Destiné à des investisseurs institutionnels, assureurs, mutuelles d’assurances, institutions de retraite et de prévoyance, l’OPCI se concentrera sur l’acquisition d’actifs situés dans les principales villes étudiantes françaises qui bénéficient du Plan Campus. Le gérant sélectionnera principalement des résidences à construire (VEFA) mais se donne également la possibilité de se positionner sur des actifs existants. L’encours géré devrait rapidement atteindre une centaine de millions d’euros conformément aux objectifs initiaux.
C’est aujourd’hui que Michel Barnier, commissaire européen chargé du marché intérieur et des services, présente à Bruxelles le projet de révision de la directive relative aux marchés d’instruments financiers (MIF).
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a estimé, dans un arrêt du 24 mai 2011, que la France ne pouvait pas réserver à ses seuls nationaux l’accès à la profession de notaire (Lire l’Agefi Actifs n° 496, p. 9). Le décret appliquant cette décision vient d’être publié au journal officiel. Le texte substitue à l’exigence d'être de nationalité française pour accéder à la profession de notaire celle d'être ressortissant d’un Etat membre de l’Union européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen.
Selon le Medi (Monitoring European Distribution of Insurance), le gouvernement allemand a élaboré un projet de loi instaurant un système volontaire de rémunération des conseillers en assurance par honoraires. Cette forme de rémunération récompensant uniquement le conseil, toute commission reçue lors du placement devant être intégralement rétrocédée au client. «Ce projet de loi a relancé un débat très vif sur l’interprétation des directives MFI(ID) et par voie de conséquence IMD2. Certains, comme une association des Conseils en assurance prône l’interdiction de toute autre forme de rémunération, d’autres restants attachés au système actuel», souligne le cercle de réflexion.
Selon le courtier en ligne Empruntis, les taux sont restés stables dans la quasi-totalité des régions, en moyenne, à 4,05 % sur 15 ans et à 4,30 % sur 20 ans. L’Est et l’Ile-de-France sont les régions les plus chères avec sur les mêmes périodes respectivement 4,15 % et 4,40 %
L’ACP publie une instruction dans le cadre de la surveillance des risques de crédits à l’habitat. Les établissements de crédit doivent reporter leur production mensuelle de crédits sur un tableau remis tous les mois à l’Autorité de contrôle et présenté en annexe.
Un premier bilan de l’état d’avancement de la mise en application des principes et standards du Financial Stability Board (FSB) en France et dans les principaux pays d’agrément des établissements systémiques vient d’être publié.
Saisi par le Conseil d’Etat dans le cadre d’une question prioritaire de constitutionnalité, le Conseil Constitutionnel a déclaré conforme à la constitution la contribution créée par l’article L. 137-11-1 du Code de la Sécurité sociale.
Après Fitch Ratings vendredi dernier, c’est au tour de Standard & Poor’s d’abaisser la note souveraine espagnole, diminuant cette dernière d’un cran, à AA-, avec perspective négative, invoquant les incertitudes pesant sur la croissance du pays.
- Dans le cadre de la loi de Finances rectificative pour 2011, un amendement proposé par deux parlementaires a été adopté selon lequel, en cas de démembrement de la clause bénéficiaire d’un contrat d’assurance vie, l’abattement fiscal de 152.500euros est réparti entre l’usufruitier et le nu-propriétaire dans les mêmes proportions.
Dans un article publié en 2010 dans la revue Réflexions Immobilières, Pierre Schoeffler, senior avisor à l’IEIF, a comparé l’allocation optimale théorique des ménages à celle effectivement constatée chez les Français sur une période de 18 ans. La démonstration conclut qu’avec un patrimoine moyen sur la période 1991 à 2008 constitué à hauteur de 55% d’immobilier, de 21% d’instruments monétaires, de 18% d’obligations et de titres de créances et de 6% d’actions, soit un portefeuille d’actifs risqués, hors instruments monétaires, réparti à 70% en immobilier, à 22% en obligations et à 8% d’actions, les ménages se sont comportés, en moyenne, de manière optimale.
S’agissant du contrôle des intermédiaires, l’objectif de cette conférence était de tordre le cou à certaines idées reçues Le régulateur consulte les professionnels sur sa prochaine recommandation relative aux réclamations des clients.
Le fonds de DWS Investments profite du potentiel de croissance des marchés émergents. La stratégie dividendes répond aux critères des investisseurs français.
L’immobilier n’est pas épargné depuis quelque temps. Sur le front fiscal, les initiatives récentes l’ont ciblé en bouc émissaire. Si la résidence principale demeure un havre de paix, la loi de Finances rectificative pour 2011 a fortement ébranlé les propriétaires de demeures secondaires, visés à partir du 1er février 2012 par une augmentation du taux d’imposition des plus-values immobilières et par le passage de 15 à 30ans du délai conditionnant l’exonération totale d’impôt, le tout cumulé à la modification de la progressivité de l’abattement. Le projet de loi de Finances pour 2012 vise quant à lui un recentrage du dispositif Scellier, réservé aux logements neufs basse consommation, et divers régimes d’investissements sont menacés du rabot fiscal. Pendant ce temps, les taux de crédit ont grimpé et, de ce fait, les conditions de marché se tendent. Mais ce dernier tient du silex et dans la conjoncture mirobolante que l’on connaît, les prix des logements ont poursuivi leur hausse sur un an. Des signes de ralentissement existent ici et là en cette rentrée, nombreux sont les particuliers qui hissent le drapeau blanc et des intermédiaires disent se faire courtiser par certains promoteurs, rien n’y fait: envers et contre tout, l’immobilier fait de la résistance. Que la sagesse soit avec lui, sa meilleure assurance étant, notre dossier en atteste, que les Français l’adorent !
En détenant 60% de leur patrimoine brut en immobilier, les Français soulèvent la question du bien-fondé de leurs décisions d’allocation d’actifs. Sont-ils sages ou déraisonnables? Délicat de trancher lorsque rentre en ligne de compte dans la propriété immobilière une multitude de paramètres difficilement mesurables tels que l’aversion au risque ou les anticipations. Juger le comportement des ménages est d’autant plus complexe qu’une allocation d’actifs demande des ajustements de portefeuille réguliers, mais pas nécessairement importants, alors que l’immobilier, par ses caractéristiques bien à lui -indivisible, peu liquide, coûteux-, ne peut entraîner qu’un choix binaire: on possède ou non un bien.
«Il est interdit aux [experts-comptables] d’effectuer toute démarche non sollicitée en vue de proposer leurs services à des tiers. Leur participation à des colloques, séminaires ou autre manifestations universitaires ou scientifique est autorisée dans la mesure où elles ne se livrent pas, à cette occasion, à des actes assimilables à du démarchage.»
14 octobre: Etats-Unis: prix à l’importation de septembre, indice de confiance de l’Université de Michigan d’octobre; Zone euro: prix à la consommation de septembre; Japon: M3 de septembre, indice CGPI de septembre.
Dans le cadre de l’examen prochain à l’Assemblée nationale du projet de loi de Finances pour 2012, un amendement apporte un assouplissement à la réforme de la taxation des plus-values immobilières en exonérant de la plus-value la première cession d’une résidence secondaire ou locative lorsque le cédant n’est pas propriétaire de sa résidence principale depuis plus de deux ans et à condition que la cession soit réalisée au moins cinq ans après l’acquisition du logement.
Un particulier décède en 2005 laissant comme héritier son fils unique. Il avait souscrit en 1989 deux contrats d’assurance vie dont la bénéficiaire était sa belle-sœur. Aux termes d’un testament du 22 décembre 2007, il a institué cette dernière légataire universelle de la quotité disponible. Estimant que les primes versées étaient manifestement excessives, le fils unique assigne sa tante afin de voir ordonner que ces primes soient rapportées à la succession et que la part revenant à celle-ci soit réduite.