C’est la croissance attendue du marché de la vérification d’identité, selon Juniper Research. D’ici à 2027, les dépenses dans ce domaine pourraient atteindre 20,8 milliards de dollars, contre 11,6 milliards en 2022. Les prestataires les plus à même de profiter de la forte demande, due à la généralisation des entrées en relation à distance, sont Microsoft, Thales et LexisNexis Risk Solutions, avec des stratégies produit différentes mais efficaces : Microsoft avec Azure AD utilisée pour le télétravail, Thales avec une large gamme de solutions selon les cas d’usage, et LNRS en misant sur sa base de données et sur le machine learning.
La licorne française, qui a connu le succès avec son jeu de cartes certifiées par des NFT – une sorte de titre de propriété certifié dans un réseau blockchain –, a officialisé son partenariat ce mercredi avec la ligue de basket américaine ainsi qu’avec le NBPA, le syndicat des joueurs professionnels. Elle proposera à partir de cet automne un jeu similaire, mais cette fois basé sur le basket. Le montant et la durée du contrat n’ont pas été communiqués. Valorisé 4,3 milliards de dollars et auteur de la plus grosse levée de fonds de l’histoire de la french tech, l’entreprise dirigée par Nicolas Julia a également annoncé que le joueur français Rudy Gobert et le joueur américain Blake Griffin devenaient investisseurs. Sorare continue d’investir le marché américain après s’être ouvert au baseball en signant un partenariat avec la Major League Baseball.
Selon l’agence de presse publique russe Tass, le vice-ministre des Finances, Alexey Moiseev, a déclaré que le gouvernement travaillait pour mettre en place une plateforme de paiements transfrontaliers basée sur les stablecoins. Ce dispositif serait destiné à effectuer des échanges avec des pays «amis» tout en évitant l’utilisation de devises comme le dollar ou l’euro. «Les ‘stablecoins’ peuvent être rattachés à un instrument reconnu, par exemple l’or, dont la valeur est appréciable pour toutes les parties concernées», a déclaré le vice-ministre des Finances.
La licorne française qui a connu le succès avec son jeu de cartes certifiées par des NFT, sorte de titre de propriété certifié dans un réseau blockchain, a officialisé son partenariat ce mercredi avec la ligue de basket américaine ainsi qu’avec le NBPA, le syndicat des joueurs professionnels. Elle proposera à partir de cet automne un jeu similaire mais cette fois basé sur le basket. Le montant et la durée du contrat n’ont pas été communiqués.
A partir du 29 septembre, les utilisateurs de la plateforme la plus populaire verront trois stablecoins, dont le géant USDC, automatiquement convertis par le BUSD, le stablecoin émis par Binance.
Après le passage avec succès à la preuve d’enjeu de ses trois principaux réseaux de test, la blockchain Ethereum entame concrètement le Merge, la grande mise à jour qui doit lui faire économiser 95% d’énergie pour la publication de ses blocs, avec le début du déploiement de Bellatrix. Cette mise à jour doit préparer la Beacon Chain à devenir la blockchain principale du réseau. Cette blockchain fonctionne en preuve d’enjeu et évolue pour l’heure en parallèle, depuis décembre 2020, de la blockchain principale, qui, elle, fonctionne en preuve de travail. Le changement total de consensus est prévu pour la mi-septembre.
SlimPay, fintech française, acteur majeur des paiements récurrents, et Tink, principale plateforme d’open banking en Europe, ont annoncé, mardi, un partenariat ayant pour objectif de proposer aux commerçants européens un accès aux paiements de compte à compte alimentés par l’open banking. En combinant la technologie de Tink avec les agréments open banking de SlimPay, les utilisateurs de la solution «SlimCollect» pourront désormais offrir à leurs clients un parcours de paiement rapide, fluide et sans aucune friction. Le consommateur autorise simplement le paiement via des données biométriques, telles que les empreintes digitales ou la reconnaissance faciale, tandis que le marchand bénéficie de limites de paiement plus élevées et d’une disponibilité plus rapide des fonds, lui permettant d’optimiser sa trésorerie.
Après le passage avec succès à la preuve d’enjeu de ses trois principaux réseaux de test, la blockchain Ethereum entame concrètement le Merge, la grande mise à jour qui doit lui faire économiser 95% d’énergie pour la publication de ses blocs, avec le début du déploiement de Bellatrix.
La filiale bancaire de l’opérateur télécoms a annoncé le lancement d’un nouveau prêt à la consommation en partenariat avec la fintech Younited. Ouvert à tous, y compris aux non-clients d’Orange Bank, sans obligation d’ouverture de compte, ce «prêt express» pourra être entièrement souscrit en ligne. Les financements porteront sur des sommes comprises entre 1.000 et 75.000 euros, à des taux annuels effectifs globaux (TAEG) compris entre 2,99% et 19,90% (jusqu’au 9 octobre), pour une durée pouvant aller jusqu’à 48 mois à partir de 6.000 euros d’emprunt.
La filiale bancaire de l’opérateur télécoms a annoncé le lancement d’un nouveau prêt à la consommation en partenariat avec la fintech Younited. Ouvert à tous, y compris aux non-clients d’Orange Bank sans obligation d’ouverture de compte, ce «prêt express» pourra être entièrement souscrit en ligne. Les financements porteront sur des sommes comprises entre 1.000 et 75.000 euros à des taux annuels effectifs globaux (TAEG) compris entre 2,99% et 19,90% (jusqu’au 9 octobre) pour une durée pouvant aller jusqu’à 48 mois à partir de 6.000 euros d’emprunt.
Selon une information de SportBusiness, la plateforme d’échanges de crypto-actifs aurait renoncé à être sponsor pour les 5 prochaines années de la Ligue des champions de football, compétition organisée au niveau européen par l’UEFA. Selon SportBusiness, ce sont des raisons juridiques qui auraient poussé Crypto.com à se retirer de ce partenariat, notamment à cause de problèmes de réglementations au Royaume-Uni, en France et en Italie. En juin, le PDG Kris Marszalek avait annoncé licencier 5% de ses effectifs à cause de la baisse des cours du marché des crypto-actifs mais pour le moment, rien ne permet d’affirmer que cet abandon de partenariat est lié au contexte économique de l’entreprise.
Ecologie, résilience de la finance décentralisée, réglementation… Avec la popularisation croissante des cryptomonnaies, l’écosystème crypto se voit confronté au défi de l’institutionnalisation.
Selon une information de SportBusiness, la plateforme d’échanges de crypto-actifs aurait renoncé à être sponsor pour les 5 prochaines années de la Ligue des champions de football, compétition organisée au niveau européen par l’UEFA. Selon SportBusiness, ce sont des raisons juridiques qui auraient poussé Crypto.com à se retirer de ce partenariat, notamment à cause de problèmes de réglementations au Royaume-Uni, en France et en Italie.
Le procureur général de Washington, aux Etats-Unis, Karl Racine a annoncé, jeudi, poursuivre en justice Michael Saylor, estimant que ce dernier devait plus de 25 millions de dollars d’impôts à son district. Selon l’action en justice déposée, l’entrepreneur américain, essentiellement connu pour être un des plus fervents supporters du bitcoin, aurait prétendu frauduleusement ne pas être résident de ce district pour se soustraire à ses obligations fiscales depuis plus de dix ans. «Nous poursuivons également sa société, MicroStrategy, pour avoir conspiré afin de l’aider à échapper aux impôts qu’il doit légalement sur les centaines de millions de dollars qu’il a gagnés en vivant à Washington», a également déclaré sur Twitter le procureur général.
Interrogé sur l’éventuel lancement dès le mois de septembre de son stablecoin – ces crypto-actifs dont la valeur est adossée au cours d’un sous-jacent –, le fondateur de la plateforme d’échange décentralisée Curve, Michael Egorov, a répondu, sur le groupe Telegram du protocole de Finance décentralisée (DeFi) le 31 août : «possible». Même si le flou reste total concernant les caractéristiques techniques de ce stablecoin, Michael Egorov avait tout de même précisé, le 21 juillet, qu’il serait «décentralisé et surcollatéralisé». Depuis la chute de l’UST – le stablecoin de Terra-Luna – et l’affaire Tornado Cash, les plus gros acteurs de la finance décentralisée, tels MakerDAO, Aave ou Curve, cherchent à réduire leur dépendance aux stablecoins centralisés, comme l’USDT de Tether ou l’USDC de Circle. Une indépendance qui passe par le lancement de leurs stablecoins, comme Aave l’a déjà proposé à sa communauté.
Fondée par des professionnels de l’assurance-crédit, cette fintech s’appuie sur sa technologie brevetée et ambitionne de transformer la relation banques-entreprises.
Arbitrum propose «Nitro» ce mercredi 31 août, une mise à niveau décisive pour sa solution, l’une des plus prometteuses pour faire baisser les frais de transaction sur la blockchain Ethereum.
Monisnap, fintech française spécialisée dans le transfert d’argent au service des diasporas présentes en Europe, vient de signer un partenariat avec Ria, l’une des plus importantes sociétés du secteur avec un réseau de 490.000 points d’envoi ou de réception dans 160 pays. Avec ce partenariat, Monisnap contribue à digitaliser cette activité et, grâce à Ria, donne aux destinataires la possibilité de collecter l’argent transféré en espèces. Monisnap compte environ 200.000 utilisateurs récurrents et réalise 3.000 transferts par jour. Fondée en 2017 par des anciens de Google et de Groupon, la jeune entreprise est financée notamment par Serena Capital, Truffle Capital, Evolem Start, Notus Technologies et des business angels.
Le Lightning Network ouvre un nouvel horizon au bitcoin, pour l’adapter aux paiements du quotidien et favoriser ainsi une plus grande démocratisation, dont dépend peut-être sa survie.
L’autorité monétaire de Singapour veut encadrer les cryptomonnaies. Ravi Menon, son directeur général, a déclaré lors d’un séminaire que les investisseurs particuliers semblaient «être irrationnellement inconscients des risques du ‘trading’ de cryptomonnaie». Il envisage donc d’introduire des restrictions d’accès. «Celles-ci peuvent inclure des tests d’adéquation des clients et restreindre l’utilisation de l’effet de levier et des facilités de crédit pour le ‘trading’ de cryptomonnaie», a-t-il ajouté. L’autorité financière sollicitera les commentaires du public sur ses propositions d’ici au mois d’octobre.
Lancé en octobre 2020, la troisième édition de Surfin’ Bitcoin se tient à Biarritz du 25 au 27 août avec une première journée durant laquelle l’accès sera gratuit pour le public. L’ensemble des conférences qui se tiendront s’organisera autour de quatre thèmes représentatifs des enjeux futurs pour le bitcoin à savoir la régulation, sa place au sein de la géopolitique mondiale, son impact énergétique et son développement technologique permettant une adoption de masse. Près de 2.000 personnes sont attendues au Casino de la ville basque, épicentre de l’événement. « Le budget pour organiser l’évènement de cette année a été multiplié par cinq », se réjouit Jonathan Herscovici, principal organisateur de Surfin’ Bitcoin avec Josselin Tonnelier, tous les deux fondateurs de la start-up StackinSat qui propose une solution d’épargne en bitcoin. « L’ambition sur le long terme, c’est que cet évènement devienne un festival avec une portée un peu plus internationale pour continuer à démocratiser le bitcoin auprès des institutionnels, des décideurs publics mais aussi des particuliers. Le but n’est pas de faire de l’entre-soi entre ‘bitcoineurs’ », détaille Josselin Tonnelier. Preuve de cette ambition, l’un des sponsors de ce sommet n’est autre que la banque française Delubac & Cie, une des premières à avoir obtenu l’enregistrement PSAN (prestataire de service sur actifs numériques) délivré par l’AMF (l’autorité des marchés financiers).
Le pays sera le premier d’Amérique latine à bénéficier du produit lancé par le géant du paiement et la plateforme de cryptoactifs aux 120 millions d’utilisateurs.
Selon NewsPim, Samsung étudierait la meilleure manière d’entrer sur le marché des crypto-actifs réglementés. Le média sud-coréen détaille même que le géant n’aurait pas trouvé le personnel nécessaire pour lancer une plateforme d’échanges fin 2021 et aurait demandé les autorisations préliminaires pour rendre opérationnelle une telle structure au premier semestre 2023. En fonction depuis le mois de mai, le président sud-coréen Yoon Suk-Yeol avait promis de favoriser une régulation plus conciliante avec le marché des crypto-actifs. Mais depuis la chute du stablecoin Terra-Luna, les autorités ont renforcé les contrôles, notamment avec les courtiers en crypto-actifs.