Klarna a annoncé mardi avoir lancé son service «Pay now» aux États-Unis pour permettre aux clients de payer immédiatement et intégralement chez n’importe quel détaillant en ligne où son service de paiement est disponible en option.
L’assurtech française Leocare annonce aujourd’hui une série B de 110 millions de dollars menée par le fonds international Eight Roads et ses investisseurs historiques (Felix Capital, Ventech et Daphni), totalisant un montant de 133 millions de dollars levés cette année. Avec cet argent frais, la fintech compte proposer un contrat tout en un.
Le fondateur et directeur général d’October, Olivier Goy, a annoncé dans un message sur le réseau social LinkedIn qu’il abandonnait ses fonctions de CEO du spécialiste du crédit désintermédié. Son associé et co-fondateur, Patrick de Nonneville, devient ainsi directeur général, et est remplacé au poste de directeur des opérations (COO) par le patron de l’Allemagne, Thorsten Seeger. «Je deviens un président du conseil de surveillance actif et engagé», précise Olivier Goy. Olivier Goy avait révélé au printemps 2021 souffrir de la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique. La fintech s’est notamment associée cette année à Qonto pour prêter aux petites entreprises, et a annoncé le 17 novembre que Bpifrance intégrerait sa technologie October Connect dans son analyse de risques.
La société de crypto-paiements MoonPay prévoit de embaucher environ 200 personnes et de procéder à des acquisitions pour accélérer sa croissance après avoir levé 555 millions de dollars (493 millions d’euros), a-t-elle indiqué lundi. Elle a annoncé lundi avoir réalisé ce tour de table avec Tiger Global management et Coatue Management, ainsi que d’autres investisseurs tels que NEA, Paradigm et Thrive Capital. Ce tour de table valorise la société 3,4 milliards de dollars, a indiqué son fondateur Ivan Soto-Wright lors d’une interview sur Zoom. MoonPay se présente comme une sorte de PayPal pour l'économie des cryptomonnaies, qui permet d’assurer des transactions plus transparentes entre les particuliers et les entreprises de cryptos, tels que les fournisseurs de jetons non fongibles (NFT). Il est conçu pour permettre aux utilisateurs d’acheter et de vendre actifs numériques et NFT via des cartes de crédit et de débit ; Apple, Google ou Samsung Pay ; ou leurs comptes bancaires.
Le fondateur et directeur général d’October, Olivier Goy, a annoncé dans un message sur le réseau social LinkedIn qu’il abandonnait ses fonctions de CEO du spécialiste du crédit désintermédié. Son associé et co-fondateur, Patrick de Nonneville, devient ainsi directeur général, et est remplacé au poste de directeur des opérations (COO) par le patron de l’Allemagne, Thorsten Seeger.
Le pionnier indien du paiement en ligne a vu ses actions chuter de 26% ce jeudi, pour atteindre un plancher de 1.591 roupies (21,40 dollars), après avoir levé 2,5 milliards de dollars lors de son introduction à la Bourse (IPO) de Bombay. Sa capitalisation boursière est ainsi passée de 20 milliards de dollars à un peu moins de 14 milliards. La société a accusé une perte nette de 17 milliards de roupies l’an dernier, pour un chiffre d’affaires de 31,86 milliards de roupies. Malgré cette plongée, elle a battu le record de la plus grosse IPO de Bombay auparavant détenu par Coal India avec 2 milliards de dollars.
La société américaine spécialisée dans la blockchain ConsenSys a annoncé mercredi avoir levé 200 millions de dollars, lui permettant d’atteindre une valorisation de 3,2 milliards de dollars. Parmi ses investisseurs figurent HSBC, Coinbase Ventures et Marshall Wace. La société compte utiliser ces fonds pour renforcer sa présence en Asie, mais également pour accélérer sa stratégie en faveur des monnaies digitales de banques centrales (MDBC), la société soutenant 10 projets en ce sens, principalement en Asie. Consensys ambitionne également d’accélérer sur son service de NFT (jetons non fongibles) et d’embaucher 400 personnes, alors que la société avait licencié 20 % de son personnel en 2020.
Coup dur pour Paytm. Le pionnier indien du paiement en ligne a vu ses actions chuter de 26% ce jeudi, pour atteindre un plancher de 1.591 roupies (21,40 dollars), après avoir levé 2,5 milliards de dollars lors de son introduction à la Bourse de Bombay. Sa capitalisation boursière est ainsi passée de 20 milliards de dollars à un peu moins de 14 milliards de dollars.
La société américaine spécialisée dans la blockchain ConsenSys a annoncé hier avoir levé 200 millions de dollars, lui permettant d’atteindre une valorisation de 3,2 milliards de dollars. Parmi ses investisseurs figurent notamment HSBC, Coinbase Ventures et Marshall Wace.
Le bitcoin a atteint mardi un nouveau record historique, au-dessus de 68.500 dollars tôt dans la matinée, en profitant des préoccupations autour de l’inflation, de banques centrales au message plus accommodant et d’un engouement généralisé pour les cryptomonnaies qui ont fait grimper les valorisations. Il clôturait mardi soir à 66.932 dollars. Il a plus que doublé depuis fin juillet, et le lancement du premier fonds négocié en bourse (ETF, Exchange traded fund) adossé à des contrats à terme sur bitcoin aux Etats-Unis le 18 octobre a également stimulé le marché. Début septembre, le bitcoin avait connu un nouveau trou d’air autour de 44.000 dollars après son adoption comme monnaie légale par le Salvador à cause de certains effets techniques, mais les spécialistes expliquaient la séquence historiquement favorable dans laquelle la cryptomonnaie entrait avec l’année qui suit la dernière division (halving) par deux des émissions de bitcoins au travers d’un bloc donné.
Le bitcoin a atteint mardi un nouveau record historique, au-dessus de 68.500 dollars tôt dans la matinée, en profitant des préoccupations autour de l’inflation, de banques centrales au message plus accommodant et d’un engouement généralisé pour les crypto-monnaies qui ont fait grimper les valorisations. Il a plus que doublé depuis fin juillet, et le lancement du premier fonds négocié en bourse (ETF, Exchange traded fund) adossé à des contrats à terme sur bitcoin aux Etats-Unis le 18 octobre a également stimulé le marché.
La néobanque britannique Starling Bank s’est fixé comme objectif de réduire d’un tiers ses émissions de carbone d’ici 2030 et de compenser annuellement les émissions de carbone de ses propres opérations et de sa chaîne d’approvisionnement dès cette année. Selon un premier audit sur les gaz à effet de serre réalisée par la néobanque, ses émissions totales, à l’exception des prêts et des investissements, étaient de 7.731 tonnes d'équivalent de dioxyde de carbone.
La néobanque britannique Starling Bank s’est fixée comme objectif de réduire d’un tiers ses émissions de carbone d’ici 2030 et de compenser annuellement les émissions de carbone de ses propres opérations et de sa chaîne d’approvisionnement dès cette année. Selon un premier audit sur les gaz à effet de serre réalisée par la néobanque, ses émissions totales, à l’exception des prêts et des investissements, étaient de 7.731 tonnes d'équivalent de dioxyde de carbone.
Qonto pourrait devenir la start-up la mieux valorisée de la french tech. La néobanque française pour les professionnels serait en pourparlers pour lever environ 400 millions d’euros, ce lui qui permettrait d’atteindre une valorisation de 4,4 milliards d’euros selon une information du média américain Business Insider confirmée par Les Echos. Contactée par L’Agefi, la société se refuse à tout commentaire à ce stade.
Effet de la réglementation européenne, la solution de paiement associée à l’acte d’achat est en train d’être lancée à grande échelle auprès des marchands.
Ouverture. Près de 500 établissements de paiement ont été agréés en Europe afin de pouvoir pratiquer l’open banking, l’accès aux comptes bancaires, selon l’Observatoire Mastercard de l’Open Banking réalisé par Konsentus. Ils sont précisément 497 à fin juin, soit une croissance de 38 % par rapport à la même période de 2020. Il faut noter que 205 ont été agréés par la Financial Conduct Authority au Royaume-Uni et 269 l’ont été pour l’Espace économique européen. Les pays les plus actifs sont l’Allemagne avec 37 agréments locaux et 120 établissements autorisés en intégrant les « passeportés », devant la Suède avec 36 agréments locaux et 113 au total. La France et les Pays-Bas ont délivré chacun 25 agréments pour 110 établissements en exercice aux Pays-Bas et 106 en France. Arrive ensuite la Lituanie avec 24 agréments locaux pour 88 acteurs en tout. Le Portugal, Malte et l’Islande n’ont agréé aucun établissement. 94 % des établissements sont agréés pour les activités d’information sur les comptes et la moitié le sont aussi pour l’initiation de paiement, les 6 % restants sont agréés pour l’initiation de paiement seulement.