“We will not backpedal. Progress towards stronger regulatory principles for ETFs is moving ahead. We just need to bring the various European regulations of the sector, which are moving in different directions, into line,” Vittorio Conti, chairman of the ESMA working group in charge of redefining the guidelines for ETFs, said in an interview with Plus24, the weekly money supplement of Il Sole – 244 Ore. “In order to guarantee regular and consistent coverage, the next step would be to verify the existence of financial products which have analogous structures and similar issues, such as ETN, ETC and certificates,” he added.
Albert Röell, CEO of the Netherlands-based Kas Bank has said in an interview with the Börsen-Zeitung that he is hoping to rely on a cooperation agreement recently signed with dwpbank (see Newsmanagers of 15 December 2011) to develop in Germany in the areas of fund administration, depository banking and custody.The newspaper says the German affiliate of Kas Bank needs a kickstart, as its assets under administration have fallen to EUR655m as of the end of 2011, compared with EUR1.6bn one year earlier. This contraction is due to the fact that Postbank, the firm’s largest client, has changed the terms for some of its funds.
Afin de simplifier sa structure juridique, Skandia a créé au Luxembourg une compagnie d’assurance nommée Skandia Life SA qui deviendra la maison mère de ses activités en France. L’actuelle structure juridique Skandia Link, basée en Espagne, fusionnera avec la nouvelle entité Luxembourgeoise Skandia Life SA avant la fin de l’année 2012. En conséquence, Skandia France, qui est une succursale de l’entité Espagnole deviendra une succursale de l’entité Luxembourgeoise. L’organisation et le fonctionnement actuels de Skandia en France restent inchangés.
Dans le cadre d'une conférence organisée par la Banque Populaire Rives de Paris le 9 février auprès de sa clientèle de personnes morales, Kim Nguyen, directeur général délégué de l'entreprise de conseil Forward Finance, a fait une intervention sur l'évolution des pratiques de placement des institutionnels.
Mathieu Pivovard, head of diversified management at Allianz Global Investors France, says in an interview with Agefi that markets and investors have become too optimistic, and that the economic momentum can only fall in the euro zone (and the United States). Results will continue to be revised downward, and the situation in Greece (and maybe also Portugal) may degenerate. In this environment, “exposure to high-risk assets has been reduced and a correction is expected, which if conditions permit it, will be an occasion to take on risk again.”
The chairman and CEO of L’Oréal, Jean-Paul Agon, has announced in an interview with the Journal du Dimanche that in April, he will propose a “complete shutdown of the stock-option system at L’Oréal, for everyone, from this year,” to the board of directors. Les Echos reports. The head of the world’s top cosmetics firm, whose total pay in 2010 was EUR10.7m according to Proxinvest, has also said he will give up half the stock options given to him in 2010. The decision comes as part of a debate over pay scales for directors of CAC companies, which have risen 34% between 2010 and 2011, according to Proxinvest. This type of payment has also lost much of its fiscal attractiveness.
Cet indice retrace la performance des OPCI RFA au cours du second semestre 2011. L'échantillon analysé, très représentatif, est composé de 45 véhicules totalisant un Actif Net Réévalué (ANR) de 6 297M€. Les Sociétés de Gestion de Portefeuilles participantes sont les suivantes : AEW Europe SGP, Amundi Immobilier, Archon Group Gestion, Axa Real Estate SGP, BNP Paribas REIM, BSG France, Ciloger, CORUM Asset Management, GE REIM, Paref Gestion, Perial Asset Management, Sofidy, STAM - Europe, La Française AM et VIVERIS REIM. Cet indice est réalisé en partenariat avec l’ASPIM. Pour lire la suite: cliquez ici
Icade, filiale foncière de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), qui a annoncé l’ouverture du capital de sa filiale santé, est prête à accueillir d’autres investisseurs pour réaliser ses projets de développement dans ce secteur. D’autres investisseurs français et des fonds de pension étrangers, notamment canadiens et néerlandais, frappent à notre porte pour participer à la création d’une nouvelle classe d’actifs immobiliers pour détenir des murs d'établissents de santé, s’est félicité le PDG d’Icade Serge Grzybowski, vendredi lors d’un conférence de presse. Icade avait annoncé à l’occasion de la publication des résultats 2011, avoir reçu l’engagement ferme de trois investisseurs institutionnels français, dont les noms seront dévoilés en mars, d’investir environ 250 M€ dans sa filiale qui possède les murs de 44 établissements de santé. La part d’Icade dans sa filiale santé, qui possède déjà pour 1,4 milliard d’euros de murs de cliniques et prévoit de porter ce patrimoine à 2 milliards à moyen terme, devrait tomber de 100% aux alentours de 70%. L’idée pour une foncière d’une filiale santé (avec d’autres actionnaires, ndlr) paraît évidente mais personne ne l’avait jusqu'à présent mise en oeuvre à part Gecina pendant quelque temps, a indiqué M. Grzybowski. Confiant dans l’avenir, notamment grâce aux 2 millions de m² de réserves foncières constructibles, le PDG d’Icade promet pour 2012 une nouvelle augmentation à deux chiffres du cash-flow courant après une progression de celui-ci de 28% en 2011. M. Grzybowski s’est en outre félicité qu’Icade ait été récemment choisi par le ministère de la Justice et par Veolia Environnement pour édifier deux grands immeubles dans le Parc du Millénaire, à la limite entre Paris et Aubervilliers, grâce notamment à l’attrait du centre commercial qu’il possède, à parité avec Klépierre, à proximité. Par ailleurs Icade travaille sur sa dette, après une première émission obligataire auprès d’un investisseur privé américain, en vue de l'échéance de 2014, année où elle devra rembourser un milliard d’euros, a indiqué la directrice financière Nathalie Palladitcheff.
En matière d'appels d'offres, les investisseurs institutionnels français exploitent peu les possibilités du marché. Selon Philippe Sabbah, directeur général de Robeco, qui dresse ce constat, le marché institutionnel ne pourra être efficient tant que les notions de transparence, d'externalisation et d'optimisation des coûts ne seront pas pleinement prises en compte.
Le groupe néerlandais de messageries a dit vendredi avoir rejeté une offre de rachat non sollicitée de la part d’UPS, estimée à 4,9 milliards d’euros, mais a précisé que les discussions se poursuivaient. L’américain UPS, leader mondial du secteur, a proposé 9 euros par action TNT en circulation, soit une prime de 42% par rapport au cours de clôture du titre vendredi soir, à 6,343 euros. TNT Express compte 543 millions d’actions ordinaires en circulation, d’après ses communiqués boursiers les plus récents, ce qui porte l’offre d’UPS à 4,9 milliards d’euros. Cette offre intervient alors que des actionnaires de TNT ont appelé le groupe à remanier son conseil d’administration et à accroître la valeur offerte aux investisseurs. Le groupe néerlandais PostNL, premier actionnaire de TNT avec une participation de 29,9%, s’est refusé à tout commentaire sur l’offre d’UPS.
In 2011, Unigestion has recorded net inflows of EUR1bn, compared with EUR658m in 2010. These inflows were well distributed over the firm’s four areas of expertise: minimum variance equities, funds of hedge funds, private equity and asset allocation for family offices. “It is in difficult years like these that we do particularly well, thanks to a management style based on risk,” says Fiona Frick, CEO of the Swiss asset management firm, in an interview with Newsmanagers. “That was the case in 2008 as well,” she adds. At the end of 2011, Unigestion had EUR3.8bn in assets under management in minimum variance equities, EUR2.9bn in funds of hedge funds, EUR1.8bn in private equity, and EUR1.3bn in allocation, for a total of EUR9.8bn, of which 90% are for institutional investors. Compared with the previous year, that represents an increase in assets under management of 12% In France, where Unigestion has a local presence and an AMF license, the Swiss firm has seen similar growth in assets – and the market is still the second-largest for the firm, accounting for 25% of its assets, after Switzerland. In other countries of Europe, after recruiting for its teams in the United Kingdom, its third-largest market, Unigestion is preparing to announce the recruitment of a salesperson to cover the German-speaking markets, who will be based in Geneva. The asset management firm is also planning to recruit one person for Northern Europe this year. As in Germany, which is a decentralised country, the firm is not currently planning to open a local office. Outside Europe, Unigestion is also interested in Asia, and has recently appointed a chairman for Asia, based in Singapore. The objective is to get close to 20 new clients (sovereign funds, pension funds, universities) in the next few months. Worldwide, Frick is planning to recruit 5 to 10 new institutional clients per year; at present, Unigestion has 220. The asset management firm is counting on these new relationships to bring in half of its subscriptions, while the other half will come from existing clients. Overall, Unigestion is hoping to increase its assets by 10% to 15% per year.
amGroup, cabinet de conseil spécialisé dans les métiers de la gestion d’actifs, de la gestion privée et de la gestion patrimoniale, organise aujourd’hui le Value Day 2012, le premier évènement en France dédié à ce style de gestion. Isabelle Guyot-Sionnest, Directeur Associé d’amGroup, précise : « A travers l’organisation de ce type d'événement, la mission du cabinet amGroup est de rendre compte des enjeux de place relatifs à la gestion d’actifs et donc, par extension, de rejoindre les investisseurs professionnels dans leurs préoccupations majeures. ». Le cabinet amGroup a donc pris l’initiative de créer une matinée entièrement consacrée à un style de gestion : la gestion value. Pour cette première édition, amGroup s’est associé à des acteurs majeurs de ce type de gestion présents en France, qui ont apporté chacun leur approche spécifique aux débats : AllianceBernstein, Métropole Gestion et Sparinvest. En amont de cet événement, amGroup a interrogé plusieurs investisseurs institutionnels de la place afin de recueillir leurs impressions quant à la notion de style de gestion, celui de la value en particulier, et l’intérêt porté à ce critère dans leurs choix d’investissement (enquête disponible sur simple demande). La matinée s’articulait sous la forme de deux tables rondes : Le style de gestion value, qu’est ce que c’est ? animée par Serge Wibaut, Consultant Partenaire d’amGroup, pour faire le point sur les fondamentaux de la gestion value avec l’intervention des sociétés de gestion partenaires de l'évènement. Pourquoi, quand et comment investir dans le style « value » ? animée par Isabelle Guyot-Sionnest, Directeur Associé d’amGroup, en présence de Giovanni Becchere, Senior Portfolio Manager DPM, ABN AMRO Advisors, d’Alain Leriche, Directeur Général, EDF Investissements Groupe et d’Aymeric Poizot, Responsable EMEA Gestion d’Actifs, FitchRatings. L’occasion de revisiter les fondamentaux de ce type de gestion et de replacer la question du style dans le débat relatif aux choix auxquels les investisseurs sont confrontés.
ING IM vient de nommer Patrick Chia, un ancien d’Amundi, en tant que responsable du fixed income Asie, à Singapour, rapporte Asian Investor. Sa nomination intervient après le départ de Joel Kim en septembre, qui a rejoint BlackRock en tant que responsable du fixed income Asie.
Les actifs investis s'élèvent à 640 milliards d’euros, dont 467 milliards d’euros de fonds général assurance investis dans un portefeuille diversifié, principalement composé d’obligations (82%), de liquidités (6%), d’immobilier (5%) et d’actions cotées (3%). Détails sur la dépréciation des obligations souveraines grecques pour un montant de 387 millions d’euros: 92 millions d’euros au S1 2011 calculés sur la base des valeurs de marché des maturités ??? 2020 295 millions d’euros au S2 2011 calculés sur la base des valeurs de marché de toutes les maturités. La dépréciation totale en 2011 se monte à 387 millions d’euros, ce qui correspond à un écrêtement de 78% du prix de revient. Les capitaux propres du Groupe s'établissent à 48,6 milliards d’euros, en baisse de 1,1 milliard d’euros par rapport au 31 décembre 2010, bénéficiant de 4,3 milliards d’euros de résultat net pour la période et de 0,5 milliard d’euros d’impact de change positif net d’instruments de couverture, plus que compensés par un impact de 2,5 milliards d’euros de déduction de l'écart d’acquisition lié à l’acquisition des intérêts minoritaires des opérations vie asiatiques d’AXA APH, une baisse de 1,6 milliard d’euros des plus-values latentes nettes, le paiement de 1,6 milliard d’euros de dividende au titre de l’année 2010 et 0,6 milliard d’euros de la revalorisation des engagements retraites. Le ratio de solvabilité I est de 188%, en hausse de 6 points par rapport au 31 décembre 2010, notamment grâce à la contribution du résultat opérationnel (+17 points), en partie compensée par le dividende proposé (-7 points) et par l’impact des marchés (dont -8 points sur les actions et +3 points sur les actifs obligataires). Les sensibilités indicatives aux mouvements de marché sont : -7 points pour une baisse de 25% des marchés actions et -5 points pour une baisse de 10% de l’immobilier. Sur les actifs obligataires, les sensibilités aux évolutions de marché sont : -40 points pour une hausse de 100 points de base des taux d’intérêts, -15 pts pour une augmentation de 75 points de base du coût du risque des obligations d’entreprise, avec une combinaison des deux impacts limitée à une baisse de 40 points de solvabilité.
Coe-Rexecode et l’AFTE publient ce jour les principaux résultats de l’enquête mensuelle de février 2012 sur la trésorerie des grandes entreprises. Elle s’est déroulée entre le 3 et le 13 février. La trésorerie d’exploitation reste jugée proche de la normale. La trésorerie globale ne se dégrade plus. Le taux de change euro-dollar est jugé favorable par une majorité de trésoriers. Les marges sur les financements bancaires continuent d’augmenter, mais à un rythme plus modéré. La recherche de financement est jugée difficile mais moins qu’en décembre et janvier. Les délais de paiement restent plus tendus depuis l'été 2011. Les résultats détaillés figurent dans le document ci-joint.
Une enquête indépendante et gratuite réalisée auprès d’une centaine de sociétés de gestion proposant une large gamme de produits et de services. Un questionnaire réalisé via internet comprenant une vingtaine de questions: des questions relatives aux anticipations afférentes à différentes classes et typologies d’actifs ainsi qu’aux stratégies d’investissement mises en ??uvre. des questions relatives aux anticipations d’ordre macro-économique. Une synthèse bimestrielle, accessible gratuitement, qui permet de confronter les anticipations des sociétés de gestion sur différentes classes d’actifs plus ou moins risquées avec le niveau de risque qu’elles prennent réellement au sein de leurs portefeuilles de référence. Ce baromètre permet également de voir évoluer l’appétit pour le risque des sociétés de gestion dans le temps.
L’Af2i prend acte que le projet de rapprochement entre NYSE Euronext et Deutsche Börse n’a pas obtenu l’accord de la Commission Européenne, aux motifs que ces deux entités contrôlaient déjà plus de 90% des transactions mondiales en matière de dérivés basés sur des taux d’intérêt européens. Cette décision met fin à un projet de constituer « le premier opérateur boursier mondial », mais ne règle pas les problèmes liés aux besoins impératifs de mettre en place une structure de marché permettant aux émetteurs de disposer d’un grand marché européen autonome capable de leur fournir un outil puissant pour la mise en place de sources stables de financement long terme et aux investisseurs, gérants ou institutionnels, de bénéficier d’un marché transparent où l’information concernant les offres pré trade, les transactions (prix et volumes) seraient largement accessibles et pertinentes. L’Af2i souhaite que la Commission Européenne et les régulateurs européens poursuivent donc leurs réflexions sur ces questions. L’Af2i est prête pour sa part à y contribuer pleinement.
In an interview with the Börsen-Zeitung, Carl Heinz Daube, CEO of Deutsche Finanzagentur, has announced that the German federal government will be launching a retirement savings scheme aimed directly at retail investors. In addition to the proposed product, which is currently known as Schatzdepot des Bundes, there would also be floating rate bonds. Preparations for an issue of government commercial paper are well advanced, but the product is not an absolute priority for this year.Daube also states that there are no plans to launch very long-term bonds, like the 50-year bonds issued in January by Austria, as securities of this type are not profitable for the issuer. However, the manager states that the Bund is not planning to issue inflation-linked bonds for direct sale to retail investors.
Although Henderson is not looking to undertake “anything grand” on the acquisition front this year, small deals are possible, says David Jacob, CIO and managing director of Henderson Investment Management, in an interview with Financial Times Fund Management. In particular, he would like to build an asset management business in the United States, where the group has only real estate and distribution teams. An alliance to improve distribution in Asia is also on the wish list, along with Australia. Due to acquisitions of New Star Asset Management and Gartmore, Henderson now has retail clients representing 43% of its GBP65.4bn in assets under management, compared with 18% before those acquisitions.
Cette monographie a pour objectif de proposer un état des lieux factuel de l’offre de fonds à échéance disponible sur le marché français. Ces travaux s’adressent : aux investisseurs et distributeurs, qui trouveront dans ce document un recensement et une analyse comparative des caractéristiques de ces produits aux promoteurs de ces véhicules d’investissement, dans une perspective d’analyse de leur environnement concurrentiel et du positionnement relatif de leur offre
Le mutualisme est un modèle d’avenir, car porteur de progrès et d’innovation sociale. Organisations à but non-lucratif, les mutuelles ne cherchent pas à conquérir des parts de marchés mais à organiser la solidarité pour que le plus grand nombre ait accès à des services et des soins de qualité. Cependant, les mutuelles sont placées devant un défi majeur : l’environnement dans lequel elles accomplissent leur mission est profondément bouleversé. Les États se désengagent des systèmes de protection sociale, entraînant un accroissement des inégalités de santé. Les assureurs et les acteurs de santé capitalistiques internationaux prennent une part croissante du « marché » de la santé et de la protection sociale. La définition des politiques publiques et du cadre réglementaire de la protection sociale ne se fait plus uniquement au niveau des États membres mais également de l’Union Européenne. Pour y faire face, le groupe MGEN et la Mutualité Socialiste-Solidaris sont convaincus de la nécessité, pour les mutuelles, de se renforcer, de se développer et de trouver de nouvelles formes de coopération. De véritables groupes mutualistes doivent émerger à l'échelle européenne ayant la capacité de peser politiquement et économiquement et d’inventer des solutions mutualistes innovantes d’accès aux soins. C’est dans cette perspective que les deux mutuelles ont décidé de s’associer. Ensemble, elles étudient différentes voies de coopérations opérationnelles : la création d’un observatoire mutualiste des systèmes de santé belge et français, l’expression commune vis-à-vis des autorités européennes, le développement d’une offre mutualiste dans un pays européen tiers, le transfert de savoir-faire entre les deux mutuelles pour leurs développements respectifs en France et en Belgique, la coopération transfrontalière pour permettre aux ressortissants de chaque mutuelle de bénéficier des avantages de la mutuelle partenaire.