018, a statement says. The two long-only mutual funds from Dreyfus for which EACM is responsible for allocation, Dreyfus Select Managers Small Cap Value fund and Dreyfus Select Managers Small Cap Growth Fund, with total assets under management of USD1.8bn, will continue to be managed within BNY Mellon Investment Management.“Despite the long track record of EACM, demand for fund of hedge fund strategies has fallen. Following an evaluation of the market, we no longer consider the fund of hedge fund category to be an independent product range within our US asset management portfolio, in light of the integrated capacities we have elsewhere,” said Des MacIntyre, CEO for US asset management at BNY Mellon Investment Management and a member of the board of directors at EACM.
Apicil tient à préserver un cercle vertueux en finançant ses entreprises adhérentes par divers canaux : pour ce faire, elle investit en private equity, ou encore dans des fonds de prêts à l'économie. L'institution privilégie les entreprises innovantes, parfois dans le but de proposer leurs services à ses clients, nous explique Bertrand Jounin, directeur général de Gresham Banque, dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest 2018.
Aperture Investors, la nouvelle société de gestion lancée par Generali et Peter Krauss, ancien PDG d’AllianceBernstein (lire NewsManagers du 21 septembre 2018), a recruté David Saab en qualité de « managing director » et responsable de l’activité internationale, peut-on lire sur le site internet de la société. L’intéressé devrait rejoindre Aperture Investors dans les prochaines semaines.Avant de rejoindre Aperture Investors, David Saab était responsable mondial de l’obligataire et des fonds « absolute returns » chez J.P. Morgan Private Bank. Avant cela, il a été gérant de portefeuille au sein de Banque Privée Edmond de Rothschild où il dirigeait la recherche obligataire et sur les fonds « absolute returns » ainsi que l’équipe de multi-gérants. Il était également membre du comité d’investissement de Banque Privée Edmond de Rothschild.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }LaurentGaillot, director of external partnerships and distribution atConvictions Asset Management (Convictions AM) since 2015, has leftthe asset management firm to join the life insurance company AFI ESCAPatrimoine, his LinkedIn profile states. He has joined the firm asdirector of development responsible for the network of independentfinancial advisers. Before joining Convictions AM in 2015, Gaillotserved at CD Partenaires, where for nearly seven years, he served asdirector of sales and marketing. Before that, he was head of salesand marketing at Vie Plus, an affiliate of Suravenir, itself anaffiliate of Crédit Mutuel Arkéa, from 2004 to 2008. He began hiscareer as a salesperson at Ageas France from 1990 to 2003.
The financial services group Perpetual announced that it has entered into a global strategic cooperation agreement, a first for the business, announcing a partnership with FundRock Management Company (FundRock). The collaboration will enable clients from both brands to leverage the expertise and services offered in their respective core markets. FundRock is the premier independent fund management company in Europe employing over 100 industry professionals with presence in Ireland, UK, Luxembourg and Singapore. Established in 2004 as part of RBS, FundRock is a full-service host Authorised Corporate Director (ACD), Alternative Investment Fund Manager (AIFM) and ManCo now service over 300 funds and AUD$76 billion (€47 billion) of assets under management. Glen Dogan, Head of Sales and Relationship Management at Perpetual Corporate Trust said “Australia represents a compelling opportunity for global investment managers seeking to expand into new markets.” “Australia’s investment pool is significant by global standards and is expected to continue its solid growth, attracting many global managers to our market. At the same time, there is a shift among Australian investors towards global investing to balance overexposure to domestic equity and property assets. This new alliance deals directly to this trend.”
Gianni Romeo, 46 ans, rejoint Primonial Partenaires, société du groupe Primonial dédiée aux conseillers en gestion de patrimoine, et prend la responsabilité du département juridique et réglementaire. Dans un contexte réglementaire de plus en plus exigeant, cette nomination a pour objectif de renforcer l’activité du pôle juridique et réglementaire pour Primonial Partenaires et d’accompagner les CGP partenaires sur ces questions. Titulaire d’un DEA de Droit Social (Paris II Panthéon-Assas), il débute sa carrière en 1998 comme conseiller juridique et fiscal chez Aviva Vie puis intègre en 2006 Rothschild & Cie Gestion pour la plateforme Sélection R au poste de juriste. En 2011, il devient responsable juridique et réglementaire chez Natixis Wealth Management pour la plateforme Sélection 1818. Depuis 2012, il est également chargé d’enseignement à Paris-Dauphine pour le Master Gestion de Patrimoine et Banque Privée.
Après les records enregistrés l’an passé, le marché des SCPI retrouve son rythme de croisière , Bien qu’en-dessous de sa moyenne sur 10ans, le taux de rendement courant (4,4 %) demeure attractif
NextStage, société d’investissement cotée sur le marché réglementé d’Euronext Paris, spécialiste de l’investissement de long terme dans les ETM, a publié au 30 juin un actif net réévalué en hausse de 3,9 % à 220,6 millions d’euros. Cela porte la performance semestrielle de l’ANR investi à +17% en rythme annualisé (+43% depuis la création). Au 30 juin 2018, l’Actif Net Réévalué par action progresse de +3,7% à 114,42 euros (+4,04 euros vs. 110,38 euros au 31 décembre 2017), avant neutralisation des actions de préférence. Le chiffre d’affaires pondéré moyen des participations a augmenté de 33,4% à 59,6 millions d’euros et l’effectif cumulé a progressé de 14% (création de 426 emplois). Au total, 3 556 emplois sont recensés au 30 juin 2018 au sein du portefeuille de NextStage. Sur le semestre, NextStage a enregistré une progression de son dealflow avec 208 dossiers reçus et étudiés (+5% comparé au 30 juin 2017). NextStage réaffirme sa confiance pour la réalisation de son objectif d’investissement de 50 millions d’euros sur l’année 2018.Le montant engagé de 37,7 millions d’euros d’investissement au 31 août 2018 couvre la majorité de l’enveloppe de 48,3 millions d’euros levée lors de l’augmentation de capital de novembre 2017. Ainsi, afin d’accompagner la croissance de ses participations et de déployer sa stratégie d’investissement de long terme (portefeuille de 40 à 50 sociétés pour un capital de 500 M€), NextStage envisage d’augmenter son capital par placement privé. Cette opération pourrait être réalisée d’ici fin 2018, sous réserve des conditions de marché et de la poursuite de son programme d’investissement. D’autres opérations pourront être envisagées à l’avenir en fonction du rythme d’investissement.Le résultat opérationnel de NextStage au 30 juin 2018 s’établit à 7,97 millions d’euros contre 7,9 millions au 30 juin 2017.Après prise en compte du résultat de la gestion de trésorerie, le résultat net part du Groupe sur le premier semestre 2018 s’établit à 7,50 millions d’euros (contre 7,86 millions au 30 juin 2017).
La période estivale a été marquée par un retour du stress sur les marchés financiers, notamment émergents. Les disparités géographiques se sont accrues au cours des derniers mois. C’est sans doute le point le plus significatif aujourd’hui. D’un côté, la situation dans les pays développés est positive : aux États-Unis, la croissance devrait se maintenir à un niveau élevé autour des 2.5%. Au 2ème trimestre 2018, elle a même atteint un pic à 4.1%, dû au bonus fiscal de D. Trump. Ce cycle de reprise, débuté en juin 2009, est le 2ème plus long de l’histoire de l’économie américaine (le plus long ayant duré 120 mois, de mars 1991 à mars 2001). Il explique, entre autres, les niveaux records atteints par le S&P500. A court terme, il faudra néanmoins rester attentif aux élections de mi-mandat en novembre prochain, ainsi qu’à la poursuite du resserrement monétaire mené par la FED.
CalPERS a nommé Michael Cohen, en tant que nouveau directeur financier, pour superviser tous les systèmes financiers et les programmes de gestion des risques du fonds de pension qui gère 362 milliards de dollars. Michael Cohen, qui a quitté son poste de directeur du Département des finances de Californie la semaine dernière, possède plus de 20 ans d’expérience au sein du gouvernement, avec une expertise en matière de direction et de direction financière. Michael Cohen était directeur du Département des Finances depuis 2013. Il prendra ses nouvelles fonctions le 1er octobre 2018.Michael Cohen sera responsable de la gestion des processus financiers, y compris la budgétisation, la comptabilité, la gestion de la trésorerie, la planification et l’analyse financières et les projets de gestion des risques. Il fera également partie de l'équipe de direction et fournira des recommandations au conseil d’administration de CalPERS. CalPERS rappelle que le directeur financier ne fait pas partie de du comité d’investissement et n’est pas impliqué dans les décisions d’investissement. Marlene Timberlake d’Adamo, qui occupait le poste de directrice financière par intérim, reprendra son rôle de chef de la conformité. Elle relève du PDG de CalPERS et fait partie de l'équipe de direction.
Les SCPI ont bénéficié d’une collecte nette totale de 2,4 milliards d’euros au premier semestre, indique l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) dans son étude semestrielle. Si ce montant est en retrait par rapport à la première moitié de 2017, «dont l’exercice avait été historique», rappelle l’Aspim, il se situe nettement au-dessus de la moyenne de la collecte des premiers semestres des dix dernières années (1,6 milliard d’euros). La collecte des OPCI accessibles aux particuliers perd quant à elle 1,6 milliard d’euros par rapport au premier semestre 2017, pour s'établir à 1,1 milliard d’euros au cours des six premiers mois de 2018. Le marché «retrouve un niveau de souscriptions nettes déjà observé au cours des six premiers mois de 2015, alors même que cette collecte n’avait pas dépassé le milliard d’euros pour toute l’année 2014", commente l’Aspim, rappelant que ces fonds d’épargne immobilière restent très majoritairement distribués en tant qu’unité de compte en immobilier des contrats d’assurance-vie.Au cours de la même période, les SCPI ont réalisé un total d’acquisitions en immobilier de 2,3 milliards d’euros, conservant un rôle majeur au sein des investisseurs immobiliers en France. Plus d’un tiers de ces investissements (36%) a été réalisé à l’étranger, l’Allemagne représentant à elle seule près de la moitié (45%) des investissements opérés hors de France, note l’association. Par ailleurs, les SCPI ont cédé pour 330 millions d’euros d’immeubles, principalement des bureaux situés en Ile-de-France.Au 30 juin 2018, la capitalisation globale des SCPI approchait les 53 milliards d’euros, avec une hausse de 5,1% par rapport au 30 décembre 2017. Depuis 5 ans, la capitalisation des SCPI a crû de 76%. A même date, la capitalisation des OPCI se montait à 14,1 milliards d’euros et enregistrait ainsi une hausse de 8,6% par rapport au 31 décembre 2017.Sur les douze derniers mois, la performance globale des SCPI s'élève à 5% (dont un rendement courant de 4,4%). Sur les 10 dernières années, la performance globale annualisée des SCPI est de 6,1% avec une volatilité de 4,5%. La performance des OPCI, de 3,3%, est équitablement répartie entre le rendement courant et la valorisation de la valeur des actions. «Depuis 2008, leur performance globale annualisée atteint 5,1% avec une volatilité réduite à seulement 2,3%», conclut l’Aspim.
SEI Investments Canada Company (SEI Canada) yesterday announced the hiring of Lucy Paglione as senior client portfolio manager in its Toronto office. In this role, Paglione will be responsible for managing relationships with SEI’s non-profit and defined benefit Canadian clients. Her focus will be on delivering SEI’s outsourced chief investment officer (OCIO) services to clients by designing custom investment strategies that meet their goals while also managing overall risk.With more than 35 years of asset management experience, Paglione joins SEI Canada from the Teacher’s Pension Plan Fund in St. John’s, Newfoundland, where she implemented the fund’s investment strategy and was responsible for the day-to-day management of its investments.
British investors are holding a record level of assets in funds which show poor performance, according to the most recent “Spot the Dog” survey by Bestinvest, of 30 June, 2018. According to the guide, “which asset management firms would love to ban,” GBP33.6bn are invested in these “bad” funds, a level which has risen to five times where it stood in January. This represents 58 funds, compared with 26 previously.To fall into the bad category, a fund must fail to beat its benchmark in all of the past three years, and must be 5% or more below the index over 36 months.The explosion in assets in this most recent edition is due to the increase in number of underperforming funds, and also to the arrival of large funds in this category, including the High Income and Income funds from Invesco Perpetual (GBP9.4bn and GBP4.5bn in assets, respectively). Bad funds also include the JPM US Equity Income (GBP3.5bn) and the Janus Henderson European Selected Opportunities (GBP2.2bn). In total, seven funds with over GBP1bn are on the list.In terms of companies, Invesco Perpetual has risen to the top of the rankings, becoming the firm with the most assets (GBP15.1bn) and the most funds (5) which have underperformed the Bestinvest criteria. The previous and dethroned leader, Aberdeen Standard Investments, falls to fourth place. In second place is JP Morgan (due to one fund alone, the aforementioned US equity fund), and in third place is Henderson (2 funds). After Aberdeen come Fidelity, St. James’s Place, HSBC Investments, Jupiter, Artemis and Columbia Threadneedle.Global equities remain the category in which there are the most bad funds, with 19 products. Europe is another area in which the rate of failure has increased sharply, with 10 funds, compared with two in the previous edition released at the start of this year. However, global emerging market funds have no representatives in the list of funds to avoid – for now, at least.Bestinvest also gives a list of firms which gain the distinction of being completely absent from the list. These are: Aviva Investors, Baillie Gifford, Baring, BlackRock, BNY Mellon, First State, Fundsmith, JO Hambro, Kames Capital, Legal & General, Man GLG, M&G, Old Mutual Global Investors, Royal London and Stewart Investors.
Les investissements dans les fintech dans le monde ont bondi sur les six premiers mois de l’année 2018. D’après l’étude « The Pulse of Fintech » du cabinet d’audit KPMG, 57,9 milliards de dollars ont été investis dans des fintech sous forme de levées de fonds ou d’acquisition au premier semestre 2018, soit déjà près du double des montants investis tout au long de l’année 2017 (31 milliards de dollars). Deux énormes deals sont venus booster les chiffres : Ant Financial (la branche financière du géant chinois AliBaba) a levé 14 milliards de dollars et WorldPay a été acquis par son concurrent Vantiv pour 12,9 milliards de dollars. Les États-Unis ont accueilli près de la moitié des levées de fonds et des acquisitions 427 sur 875 pour 14,2 milliards de dollars. Si le continent européen compte moins de transactions (198), il représente le plus gros marché en montants investis avec 26 milliards de dollars, suivi par l’Asie (16,8 milliards de dollars pour 162 deals). La France dans la course aux fintech La France est en bonne place avec 218 millions d’euros levés pour 34 deals depuis le début de l’année. Le montant des transactions s'élève avec un ticket moyen qui atteint 6,4 millions d’euros contre 2,7 millions d’euros en 2016 et 5,4 millions d’euros en 2017. Ledger (blockchain) a constitué la plus grosse opération du semestre avec 61 millions d’euros. La start-up Alan avec 23 millions d’euros levés donne du poids à l’insurtech. Le marché devrait tenir sa dynamique. «Un nombre de rachats important a été annoncé au deuxième trimestre 2017, qui seront closés au troisième trimestre pour un montant total annoncé de l’ordre de 0,4 milliards d’euros», indiquent Fabrice Odent, associé responsable des activités bancaires, et Mikaël Ptachek, senior manager, responsable de la practice fintech, chez KPMG Franc faisant référence au Compte Nickel, Pumpkin, Kisskissbankbank, Dalenys, Credit.fr, respectivement en cours d’acquisition par BNPP, CM Arkea, La Banque Postale, BPCE et Tikehau Capital. Sur le marché, les plus gros investisseurs sont AXA, Crédit Mutuel Arkéa, BNP Paribas ou encore BPCE. Pour les trimestres à venir, le marché devrait être soutenu par la Station F, l’incubateur qui a ouvert au début de l’été à Paris avec l’implication de nombre de groupes internationaux et d’institutions financières tels que Microsoft, Ubisoft, Amazon et de grandes banques et assureurs français, souligne KPMG, et par les des différentes annonces d’Emmanuel Macron telles que le « Passeport talents » ou la dotation d’un fonds européen destiné à accélérer la croissance des start-up. TV
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }The first six months of the year have been particularly dynamic at Patrizia Immobilien AG, which has seen its operating profits rise 106.6% to EUR72.5m, compared with EUR35.1m in the same period of last year. The integration of the recent acquisitions Triuva and Rockspring, and organic growth, brought a significant increase in assets under management, to EUR39.6bn, up 81% compared with EUR21.9bn in 2017.“The results in first half 2018 emphasize the success of Patrizia as a pan-European real estate management platform. These good results come both from internal and external growth. The integration of our most recent acquisitions, including Triuva and Rockspring, is at advanced stages, and its positive effects are expected to be visible in second half 2018. The productivity gains and controlling costs has led us to revise our annual projections for operating profits up to EUR100m to EUR110m, compared with EUR85m to EUR100m in our previous projection,” says Karim Bohn, CFO at Patrizia, in a statement.Between January and June 2018, management fee revenues increased by 54% to a total of EUR135.8m, compared with EUR88.1m in the same period of 2017. Management fees (EUR81.1m) and performance-related fees (EUR37.2m) also rose sharply year on year, and are up 80.1% and 52.6% respectively, compared with first half 2017. These offset a slight decline in transaction fee revenues, to EUR17.5m, compared with EUR18.7m in first half 2017.Transaction volumes are also up (+69.8%) compared with first half 2017, to EUR2.1bn, in a market which has fallen overall compared with the first six months of last year. As of 30 June 2018, Patrizia had made EUR1.3bn in sales and EUR800m in acquisitions for its institutional and private clients. Despite an increased volume of sales, assets under management are up in the first half of 2018, following a transfer of asset management mandates for an Asian institutional management client. “This operation is a sign of increased confidence in the capacity and experience fo Patrizia in pan-European asset portfolio management. New acquisitions signed in the first half of 2018 which come into effect in second half will support the growth of assets under management at Patrizia,” a statement says.
Henrik Husted Knudsen, ancien gérant de Danske Bank, vient de rejoindre le multi family office danois Secure Fondsmaeglerselskab en qualité de gérant de portefeuille, a appris Citywire Selector. L’intéressé avait quitté Danske Bank en novembre 2017. Secure Fondsmaeglerselskab est un multi family office qui gère environ 400 millions d’euros d’actifs.
Pour s'adapter au mieux à ses contraintes de passif, l'Agirc-Arrco a constitué différentes strates au sein de son portefeuille, investies à différents horizons. Dans le cadre de sa participation aux Couronnes Instit Invest, Philippe Goubeault, directeur financier de l'institution, nous explique en quoi cette stratification permet de limiter les risques financiers. Il nous éclaire également sur ses projets d'investissement en dette.